| Sujet: » Luka Richards. Ven 15 Juin - 14:39 | |
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Luka Richards Alors, qui es - tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S): Richards Luka AGE: 19 ans NATIONALITÉ: Anglaise ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro ANNÉE SCOLAIRE: 3éme GROUPE: "As everybody" POURQUOI CE GROUPE: Je pense que c'est le groupe qui correspond le mieux à Luka, il est un mélange de tous et de rien, malgré un passé plutôt mouvementé, il est la plupart du temps un garçon souriant et qui aime s'amuser. Son côté excentrique et un peu cinglé, ne lui permet pas vraiment d'être chez les "Perfectly Orginals". Il mélange tous les genres. Si jamais vous pensez à un autre groupe, n'hésitez pas, j'ai choisis ça par défaut. PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Badou Nails : Dogs : Bullets & carnage
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Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.A la surface : Je suis un ancien surfeur et je vivais en Australie, je ne me prends pas la tête, je me laisse aller au grès des vents et je ne regarde pas en arrière. J'ai dû oublier mes rêves de surfeur pro à cause d'un accident de la route, j'ai perdu l'usage de mon œil gauche. J'aime m'amuser, faire la fête et surtout la plage, ça me rappelle l'Australie et je drague aussi souvent les filles, elle ne résiste pas à mon charme et à mon sourire ravageur. Depuis que j'ai arrêté le surf, je fume des cigarettes, occasionnellement bien sûr, je ne suis pas accroc comme certaines personnes.
En profondeur : Je suis quelqu'un de briser par son passé, je me cache derrière une image qui n'est pas moi, celle d'un gars heureux malgré l'abandon de son rêve. D'ailleurs je n'ai rien perdu de ce passé, je bois de l'alcool régulièrement et quand l'occasion se présente je n'hésite pas à consommer de la drogue. Je fume clope sur clope, je ne peux presque pas m'en passer, je peux vite devenir nerveux sans nicotine. J'essaye d'éviter les contacts répétés avec les autres, je ne veux pas qu'ils creuses un peu trop et qu'il découvre mon passé, je ne suis pas encore prêt pour ça, mais je suis persuadé que certaines personnes sont capables de voir au-delà des apparences et qu'en un regard ils percent le mur qui nous entourent.
Et sinon ? Je me plais dans le rôle du charmant surfeur qui s'amuse et profite de la vie, ca me relaxe et j'évite de trop penser au passé, mais ça ce n'est que quand je suis avec du monde, lorsque je suis seul c'est autre chose, j'ai généralement le regard vide et plonger vers l'horizon, je me perds dans mes pensées et je repense au passé. Du coup je me force à aller vers les autres, mais je me refuse à nouer toutes relations avec eux de peur qu'ils creusent un peu trop. Je donne donc l'impression d'un gars bien dans sa peau, avec son côté "plage et surf" qui marche bien avec les filles, mais je ne drague que très rarement, une relation amoureuse est doublement compliquée, j'étais encore il y a peu avec une fille qui me trompait et je ne peux pas baser une telle relation sur des mensonges, par conséquent, la vérité pourrait tout briser, je ne préfère pas essayer. Au final, j'aime quand même m'amuser et profiter de la vie, surtout lorsque je suis entouré, c'est d'ailleurs pour ça que j'évite de rester seul, je ne veux pas voir resurgir les démons du passé, mais que je sois seul ou en groupe, il m'arrive parfois de prendre des risques, dangereux ou non d'ailleurs. Si quelqu'un se décide à me connaitre un peu mieux et aller voir plus loin, je me braquerais aussitôt en changeant de sujet, mais si cette personne est réellement décidée, je pourrais être tenté de confier ce qui me ronge... car secrètement, j'aimerais toujours être ce surfeur qui a abandonné son rêve pour étudier au Japon, cette vie est beaucoup plus heureuse que la mienne.
Pour conclure et en dire un peu plus sur moi... je me débrouille assez bien en cours, en tout cas assez pour avoir des notes correctes, je maîtrise bien le japonais, je l'ai appris depuis tout jeune, je sais donc parler japonais, français, espagnol et bien sûr anglais, j'ai même encore un léger accent anglais parfois. Côté sport, je me débrouille, de temps en temps ça permet de se défouler et en tant qu'ancien surfeur je tiens une certaine forme. En ce qui concerne mes goûts, j'aime le cinéma, la musique, le rock, la plage, m'amuser, délirer, l'alcool, les cigarettes, parfois la drogue, mais aussi voyager, le surf, les filles, le sport extrême, regarder les étoiles en été, surfer sur la neige en hiver... bref beaucoup de choses et j'en oublies surement.
Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.J'ai un physique assez "sport", un corps mince et musclé, qui colle parfaitement avec mon côté "surfeur australien". J'ai de beaux yeux bleus chaires... enfin, je devrais dire un oeil bleu clair, étant donné que j'ai perdu l'autre lors d'un accident de voiture, je porte d'ailleurs un bandeau sur l'oeil gauche afin de cacher la cicatrice, l'avantage c'est que je peux assortir mon bandeau à mes vêtements, cool non ? Malgré j'ai de "beaux yeux", même si je n'en ai plus qu'un, c'est d'ailleurs la première chose qu'on remarque chez moi, le bandeau et ensuite la couleur magnifique de mes yeux, ce sont les mêmes que ceux de ma mère. J'ai les cheveux long, très long, qui descendent jusque dans le haut du dos, au niveau des épaules, ils sont orange (Ou roux si orange ne vous plait pas), mais avant de rejoindre le Japon j'ai décidé de laisser pousser mes cheveux blonds et de les teindre en oranges. Signe distinctif, une cigarette à la main, je suis accroc à cette connerie, mais bon, j'ai une maladie au cœur, alors si c'est j'ai le choix en ce qui concerne ma mort. Cette maladie ne me limite pas trop pour l'instant, mais je dois prendre des médicaments deux fois par jour, car en cas de fortes émotions je risque d'avoir d'horribles douleurs dans la poitrine. J'aime dire que j'ai le cœur brisé, c'est pour ça que je prends mes médocs, une façon "amusante" de regarder ma maladie.
Côté vestimentaire : Je suis plus du genre "relax", des vêtements tranquilles et "passe partout", du genre jeans t-shirt baskets, avec ou sans veste. En hiver j'ai un long manteau noir qui me donne un air assez classe et qui me laisse penser que j'aurais fait un homme d'affaire assez mignon. Je ne porte pas de bagues, de temps un temps des collier, notamment un avec des menottes en guise de décoration (J'en ai un aussi avec une paire de lunette, je trouvais ça assez drôle). Bien sûr j'ai mon bandeau sur l'œil gauche, que j'essaye au mieux d'accorder avec mes habits, j'en ai plusieurs, difficilement trouver et parfois même fabriquer sur mesure, en tout cas en ce qui concerne les motifs qui sont dessus.
Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.La famille Richards... grande famille de l'Angleterre qui a fait sa grandeur grâce à leur entreprise de produits pharmaceutiques, mais qui est depuis toujours considéré comme une puissante famille. Moi je suis Luka Richards, le dernier de la famille, avec trois ans de plus que moi il y a ma sœur Lina, ensuite il y a mon grand-frère Charlie, qui a cinq ans de plus que moi et le plus grand de la famille, Léon, qui a huit ans de plus que moi et qui a sa destiné toute tracé puisqu'il est désigné comme le premier héritier de la famille Richards, comme notre père l'a été avant lui. Chapitre 1 : Commencement...
Nous formons une belle et heureuse famille... en apparence seulement, car de mon côté je dois admettre que ce n'est pas le bonheur parfait qu'on voit sur les photos de famille. Commençons par mes grands frères, qui depuis que je suis petit n'hésite pas à me tyranniser, si bien que je pleurais souvent et que j'avais toujours les mêmes paroles de la part de mon père "Ce n'est pas digne d'un Richards ! Sois fort Luka et ne les laisse pas te marcher dessus", c'est qu'il en avait de bonnes mon père, si je décidais de régler le conflit en face à face, ce cher Léon n'avait qu'à faire les yeux doux et père prenait sa défense, a quoi bon faire de belles tirades si c'est pour les briser ensuite. Heureusement, il y avait ma sœur, Lina, ma chère Lina, sans elle j'aurais craqué depuis longtemps, mais elle était toujours là pour me réconforter et même me défendre quand ils étaient à deux contre moi, ce qui était très efficace, c'était la seule fille des quatre enfants, aux yeux de mon père c'était important, elle était sa princesse. Avec le temps je me suis rassuré moi-même, me disant que j'étais tout simplement le "mouton noir" de la famille, je suis là pour meubler en quelque sorte, ce qui me va parfaitement, je ne suis pas de ce monde moi.
Chapitre 2 : Début de la tempête...
Voilà mon cadre de vie, mais si ma vie s'arrêtait là elle serait presque "belle", mais voilà, je n'avais que sept ans lorsque ma mère est décédée à la suite d'une longue maladie du cœur, ce qui était inévitable et nous en étions tous conscients... mais parfois, même en étant au courant, nous ne sommes rien face à la mort. La famille était en deuil et le jour de l'enterrement nous étions une vraie famille, solidaire et les uns avec les autres, mais cette image n'a pas duré longtemps et le temps a permis de cicatriser cette blessure, en nous marquants en profondeur. Après ce terrible drame, mon père était devenu un peu plus froid et triste qu'auparavant, je le voyais parfois me regarder avec un sourire étrange, si chaleureux et plein de tendresse, on m'a toujours dit que de nous quatre je ressemblais le plus à notre mère, peut-être était-ce la raison de son sourire. Lorsqu'elle était sur son lit d'hôpital et qu'elle nous avait vus un par un, elle m'avait dit, que je devais être solide et malgré les revers, je devais toujours rester fort, car si un pilier s'écroule, c'est tout l'édifice qui s'envole. J'étais bien trop jeune pour comprendre ce genre de paroles, même si j'avais plus ou moins compris les grandes lignes, il me manquait l'essentiel, en y repensant, le décès de ma mère était sans doute l'élément déclencheur de tout le reste, mais dans ce cas, c'est admettre que le destin avait tout écrit depuis le début...
Chapitre 3 : Dans l'œil du cyclone...
Après ce terrible drame, j'ai dû faire face à autre chose, le destin est parfois cruel avec nous et lorsqu'il a décidé que vous deviez souffrir, il ne vous lâche pas. Je n'avais alors que douze ans, lorsque j'ai dû regarder ma sœur qui se vidait de son sang dans la baignoire sans pouvoir réagir. Elle venait de se trancher les veines, j'hurlais, appelant quelqu'un à l'aide et Lina me souriait, ce sourire qu'elle avait toujours quand elle me regardait, celui qui me réconfortait quand j'allais mal. Ses paroles resterons à jamais gravé dans ma mémoire "Ne t'inquiète pas, tout ira bien... je suis désolé, mais je crois que je vais louper ton anniversaire Luka". Mon père et mes frères arrivaient enfin, mais il était déjà trop tard, moi j'étais dans un coin, la tête dans mes genoux et son sang sur les mains, j'étais comme déconnecté, je ne voulais pas y croire. À l'enterrement je retenais mes larmes et pourtant elle voulait couler à flot, mais je savais que je devais être fort, je devais prendre sur moi... je craquais peu de temps après lorsque j'étais seul devant sa tombe pour lui demander pardon. Le décès de ma mère était inévitable, elle était gravement malade, mais celui de ma sœur... nous aurions pus l'éviter, j'en voulais à mes frères et à mon père autant qu'à moi. Je ne comprenais pas son geste, pourquoi mettre fin à ses jours, elle qui était si joyeuse et rayonnante tous les jours... peut-être que c'est moi qui n'ai pas réussi à voir la réalité...
Chapitre 4 : Il est parfois mieux... d'ignorer la vérité...
La vérité... encore un tournant de mon histoire, c'est lorsque j'ai appris la vérité sur le suicide de ma sœur que j'ai complètement dérapé. J'ai passé deux années à chercher des réponses en secret et encore aujourd'hui, à chaque fois que j'y pense, j'ai des frissons qui me paralysent. Elle souriait tous les jours pour me réconforter et moi je pleurais souvent, je croyais qu'elle faisait ça pour moi, mais en réalité c'était pour ne pas penser à ce qui se passait réellement, j'aime penser que je l'aidais parfois à aller mieux. Il y avait plusieurs raisons à son suicide, notamment le fait qu'elle ne voulait pas de la vie que lui avait décidé notre père, celle d'épouser un homme plus âgé qu'elle lorsqu'elle serait majeure. Elle n'avait que quinze ans et lui en avait déjà 23, mais le pire dans tout ça... c'est qu'il a abusé d'elle plusieurs fois, c'est la raison principale de son suicide. À cet instant, je haïssais le monde, mais surtout ma famille qui n'avait rien vu, mon père qui avait laissé une telle chose se produire... Je crois que c'est à partir de ce moment que j'ai complètement disjoncté, la vérité je l'ai apprise par mon oncle à qui Lina se confiait beaucoup, mais il était impuissant, ce n'était que le fils d'un second mariage dans la famille Richards, le demi-frère de mon père et s'attaquer aux affaires des Richards lorsqu'on n'est pas un Richards à 100%, c'est mettre en péril son statut au sein même de la famille.
Chapitre 5 : Il faut parfois toucher le fond...
Je noyais ma tristesse et ma haine dans toutes sortes de choses, j'étais dans l'adolescence et je découvrais un tas de nouvelles façons de m'amuser et que j'avais ignoré jusque là. Le terme de "mouton noir", prenait réellement son sens maintenant, j'étais fuis de mes frères et mon père désapprouvait totalement mon attitude, pourtant c'est de leur faute si j'en étais là. Je prenais plaisir à toucher le fond, je me saoulais pour oublier, ce qui ne marchait pas, du coup je prenais de la drogue et j'étais défoncé, j'avais un sentiment de "bonheur" dans cet état, mais ce n'était qu'une illusion. J'étais devenu imprévisible, prenant un tas de risque, même mes amis ne me suivaient pas tout le temps, de peur que je les entraine dans un énième coup foireux. C'était l'anniversaire de mon meilleur ami, je n'avais que 17 ans, nous avions décidé mes amis et moi, de faire une grande fête pour lui, seulement c'était prévu à quelques jours de la date "anniversaire" du suicide de ma sœur et à cette époque je ne suis jamais dans mon assiette. La fête était énorme, beaucoup de monde, d'alcool, de sexe et de drogue c'était l'éclate totale... pour eux, moi je souriais et je fuyais tout ce qui ressemblait à l'alcool ou à la drogue. La fête continuait lorsque je décidais de rentrer, un ami me prêtait sa voiture, j'avais l'habitude de la conduire et je n'habitais qu'à une vingtaine de kilomètre. Pour une fois que j'étais ni déchirer par l'alcool, ni défoncer par la drogue... Un pincement au cœur dès le premier kilomètre, je ne m'inquiète pas plus que ça, mais arriver à mi-chemin dans l'unique virage dangereux sur la route, je sens mon cœur se déchirait, comme si on tentait de me l'arracher. L'accident en lui-même je ne m'en souviens pas, je me suis réveillé à l'hôpital. Mon père et mes frères étaient persuadés que c'était la drogue ou l'alcool qui en était la cause et j'avais beau leur dire que je n'avais rien pris, il ne me croyait pas. Même lorsque le médecin venait annoncer à mon père que j'avais un problème au cœur, il ne le croyait qu'a moitié, mettant quand même ça sur le dos de la drogue, même si les tests montraient qu'au moment de l'accident je n'étais ni saoul, ni droguer, mais mon père croit toujours avoir raison et personne ne va le contredire. L'accident m'avait laissé un petit souvenirs, la perte d'un oeil, le gauche, depuis ce jour je porte un bandeau pour couvrir la cicatrice sur mon oeil. Ah oui et je suis maintenant obligé de prendre des médicaments tous les jours, pour mon coeur, afin d'éviter les malaises. J'étais à peine rétablit de mon accident, je n'avais que quelque pansement, mais je n'avais pas laissé de côté mes penchant pour l'alcool. C'est lors d'une soirée dans un bar, je venais de me faire larguer par ma copine, qui avait ouvertement profité de moi en me trompant plusieurs fois et comme à chaque fois dans ce genre d'histoire, on est le dernier au courant. J'enquillais les verres et les tournées générales au bar, de toute façon je m'en foutais, c'était le paternel qui payait. Après ça, je me retrouvais à tituber dans la rue et soudain, perdu dans mes pensées j'étais assis sur le bord d'un pont une bouteille à la main. Sauter ? Non, je réfléchissais. Je me dirigeais ensuite vers l'appartement de celui qui devait épouser ma soeur, ce salaud qui l'a poussé au suicide...
Ce qui s'est passé ? Lisez le rapport de police... je suis entré par effraction, j'ai saccager l'appartement et lorsqu'il s'est réveillé je l'ai menacé au couteau, voilà tout ce que vous avez à savoir. J'avais 18 ans, j'étais partis pour quelques années de prisons, mais mon père a fait le nécessaire pour me faire sortir au plus vite et je n'ai eu qu'un mois de prison... il ne l'a pas fait pour moi, mais pour lui, il ne voulait pas voir un Richards en prison, ça fait "mauvais genre".
Chapitre 6 :... et affronter ses démons...
Quelques semaines après cet incident, je décidais qu'il était temps pour moi d'aller affronter ma famille en face à face. Ils avaient fait une grande réception pour l'anniversaire de Léon et pendant le repas, juste avant le gâteau d'anniversaire j'ai débarqué dans la salle en enfonçant à moitié la porte. Encore une fois, mon père croyait que j'étais ivre, mais j'étais bel et bien sobre, je devais être en mesure de lui dire le fond de ma pensée. Il y avait la famille, les amis, bref des gens proches des Richards et surtout des gens importants. J'ai dû parler pendant quinze minutes, en essayant de ne pas trop m'énerver pour ménager mon coeur, j'ai en grande partie parler de Lina et de ce qu'avait laissé faire mon père avec ses idées stupides, je lui ai balancé toutes sortes de méchanceté et de vulgarité. Lorsque j'avais terminé, mes frères se levaient, rouge de colère et bien décider à me faire sortir d'ici, mais mon père leur demandait calmement de se rassoir alors que lui se levait, il s'éclaircissait la gorge et disait distinctement "Luka... sort d'ici immédiatement et ne reviens jamais, je te déshérite complètement et je ne veux plus jamais avoir de tes nouvelles... tu n'es plus mon fils à mes yeux...", puis il reprit sa place calmement en continuant son repas, alors que tout le monde avait les yeux rivés sur moi. Ce jour-là, j'étais comme libéré, comme si on venait de briser les chaînes qui me retenaient depuis 18 ans et je respirais enfin, je quittais la maison libre et bizarrement, j'avais l'impression que tout commençais aujourd'hui...
Chapitre 7 :... pour reprendre le dessus.
On se dit "Encore un, à qui tous les malheurs du monde qui lui sont tombés dessus", les histoires ne sont pas toutes heureuses, mais la mienne à une fin plutôt original, alors lisez la suite et apprenez à me connaitre avant de juger.
Après ça, j'ai pris conscience que la vie s'offrait à moi, j'étais libéré de mes souffrances et j'avais l'occasion de commencer une nouvelle vie, comme si on avait décidé de tout effacer pour tout réécrire. Bien sûr, tout ceci resteras à jamais gravé dans ma mémoire et j'ai encore beaucoup de mal à parler de ma vie, généralement j'esquive le sujet et je passe à autre chose. Maintenant qui je suis ? Je suis toujours Luka Richards, je suis partis pour le Japon, ce pays m'a depuis toujours fasciné et je rêvais d'y aller, alors j'ai profité de l'argent qui me restait et de l'aide de mon oncle pour rejoindre la ville de Matsuyama. Là-bas personne ne me connait et le nom de Richards évoquent peu de choses aux gens, c'est idéal pour commencer une nouvelle vie, d'ailleurs, lorsque les gens me demandent d'où je viens, je leur raconte que je viens d'Australie et que j'étais surfeur, mais suite à un accident j'ai dû revoir mes plans et faire mes études au Japon semblait une bonne idée. C'est l'histoire que je raconte à tout le monde, mon allure assez sportive et mon sourire ravageur, suffit largement à les convaincre. J'ai décidé d'intégrer le Pensionnat Rayen, pour y faire mes études et surtout refaire ma vie, je laisse mes soucis en Angleterre et j'avance vers le Japon pour commencer à vivre.
Note : Luka laisse croire à son arrivée au Pensionnat Rayen que c'est un Surfeur qui vient d'Australie, c'est la vie qu'il raconte, afin d'éviter de parler de son passé. Bien sûr cette supercherie ne marchera qu'un temps et surtout, certaines personnes sont capables de voir bien plus loin que les apparences. Dans l'ensemble, c'est un garçon assez sociable, il aime s'amuser et passer du temps avec ses amis, mais c'est lorsqu'il est seul qu'il affiche un visage fermé et triste. Il cherche juste à refaire sa vie à Matsuyama, ainsi que rompre définitivement les liens avec son passé.
Et derrière l'écran? AGE: 22 ans PAYS: France DOUBLE COMPTE ?: Oui COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: DC. AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Validé ♥ S.
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