Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Eisik Seikan.

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Anonymous

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MessageSujet: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeVen 18 Jan - 22:53



Alors,qui es-tu ?

- Noms & prénoms : Seikan Eisik
- Âge : 14 ans
- Nationalité : Japonaise
- Orientation sexuelle : Bisexuel

- Année scolaire ou profession : Première année
- Groupe : As Everybody
- Pourquoi ce groupe : Eisik est un jeune homme qui ne cherche pas à se démarquer des autres, bien au contraire. Il préfère se fondre dans la masse, tout aussi discret que timide, et ne se sent appartenir à aucune communauté. A vrai dire, il a même l’impression d’être à l’écart de tout. Il est comme tout le monde, et en même temps il n’en demeure pas moins un être unique.

- Personnage sur l'avatar: Suzuya Tohzuki

Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout, non?

Un sourire peut cacher énormément de choses. Il est bien souvent une apparence, une manière de se déguiser aux yeux du monde qui nous entoure et de montrer que tout va bien alors qu’au fond de soi tout est détruit. Il est une fleur posée au-devant pour cacher derrière le champ dévasté d’une guerre qui nous tue un peu plus chaque jour. Pourtant j’y crois. Je crois en ce sourire éternellement dessiné sur mon visage, car s’il peut paraître tout à coup faux, au fond de moi je refuse que la douleur ne m’assiège. Car il est tellement plus simple de se laisser s’effondrer face à une vie sans merci, il est tellement plus aisé de se plaindre sans cesse de notre condition. Mais j’ai ouvert les yeux, depuis toujours. Je sais quelle vie je mène, je sais qu’aucun membre de ma famille ne m’aime, et je sais que ma maladie peut m’être fatale à n’importe quel moment. Mais je sais aussi que chaque matin le soleil se lève. Je sais que chaque jour je vais revoir d’autres êtres qui tiennent à moi autant que je tiens à yeux. Je sais qu’à partir du moment où je poserai le pied à terre vers un nouveau jour qui me sera peut-être le dernier j’entends le chant des oiseaux qui ne cessent de gazouiller. Alors non, jamais je ne laisserai le monde et ceux qui l’occupent me détruire, car au fond ce n’est pas moi qui suit le plus à plaindre : malgré tout ce que j’endure, j’ai vu le vrai visage de la vie. Je sais combien elle peut être odieuse, mais je sais aussi combien elle sait être belle pour ceux qui acceptent un jour de le voir. Alors rien ne pourra jamais ébranler mon éternelle bonne humeur, ni mon optimisme. Je sais me battre pour ce que je désire, car lutter contre la mort et contre la tristesse fait parti de ce combat que je mène chaque jour. Alors oui, je souris, et l’on m’apprécie justement ainsi, car je ne mens jamais. Un seul sourire peut changer la journée d’une personne et se rependre de visage en visage.
Pourtant tout n’est pas qu’idyllique, je le sais bien, et si je sais offrir aux autres tout ce que je possède en moi pour les aider ou bien pour les rendre heureux, je ne suis malheureusement pas quelqu’un de véritable à l’aise. Peut-être est-ce parce que malgré tout je suis un écorché vif, peut-être est-ce parce que ma maladie me fait honte, parce que je crains que l’on ne me voit en réalité aussi fragile que je le suis. Alors cette timidité l’emporte à chaque instant, mais si l’on désire me parler jamais je ne fermerai les portes de mon âme. Sans doute est-ce pour cela que je n’ai pas de mal à me faire des amis, même si peu savent réellement ce qui se cache au fond de moi-même. Sans doute est-ce stupide de penser les choses sous cet angle, mais les seuls êtres capables de réellement me comprendre sont les animaux qui nous entourent, les seules créatures à qui je me confis réellement car je sais que jamais je ne serai jugé. Les seuls à ressentir pleinement cette inquiétude qui me poursuit chaque jour pour les êtres qui m’entourent mais qui ne se soucient à l’inverse pas de moi. Car c’est ainsi que les choses sont : je fais tout pour les autres, mais on me le rend bien peu souvent. Du moins est-ce valable pour ma famille, si l’on peut réellement la nommer ainsi. Mais qu’importe, si nul n’est capable de changer alors quel est le but de notre présence ici ? Je sais que nous avons tous ce potentiel en nous, et je crois au plus profond de mon âme qu’eux aussi changeront. Surtout toi Ace. Jamais je n’ai désespéré, et un jour tu m’en remercieras. Je suis sûr.

Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.

Comment me décrire… Pour être sincère, je ne serai pas objectif, car qui peut réellement l’être à son sujet ? Alors je ne me fis qu’à ce que l’on me raconte. D’un point de vue général, je ne suis pas franchement musclé. Le corps svelte, sans doute un peu trop fin, j’ai pourtant une excuse à ma condition : ma maladie. Depuis ma naissance mes os sont touchés par cette dégénérescence qui m’affecte. A la moindre activité physique, je prends bien plus de risques que vous ne pouvez le croire. Malheureusement plus les années passent, et plus mon squelette et mes muscles se détériorent. On appelle communément cela la « maladie des os de verre ». Un surnom plus qu’explicite, à vrai dire. Au moindre choc même infime je risque la fracture, voire pire. Mais la vie est ainsi faite, et aussi injuste que cela puisse paraître j’ai accepté de vivre ainsi, même si peu de personnes sont au courant de mon état. Toutefois la chance que j’ai pu avoir a été celle d’avoir une croissance assez bonne. Après tout, rare sont ceux qui ont atteint le mètre 75 comme moi en souffrant de cette maladie. Sans doute est-ce dû au fait qu’elle s’est aggravée progressivement et non depuis ma naissance. Enfin, passons à des choses peut-être un peu plus joyeuses. Une chose qui est assez frappante paraît-il est mon apparence en général. Elle n’a rien d’exceptionnel, quoique je plais en réalité à nombre de filles ce qui n’est pas du tout désagréable. Non, là où c’est surprenant pour les gens c’est que nul ne me donnerait l’âge que j’ai en réalité. Mes mimiques, mon corps, mon élocution… tout en moi laisse pressentir une maturité que l’on ne donne certainement pas aux adolescents de mon âge, mais bien plus aux jeunes adultes que je parais être.
Une autre chose serait sans doute la couleur de mes cheveux et de mes yeux. Châtain clair pour les uns, bleus d’azur pour les autres, je ne peux pas réellement dire d’où cela provient. Certainement a-t-on des origines occidentales dans la famille, mais pour tout dire je ne me suis jamais renseigné et m’en fiche un peu. C’est ainsi que les choses sont faites, et sans être fataliste tant de choses sont assez préoccupantes pour que je me prenne en plus la tête de savoir le comment du pourquoi sur ces banalités. Toujours parait-il néanmoins que les adolescentes ne sont pas insensibles à mon charme que ma timidité manifeste ne fait qu’accentuer. Soit. Qui pourrait sans plaindre ?
Que dire de plus… Vestimentairement parlant j’ai toujours adopté un look basique, a contrario de mon frère qui a toujours désiré affirmer son côté sombre. Pour ma part, moins j’attire l’attention et mieux je me porte. Je n’ai aucun style prédominant, si ce n’est que je ne supporte pas tout ce qui est pantalons slims et autres trucs dans le genre. Un style simple, passe partout et tout ira bien pour ma part.

Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.

« La vie est comme on la fait » disait Alphonse Allais. Certes nous subissons tous les jours les vicissitudes de notre existence qui sème sur nos chemins mille et uns obstacles qui nous paraissent tous plus infranchissables les uns que les autres. Pourtant nous les passons. Certains avec envie, d’autres avec douleur, mais nous les passons. Alors pour un résultat commun, cela ne vaudrait-il pas mieux que l’on s’efforce à vivre certes peu, mais réellement bien ? Oui, lire cela peut paraître tellement enfantin, tellement naïf et utopique… pourtant je suis de ceux qui peuvent se targuer de connaître la vie dans ses côtés les plus sombres.

Toute naissance commence par une famille, dont nul ne choisit ses membres. Je n’en ai désiré aucun, on ne m’a pas souhaité à mon tour, mais ainsi les choses sont faites. Et avec eux, le lourd fardeau d’une maladie qui me coûtera la vie bien plus rapidement que d’autres êtres. Il fut un matin où un enfant est naît, dans les bras d’une mère qui pleurait. Non pas de joie, à la différence de ce que l’on pourrait naturellement penser, mais de douleur : celle de voir le corps de cet être qu’elle a porté se tordre sous les fractures d’un accouchement qui semblait s’être bien passé. Pourtant cet enfant est si fragile. Tellement petit, comme n’importe quel autre nourrisson, mais à ceci près : qu’il est déjà littéralement brisé. C’est ainsi que j’ai vu le jour, des os brisés de part et d’autre et les allées et venues incessantes entre ce qui sera mon foyer et l’hôpital. Une ostéogenèse imparfaite, voilà comme on nomme ce dont je souffre, ou plus communément appelé la maladie des os de verre. Ca semble si simple à détecter, pourtant ce ne fut pas toujours le cas, et pour preuve : nous avions toujours eu conscience de mes fragilités squelettiques et musculaires, mais j’avais pourtant grandi normalement, avec une croissance certes des plus douloureuses, mais normale. Et lorsque notre père rentrait le soir totalement ivre et s’en prenait à nous, alors je subissais ses coups, comme mon frère. Comme ma mère. Pourtant si j’en étais toujours blessé, nous n’aurions jamais cru que cela dégénérerait. Enfin, avant de parler un peu plus de cela, prenons davantage les choses dans l’ordre.

Je vous ai parlé de ma famille, alors autant commencer par là. Un père alcoolique, une mère désintéressée et dépressive, un frère rebelle et renfermé. Voilà quel était mon entourage. Subissant leurs rejets en longueur de journée, il n’y avait peut-être qu’auprès de ma mère que je pouvais encore avoir une place. La seule à se soucier réellement de mon bien-être et de ma santé, à oser me défendre face à mon frère aîné qui me haïssait sans que je n’en comprenne jamais la cause. Peut-être sommes-nous simplement bien trop différents l’un de l’autre. Pourtant malgré tout sa dépression et les comportements violents de mon père la rendaient repliée sur elle-même, et cruellement désintéressée de tout ce qui nous entourait et touchait à nos vies. Le visage bas, ses cheveux glissants sur ses épaules pour dissimuler un visage meurtri, j’essayais chaque jour de lui apporter un peu de joie à travers mes éternels sourires. Et j’y parvenais, quelques secondes peut-être mais c’était toutefois une immense victoire à mes yeux. Celle de se dire qu’au moins quelque part j’avais une place au sein de cette famille aussi disloquée qu’un corps décomposé. Cependant si je savais sourire, jamais je n’ai pu dissimuler mes émotions. Trop sensible certainement, et c’est de loin l’un des plus lourds fardeaux que je porte parmi tant d’autres. Combien de fois ai-je pleuré lorsque notre père partait dans des colères telles qu’il en devenait fou et s’acharnait sur nous ? Combien de fois ai-je pleuré lorsqu’Ace me répétait en longueur de temps combien il me haïssait profondément ? Pourtant j’avais tout essayé avec lui, oui… mais peut-être n’était-ce jamais suffisant. Mais si je n’ai jamais perdu espoir à son sujet, il fut un jour où sa vie bascula à tel point que je doutais de pouvoir réellement pouvoir être là pour lui. Je devrais cesser de m’acharner à ce point me direz-vous, mais il est mon frère, et je sais qu’au fond de lui il est loin d’être aussi sombre qu’il prétend l’être. Qui dans ce monde a déjà réellement montré son vrai visage ? Personne, et encore moins lorsque l’on est dans un tel état de détresse que celui dans lequel il se trouve. Alors j’ai essayé d’être là lorsqu’il a perdu Sarah, mais en vain. J’ai essayé de l’aider, de lui parler, mais rien n’y faisait. Plus je faisais un pas, et plus il me rejetait, jusqu’au jour où il fugua définitivement de chez nous. La dernière fois que je le vis fus donc lors de mes huit ans. Ce que je savais de lui était bref, et si j’avais eu connaissance de son refuge, je perdis bien rapidement sa trace. Trace que j’étais d’ailleurs le seul à chercher. Notre père n’avait ressenti que plus de colère envers lui, tandis que ma mère finissait de se terrer dans son mal-être et la perte d’un fils pour lequel elle avait également abandonné tout espoir. Sauf moi. Alors je fis des recherches, encore et encore, mais en vain.

Le temps passa, et je ne pouvais que subir les frais de cet acharnement quotidien que mon géniteur m’infligeait, jusqu’à ce jour. Celui où, après une simple claque tonitruante, je tombais à même le sol dans un craquement morbide. Me réveillant à l’hôpital, ce fut après une batterie de test que l’on découvert réellement quelle était ma maladie : celle des os de verre. Aujourd’hui, j’ai conscience que ma vie est en danger alors que mon état se dégrade lentement. Je sais que je ne vivrais jamais comme un autre, que je ne pourrais jamais avoir une vie faite de divertissements sans doutes un peu brusques, de sport et j’en passe, mais j’ai appris à vivre ainsi. Comment ? Sans doute parce qu’au fond il n’a jamais été dans mon tempérament de baisser les bras, mais pas que. Tout ce que je refusais, c’était de devenir comme Ace et comme tout le reste de ma famille qui a lâchement abandonné toute volonté de se battre. Je ne dis pas que leur souffrance est inexistante, bien au contraire, mais je sais que si la mienne me terrasse un peu plus chaque jour j’ai réussi à la combattre. Toutes ces faiblesses, tous ces maux, toutes ces souffrances aujourd’hui sont à mes yeux devenues une force. Une force dont je voudrais me servir pour montrer aux autres que l’on peut avancer sans crainte et en acceptant la souffrance sans la laisser nous détruire. Mais qui plus que mon frère mérite déjà à mes yeux que je me dévoue autant ? Nombre de personnes auraient déjà abandonnée l’idée, mais jamais je n’ai pu m’y résoudre.

Passant les six années suivantes de ma vie à venir et revenir à l’hôpital après de multiples fractures et autres, il ne se passait pas un jour sans que je ne pense pas lui, sans que je ne me demande ce qu’il est devenu. Jusqu’au jour où j’ai enfin pu retrouver sa trace. Je ne saurai dire combien de jours, de semaines et de mois d’acharnement j’y ai passé, mais je savais avec exactitude où il se trouvait dorénavant : le pensionnat Rayen. Pourtant la décision de le rejoindre ne s’est pas faite en un jour, bien au contraire. Je savais combien il ne voulait pas de moi, j’en avais pertinemment conscience, jusqu’au jour où je n’eus toutefois pas le choix que celui de quitter mon foyer lorsque les services sociaux débarquèrent. Me retirant de la garde de mes parents, je n’avais plus que deux possibilités : être recueillis en famille d’accueil… ou bien le rejoindre. Aussitôt, mon choix fut fait, même si je sais que j’en payerai très certainement le prix.

Aujourd’hui, je suis en marche vers ce fameux pensionnat de Rayen. Le cœur battant sous le coup de l’appréhension, je me demande sans cesse s’il a changé. Question pourtant évidente, bien sûr que oui… Me reconnaîtra-t-il ? Sans doute, même si j’ai énormément changer. Cependant une chose est sûre : la vie m’a forgée, je ne suis plus ce gamin de huit ans voire moins qu’il a connu. Je ne suis plus ce frère innocent qui lui courait après pour voir son chat ronronner dans un coin ou jouer à je ne sais quel jeu. Non, maintenant les choses vont changer temps que j’en ai encore le temps. Qui sait si demain je serai encore ici, et s’il ne sait rien de ma maladie alors qu’importe. Il n’a pas besoin de la connaître, mais seulement de savoir une chose : perdre Sarah a été atroce. Mais le jour où il se rendra compte que d’autres qu’elle l’ont aimé et sont disparu, alors il s’en rongera les doigts.

Tu changeras Ace. Un jour tu seras heureux et non pas grâce à moi car je ne t’aurais fait qu’ouvrir les yeux, mais parce que toute cette énergie que tu auras utilisé pour te détruire pendant toutes ces années changera enfin de direction pour devenir cette force qui te poussera à lutter contre toi-même et à t’en sortir. J’en suis certain, je n’ai jamais désespéré…

C'est l'heure d'enlever les masques.. !

- Surnom : Rin, au hasard (ou pas).
- Comment avez-vous trouver notre forum ? Depuis le temps que j’y suis, je ne m’en souviens même plus.
- Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement : By B-Rabbit. ♪



Dernière édition par Eisik Seikan le Dim 20 Jan - 4:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeVen 18 Jan - 23:31

Code validé. o/

Tu as deux semaines pour terminer ta fiche. N'oublies pas d'activer ta fiche personnage dans ton profil. \o/

Good luck.
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeSam 19 Jan - 2:27

Merci bien.
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Ace Seikan

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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeSam 19 Jan - 3:00

Bienvenu à toi, petit frère! :)
|Enfin un petit frère! Continue comme ça, j'aime beaucoup ta fiche et je n'ai rien d'autre à y dire. Je n'attend plus que ton histoire. :)|
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeDim 20 Jan - 4:11

Je te remercie big brother.
Voilà donc qui est terminé, en espérant que cela vous conviendra à tous
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeDim 20 Jan - 7:32

Pour ma part, je trouve que tu rends bien le personnage d'Eisik que j'avais en tête.
|J'aime beaucoup ce que tu en as fait et j'ai hâte que tu sois validé pour pouvoir Rp avec toi. J'ai tellement d'idées! :)|
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitimeDim 20 Jan - 8:12

Belle fiche. o_o

Mais c'est triste, arrête d'écrire tu vas me faire chialer *hug Eisik.* qwq //PAN//

Validé, bon jeu. \o/
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MessageSujet: Re: » Eisik Seikan.   » Eisik Seikan. Icon_minitime

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