Caractère.
Airy est quelqu'un d'extrêmement calme, ne s'énervant presque jamais, au premier abord on aurait pu le croire timide, voir même coincé, mais en le connaissant un peu, on se rend compte qu'il est au contraire très assuré, voir même osé, il n'hésite pas à dire ce qu'il a à dire, ce qui lui a d'ailleurs valu de nombreux ennuis.

C'est un homme de confiance, s'il dit qu'il fera quelque chose, on peut être sûr qu'il le fera et puis de toute façon il ne sait pas mentir, c'est d'ailleurs une des raisons qui le pousse à ne jamais le faire. Airy souffre d'un important problème de claustrophobie, il panique dès qu'il se trouve dans une pièce sans ouverture vers l'extérieur (fenêtre ouverte, porte ouverte...).

La musique est, pour Airy, une seconde peau, une ouverture sur son âme, il joue dès que possible, piano, guitare, basse... il maîtrise de nombreux instruments et compose de nombreuses musiques, souvent pour des filles, parfois pour lui-même, mais toujours pour le plaisir. Il a une préférence pour le style rock/pop. Malgré la force de sa passion, Airy n'est pas totalement obsédé par la musique, il ne passe pas son temps à en parler et n'est pas renfermé dans son monde, il est plutôt doué en classe et fait régulièrement du sport, il n'aime pas s'isoler et se trouve souvent avec des amis. Airy aime les filles et passe beaucoup de temps avec, mais il est loin d'être de ce que l'on ne voit jamais deux fois avec la même personne.

Airy est le genre de personne pour lesquels mère nature a été plutôt généreuse, mesurant environ 1 mètres 80, tout en ayant une musculature naturelle avantageuse et aucun problème de poids puisqu'il ne pèse que 70 kg, sa peau au teint plutôt mate n'affiche aucune imperfection.

Il est du genre à faire très attention à son physique, évitant de prendre du poids, bien qu'il ait une aptitude naturelle à ne pas grossir. Il s'habille le plus souvent avec un jean foncé, un tee-shirt dans les mêmes couleurs ainsi qu'une paire de basket sombre.

Venons en maintenant à son visage, ses cheveux, bruns clair sont coiffé mi-long et sont extrêmement bien entretenu, ses sourcils sombres et fin sur lignent ses yeux maron, en amande, abritant un regard doux et charmeur. Son nez est de taille moyenne et plutôt fin, sa bouche aux lèvres légères montre, le plus souvent, un sourire sympathique et attirant.

Je naquis le 7 mars 1995, lors d'une douce nuit d'hiver dans un des rares coin de paisible campagne du Japon, ma mère, une jeune japonaise de 24 ans était professeur de musique, quant à mon père, un américain de 26 ans, possédait une boutique d'instruments de musique. Durant mes premières années, ma vie fut des plus parfaites, dès mes cinq ans, ma mère commença à me donner des cours de piano, l'année de mes sept ans, elle me donna des cours de guitare, l'année de mes dix ans je reçus ma première guitare.

Ma vie fut ainsi faites jusqu'à mes douze ans, où tout bascula brusquement, la boutique de mon père fit faillite, il chercha longtemps du travail, mais il n'en trouva pas et il sombra peu à peu dans l'alcool et la drogue, il décéda d'une overdose l'année de mes quatorze ans, je fus chamboulé par cette perte, m'isolant de plus en plus souvent dans une pièce close avec un instrument, jouant pendant des heures, évacuant toute ma tristesse à travers mon instrument.

Ce fut, l'année de mes quinze ans, dans cette pièce clause que ce produit l'incident dont vient ma claustrophobie. Alors que je jouai ma tristesse sur ma guitare, une détonation retentit, elle fut suivi, d'un cri celui de ma mère, je me précipitai alors vers la porte, mais quelque chose la bloqué, je me mi alors à paniquer, imaginant les pires choses, je fini par réussir à sortir trente minutes plus tard, je couru jusqu'à la cuisine où se trouvait ma mère, je trouvais la maison en piteuse état, les meubles renversé, les objets de valeur avait disparu et quand j'arrivai enfin dans la cuisine, je découvris ma mère allongée par terre, se vidant de son sang, je m'empressais d'appeler les secours, mais ils étaient trop tard, elle était morte, depuis, je ne supporte plus de me retrouvai dans des lieux clos.

Je partis alors vivre chez ma tante, m'isolant des émotions et des souvenirs que m'amenait mes parents, pour mieux m'éloignait de ma vie précédente je demandai ma tante de m'envoyai en pensionnat, elle accepta avec empressement. Elle m'envoya au pensionnat de rayen, un endroit réputé où je pus facilement recommencer ma vie, repartant sur de nouvelle base, l'année qui suivit fut le recommencement totale des quinze années précédentes, je changeai de caractères, mon caractère devint moins sombre, plus joyeux, vivant de plus en plus à travers ma musique.

Ce pensionnat au allure austère, se trouva être très sympathique, les gens se trouvant ici étaient pour la plus part des intellectuels et des artistes, et je pu sans problèmes me faire une place parmi eu.
Mes premières semaine ne furent pas simple et je fus pris pour l'un de ces torturaient de la vie que l'on voit chez les artistes sans succès, mais peu à peu je me fit une place parmi les élèves de se pensionnat, pour la plus part des intellectuel ou des artistes et malgré l'air austère qui ce dégagé du pensionnat à première vue, je découvrais nombre de personne, élèves comme professeur, fort sympathique.
Aujourd’hui je suis en 2nd année, je me suis depuis longtemps fais une place dans le pensionnat, ainsi qu'une place de musicien dans la ville et je suis un autre homme.