Intimité (pv Diem )

Le jour se leva, malheureusement pour le jeune homme qui n'avait pas du tout envie de se lever. Mais bon toute les bonnes choses on une fin aprés tout. Soen dut se lever pour allé en cours, malheureusement c'était ca ou se faire renvoyer, le jeune homme n'y tenait pas vraiment. bien qu'il ne soit pas du genre délinquant, Soso avait tout de même un taux d'absenteisme assez élevé.

Forte heureusement la matiné passa plus vite qu'il ne l'avait esperer. Soen décida ensuite de ne pas respecter ses bonnes resolution et se prepara allé en ville. En partant du pensionnat, il resta vigilant, pas qu'un surveillant remarque qu'il faisait le mur. Mais le jeune homme ne fit pas vraiment attention a devant lui et heurta en partit une jeune femme en lui faisant tomber ce qu'elle avait dans les mains.

- Oh pardonne moi, j'étais ailleurs, attend je vais ramasser tes affaires.

Il lui fit un leger sourir et se mit accroupis pour reunir tout ce qu'il avait eparpillé. Puis le lui remit aussitot en main, elle partit sans vraiment attendre, elle devait être pressé. En reprenant la marche, Soen tomba sur un petit cahier en le poussant du pied sans le vouloir. Il le ramassa et se dit qu'il devait surement être a elle, en se tournat, Soen remarqua qu'elle avait deja disparu, probablement dans une classe. Bah la chercher serait une perte de temps, elle pouvait être n'importe ou. Le jeune homme reprit son chemin en se disant qu'il le lui rendrait si il l'a croisé.

Il gagna la ville assez vite, mais ne trouva pas d'occupation assez rapide. Il se demandait ce que pouvait bien contenir le cahier et une fois a table dans un petit café. Le jeune homme l'ouvrit dans l'idée de lire les premieres lignes mais des qu'il vut "cher journal" il le referma aussitot. C'est vrai que les filles avaient l'habitude de tenir se genre de journal. L'étudiant connaissait cela de sa soeur dont il était tombé sur le journal egallement, elle lui avait fait la tête pendant un moment malgrer le fait qu'il ne l'avait meme pas lu.

Bref, ce n'était pas vraiment pareil d'une jeune femme qu'il ne connaissait même pas. Malgrer le fait qu'il avait dans les mains le moyen de la connaitre dans le moindre détail. Mais le jeune homme respecté un minimum l'intimité des autres, il n'aimerait pas que l'on fouille dans son appareil photo qui était un peu son propre journal a lui.

Il se rendit pres de la cascade, quand l'heure de pointe fut a son apogé, ne suportant pas le monde, restait en ville était difficillement acceptable pour lui. Il s'allongea et regarda a nouveau le journal, mais que la couverture, esperant trouvé un indice pour retrouvé la jeune fille mais rien ne l'aidait. Soen soupira et le posa sur son sac pour ne pas le salir avec l'herbe puis regarda le ciel.

Peu de temps aprés, quelqu'un s'approcha et Soen se releva pour regarder dans la direction d'ou venait les bruits de pas. Il ne l'avait pas reconnu sur le coup et dit d'une voix calme est assez sympathique pour ne pas effrayé la personne.

- Qui va la ?

Il faut être réaliste, je suis une " intello " je n'ai pas autant d'amis que toutes ces filles parfaites et le peu que j'avais, je voulais le garder. Seulement là, je peux définitivement me rayer de sa vie, voir même du pensionnat. Elle est capable de me le faire payer jusqu'à la fin de ma vie. Pourquoi me l'avoir confiée ? Moi ... la fille la plus maladroite que le pensionnat est connue.

Je vais être honnête, quand elle m'a dit : " tu as trois heures pour le retrouver. " Je savais que jamais je ne le retrouverais. Pas besoin d'avoir mon QI pour savoir que c'était impossible.

A moins qu'un miracle ne se fasses, j'avais 99% de chance de ne jamais revoir ce garçon. Voilà bien longtemps que je suis dans ce pensionnat, je ne savais même pas qu'il existait, ensuite il partait du pensionnat le matin, soit il ne fait pas partie du pensionnat donc je n'ai aucune chance, soit il en fait partie et sécher les cours. Résultat, si je veux ne serais-ce qu'une infime chance je dois encore sécher les cours ... Pour la deuxième fois de ma vie. Avant de la quitter je lui ai tout de même fait mes adieux. On ne sait jamais mais, voilà je suis là, face à la grille du pensionnat. Bien entendu je suis du mauvais côté, je regarde l'intérieur de la cour à travers les barreaux. Qu'est-ce que je ne ferais pas pour une amie ...

En vrai, je lui fais croire que je cherche son journal, mais non. Je suis là, cherchant un refuge pour finir ma vie en paix. Robinson sur son île était surement le plus heureux, loin de tout soucis, vivant avec légèreté. Je ne sais pas pourquoi tout le monde s'obstine à le voir comme étant l'homme sauvage, seul et malheureux sur son île.

J'aurais été si bien sûr ce bout de paradis, d'ailleurs, les cascades m'inspiraient confiance aujourd'hui. C'est un lieu merveilleux, le bruit de l'eau ruisselant sur la roche, la végétation protégeant du soleil et surtout le calme et la sérénité des lieux ...

C'est ainsi, que grâce a Robinson (indirectement) je trouvais comme lieu d'exile les cascades de Matsumaya.

[...]

Chaussures en main je continuais mon chemin sur la roche chaude, observant mes pieds minutieusement. Quand tout à coup une voix me tira de mes rêveries : " Qui va la ? "

" Oh mon dieu ... Dite moi que je rêve " Mes pas se stoppèrent, mes yeux se relevèrent.

" C'est impossible, cela ne peut pas être toi ? Tu ne m'as jamais vu n'est-ce pas ? "

De haut en bas je l'analysais ... Il n'y avait aucun doute c'était la même voix, le même physique :
" Cette chaleur me fait tourner la tête tu n'es qu'un mirage, c'est ça ? "

La folie s'emparait de moi à vue d'oeil, l'émotion surement, je l'avais trouvée c'était lui ! Enfin, d'après mes souvenirs ... Il collait à la description que je m'en étais faite.

- Oh mon dieu ... Dite moi que je rêve

Soen pencha doucement la tête avec un regard curieux, peut-être revait-elle qui sait. Mais bon, visiblement, cette fille le connaissait. Soen ne fit pas vraiment le rapprochement avec la fameuse bousculade sur le moment. Mais bon, ce qu'elle dit ensuite ne l'aida pas a mieux comprendre. Il s'était attendut a voir quelqu'un d'autre mais bon, comme quoi le hasard fait bien les choses.

- C'est impossible, cela ne peut pas être toi ? Tu ne m'as jamais vu n'est-ce pas ?

Soso ne savait plus vraiment quoi penser la, elle ne l'aidait pas a y voir plus clair en même temps. Est-ce qu'il l'avait deja vu ? Ce n'est pas en un coup d'oeil que l'on peut mémoriser une personne. Soen avait était un peu plus occupé. D'un geste assez discret, il glissa le journal dans son sac pendant qu'elle ajoutait.

- Cette chaleur me fait tourner la tête tu n'es qu'un mirage, c'est ça ?

Le jeune homme était de plus en plus ammusé par cette situation. Il n'était pas trés loin de l'eau, a porté de bras en faite. Soen plongea sa main dans le liquide cristalin et lanca de l'eau vers elle d'un geste rapide. Bien entendu, elle était un peu loin et seul quelques goutelettes eut la chance de l'atteindre. Il dit alors de la meme voix qu'avant.

- Ca devrait te rafraichir un peu et en meme temps te prouver que je suis bien la.

Soen lui sourit et ria legerement, puis reprit son regard serieux. Le jeune homme se demandait vraiment qui elle pouvait bien être, visiblement, elle le connaissait, donc il tenait a savoir d'ou elle le connaissait. Enfin, ce n'était pas dure a deviné qu'elle devait être au pensionnat. Soso lui était quelqu'un de trés discret en temps normal, donc difficille de se rappellé de lui. Bref, pourquoi ne pas se présenter pour commencer.

- Je m'appelle Soen Haruka, enchanté.

Haruka, ouvrait un livre parlant de l'histoire du kendo, vous verrez que l'une des écoles assez réputer a une époque porté ce nom. Fermé depuis quelque années désormais, le fondateur lui en revanche avait marqué l'histoire egallement. Il ésperait qu'elle n'est pas son nez plonger dans les livres a longueur de journée. Soso lui sourit a nouveau, comme pour lui prouver qu'il n'était pas quelqu'un de méchant.

D'un geste rapide le jeune homme me lança de fines goûtes froides, c'était une sensation très agréable par cette chaleur. Un petit rire sortie de ma bouche, en effet cela me remettait les idées claires comme il le disait si justement cela confirmait sa présence. Il n'avait pas l'air de me reconnaitre, je me sentais un peu bête d'avoir agis ainsi. Après tout, je n'étais pas à l'abri d'une erreur. Généralement quant-on se focalise sur quelque chose, notre inconscient nous le fait percevoir partout, sans pour autant qu'il soit présent. J'avais remarqué cela par rapport à mes recherches concernant le chiffre 23 ! Plus jeune je m'étais penchée sur la question " est-ce que cette théorie existe, ce chiffre nous suit-il ? " il est vrai que tous mes calculs revenaient sur le chiffre 23 ! Pour une seule est unique raison, je courais après ce chiffre, ce n'est pas lui qui me hantait mais, bien moi qui voulait le voir partout. Comme pour ce jeune homme, je voulais le voir donc, je le voyais à travers tout le monde.

- Je m'appelle Soen Haruka, enchanté.

Il avait en main un livre sur l'histoire du kendo, je ne m'y connaissais pas spécialement en sport, que ce soit celui-ci ou un autre.

" Moi c'est Diem Luyen, tu pratiques le Kendo ? "

Ce livre lui fit oublier totalement son objectif premier, elle ne pensait plus trop au journal de sa copine. A present, elle s'intéressait bien plus à son interlocuteur, il devait être sacrément passionnée pour lire un tel ouvrage. D'ailleurs concernant ce fameux journal, elle n'était même pas sûr que le jeune homme le possède vraiment.

Soen avait un beau sourire sur le visage, je m'empressai de lui rendre également, prenant ensuite place à ses côtés au bord de l'eau. Mes jambes étant en compote et la chaleur n'arrangeant pas les choses, je mouillai une de mes mains et la passa sur mes joues. Le liquide translucide coulait dans mon cou, laissant sur son passage un effet de brillance.

Je plongeais alors, mes yeux dans le bleu de l'eau, mes doigts caressant la surface de ce liquide. Un soupir s'échappa de mes lèvres : " Tu ne te baignes pas ? "

Je détachai mon regard de l'eau, puis le posa sur le jeune homme. Pourquoi restait-il ainsi sur la rive, alors qu'il serait bien plus agréable de se mouiller un peu. Sans attendre sa réponse je retirai mes chaussures, les déposants sur un coin d'herbe non loin de moi, puis posa mes pieds dans l'eau.

Soen entendit son rire, se disant qu'il ne l'avait pas vexé avec son geste. Ouf, au moins une bonne nouvelle. Soen avait tendance a se montré un peu indelicat par moment mais au fond il n'était pas méchant du tout. Meme si en cette période, le jeune homme avait un peu de mal a faire face a sa dépression. En cette instant, il ne s'en souciait pas vraiment. Elle avait l'air gentille, puis la situation avait le don de l'ammusé egallement.

- Moi c'est Diem Luyen, tu pratiques le Kendo ?

Eh voila, le sourire sur le visage de Soen s'effaca en cette instant. Y avait bien trois question qui aurait put provoquer cela et il avait fallu que ca soit l'une de celle la qu'elle lui pose en premier. Soen en baissant les yeux comprit le pourquoi du comment, il avait un livre de kendo posé sur lui mais, ne l'avait prit que pour en apprendre un peu plus sur son grand pere et rien d'autre. Pour ce qui était de la pratique, Soso avait deja un niveau de professionnel dans son cas. Le jeune homme rangea egallement le livre dans son sac, laissant l'occasion a la jeune fille d'entrevoir ce qu'il pouvait contenir. Puis dit d'une voix calme, cachant ce qu'il pouvait ressentir.

- Depuis que j'ai pu tenir un sabre de bois.

Puis il n'ajouta rien de plus, aprés tout, il avait repondu a sa question. Diem, ou Luyen il ne savait pas trop comment l'appellé a vrai dire, car au japon, on prend le nom de famille pour les gens avec qui l'on est pas intime. Mais Soen ayant était elevé a la mode anglaise, avait l'habitude d'utilisé les prénoms des le début et pouvait paraitre grossier.

- Tu ne te baignes pas ?

Ben, encore une question a laquelle il ne s'attendait pas. Se baigner ? pourquoi pas, mais sans maillot de bain ce ne serait pas pratique. Mais c'est vrai que l'eau pouvait faire envie. Diem trempa ses pieds dans l'eau et Soso se contenta d'y trempé la main. Il dit alors d'une voix plus douce et paisible.

- Si j'avais pensé a prendre mon maillot, je pense que je me serais deja baigné avec cette chaleur.

Il est vrai que je n'en avais pas non plus mais, ce cher Robinson en avait-il seulement un ? Je n'en étais pas bien sûre. Un soupir s'échappa d'entre mes lèvres que j'humectai par la suite. Ma main gauche continuait de rapporter l'eau claire sur mes jambes à présent fraiche. Son dos quant à lui brulait de plus en plus, elle aurait tellement voulue se tremper un peu. Seulement pour ne pas prendre de coup de soleil ou même éviter l'insolation. Elle remonta légèrement sa jupe et commença à humidifier ses genoux, puis remonta légèrement plus, sans trop dévoiler ses cuisses. Elle était un peu gênée de faire cela mais, n'avait pas d'autre choix. Ses bras étaient frais et elle n'avait pas accès à ses épaules recouverte de sa chemise. Les petites manches de sa chemise de refermait sur ses bras sous forme de petits ballons. Empêchant ses doigts de se glissaient jusque ses épaules. Heureusement elle ne portait pas de vêtement noir ce qui aurait été encore plus pénible, vu que cette couleur garde la chaleur.

" Il est vrai que je n'en ai point non plus " Constatais-je à voix haute.

" Je n'ai pas pu retourner à ma chambre pour le prendre et j'avoue que je ne suis pas vraiment venue pour cela mais, voir la beauté de ce paysage me rend envieuse de ceux qui peuvent en profiter, pourquoi es-tu là toi ? " J'avais dit cela, les yeux plongés dans le vide, comme ci le monde ce lieu était le dernier que je pouvais voir intacte. Comme ci partout ailleurs le monde avait été dévastés par une guerre.

Je me lançais à présent dans un monologue, sans savoir si le jeune homme à mes côtés écouté réellement. Je lui parlais à présent de ma matinée, une matinée plutôt banal jusqu'à cette bousculade soudaine. Cette bousculade qui avait alors entraînée la perte d'un livre, plus précisément un journal intime. Elle releva la tête en rassurant le jeune homme du fait qu'il n'y avait probablement rien de bien palpitant dedans mais, tout de même. La personne possédant ce cahier avait surement de nombreux arguments pour faire chanter mon amie ou bien de la ridiculiser. Qui sait ? Ce que pouvait contenir ce genre de lire. Il suffit d'un évènement, d'une colère soudaine ou bien d'un amour déçue pour que ce genre de livre soit une arme contre son écrivain. Lorsque l'on écrit ce genre de livre, on s'attend à ce que personne ne le trouve mis à part soi.

On ne se doute pas qu'un jour, une personne autre que soi-même, puisse le trouver ou le voler. J'avais d'ailleurs pour intention d'un commencer un mais, cette histoire m'avait remis sur le droit chemin, personne ne lira jamais mes souvenirs et jamais je ne les écriraisUne fois mon monologue finis je le conclus par un aveux :

" Lorsque je t'ai vu, j'ai vu en toi le visage du jeune homme de ce matin. Hélas, je pense mettre trompée ... "

Soen se dit qu'allait prendre un maillot et revenir ici ne devait pas être une mauvaise idée. Mais se retint de proposé son idée a la jeune fille, aprés tout, ils ne se connaissaient pas assez et qu'est-ce qu'elle aurait put croire a ce moment la. Diem commenca a parlé d'ailleurs. Elle avoua qu'elle n'en avait pas et semblait avoir assez chaud surtout au dos. Puis dit autre chose, une question a laquelle Soen ne sut quoi repondre.

- Je n'ai pas pu retourner à ma chambre pour le prendre et j'avoue que je ne suis pas vraiment venue pour cela mais, voir la beauté de ce paysage me rend envieuse de ceux qui peuvent en profiter, pourquoi es-tu là toi ?

Forte heureusement pour lui, il n'eut jamais le temps de repondre a cette question car elle se remit a parlé, semblant raconté sa matinée. Le pire dans tout ca, c'était que Soen ne l'ecouta pas vraiment, le passage qui l'intrigua était bien celui de la bousculade, il laissa d'ailleurs echapé un grognement de curiosité qu'elle ne sembla pas remarqué. Puis conclu au bout d'un moment.

- Lorsque je t'ai vu, j'ai vu en toi le visage du jeune homme de ce matin. Hélas, je pense mettre trompée ...

Non, elle ne s'était pas trompé, en realité elle avait visé dans le milles a ce moment la. Soso glissa la main dans son sac et attrapa le fameux journal mais sans le lui dire. Il se contentait de la regardé, si c'était une jeune fille qui voulait avoir un moyen de pression sur la personne qui avait ecrit tout ca. Soen eut soudainement une idée, caché discretement derriere sa precedente. Il l'appella et quand il fut sur d'avoir attiré attention, lui lanca le journal.

- Tiens, si ca peut te rassuré je ne l'ai ouvert que dans l'idée de connaitre le nom de sa propriètaire mais je l'ai refermé aussitot quand j'ai comprit de quoi il s'agissait, j'ai une soeur qui tient se meme genre de journal, je sais a quelle point ca peut etre precieux pour vous ce genre de chose.

Puis il s'étira et s'approcha de l'eau pour ajouté.

- Dis moi, si ca te derange pas de secher les cours, que dirais-tu qu'on aille les cherché, comme ca au passage tu pourra le rendre a sa propriètaire non ? C'est toi qui voit je vais pas t'y forcer ?

Il lui fait un leger sourire puis ajouta avec simplicité mais franchise.

- Ce n'est pas dans le but de pouvoir te voir en maillot de bain ne t'en fait pas, je suis pas ce genre de type. Mais je pense qu'une bonne baignade m'aiderais a me raffraichir les idées.

Ca c'est sur que depuis ca rupture, ce changer un peu les idées lui ferait du bien, surtout en ce moment ou il passait plus de temps qu'autre chose a se morfondre, Soen attendit donc la reponse de Diem, bien entendut, si elle refusait, il ne pourrait pas vraiment lui en vouloir.

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