La plupart tourne autour du fait que je suis sérieux et serviable. Ce n'est qu'une image. En réalité, je suis timide et réservé. Je ne travaille jamais en réalité, mais je n'ai aucune difficulté à apprendre, c'est pour ça que les professeurs pensent que je travaille. Le Chant c'est toutes ma vie maintenant. Il est vrai que je suis très gentil, et j'aide les autres, mais c'est uniquement pour ne pas montrer que je suis seul à l'intérieur. Il n'y a pas beaucoup de monde avec qui je partage des choses, ou rigole simplement. Je suis quelqu'un d'assez mystérieux, qui cache beaucoup de choses. Vous le saurez lorsque vous lirez mon histoire... Je n'ai plus grand chose à dire, vu qu'une grande partie à déjà été dite... Et puis, c'est mieux lorsqu'il y a des parties inconnus, on les découvrent au fur et à mesure que le temps passe... / Je suis partit quelque mois, en Amerique et en Russie, je ne suis plus le même, je suis toujours aussi joyeux, mais je reste réservé, le monde autour de moi n'est pas le même, le noir est devennu ma demi existance.

Haaa ce cher Rey. Il faut bien commencer par quelque part. Alors on va commencer dans le général. Ce jeune homme est plutôt grand, un mètre quatre vingt douze. Il pèse 75 kilogrammes, donc dans les normes. Si on lui enlevait son haut pour voir ? Hop ! Des tablettes de chocolat ! Ce garçon est musclé, juste comme il faut. Il n'aime pas vraiment les gros muscles. Il aime bien faire du sport de temps en temps. Bon ensuite. Passons un peu au détail... Il a les cheveux bleus. Comment ça pas possible ? Hé bah si. On appelle ça la coloration. Normalement, il est brun, mais il préfère de loin le bleu. Ils sont plutôt mi-long/court, et jamais coiffé. Le matin, il secoue ses cheveux et voilà, il est coiffé. Que dire d'autre... Ses yeux. Aussi bleu que ses cheveux. Ils sont tellement beaux à regarder, mais pourtant, aucune once de la personnalité de Reyo s'y reflète. Mystérieux, c'est le mot que l'on emploie en voyant ses yeux. Après, il n'y a pas grand chose à dire d'autre, c'est un beau jeune homme qui fait craquer presque tout le monde. Ouah la grosse cicatrice sur l'épaule!! Comment? Mystère. Sinon il s'habille toujours bien, Jean's ou simple pantalon, chemise un peu ouverte. Et de toute façon, tout lui va ! Ah, j'oubliais, il porte toujours un casque de musique, sois sur les oreilles, sois à son cou quand il n'écoute pas sa musique. Bon, je crois que j'ai fais à peu près le tour ! (Et puis j'ai pas envie de m'attarder, ce serait bête de tout dévoiler maintenant~) / Suite a mon voyage il ne me reste plus qu'un oeil valide après metttre pris une balle (De pistolé pas de tennis ou autres) Son oeil droit est donc devennu blanc, mais Reyo le garde fermer pour n'effrayer personne.

J'ai vécu une enfance tranquille comme tous les enfants de mon âge j'allais à l'école tous les jours ; nul en Histoire mais expert en musique, je ne chantais pas, mais j'étais très bon quand même. Tout ça c'est passé vite... J'ai sauté ma cm1, je suis allé au collège avant les autres et à 10ans ma petite sœur ma rejoint, ça a bouleverser ma vie...

Mon don pour le chant commençait à faire son apparition quand je chantais pour ma sœur. Ma mère m'accompagnait au piano, et ma petite sœur, me regardait chanter en applaudissant de ses petites mains...

J'avais environ 12 ans lorsqu'il se produit un accident qui me marqua à vie. Je revenais de l'école, et je devais passer chercher ma sœur. Sur le chemin de la crèche, je suis passé à la boulangerie m'acheter quelques bonbons, et une sucette pour ma sœur. Je sortie tout content, et j'allais pour traverser la rue, lorsqu'une voiture arriva à toute allure. Je n'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Quelqu'un s'était jeté sur moi pour me pousser de là, et c'est lui qui encaissait le coup. J'étais assis par terre, quand je vis la voiture arrêtée sur le coté, et l'homme qui m'avait sauvé la vie encastré dans le pare-brise. Il y avait du sang partout, et j'étais à nouveau pétrifié en voyant un tel spectacle... Les gens autour n'avaient pas vu exactement ce qu’il s'était passé, donc ils ne savaient pas que cet homme était mort... Pour me sauver... Tant bien que mal, je me relevais, et repris le chemin, en essayant de garder un visage tout ce qu'il y a de plus normal, pour aller chercher ma sœur. C'est à partir de ce moment, que j'ai été aussi aimable et serviable...
Personne ne su que j'avais vu cet accident, et la vie continua. Je rencontrais des gens, je me faisais des amis... Puis arriva le jour où mes parents décidèrent de m'envoyer dans un pensionnat très réputé, "pour que je prenne mon indépendance" Et c'est ainsi que je fus arrivé à Rayen. J'ai rencontré une jeune fille qui me plaît, Hinae, je l'aime maintenant, on sort ensemble depuis que je suis arrivé à Rayen. Je me fis recruter dans un groupe en tend que batteur, par Rei, puis le temps passa et je suis devenu son confident.

Aujourd'hui j'ai 19ans je viens de prendre l'avion pour la Russie après de nombreux mois passés au pensionnat après des heures d'attente en avion j'arrive enfin dans ce pays et dans cette ville, Moscou la capitale ! je suis resté au même endroit deux semaines puis je suis allé à Kasan, une ville proche de Moscou. Jai visité de nombreux bâtiments puis en manque d'idée j'appris légèrement le russe, pour peut-être avoir l'accent. De retour à Moscou je pris l'avion en direction de l’Amérique.

Arrivé en Amérique une servante de ma famille m'attendais a l'aéroport de Los Angeles, je su que les vacances était fini... Je la suivis jusqu’à une résidence secondaires appartenant à ma famille. Ce que j'y fais ? Peut d'importance. L'important c'est ce qui arrive après les deux semaines passées là-bas : après être parti de la résidence familiale secondaire, je m'installais à l’hôtel "Four Season" de Beverly Hills, dans la plus grande de ses suites. Le matin suivant mon arrivée à l’hôtel je descendis dans le hall ou m'attendait du personnel pour le petit déjeuner. Je suis visiblement un hôte de marque alors je suis bien traité. Le petit déjeuner fini, je sortis de l’hôtel et sans faire attention je m’avançais sur le la route pour la traverser quand je vis une voiture me foncer dessus. Au lieu de m’écarter, ce qui m’aurait été impossible vu sa vitesse, je sautais à plus d'un mètre de haut et la voiture passa juste en dessous de moi. De retour sur terre, je couru vers la voiture qui s'était plantée dans un poteau quelque mètre plus loin, heureux d'entendre qu'il n'y ait pas de blesser. Je continuais ma route.

Quelques rues plus loin dans les ruelles sombres, je passais tranquillement quand j’aperçus un homme frappant une femme. Pris d'un vent d’héroïsme, je couru en fonçant dans celui-ci. Après quelques coups, il s'enfuit. Je revins vers la femme qui s'est faite agressée. La pauvre ne pouvait plus bouger tellement elle avait eu peur. Je pris mon portable et appelais une ambulance ainsi que la police. Je les informais de la situation puis, quand ils arrivèrent, je parti avec seulement une égratignure sur le bras. Je refusais l'aide des ambulanciers, et leur priais d'aider la jeune femme. Puis je continuais ma route. Pris de fatigue, je décidais de rentrer. Mais dans ma suite, quelqu'un m'attendait. Quelqu'un avec de mauvaises intentions. Il pointa une arme vers moi et, avant que je n'ai eu le temps de lui prendre, il me tirait dans la poitrine du coté opposé au cœur. Je m'étalais à terre et fendis la mort le temps qu'il parte. Visiblement amateur, ce tueur ne me tira pas dessus pour confirmer ma mort. J’entendis claquer la porte. Quand elle s'ouvrit de nouveau, c'étaient plusieurs personnes qui avaient entendus le coup de feu qui étaient là. Rassurer je fermais les yeux.

Quand je les rouvris, j'étais dans un lit d’hôpital. Logique me dit-je. Je me redressais et vis les nombreux fils qui étaient reliés de mon corps à plusieurs machines. Je fis le tri des fils maintenant inutiles et appelais une infirmière ou un infirmier. Quelques temps après, une infirmière se présenta devant moi, stupéfaite de me voir en si bonne forme. Je lui expliquais que je guérissais vite. Elle, à son tour, m'expliquait que je ne suis ici que depuis quelques heures. Je calculais alors le temps qu'il me restait à rester ici. Je sortis de l’hôpital vingt-huit heures après mon entrée. Les docteurs n'en revenaient pas que je puisse guérir si vite. Je leur souris puis retournais à l’hôtel. Je pris mes affaires mais je remarquais que je ne voyais plus très bien le monde, assombrit depuis ce jour. Je partis de l'Amérique en avion en direction du seul endroit où je suis bien. Je revins après quelques temps de vol et voiture, au Pensionnat Rayen, légèrement changé.