Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Mei D. Gekkô.

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MessageSujet: » Mei D. Gekkô.   » Mei D. Gekkô. Icon_minitimeMer 23 Jan - 6:26



Alors,qui es-tu ?

- Noms & prénoms : Gekkô, Mei Dokueki
- Âge : 15 Ans
- Nationalité : Chino-japonaise
- Orientation sexuelle : Non définie

- Année scolaire ou profession : 1ère Année
- Groupe : Brutal People
- Pourquoi ce groupe : Pourquoi ce groupe : Mei est une jeune fille violente, plus par habitude que par volonté. Malgré tout, elle ne fait pas de cadeau, n’hésite pas à se battre et sait plus employer ces poings que ces paroles pour convaincre.

- Personnage sur l'avatar: Enma Ai

Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout, non?

Un caractère ? C’était bien plus que ça. Mei avait horreur qu’on lui arche sur les pieds, qu’on lui tienne tête et pire : que l’on ose la contre dire. Elle est plutôt du style… Sanguine et impulsive. Tu me cherches, tu me trouves tout de suite. Il n’y avait pas de demi-mesure avec cette petit jeune fille qui de par son apparence frêle pouvait paraître peu convaincante t pourtant, quand on a goûté à ces belles petites mains à la douceur plus que violente, il est difficile de les oublier. Mei n’avait jamais eu l’habitude d’être contrôlée, d’être calmée ou épargnée dans sa vie, alors, comme par vengeance personnelle, elle ne se gênait pas pour ne pas épargner les autres. La violence était sa plus belle armure et son sourire mesquin n’était qu’une paroi glaciale parmi tant d’autres.
Mais au fond, était-elle vraiment celle qu’elle montrait ? Assumait-elle d’avoir toujours été fragile et en manque d’affection ? Non ça elle n’avait jamais pu l’accepter et elle ne l’accepterait certainement jamais. Alors pour cacher, pour ne plus saigner face aux autres, elle cognait tous ceux qui essayaient de l’arrêter, qui tentaient de lui arracher les ailes pour ne plus jamais souffrir.
Au fond, au plus profond d’elle-même, Mei n’était qu’une enfant brisée par la douleur, les ruptures et les souffrances d’une vie qu’elle n’avait pas choisie. Alors elle se rebellait, ne faisait jamais ce qu’on lui indiquait et ne prenait que pour seul conseil son âme acérée de haine et de rejet envers les autres. Elle était plutôt quelqu’un de solitaire. C’est sûr qu’en frappant incessamment les autres, on ne se faisait pas énormément d’amis… Même si un avait tenté et avait réussi… Mais ça c’était une autre histoire, une histoire que Mei aurait voulu ne jamais vivre.

Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.

Mei est une jeune fille plutôt petite. En effet, c’est 1.55m ne lui ont jamais rendu la vie facile parce que beaucoup s’amuse à la martyriser à cause de cela. Malheureusement pour eux, les apparences sont trompeuses et sous ses airs de petite fille introvertie et sans défense, Mei est une jeune fille qui sait frapper où il faut et comme il faut. Elle n’a pas une force démesurée bien que la sienne soit largement supérieure à celle de la plupart des filles de son âge, certainement du à ces excès de bagarres.
Ces yeux d’un marron presque rouge lui ont valu d’avoir un nouveau prénom lors de sa première adoption. Au départ, elle s’appelait simplement Mei, puis ses parents adoptifs de l’époque à cause de la couleur de ces yeux, l’on appeler Mei Dokueki, ce qui signifie littéralement « Beauté empoisonnée ».
Ces cheveux sont aussi noirs que les plumes des corbeaux et sa peau blanche comme la neige pure et poudreuse. La plupart des personnes qui la voit la considère comme une poupée, une poupée du mal, aussi belle que dangereuse, ayant la peau aussi douce et veloutée que les draps de soie qui recouvrent les morts.
Son corps fin presque frêle semble aussi fragile que la porcelaine antique chinoise, et pourtant, elle est plus résistante que du béton armée. Ayant l’habitude d’encaisser les coups, elle ne souffre que peu de ces combats incessants et s’habitue facilement à la douleur… Mais uniquement la douleur physique.
Ce qui plait le plus chez elle, quand on l’observe attentivement, ce sont ces mains. De petites mains douces, des doigts fins et gracieux. Mais ces mains peuvent être les instruments des tortures les plus terribles car malheureusement pour vous, elle sait parfaitement s’en servir. Elle ne vous décollera pas simplement une adorable petite gifle… Non, cela risque d’être bien plus qu’une claque qui ne fait de mal à personne… Enfin, pas si vous savez restez à distance.
Quant à son style, Mei n'en a pas vraiment. elle peut s'habiller comme une vrai garçon ou comme une vraie fille, tout dépend de son humeur de son programme de la journée. Mais Mei a toujours eu un faible pour les tenues traditionnelles japonaises, chinoises et coréennes, il n'est donc pas étonnant de la voir se trimbaler en kimono en pleine journée de cours... C’est tout à fait normal pour elle.

Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.

Quelques part dans la banlieue de Pékin, une femme était enceinte jusqu’aux oreilles. Elle peinait à avancer avec ces talons hauts, mais elle n’avait pas le choix, il fallait qu’elle arrive jusqu’à un endroit couvert, il ne fallait pas qu’on la voit, il ne fallait pas qu’on lui fasse du mal… Pas tant que tout cela ne serait pas fini. Il neigeait à gros flocons sur la ville recouverte d’un épais nuage de pollution. Une existence bien loin de ce dont elle avait toujours rêvé. À l’écart dans une ruelle abritée et poisseuse, la femme sentit des contractions de plus en plus insoutenables. S’écroulant, elle accoucha à même le sol, mettant au monde une petite fille pas plus grande que son avant-bras. Après avoir réussi à se relever, elle enroula l’enfant dans un vieux linge aussi rouge que le sang dans lequel la petite était née. Mei venait de voir le jour au milieu du plus sale et du plus bas des mondes. Sa mère l’emmena à l’hôpital, l’abandonnant sur un banc avec pour seule explication une lettre écrite sur un papier de riche qualité.
C’était le 1 décembre 1997, il était plus de 23h et Mei était maintenant seule face à ce monde gigantesque qui n’allait pas l’épargner.

5 ans plus tard :
« Mei vient ici ! On peut savoir ce que tu as fait ? »
La petite s’approchait sans grande conviction la tête baissée avant de se prendre une raclée monumentale. Elle s’écroula de toute sa petite hauteur par terre, tremblant comme une feuille. Un homme à l’air sévère se tenait face à elle, l’insultant de tous les noms alors qu’elle n’avait fait que renverser un peu d’eau de la gamelle du chien sans le vouloir.
Mei était adoptée depuis quelques mois par une famille japonaise qui l’avait ramené ici, à Kyoto. Son père adoptif : Mr Takuma, était un chef d’entreprise reconnu pour sa patience, mais il ne l’était guère avec Mei. Il trouvait toujours une excuse pour lu en décoller une, toujours un bon prétexte pour qu’elle n’ait pas de repas, pour qu’elle ne puisse pas aller jouer dehors… Quant à sa mère adoptive, ce n’était qu’une femme « pot de fleur » : elle regardait, elle souriait, ne disait jamais un mot plus haut que celui de son cher mari et laissait toujours la belle enfant se faire tabasser jusqu’au sang. À croire que cette violence n’était qu’une façade assez magnifique pour la protéger de la violence de ce mari qu’elle n’avait pas choisi.
Mei Dokueki ! Dokueki encore et encore. Elle n’était que ça à leurs yeux, un poison qui dévorait leur piètre vie de couple pour ces deux personnes qui ne pouvaient avoir d’enfants. Elle était leur diablesse attitrée, leur bête de foire qu’ils sortaient comme pour impressionner les autres, un peu comme s’ils avaient domptés le diable en personne.

2 ans plus tard :
Mei avait changé cinq fois de famille depuis le début de sa petite vie, et elle enchaînait les retours au foyer. Personne ne voulait d’une fille aux yeux démoniaques dans son habitation. Elle était considérée comme le mal incarnée, alors que cette douce enfant ne pipait jamais mot face aux adultes. Alors elle cherchait pendant des heures à comprendre pourquoi elle avait mérité cela. Et elle pleurait encore et toujours, ne faisant pas de bruits, ayant trop peur de recevoir de nouveaux coups.
Mais maintenant qu’elle avait 7 ans, elle prenait conscience que si elle ne faisait rien, personne ne lui mènerait la vie facile ni ne l’épargnerait.
C’est ainsi que Mei devint, ou du moins pris conscience que la seule manière de rester dignement en vie allait être de pourrir celle des autres. C’est ainsi que son prénom prit une réelle signification.

3 ans plus tard :
*Le dossier entre les mains, mon sac contenant mes seules affaires en bandoulière, je courais dans les rues bondées de Tokyo, échappant tant bien que mal aux éducateurs qui me poursuivaient. Je ne pouvais plus restée cloitrée là-bas, ce n’était plus possible. Je voulais vivre !*
Mei venait de s’échapper de l’institut qui s’occupait d’elle, son dossier d’adoption dans les bras. Elle voulait savoir qui elle était. Après avoir semé les précepteurs, elle put s’installer dans une ruelle isolée pour lire son dossier. Et là, elle trouva la lettre que lui avait écrite sa véritable mère il y a plus de dix ans.

*Ma chère enfant,
Si tu lis cette lettre cela veut dire que l’on s’est occupé de toi et que l’on ne t’a pas laissé mourir là où je t’ai laissé. Ne m’en veux pas, je voudrais que tu comprennes pourquoi je ne t’ai pas gardée avec moi. Mei, puisque c’est e prénom que je voudrais que l’on te donne, tu n’es pas une enfant que j’ai désirée, tu n’es que le fruit d’une aventure avec un riche homme d’affaire qui s’est payé mes services pendant une nuit. Oui je ne suis qu’une pauvre prostituée de bas étage qui travaille dans une maison close. Je n’ai rien à t’offrir et je pense que les personnes qui t’adopteront auront bien mieux à t’offrir.
Je ne sais rien de ton père, je sais juste qu’il travaillait pour une grande entreprise de textile et que c’était un sud-coréen.
Ma fille, je suis désolé de mon acte et j’espère que tu me pardonneras.
Xia-Dan, Ta mère qui t’aimera toujours*


Mei regardait la lettre avec déception. Elle n’avait appris que peu de choses, mais au moins elle connaissait ces racines, elle savait pourquoi sa mère l’avait abandonnée, mais elle ne saurait et ne verrai certainement jamais cette femme qui l’avait mise au monde. Sa mère qu’elle avait tant imaginée, était donc une simple péripatéticienne de bas étage. Elle était le résultat du péchée, la fille qui ne devait pas être là… Assise par terre, elle regardait le ciel devenant rouge sang, c’est ainsi que la petite Mei grandit un peu plus encore, découvrant et apprenant à faire avec ce passé embarrassant, presque dégradant. Malgré tout, elle était fière de sa mère qui avait osé braver les interdits et la sauver dans la société chinoise où les filles de joie et leurs enfants étaient aussi appréciés que les coups de bâton du régime inflexible.

4 ans plus tard :
Mei du haut de ces quatorze ans devenait une femme. Toujours aussi implacable et violente, elle se battait comme un homme dans ce monde d’hommes. Elle était rentrée dans le clan très fermé des Colours, un gang de Tokyo qui faisait régné la terreur dans le quartier de Shibuya pour quiconque osait sortir des plates-bandes. Mei ne tuait pas, elle tabassait simplement.
Elle s’était fait un meilleur ami : Ji Yong, un coréen de 21 ans qu’elle considérait comme son grand-frère. Il lui avait tout appris et elle l’avait aidé à sortir de la drogue. Il s’en sortait plutôt bien, et Mei ne trainait plus dans les centres pour mineurs à adopter. Même si elle y était toujours inscrite, elle ne voulait plus de cette vie-là.
Et un soir, alors qu’elle venait de voler une magnifique robe traditionnelle coréen de couleur rouge sang, qu’elle utiliserait pour aller au temple dans une tenue correcte, elle rentrait tranquillement vers l’appartement de son grand-frère. Mais arrivant près de l’entrée, elle vit une agitation anormale. Se cachant pour observer la scène. Ji Yong était entouré de cinq hommes qui semblaient vouloir lui faire la peau. Mais alors que Mei était prête à intervenir pour le sortir de là, celui qui semblait être le chef, sortit une arme et colla une balle entre les deux yeux noirs de Ji Yong. Mei s’écroula en sanglots tandis que les hommes prirent la fuite. Elle s’approcha du corps en tremblotant, appela la police pour signaler un meurtre… Mais voilà, Mei était brisée, comme déchirée. On venait de lui enlever la seule personne qui avait jamais compté à ces yeux, le seul homme qu’elle avait dans son cœur, son frère, son ami, son confident, son seul espoir de rédemption… Elle n’était désormais plus rien.

Il y a une semaine :
« Mei, maintenant nous allons t’envoyer au pensionnat Rayen. Je pense qu’il sera préférable pour toi que tu sois tout le temps entouré de monde et comme ma femme et moi sommes souvent en voyage, tu seras plus à l’aise là-bas. »
Monsieur et Madame Gekkô étaient les nouveaux parents de Mei. De riches investisseurs, rien e bien réjouissant pour la demoiselle. Et en plus de ça, elle aller de voir aller jusqu’à Matsuyama pour étudier… Ça allait être une sacrée plaie pour elle qui détestait quitter Tokyo et qui n’aimait pas le contact humain… Enfin plutôt le contact humain pacifique.
Mais maintenant, elle n’avait plus le choix, il faudrait qu’elle se plie au règlement, et ça, elle aurait énormément de mal à le faire.
Ainsi avant de partir en direction de Matsuyama, elle partit au cimetière, ayant enfilé la robe traditionnelle qu’elle avait volé avant la mort de Ji Yong, pour y prier une dernière fois avant qu’elle ne soit obligée de partir. Elle n’oublierait jamais son grand-frère de cœur, mais maintenant, elle savait qu’une nouvelle vie, peut-être plus dure que la précédente commençait pour elle.

C'est l'heure d'enlever les masques.. !

- Surnom : Peut-être qu'une Cassiopea vous dira quelque chose xD
- Comment avez-vous trouver notre forum ? Avec le temps je ne sais même plus
- Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement :Code bon by akib



Dernière édition par Mei D. Gekkô le Mer 23 Jan - 22:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: » Mei D. Gekkô.   » Mei D. Gekkô. Icon_minitimeMer 23 Jan - 20:12

Re bienvenue ma cher.
Alors premièrement, je t'avoue que je n'ai pas pu lire toute ton histoire (j'ai une grosse flemme >.<").

Deuxièmement; ce que j'ai vu est bon donc je pourrais te valider mais je préfère attendre que l'une des admin passe donner sont avis (si pas d'avis avant se soir je te valide).

Akiba.
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MessageSujet: Re: » Mei D. Gekkô.   » Mei D. Gekkô. Icon_minitimeMer 23 Jan - 22:20

Et oui j'avoue que je me suis un peu lâchée sur l'histoire xD
En tout cas merci beaucoup de t'en être occupée si vite Aki' !!
J'ai vraiment hâte d'être validée, comme ça on pourra peut-être rp ensemble :P
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MessageSujet: Re: » Mei D. Gekkô.   » Mei D. Gekkô. Icon_minitimeJeu 24 Jan - 11:09

Bon, personne n'est venue donc je te valide.

Rebienvenue parmi nous ^^

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MessageSujet: Re: » Mei D. Gekkô.   » Mei D. Gekkô. Icon_minitime

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