Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Mariska D. Koniakov.

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Anonymous

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MessageSujet: » Mariska D. Koniakov.   » Mariska D. Koniakov. Icon_minitimeDim 24 Juin - 17:45

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Mariska D. Koniakov


Alors, qui es - tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S): Mariska Delila Koniakov
AGE: 16 ans
NATIONALITÉ: Anglo-Russe
ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle
ANNÉE SCOLAIRE: Deuxième Année
GROUPE: Brutal People
POURQUOI CE GROUPE: J'ai choisit ce groupe car je suis une personne assez caractérielle qui déteste se laisser marcher sur les pieds.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Représentation féminine de la Prusse dans le manga Axis Power : Hétalia.


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.

Sérieusement, une description de mon caractère ? Mais je pourrais vous dire que je suis gentille et que je n'ai jamais rien fait de mal de ma vie, vous ne pourriez jamais le vérifier ! Bon, de toute façon on dirait que je n'ai pas d'autre choix que de remplir ce dossier.

Alors commençons par le commencement (logique), je ne suis pas du tout aimée par mes chéres camarades car je suis très très très dédaigneuse. J'ai du mépris pour tout le monde, que ce soit des hommes ou des femmes, des adultes ou des enfants, c'est pareil. Cela vient sûrement du fait que l'on se soit beaucoup moqué de moi à cause de mon albinisme. J'ai subi des insultes et des regards de dégoût dès mon plus jeune âge, donc c'est devenu un mécanisme de défense. Il faut dire qu'ils l'ont cherché aussi. Comment peut-on juger quelqu'un pour ça ? Je ne l'ai pas choisi et encore moins voulu.

Bon passons, j'ai aussi un comportement violent envers les gens qui me blessent et c'est encore pire s'ils blessent une personne à laquelle je tiens. On ne joue pas avec moi, je n'ai absolument aucun sens de l'humour donc que vous pensiez ce que vous dites ou pas, le résultat sera toujours le même. Ca peut aller d'un commentaire cinglant pour les petits piques à une bonne droite pour les insultes, je pars au quart de tour pour un rien. Mais il ne faut pas exagérer, si j'apprends à vous connaître je saurais prendre les choses au second degré (j'espère).

Là j'ai cité mes défauts, vient maintenant les qualités car oui j'en ai quand même quelques-unes. Je suis fidèle, vous ne me verrez jamais parler derrière le dos d'un ami et j'interviendrais toujours s'il se passe quelque chose. J'aime la stabilité donc ce n'est pas non plus dans mes habitudes de changer d'amis toutes les deux secondes. Cela peut paraître assez troublant d'ailleurs compte tenu de mes autres traits de caractères.

Ensuite, je suis très déterminée, lorsque je fais quelque chose je le fais à fond. Il faut bien évidemment que cette chose me plaise, si par exemple vous me demander de faire un devoir d'histoire le résultat sera assez médiocre. De ma détermination est née mon courage, je ne laisse jamais rien tombé.





Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.

Après le caractère, c'est le physique ?! Mais qu'est-ce que vous en avez à faire de ce à quoi je ressemble ? Vous sélectionnez vos élèves en fonction de leurs physique ? Encore une fois je le remplis UNIQUEMENT parce que j'ai besoin d'un endroit pour m'installer.

Alors, par où commencer... Je suis plutôt grande, environ un mètre soixante-quinze, quelques idiots ont eu l'audace de se moquer de ma taille, mais ils ont vite été remis à leur place (Eh oui c'est pour cette raison que j'ai été renvoyée de mon dernier pensionnat). Mon corps est assez svelte avec quelques courbes bien placées. Je suis un bourrin, quand je marche on dirait Godzilla, il n'y a vraiment aucune grâce dans ma démarche. Ma pauvre mère doit être en train de se retourner dans sa tombe en me voyant, elle qui était une étoile montante de la danse.

Du côté vestimentaire j'ai un style assez spécial mais fidèle à mon caractère. Je porte une veste militaire bleue avec une chemise à froufrou blanche en dessous, une jupe noir assez courte et de longues bottes blanches qui m'arrivent à mi-cuisse.

J'ai hérité de l'albinisme de mon cher papa donc mes cheveux sont lisse et d'un blanc immaculé, ils sont très long et m'arrivent jusqu'aux fesses. Mes yeux on prit une teinte violacée suite à ma maladie, ils sont encadrés de longs cils blanc que je couvre avec du mascara. Ma bouche est fine et inexpressive, car je ne laisse paraître aucune de mes émotions (sauf la colère). J'ai aussi une petite cicatrice sur la joue droite, reçue lors d'une bagarre qui a mal tournée. Le jour où je retrouverais cette enflure il ne se reconnaitra plus dans un miroir, ça je l'assure.

On peut donc en conclure que je suis assez belle gosse (et modeste) et que mon albinisme me donne un petit côté exotique que l'on aime ou que l'on déteste.




Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.

Je suis née le 8 décembre 1995 à Manchester, pour tout vous dire je ne me souviens pas du jour de ma naissance (normal) donc je ne peux rien vous dire dessus à part le fait que je symbolisais l'espoir pour mes deux parents.

Je vais commencer par vous parler de ma mère Elisabeth Williams, c'était une toute petite femme toujours souriante. Elle était danseuse c'est d'ailleurs comme cela qu'elle a rencontré mon père, Ivan Koniakov, qui était un producteur du balais russe. Ma mère m'a souvent conté leurs rencontre lorsque j'étais petite, c'était le "love at first sight" disait-elle. Mon père grand et beau russe de Moscou était en voyage d'affaire en Angleterre près à dénicher de nouvelles danseuses pour son balais, ma mère était dans le groupe de danseuses qu'il convoitait. En un seul regard, ils se sont trouvés. Mon père l'a immédiatement embauché et ils sont partis pour Moscou tous les deux. Lorsqu'ils se rendirent compte que leurs sentiments étaient mutuels, ils commencèrent une relation sérieuse. Malheureusement le balais de mon père fit polémique, il dénonçait le régime du leader russe et cela ne plût pas du tout au concerné, il fut donc exilé de Russie. Mes parents ont donc décidé de revenir en Angleterre pour plus de stabilité. Ce fut très dure pour eux, mon père était au chômage et ma mère ne trouvais pas d'offre de travail, leur vie devint misérable.

J'étais un accident en fait, ils n'avaient pas du tout prévu d'avoir un enfant. Mais ma mère voulait me garder, j'étais son cadeau du ciel. Mon père aimait beaucoup montrer des photos de moi bébé, il disait que j'étais son "солнце" parce que j'avais un sourire contagieux. Je connue une enfance assez difficile, mais mes parents m'aimaient et prenaient soin de moi le mieux qu'ils pouvaient. Malheureusement ils ne savaient pas ce qu'il se passait à l'école. J'étais brutalisée, on me détestait et me méprisait parce que j'étais albinos. Un jour je rentrai à la maison avec une grosse balafre sur la joue, mes parents furent très inquiet et me posèrent des millions de questions, mais je restai de marbre.

Ma personnalité commença à changer aux fils des années, je commençai à devenir violente. Je refusais de rester impassible alors que je me faisais insultés sans raison. C'était assez drôle de voir leurs réactions lorsque je commençai à rendre les coups, j'avais beaucoup de force pour mon âge et même les garçons commençaient à avoir peur de moi. Mes parents étaient souvent convoqués, la principale disait toujours que c'était de MA faute que j'étais LA méchante dans l'histoire. C'était faux bien entendu, mais je refusais d'inquiéter mes parents encore plus, je les rassurais en disant que ce n'était qu'une mauvaise phase et que ça passerait. Ils devinrent un peu sceptique après la dixième convocations et décidèrent de me placer dans une autre école. J'en fis cinq des écoles, c'était toujours le même problèmes, les gens avaient peur parce que je n'étais pas "normale" à leurs yeux. J'étais habituée à présent.

Mais un jour tout bascula. Je me souviendrais toujours de cette journée terrible. J'étais à mon cours de physique, j'étais en train de faire pleurer ma voisine lorsque la directrice du collège entra dans la classe. Je su immédiatement que quelque chose n'allait pas, car sa bouche était encore plus pincée que d'habitude. Elle appela mon nom avec douceur et me demanda de la suivre jusque son bureau. Je la suivie d'un pas lent et méfiant dans les longs couloirs du collège. Elle ouvrit la porte, j'entrai, la tension était palpable. Elle me demanda de m'asseoir, je refusai d'une voix pleine d'amertume, je lui demandai sèchement de bien vouloir m'expliquer ce qu'il se passait.

"Mademoiselle Koniakov, vos parents sont décédés suite à un accident de voiture."

Je la regardais, choquée, je ne pouvais plus bouger. Ma bouche s'était ouverte comme pour lancer un cri de désespoir, mais ce ne fus que mes protestations et mes accusations qui remplissaient le silence qui s'était autrefois installé. Je la traitais de menteuse, ce n'était pas possible, mes parents allaient très bien je les avais vus ce matin avant de partir. Ma mère m'avait donné mon déjeuner avec un grand sourire et mon père m'avait ébouriffer les cheveux en me souhaitant une bonne journée. Ce n'était qu'il y a quelques heures, ils ne pouvaient pas être mort, c'était une erreur. De grosses larmes coulaient sur mes joues, je me mis à crier, mais la directrice ne disait toujours rien. Elle me regardait, de ce regard plein de pitié que seul les adultes peuvent maitriser. Lorsqu'elle commença à parler, je ne l'entendais pas, elle me conduisit doucement vers la sortie du collège où mes grands-parents maternelles m'attendaient. Ils m'enlacèrent, mais je restai stoïque, ma grand- mère se mit à pleurer de plus belle en voyant mon état. Je devais ressembler à un zombie.

Je décidai de partir, loin de mes grands parents, loin de ce collège, loin de Manchester. Je leurs empruntais un peu d'argent et leurs laissais un mot d'adieu avec une promesse que je rendrais les sous. Je pris le premier avion possible. Il m'emmena à Tokyo, capitale du Japon. Je décidai de visiter l'archipel Nippon en quête d'un endroit où m'installer.

Je rencontrai une ancienne étudiante du Pensionnat Rayen, elle me donna les coordonnées de celui-ci en me promettant que c'était exactement ce que je cherchais. Après 6 h 30 de trajet, je me retrouvais devant une imposante grille en acier. J'avais un peu hésité au début, me demandant si je serais bien accueillit dans l'établissement malgré mon caractère assez spéciale et mon physique extravagant. Mais bon maintenant c'est fait et j'attends avec impatience de finir ce maudit dossier pour que je puisse enfin voir à quoi ressemble ce pensionnat.



Et derrière l'écran?

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Rei Akimera

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MessageSujet: Re: » Mariska D. Koniakov.   » Mariska D. Koniakov. Icon_minitimeDim 24 Juin - 20:01

Bienvenue à toi :)

Et bien écoute, tout est bon. Cool une autre délinquante, j'aime la violence !
Bref, et bien je vais pouvoir te valider.

N'oublie pas de demander une chambre et amuse toi bien parmi nous :)
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» Mariska D. Koniakov.

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