Ulrich Kirschten
Messages : 78 Age du perso : 18 ans ♥ Côté coeur : Lulu Dixapel's mine
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3° année ♣ Colocataires: Ariale A.Omiko, Dylan Person ♣ Relations: | Sujet: » Ulrich Kirschten. Mar 13 Mar - 14:33 | |
| Alors,qui es-tu ?- Noms & prénoms : Ulrich Kirschten, alias U-Crow - Âge : 18 ans - Nationalité : Japonaise - Orientation sexuelle : Hétéro - Année scolaire ou profession : Troisième année - Groupe : Vocal Adrenalin - Pourquoi ce groupe : Parce qu'Ulrich a commencé à vivre avec la musique et passe ses nuits à jouer de la guitare. - Personnage sur l'avatar: Si quelqu'un le sait Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout,
non?Ulrich ne collectionne pas les problèmes mentaux, il collectionne les problèmes tout court. Dans l'ordre : fasciné par les armes, pourchassé par des gangs, talent exceptionnel à s'attirer des ennuis... Sa fascination malsaine pour les armes blanches n'aide pas vraiment non plus, et comme il sait qu'il peut rapidement devenir dangereux pour les autres, il les a rangées sous clefs dans une vitrine renforcée, et a donné les clefs à son camarade de chambre en lui faisant promettre de ne jamais le laisser ouvrir. Tant qu'il peut admirer sa collection, il se fiche de pouvoir s'en servir. Il ne garde sur lui qu'un couteau à cran d'arrêt qui est son unique moyen de défense. Il doit être assez agaçant de manière générale, parce que sa maladresse le fait souvent s'attirer des ennuis, comme son comportement. Il a déjà de nombreux ennemis alors qu'il est arrivé depuis quelques mois à peine et sait très bien que ce n'est pas prêt de s'arrêter. Il se mêle souvent de ce qui ne le regarde pas, et se retrouve un peu trop fréquemment au mauvais endroit au mauvais moment. En dehors de ce genre de problème, Ulrich s'efforce de ne pas se faire remarquer... Sauf que c'est peine perdue. Il est assez maladroit, ses insomnies constantes dues au manque de sommeil le déconnectent totalement de la réalité. Il n'a pas spécialement conscience du monde qui l'entoure et se fond de plus en plus dans un comportement asocial. Ancien droguée, il s'est débarrassé de son addiction en se replongeant corps et âmes dans la musique qui l'a séparée de son orphelinat. Depuis, il profite de ses insomnies pour jouer de la guitare dans une salle isolée, ou directement à l'extérieur. Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune
premier.Ulrich est un jeune homme au teint pâle, perdu dans un autre monde. Inutile d'espérer lui arracher un sourire ou un semblant d'émotion humaine affichée. Mais son visage n'est pas froid, parce qu'Ulrich n'a globalement pas l'air méchant, juste paumé. D'origine, ses yeux sont d'un bleu proche du gris, mais il en avait tellement marre des commentaires sur les veines qui ressortaient qu'il a fini par porter des lentilles rouges. L'expression "t'as les yeux vachement rouges" perdant tout son sens, plus personne ne le lui a jamais dit. Ou comment avoir simplement la paix. De faible constitution, il n'a jamais eu spécialement de force, et son allure maigrelette associée à sa grande taille n'a pas aidée à changer cette image de faiblesse. Il est l'exemple même de la personne chétive qui a renoncé à changer, et compense plutôt bien son absence de force brute, indifférent aux côtes apparentes qui ressortent parfois quand il a vraiment faim. Il a gardé les cheveux longs pendant près de 12 ans, jusqu'à ce qu'il s'énerve d'un coup et ne coupe toute leur longueur, les réduisant à la basse de son visage. Ils s'arrangent en mèches folles d'un noir corbeau, aux légers reflets bleus. Ses yeux sont constamment plissés dans une expression blasée et désintéressée, quand ils ne sont pas totalement fermés par ses constantes insomnies. Sur l'épaule droite, il s'est fait tatouer le symbole qu'il s'est attribué : un corbeau noir surmonté d'un U, ailes ouvertes. En dehors de ça, il a un certain nombre de piercings à l'oreille gauche, une croix d'acier accrochée à une chaîne autour de son cou et des cordons qui serrent le contour de sa nuque. Ses vêtements, bagues et bracelets changent si souvent que c'en devient impossible à classifier. Ses ongles sont assez longs pour faire sursauter plus d'une personne. Il porte rarement de chaussures, mais ce sont le plus souvent des chaussures de ville simples, noires. Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous
fait.Chapitre I : L'enfer de l'inexistence La mère d'Ulrich était une alcoolique de 17ans, déjà trop dépendante pour renoncer à son verre de whisky au petit-déjeuner. Son père, sans doute un des innombrables hommes qui ont partagé son lit après une soirée. Sa mère était une lycéenne autrichienne dévergondée adeptes des soirée trop alcoolisées pour être saines et des coups d'un soir. Paraissant toujours plus vieille que son âge, la majorité de ses amant avait entre 20 et 30 ans, alors qu'elle n'en avait même pas encore 17. Mais Ulrich ne sait rien de tout ça. Inutile de préciser qu'elle n'avait jamais voulu de lui et qu'elle n'en voulut pas plus après sa naissance qu'avant. Il avait été un poids dans son ventre dont elle ne pouvait se débarrasser pendant 9 mois, elle refusa qu'il soit un poids sur ses bras pendant plusieurs années. En vacances au Japon lors de son accouchement, elle abandonna son fils au pas de la porte du premier orphelinat qui croisa son chemin, ne laissant qu'un nom complet : "Ulrich Kirschten". Et toute sa vie, le même sentiment d'inexistence pesa sur lui. Il n'était rien. Rien qu'un nom. Rien qu'une poupée dans sa boîte. Chapitre II : La torture de l'existence A cinq ans, Ulrich découvrit la musique. Pas la musique pour enfants que les autres de l'orphelinat écoutaient, mais celle des plus vieux : le rock du groupe de ceux qui ne rêvaient que de leur indépendance, le hip-hop de ceux qui avaient renoncé à avoir une famille... Oubliant l'idée de danser, il se tourna vers le musiques rock, observant les répétitions des quatre lycéens qui en firent leur mascotte. Il développa son oreille musicale, apprit la basse et la guitare par mimétisme en attendant avec impatience de pouvoir enfin en jouer. Son univers se trancha, il se sépara bien vite de son enfance naïve pour s'adapter à leur mentalité, et ils s'efforcèrent de rester exemplaires à ses yeux. Malgré son jeune âge, il se sentit enfin exister. Il se sentit être enfin plus qu'un chiffre dans les registres de l'orphelinat. A huit ans, il fit sa première rencontre avec une arme. Un couteau de cuisine brandi dans sa direction par son père adoptif en colère. Il fut ramené dans le foyer par les services sociaux mais l'accident laissa une empreinte indélébile dans sa tête, une terreur panique à chaque fois qu'il voyait une lame. Cette torture mentale lui fit regretter sa période d'inexistence. Il s'isola dans sa musique et en oublia de manger. Pour manger, il fallait un couteau, et ça lui faisait peur. Inquiet de son état, le denier lycéen du groupe de rock encore présent lui offrit son ancienne guitare et le détourna de sa phobie par la musique. Chapitre III : Les affres de l'oubli Ulrich grandit avec une guitare entre les doigts, déjà virtuose à 12ans. Il s'essaya à la basse sur les théories que son cerveau avait enregistrées quand il était plus jeune. Il surmonta sa peur des armes le jour où il se munit lui -même d'un cran d'arrêt pour compenser la chétivité de son corps. Le jour ou cette arme lui sauva la vie, la peur devin fascination, et il se mit à les idolâtrer. C'était un soir à la sortie de l'école, alors qu'il allait rentrer comme d'habitude à pieds. Trois gros bras de sa classe, ayant remarqué sa faiblesse physique plus qu'apparente, avaient décidé de lui pourrir la vie, en commençant par un racket de base. Sauf que son refus avaient envenimé la situation et qu'il ne devait le parfait état de son corps qu'à quatre coups de couteau bien placés. Aucun ne fut tué, un fut grièvement blessé. Adopté récemment, ses parents gagnèrent le procès lancé par ceux des trois agresseurs, sous couvert de légitime défense. Dès lors, il commença à dépenser l'argent de ses parents pour acheter des armes, des poignard sculptés aux sabres finement ciselés. Sa collection s'agrandit de jour en jour, de voyage en voyage. Les vitrines s'accumulaient contre les murs de sa chambre. Ses parents s'inquiétaient légèrement mais se refusèrent le moindre commentaire. A seize ans, il fonda un groupe de J-rock avec trois amies, qui se fit sa petite célébrité locale, d'abord dans leur lycée puis dans leur ville par le bouche-à-oreille. Ils organisèrent des concerts chez Ulrich, gratuit de temps en temps, qui leur donnèrent un peu d'argent de poche supplémentaire. Avec le monde qui y assistait, ils baissèrent leurs prix à un dollar, prix suffisant pour que la rumeur de leur richesse se répande. Seul à être vraiment riche, il décida d'offrir à chacune des trois filles un couteau semblable au sien pour qu'elles puissent se défendre. Il connaissait les inconvénient de la richesse, fusse-t-elle factice, et souhaitait les leur épargner. Si elles furent effectivement victimes de quelques agressions dont elles se sortirent sans mal, c'est un autre type de personne qui tournait autour d'Ulrich. Quelqu'un qui, manipulant son amitié, l'initia à la drogue en lui faisant essayer puis en lui vendant des doses d'héroïne, de plus en plus chères. Pendant plus d'un an, il oublia son passé dans la drogue et dans la musique. Jusqu'à ce que sa mère ne le trouve assis, les yeux fermés, un sourire béat sur les lèvres. Elle remarqua sans mal la seringue dans sa main et les nombreuses marques dans son coude. Paniquée, elle voulut d'abord appeler une ambulance mais il rouvrit les yeux en la dévisageant comme si elle sortait d'un autre monde. Petit temps de reconnexion qui suffit à persuader sa mère que son fils avait besoin d'aide. Chapitre IV : Les méandres de la mémoire C'est ainsi qu'Ulrich mit pour la première fois les pieds dans un centre de redressement, avec une seule question en tête : avec quel argent allait-il pouvoir se procurer sa drogue ? Très vite, il se rendit compte des effets désastreux que le manque avait sur son moral. Aucune fille n'était en mesure de reproduire la sensation de l'héroïne et il finit par les séduire non plus pour chercher à retrouver les mêmes sensations mais simplement pour leur voler de l'argent. Il lui fallut plusieurs semaines pour acheter une seule et unique dose, semaines de torture physique et mentale qui s'achevèrent dans un soupir de soulagement. Mais il ne put pas tenir ce rythme. Comme rien n'avait changé pour lui, il fut redirigé dans une cure de désintoxication où on tenta tant bien que mal de le débarrasser de son addiction. Il revécut la souffrance du manque sans pouvoir la combler, ne se calmant qu'après s'être coupé les doigts jusqu'au sang sur les cordes de sa guitare. Il en sortit au bout d'un an, se réfugiant dans la musique pour essayer d'oublier le manque qui, malgré la cure, refaisait parfois surface. Il récupéra ses armes qu'il rangea dans une vitrine, se promettant de ne jamais les en sortir. Elles n'était là que pour la déco, après tout. Dans le doute, il verrouilla les portes en double vitrage et confia les clefs à une amie de confiance. Chapitre V : Première ennemie, premiers problèmes Puis il s'inscrit au pensionnat Rayen, s'éloignant de chez lui pour mettre de côté les points noirs de son passé. C'est le premier jour qu'il rencontra Lulu Dixapel. Si leur première rencontre se passa plutôt mal, voire de manière carrément catastrophique, il manifesta un intérêt direct pour la jeune fille. Quand on passe son temps à s'attirer, on finit par s'accrocher à ceux qui nous les provoquent. Il l'a donc croisée ensuite deux ou rois fois, qui se sont toutes approximativement finie de la même manière : un coup de couteau bien placé contre une dizaine de coups de poings plus une course à travers les couloirs. Que du bonheur. - Mini Rp Ulrich-Lulu relatant leur première rencontre:
Premiers pas. Ulrich marche pour la première fois dans les couloirs du pensionnat. Il cherche la salle où se déroule son prochain cours. Des éclats de voix attirent son attention. Ce n'est pas la salle où il est sensé avoir cours, mais il a toujours eu tendance à plonger la tête la première dans tous les ennuies possibles et imaginables qu'il pourrait s'attirer. Il s'approche, ouvre lentement la porte de la salle concernée pour voir une table volante frôler son visage. D'où vient cette table ? Il l'entend s'écraser dans un fracas suivit d'un gémissement sourd.
-Alex ! Crisis, jamais ce nom n'avait convenu autant à ce à quoi ils assistaient. Enfin si, de nombreuses fois en vérité. Lulu était en colère. Encore. Rapidement, le jeune homme courut se cacher, stoppé en pleine course par la table en fin d'élan qu'il reçut dans les jambes. Ne jamais mettre cette fille en colère, c'était la règle de base que ceux qui l'avaient déjà vu à l'oeuvre enregistraient. Sauf que lui, Alex Melston, n'avait pas retenu ça. Elle détestait les questions trop personnelles. Pourquoi elle détestait ses parents étaient la question la plus personnelles et la plus rageante qu'on puisse lui poser. Ça méritait amplement une table dans le dos. Elle saisit le pied d'une chaise en le voyant se relever.
Il ne sait pas qui est cette fille, mais il sent déjà qu'il va s'attirer des ennuis avec elle. Le prof essaie de la retenir, mais elle l'envoie à terre à chaque fois. Il ne lui reste plus qu'à crier, en espérant lui faire entendre raison.. « Lulu ! Ça suffit ! » Lulu ? C'est son vrai nom ? En tout cas elle semble folle de rage ; ou folle tout court . Il la voit prête à faire suivre la chaise associée à la table et se dresse devant elle, plaçant son couteau sous a gorge. « On t'a dit d'arrêter ma jolie... »
Un frisson de surprise et de frayeur courut parmi les élèves. Tenir tête à Lulu de façon si directe sans être impliqué dans le conflit équivalait pour beaucoup à être suicidaire. Elle était tentée de le frapper, elle l'aurait d'ailleurs fait en temps normal mais la lame plaquée sur sa gorge la paralysait. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour savoir s'il risquait de la tuer. On n'était jamais sûr de rien. N'importe quel nouveau pouvait avoir été un tueur avant d'arriver, on ne prenait pas ce genre de risque à la légère. -T'es qui toi, le parasite ?
Et méprisante avec ça. En tout cas le couteau semble la tenir enchaînée. Peu des armes ou peur de la mort ? « Le parasite ? il faut que je te coupe un doigt pour que tu sois plus gentille ? ». Il ricane. Après tout, il est déjà fiché pour elle alors quitte à avoir des ennuis, autant aller jusqu'au bout. Il ne risque pas grand chose de plus, après tout. mais n'oublions pas les bonnes manières. « Je m'appelle Ulrich. Ulrich Kirschten, ou U-Crow. Ravi de rencontrer une personne aussi... charmante ? ». Ironie, douce ironie. Elle risque de le prendre mal.. Il écarte sa lame de son cou, prêt à riposter si elle fait le moindre geste pour le frapper. Le frappera-t-elle ?
Il se moquait d'elle en plus... Définitivement insupportable. Lulu serra les poings, attendant qu'il écarte sa lame pour lui envoyer un coup de poing en plein visage. -Je vais pas te laisser te foutre de moi en toute liberté ! Le réduire en miettes, lui éclater le crâne contre un mur, lui arracher un oeil... Peu importe, tant qu'elle pouvait le faire taire, le descendre, l'exterminer. Son existence l'exaspérait au plus haut point. Elle n'aimait pas les prétentieux qui n'étaient plus rien si on leur enlevait leur arme des mains. Bande d'incapables...
« C'est pas drôle, j'aurais espéré plus de cynisme... ». Comme indifférent au sang qui s'échappe de son nez blessé _ c'est qu'elle a de la force, cette garce ! _ Ulrich réplique d'une coup de couteau qui touche la jeune fille au poignet, d'une courte estafilade sanglante. D'une petite révérence, il sort de la salle. « A la prochaine, Lulu ! » dit-il avant de s’éclipser en insistant volontairement sur son nom. Non il ne compte pas en rester là avec elle. Puis il s'enfuit en courant jusqu'à sa véritable salle de cours... S'il la trouve, bien entendu.
C'est l'heure d'enlever les masques.. !- Pays : France - Âge : 20 ans - Par Lulu - Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement : Quinn est passée par là.
Dernière édition par Ulrich Kirschten le Sam 17 Mar - 13:44, édité 3 fois |
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Lulu Dixapel
Messages : 55 Age du perso : 17 ans ♥ Côté coeur : Il appartient à Ulrich Kirschten, malheureusement...
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 2ème année ♣ Colocataires: Dwayne Miller, Ren Phee, Oliade Karemi ♣ Relations: | Sujet: Re: » Ulrich Kirschten. Ven 16 Mar - 2:28 | |
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Eh Copyright sur le rp s'il te plait, j'en ai écrit la moitié xD |
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Ulrich Kirschten
Messages : 78 Age du perso : 18 ans ♥ Côté coeur : Lulu Dixapel's mine
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3° année ♣ Colocataires: Ariale A.Omiko, Dylan Person ♣ Relations: | Sujet: Re: » Ulrich Kirschten. Sam 17 Mar - 13:43 | |
| Il est d'origine autrichienne ^^ (en même temps Kirschten, on fait pas moins japonais comme nom de famille).
J'avais juste oublié de mettre le pays de sa mère biologique dans son histoire, c'est donc modifié. |
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