La vie pourrait être comparable à un cauchemar sans fin. Me réveiller serait la meilleur façon de sortir de tout cela. Cependant, je parviendrai à me sortir de ce délire que lorsque mon heure arrivera. Aussi surprenant que cela puisse paraître, je ne tiens pas à quitter ce monde tout de suite. C'est pourquoi je supporte mon cauchemar que l'on pourrait qualifier d'assez sanglant. Il pourrait rendre n'importe quel individu normal totalement fou. Peut-être le suis-je? Je n'en ai pas la moindre idée. En tout cas, je ne suis pas ici pour vous parlez de ma vision sur la vie. Passons désormais aux choses sérieuses en essayant de sourire tout en entammant un chant mélancolique. Mais qu'est-ce que je raconte là, moi? Ah et puis tant pis! Reconcentrons nous sur ce qui m'a mené où j'en suis maintenant.


Je suis né durant une froide journée d'automne aux États-Unis. Un 23 novembre plus précisément. Je ne sais pas à quelle heure exactement, mais on s'en fiche. Très jeune, j'ai perdu ma mère. Je devais être âgé de deux années de vie à l'époque, donc je n'ai plus vraiment de souvenirs d'elle. Comment un petit bébé fait-il pour perdre sa maman à ce si bas âge? Laissez moi vous mettre en contexte. Mes parents faisaient partis d'une secte qui se cachait au fond d'une forêt. Les individus en faisant partis était obligatoirement confinés au fin fond d'une forêt. Deux seules personnes avait le prévilège de sortir et d'aller en ville, chercher des trucs à manger et tout le tralala. Évidemment, c'est le ''gourou'' qui y avait le droit. C'était lui qui était la tête de la Secte, donc il est normal qu'il ait droit de faire cela. L'autre qui avait droit de partir en ville était son frère. Lorsque le Chef quittait les lieux. C'était son frère qui était chargé de veiller à ce que personne ne s'enfuit. Ils étaient dans une forêt après tout. donc il aurait été trop faciles pour eux de s'enfuir si personne ne les surveillait durant l'absence du Chef. De plus, une énorme clôture entouraient le quatier de la secte. Si jamais qui que ce soit essayait de s'enfuir, le ''gourou'' menaçait de tuer ceux qui osaient défier son autorité. Par contre, la plus part se trouvaient là par choix et non par obligation, les idiots. Déjà que la conception du coin où la secte se trouvait faisant en sorte que s'échapper était beaucoup plus difficile. Les gens vivaient dans des maisons faites de bois et on pourrait dire qu'ils vivaient un peu comme les Amishs. Bien sûr, cette secte ne traitait pas le même choses que les Amishs. Loin de là. Oui, les membres vivaient dans un trou au fin fond d'une forêt. Avoir de l'argent devait être une chose difficle, non? Et bien, le Chef avait ordonner à ce ses fidèles fassent de l'agriculture pour que lui peuve vendre ces produits au Super Marché en ville. C'est ainsi qu'ils arrivaient à faire de l'argent. Et les chasseurs ou les gens indiscrets qui passent par là? Le Chef et son frère chassaient, ce qui produisait la ration de viande. Ils finiraient bien par voir l'emplacement de la secte, non? Et bien la s.ponse était non. Il était très rare de voir qui que ce soit se promener ici. Ce coin de forêt appartenait au ''gourou''. Il l'avait acheté et il avait installés des écriteaux au limites de son bout de terre sur lesquels on pouvait lire: PROPRIÉTÉ PRIVÉE. Donc personne n'osait aller là. Me voilà enfin rendu à vous élaborer le pourquoi de cette secte. Ce qu'elle avait de si spécial. Et bien, le Chef faisait croire qu'un représentant de Satan était venu lui parler. Frachement là, on voit qu'il ne voyait pas clair ce gars. Je crois que ses doses de drogues étaient vachement fortes. Je soupsonnait le mush de lui avoir donner cette hallucination. Enfin bref, il racontait à qui voulait l'entendre que ce représentant lui avait parler au nom du Seigneur des Ténèbres et qu'il disait que s'y ne réunissait pas assez de gens pour lui faire honneur qu'il provoquerait l'Apocalypse. C'est pourquoi, les pratiques de la secte étaient, comment dire... Pas très conventionnelles et aussi très sanglantes. Faire mal aux autres êtres vivants étaient ce qui prônait le plus. Je sais, ça n'avait pas de sens de croire que un tel fou. Cependant, certains sont plus naïfs que d'autres et se joignaient à lui. L'Apocalypse les terrorisaient. Mais une fois que l'on rejoignait ses rangs, oin devait obligatoirement tout laisser tomber derrière nous, parents et amis. À moins que eux aussi se joignent à la secte. C'était le prix à payer. Il fallait vraiment être de pauvres imbéciles pour aller faire ça, mais que voulez-vous... Il faut toutes sortes de personnes pour former un monde. Un truc que cette condition avait comme avantage pour le Chef, était que si jamais il tuait l'un des membres ou que quelqu'un mourrait, personne de ses propres ne le savait, puisqu'ils avaient totalement coupés tout contact avec eux. Les membres devenaient des gens portés disparus. La police n'arrivait pas à les retrouvés, puisqu'ils étaient très bien cachés et que les autorités n'avaient pas vraiment d'indices pour les retrouver.


Maintenant que vous comprenez mieux, je vais vous expliquer comment j'ai bien pu perdre ma mère. Je vais vous raconter ce récit avec ce que l'on m'a décrit concernant cette histoire au moment où j'ai voulu en savoir plus sur ma mère et sur sa mort. Comme raconter plus haut, mes parents faisaient partis de cette foutue secte. C'est d'ailleurs là qu'ils se sont rencontrés et qu'ils sont tombés amoureux. Une année plus tard et je suis arrivé dans le décor. J'ai donc grandit en ces lieux. Enfin bref, mes parents s'occupaient de moi et le Chef se mêlait parfois de mon éducation. Lorsque j'avais atteint deux ans, ma mère avait eu une prise de conscience. Enfait cela devait faire quelques mois qu'elle y pensait, mais elle n'avait jamais vraiment mis l'idée qu'elle avait en tête à exécution. Elle voulait partir avec mon père et moi. Ce n'était pas un bon endroit pour éléver un enfant. Elle le voyait bien. Il fallait bien qu'elle ai un enfant pour réaliser tout ça. Comme quoi le fait de devenir parent peut changer une personne. En tout cas, elle en avait parler à mon père. Ce dernier racontait qu'il y avait tout ce dont on avait besoin ici. Que notre place était parmis la secte et que j'allais devenir un bon membre de la secte, comme eux. Peut-être même meilleur.

Ma mère n'y croyait pas. Évidemment. Ils s'étaient disputés cette soirée là. C'en était désormais trop. Mon père devenait de plus en plus différent de l'homme dont ma mère était tombé amoureuse. À moins que ce soit l'inverse. C'était elle au final qui changeait. Elle prenait graduellement conscience de ce qui se passait en ces lieux maudits ou utiliser des matériaux de boucherie sur des humains étaient considérés comme quelque chose de normal. Un vrai monde à l'envers. Elle s'était finalement décidé. Elle allait partir tard la nuit avec moi alors que tout le monde dormiraient. C'était le plan parfait afin de mener une vie meilleure avec moi. Loin de toutes ces atrocités. Le grand soir arriva finalement. C'était le moment où jamais. Elle était sortit en silence de la maison et s'est dirigé dans la maison du Chef. Il lui fallait bien la clé servant à ouvrir les clôtures. Elle aurait pu grimper si elle ne m'avait pas dans les bras. Comme toute bonne mère, elle ne tenait pas à laisser son enfant ici. Elle s'était mise à la recherche de cette clé. Elle l'avait bien finit par la trouver. L'objet qu'elle coivoitait se retrouvait au bout d'une ficelle autour du cou du Chef. Celui-ci dormait profondément. C'était risqué d'aller la chercher là, mais elle était décider à le faire. Elle était allé chercher des ciseaux en me gardant dans ses bras. Elle était retourné dans la chambre et avait coupé la ficelle. Comme tout était trop beau pour être vrai, le ''gourou'' s'était réveillé en sursaut.

- QU'EST-CE QUE TU FOUS LÀ, TOI?! Avait-il hurler, fou de rage.

Alarmée ma mère avait tourné les talons en serrant la clé dans sa main. Elle avait foncé en courant à s'extérieur. Elle fillait droit vers les grandes clôtures en me tenant dans ses bras. Le Chef la suivait en hurlant et brandissant un couteau. Les autres membres de la secte qui dormaient à cette heure s'étaient tous réveillés et se trouvaient à l'extérieur, assistant au spectacle qui s'offrait à eux. À ce qu'on m'a raconté, ma mère était presque rendu aux clôtures au moment où le drame survint. Son poursuivant venait de la rattraper et l'avait immobiliser en la saisissant par les épaules. Elle était donc tombé en position assise et le Chef lui avait tranché la jugulaire à l'aide de son couteau. Il m'avait ensuite enlevé des mains de ma mère et me posa dans les mains de mon père qui approchait de nous. Le ''gourou'' se tourna ensuite vers la femme qui m'avait donné la vie. Il lui arracha un peu de son chandail et lui bâllionna la bouche. Comme ça, il était certain que ses cris ne résonneraient pas à des kilomètres à la ronde. C'est alors qu'il la poignarda jusqu'àce que mort s'en suive. L'assassinat de ma mère venait de prouver que la menace que le Chef avait déclarer si jamais quelqu'un tentait de s'enfuir était bien réelle. Ma mère servait d'exemple. Tout les autres savaient que si ils essayaient de partir, c'était la mort qui les attendaient. Ils le savaient. La peur commençait à les envahir graduellement. Mon père quant à lui avait observer la scène sans bronché. La perte de ma mère devait lui fendre le coeur, mais il ne pouvait le démontrer. Pas devant tout le monde. De quoi aurait-il l'air? D'un faible.


Les années passèrent et je fus élevé par mon père et quelques uns des autres membres de la secte. Les autres gamins de mon âge et moi, furent instruits par un de membres. Il se nommait Robert. Il devait avoir pas loin d'une quarantaine d'année. Avant de se retrouver ici, il était un enseignant et il nous apprenait tout ce qu'il savait. Il arrait même qu'il nous parle qu'il y avait autre de l'autre côté de ces clôtures et de cette forêt qui nous entourent. Il ne fallait pas répéter ce que Robert nous racontait par rapport à cela, sinon il se ferait tuer et nous pourrions dire adieu à l'éducation. Chose que nous ne voulions pas. J'aimais l'écouté parler de ce qu'il s'avait en ce qui concernait le monde qui se trouvait hors de nos barrières. Je m'imaginais comment la vie pouvait être dans cet endroit. Et si les gens faisaient la même choses que nous. Ces choses qui semblaient naturelles pour nous, mais qui faisait si souffrir les autres et les animaux. Je n'aimais pas particulièrement entendre des cris d'agonies. Cependant, je n'avais pas le choix d'endurer. Sinon, je risquais de me fait massacrer. Je devais être mentalement déficient. Les autres semblaient aimer ça, alors que moi... C'était autre chose. Jouer dans du sang par contre ne me dérangeait guère. En parlant de sang... Cela me fait penser à un souvenir ancré dans ma mémoire que je garde enfuit au fond de mon esprit. Il lui arrive de refaire surface, mais j'essais quelque fois de le faire taire.



Une journée, alors que j'avais atteint l'âge de 9 ans, Robert avait aborder un sujet qui nous avait emmené à parler de notre famille. Tout les autres gamins avait une mère, pas moi. Je n'arrivait pas à comprendre. On ne m'avait jamais raconté ce qui était arrivé à ma mère. S'était-elle enfuit en me laissant ici? M'étais-je demandé. Ce même soir, j'étais chez moi avec mon père. C'était était le jour du Sang. On fêtait le liquide qui coulait dans nos veines. Un truc vachement con quand j'y repense maintenant. Enfin bref, en cette journée, on récoltait le sang des animaux que nous chassions et certains membres que les adultes jugeaient d'inutile pour le bien-être du Clan étaient exécutés et on récoltait leur sang. Mais pour quoi entreposer du sang en si grande quantité? Pour prendre un bain dans ce liquide tout simplement. Pour revenir à mon souvenir, je me retrouvais dans notre baignoire pleine de sang et mon père se trouvait près de moi. Il m'aidait à me ''purifier'' dans ce liquide rouge et tâchant. Mes interrogations par rapport à ma mère ne cessaient d'hanter mon esprit. J'ai posé mon regard rouge sang sur celui qui m'avait principalement élevé, une question brûlant mes lèvres. J'ai hésité quelques minutes avant de me lancer.

- Papa... Où est maman?

- Elle est partit, Seth.

- Partit où?

- Ce n'est pas de tes affaires.

- Mais s'il te plait! Je veux savoir! C'est de ma maman qu'on parle!

- Ça ne te sers à rien de le savoir.

- Mais oui! Si je sais où elle est partit, je vais aller la chercher et l'emmener ici avec moi!

Mon père avait poussé un profond soupire et un voile de frustration se glissait sur son visage.

- Cesse de dire des bétises, Seth!

Il avait posé sa main sur ma tête et serré mes cheveux. C'est à ce moment qu'il enfonça ma tête dans le sang. J'étais complètement submergé. Je ne savais pas si vous savez, mais ce liquide ne produit pas le même effet que de l'eau sur les yeux. Ça chauffe incroyablement. J'ai beau les avoir fermés, la sensation de brûlure demeurait bien présente. J'ai essayé de me débattre, mais mon père me retenait fermemant dans la baignoire. Je sentais le sang imbiber chaque partie de ma peau et pénétrer dans mon nez et ma bouche. J'avais fait de gros efforts pour ne pas l'avaler. Je n'avait pas la moindre idée pourquoi mon père avait agit comme ça. Peut-être pour me punir d'avoir aborder ce sujet. Je me sentais suffoquer et ce fut le néant par la suite. Lorsque j'ai ouvert les yeux de nouveau quelques minutes plus tard, j'étais étendu dans mon lit, du sang sécher tout le long de mon corps. Cela avait été dur à laver. Une chance que la vue du sang ne me dérangeait pas trop... Ce n'est que plusieurs mois plus tard que mon père m'avait raconté tout l'histoire concernant ma mère.



Trois années passèrent après l'événement de la baignoire pleine de sang. J'étais maintenant âgé de douze ans. Un autre moment assez marquant et important dans ma vie était survenu cette année là. C'était encore la journée de la fête du sang. Il se passe toujours des tas trucs terrible cette journée là. En tout cas, je marchais dehors en observant les préparatifs du la fête. Les inutiles venaient d'être exécutés. C'est alors que James, le frère du Chef se dressa devant moi. J'ai levé mon regard vers lui en me demandant ce qu'il pouvait bien me vouloir celui là.

- Johnny a décider que tu serais une pièce d'honneur durant la fête du sang de cette année. Avait-il annoncé.

Pour ceux que ne savaient pas, Johnny était le nom du chef.

- Qu'est-ce qu'il faut que je fasse?

- Tu le sauras bien assez tôt, petit.

Une heure plus tard et je me retrouvais debout beau milieu du cercle que les autres formaient autour de moi. Ils étaient tous là, assis par terre en m'entourant. J'ai porté mon attention sur mon père et il fit comme si de rien n'était. Je n'avais pas la moindre idée de ce qui allait se passé. C'est alors que Johnny était venu derrière moi et m'avait forcé à m'asseoir par terre. Ce dernier s'était assis en tailleur derrière moi et m'avait saisit les cheveux et tirés vers lui, ce qui a eu pour effet que ma tête s'était retrouvée sur son torse. J'ai levé mes yeux vers lui, en regrettant le pire.

- Tu as les yeux de la couleur du sang, Seth. Avait-il marmonné. Une telle offrande ne pouvait pas être mieux pour la fête du sang!

Je ne comprenais pas vraiment où il voulait en venir. Je n'étais pas certain de vouloir saisir d'ailleurs. Il avait pris un couteau qui gisait sous le sol, pas très loin de nous. Il avait logé la lame au dessus de mon oeil gauche. C'est alors que je compris. Il voulait m'arraché les yeux pour leur couleur si comune. Leur teinte rouge semblait être précieuse pour lui. C'était carrément surfait. J'allais me faire arraché, peut-être même crevé les prunelles pour un con. Je tenais à rester en état de voir. Devenir aveugle m'aurait été insupportable. Je me suis mis à me débattre comme un fou. Ce qui fut une bonne et une mauvaise idée à la fois. Le fait que j'essais de m'échapper eu pour effet que la lâme s'enfonça dans la chaire de mon visage. Au final, j'avait une longue marque qui partait un peu plus haut que mon sourcil gauche, qui descendait le long de ma joue et qui prenait fin à ma mâchoire. J'ai hurler de douleur en me débattant davantage. Ceux qui nous entouraient ne faisaient rien. C'était entre Johnny et moi que cela se passait. Ils n'avaient pas à intervenir. C'est alors que j'ai donné des coups de coups de coudes au Chef et un coup de poing sur le nez, le faisant saigner. Il me lâcha aussitôt et j'en ai profité pour me levé et lui arracher la ficelle qui maintenait la clé autour de son cou. J'allais partir d'ici et aller découvrir le monde que Robert nous avait parlé. Du sang coulait le long de mon visage et se répendant sur mes vêtements. Il commencait à obstroyer la vision de mon oeil gauche. Je me suis mis à courir, en bousculant ceux qui me barraient la route afin de sortir du cercle. Je ne jettais pas un regard derrière moi. Cela aurait été beaucoup trop risqué. Je me doutais bien que Johnny et James me poursuivrait. C'était tout à fait prévoyable. Des cris retentissaient dans mons dos. Je continuais mon chemin vers les clotûres, à l'endroit où l'énorme cadenas empêchait les portes de s'ouffrir. Je filait jusqu'à en perdre haleine, mais je ne pouvais m'arrêter maintenant. J'y était presque. Je sentais encore le sang dégouliner le long de mon visage. La douleur cependant était moins douloureuse qu'elle aurait du. C'est ce qu'on appelle les biens fait de l'Adrénaline. Il ne me restait que quelque mètre à franchir au moment où quelque chose s'était enfoncé dans mon épaule, m'arrachant une plainte. C'était propablement James ou Johnny qui voulait me retenir et m'empêcher de sortir. Je ne pouvait regarder ce que j'avais dans l'épaule. J'aurais le réflexe d'arrêter et même pire. De me stopper. Si j'arrêtais, je me ferais massacrer, c'était certain. J'allais finir comme ma mère et ce n'était pas du tout comme cela que je comptais terminer mon séjour sur terre. Le seul moment où j'avais mis fin ;a course fut lorsque j'arrivais face au cadenas. Mes mains étaient tremblantes et j'avais un peu de mal à insérer la clé à l'endroit prévu. Je ne savais pas quelle distance j'avais davance sur les autres. Mon coeur battait à tout rompre. J'ai entammer la deuxième tentative et je réussis. Je sortis hors de cette endroit de malheur où j'avais grandit. Je fermermai la porte et scellai le cadenas. La clé fut enfouit dans la poche de mon pantalon. Johnny, James et les autres se pressèrent devant la clôture.

- TU VAS NOUS LE PAYER ESPÈCE DE FILS DE PUTE!!! S'époumonait le Chef.

Un sourire s'était formé sur mes lèvres à ce moment.

- Amusez-vous bien! Rétorquais-je sur un ton qui se voulait arroguant.

Je me suis retourné et j'ai marché dans la forêt à la recherche de la lisière des arbres. J'ai finalement regarder mon épaule. La pointe d'un couteau y était enfoncé. Il me l'avait lancé dessus le pauvre con! La douleur était insupportable, mais la persepective de foutre le camp d'ici en valait la peine. C'était ce qui me motivait à continuer d'avancer.



Cela me pris plusieurs heures je crois à marcher jusqu'à la lisière de la forêt. J'aurais aimé me trouver dans un autre état physique afin d'aprécier cette liberté. La forêt était si belle que sa beauté émerveillait mon coeur d'enfant. Cependant, ma tête me faisait atrocement souffrir et une étourdissement s'emparait graduellement de moi. Je ne pouvais pas abandonner maintenant. Pas après tout ce que j'avais fais jusqu'à maintenant. J'ai alors débouché sur une route et nous étions en plein soir. Mon regard se porta sur l'asphalte. Je ne savais pas ce que c'était à l'époque, mais bon, passons ce détail. Je me suis laissé tombé à genoux. Mes jambes avaient du mal à me supporter. Mon étourdissement restait bien présent. C'en était insupportable. C'est alors débouché sur une route et nous étions en plein soir. Mon regard se porta sur l'asphalte. Je ne savais pas ce que c'était à l'époque, mais bon, passons ce détail. C'est alors qu'une voiture passa sur cette route bordée d'arbre où je me trouvait. Les occupants de ce tas de ferrailes avaient du m'appercevoir, car ils avaient stoppés la voiture. Quoi que... Avec la gueule que j'avais, je ne devais pas être difficile à manquer. Il s'était précipités vers moi et m'avaient emmenés dans un hôpital. Robert nous avait racontés ce que cela était, mais j'allais en voir un pour la première fois. Par contre, durant le voyage en voiture, je m'étais effondré.



Lorsque j'avais repris conscience, j'avais une gros bandage sur le côté gauche de mon visage et un autre à l'épaule. J'avais mal partout. Cependant, j'étais en vie. C'était le point positif que j'avais trouver à ma situation. Ah et un deuxième s'ajoute à la liste. J'avais enfin quitté la foutue secte. Mon estomac se noua à cette pensée. Et s'ils venaient à me trouver? J'allais mourir sous leurs mains c'était indéniable. J'avais peur. Pour la première fois depuis que j'étais partis, je commençait à regretter mon geste. Je suis resté à l'hopitâl durant de nombreux jours. Je n'avais plus vraiment la notion du temps. On était venu me voir et m'avait demander ce qui m'était arrivé. Où était mes parents. Au bout de quelques temps, j'ai finit par céder et je leur répondait faiblement la vérité. J'aimais parlé à de nouvelles personnes et de voir de nouveaux visages. Enfin bref, c'est alors qu'on avait alerté la police et qu'elle avait s'était rendue dans la fameuse forêt où j'ai grandit. Johnny et James avaient été jugés et envoyé en prison. Quelques autres membres les avaient suivis en taule, mon père entre autre. Les autres étaient jugés non-coupables, ayant agis sous l'influence de Johnny. Ils avaient donc subit une thérapie avant d'être rapportés à leur famille. Tout est bien qui finit bien! Ou presque. En fait, il ne restait que moi. On m'avait fait suivre une thérapie afin de m'aider à surmonter ce que j'avais pu vivre et à m'aider à intégrer la société. J'avais été placé un centre. On ne pouvait pas me lâcher dehors avec toutes ces habitudes que j'avais prises depuis mon enfance. J'aurais pu me mettre à couper quelqu'un pour le plaisir de le couper. Ce qui était vraiment imbécile. J'avais beau avoir protesté et les supplier et que je ne ferais pas ça, on y a pas cru. C'est pour j'ai passé près de deux années dans ce centre. On s'occupait de m'instruire également durant mon séjour. J'ai pu m'en aller lorsqu'ils étaient certain que tout allait bien aller pour moi, mais aussi pour les autres individus. Par contre, il y avait un problème important... Je n'avais pas vraiment de logis et localiser une endroit où je pourrais vivre ne fut pas une chose facile. On avait commencer par me rechercher de la famille au États-Unis. On trouva mes parents, mais ces derniers refusèrent de me prendre, car ils croyaient que j'étais aussi détraqué que mes propres parents. Ce que j'ai trouvé très pathétique de leur part. Plusieurs autres essais furent tenter sans obtenir de succès. On était sur le point d'envoyer en famille d'acceuil au moment l'on trouva de ma famille dans le New Jersey. Après lui avoir expliquer toute la situation par téléphone, il accepta de m'acceuillir chez lui. Mon oncle était marié avec une nippone et ils n'avaient pas d'enfants. Ils m'avaient fait visiter la maison et je m'y plaisait assez bien. Je voyais ce qu'était réellement la vraie vie et j'adorais ça. Je me plaisais beaucoup avec eux. Cependant, 6 mois plus tard, un autre changement survenant dans ma vie. État un homme d'affaire, mon oncle venait d'avoir une offre d'emploi au Japon, le pays natal de sa femme. Il accepta l'offre, évidemment. Bien entendus, ils allaient m'emmener avec eux. Les choses s'étaient déroulés si rapidement. Me voilà qui partait dans un autre pays.



Une fois là-bas, je m'y plaisais déjà. Mon oncle et ma tante me laissaient plutôt libres. La liberté était une chose que j'adorais considérablement. Je m'étais fais quelques amis et avec le temps passé aux pays des nippons, j'avais finit par comprendre la langue et à la parler au bout de quelques années. J'étais maintenant devenu bilingue. L'anglais et le japonais étaient deux langues. Mon oncle et sa femme m'avait fait inscrire dans un pensionnat appellé Rayen. Je m'étais bien intégrer au japon. Par contre, avec les amis que je m'étais fait, il m'arrivait de faire des tas de conneries... Comme par exemple, il nous arrivait quelques fois d'aller faire de nombreux graffitis très tard le soir. Quelque fois d'autres actes de vendalisme survenaient. Ce que la liberté pouvait être agréable!



En parlant des connaissances que j'avais fait, une était assez importante. J'avais été faire un tour chez mon oncle et une famille était en train de déménager dans la maison voisine. En les regardant, je comptais deux filles et leur parents surement. L'une des deux filles avait un look qui sortait de l'ordinaire et j'adorais ça. J'ai toujours été du genre à aimer ce qui sort de l'ordinaire et on s'entend que ce n'est pas tout le monde qui s'habille de façon gothique. Enfin bref, j'étais aller lui adresser la parole. En japonais. Elle n'avait pas l'air de bien me comprendre je dois dire. C'est alors que son père s'était adressé à moi et m'avait expliqué qu'elle ne parlait pas le japonais. J'ai reporté par la suite mon regard vers elle et je lui ai parlé en anglais cette fois. Elle avait saisit ce que je venais de lui dire. Au cours des minutes suivantes nous avions parler un peu et je l'avais aider à monter ses boîtes. Au fils du temps, je venais lui rendre visite les fins de semaines, puisque la plus part du temps, je me trouvait au pensionnat. Je l'aidais même à apprendre le japonais. Nous nous parlions également en réseau. Bref, une amitié commençait sans doute à se former. Je me sentais bien au Japon, il faut avouer. Beaucoup mieux que dans mon ancien chez moi. [/list]

(Oui, je sais. La fin de l'histoire est pratiquement pareille à la fin de celle d'Ayame Nakamura, mais c'est justement ça qui avait été convenu. Nous nous en étions parlés afin que nos personnages se soient rencontrés avant qu'elle arrive au pensionnat, c'est ce qui donne cette ressemblance! )