(si ma méthode de chambre ne convient pas n’hésitez pas a la supprimer c’était juste une idée parmi tant d'autres *o* )

(Peut-être qu’avertir tous les gens de cette chambre serait une idée XD j’ai passé de peu de pas le voir, mais c’est une bonne idée, ça va permettre de se connaître entre colocataires! Alors, je me lance en premier!)

Vous parlez d’une journée! Entrainement, course, cardiaux, Kendo et j’en passe! Le coach était en feu… Façon délicate pour dire qu’il voulait notre mort! Je ne sais pas ce qu’il avait aujourd’hui, surement que sa femme lui avait refusé sa gâterie du soir? Bas, normale en étant chauve et bedonnant non? Bon, je ne m’attardais pas plus longtemps sur ma rancœur. Au moins, j’avais dépensé toute mon énergie! Sur mon retour, j’allais prendre une douche rapide pour retirer la sueur qui perlait sur ma peau. Puis, je me rendis vers le dortoir. Sortant la clef de ma poche, je déverrouillais celle-ci et pénétrais à l’intérieur. Il faisait complètement noir! Bon, il ne devait pas y avoir personne encore! J’allumais la lumière avant de lancer mon sac sur les draps de mon lit encore défait de ce matin. Franchement, s’il y avait bien un truc que je trouvais inutile, c’est de faire mon lit!

Je laissais tomber un soupir pour évacuer ma fatigue et mon irritation. Je me dirigeai vers ma commode afin de trouver des vêtements propres. Ceux que j’avais étaient maintenant à mettre à la lessive après mon entrainement. Je retirais mon chandail et le balançais sur les draps de mon lit et fit de même avec tous mes effets. Je ne craignais pas trop qu’un de mes colocs entre au même moment que je me changeais, nous étions tous des garçons et en plus, même s’il y avait eu une fille, je m’en fichais complètement! J’enfilai finalement un nouveau boxeur et un pantalon, je ne pris pas la peine de mettre un chandail pour le moment. Il faisait chaud et je n’avais aucune envie dans ma propre chambre de me forcer à en mettre un par… Pudeur? Mais, qu’elle est ce mot après tout!

Je finissais de remonter ma fermeture éclair, alors que la porte s’ouvrit. Je posais les yeux vers celle-ci pour voir lequel de mes colocataires venait de revenir. Je dois avouer que je me plaisais bien dans cette chambre, tous mes colocs avaient de la gueule, alors les matins au moins, ça ne me piquait pas les yeux. Bien au contraire j’avais un spectacle tous les jours!

« Salut. »

Soufflais-je simplement en m’allongeant sur mon lit, dont je venais de repousser tous les vêtements salle sur le plancher. Voilà le travail! Je l’ai mettraient dans le panier plus tard… Un jour? À un moment ou un autre! N’étant pas d’un genre antisociable, du moins avec les gens qui ne mérite pas, je me décidais à lui demander d’où il revenait.

« Tu viens de finir quoi? »

Je croisais mes bras derrière ma tête pour la soulever et mieux le regarder, en restant allongé toujours sur mon lit.

A bien y réfléchir si je devais résumer ma journée je dirais que je me suis perdu dans le subconscient d’une abeille amnésique. Pas très fun comme métaphore mais pourquoi pas ? Une abeille amnésique est ce que quelqu’un sais ce que ca doit être ? Butiner sans savoir pourquoi ? Voler sans savoir comment ? N’avoir plus aucun but alors que nombreux savent que les abeilles ont un but essentiel dans cette vaste nature. Nous somme comme ces abeilles a la seul différence c’est que nous… nous ne sommes pas amnésique =_=.

Quelle vie de chien je vous jure. Bref je vais m’arrêter de m’attarder sur ce point. Je sortais donc d’une bonne petite journée de monotonie journalière pour me diriger vers ma modeste chambre. Chambre qui n’était pas vraiment la mienne vue que je la partageais avec mon cher et tendre bestouille et deux autres camarades que je ne connaissais pas plus que ca. Je les aie souvent croisé de vue et encore. Ont va dire que notre vie de collocation n’est pas vraiment ce que j’appellerais de souder. Tout ce que je sais c’est qu’ils sont assez agréables à regarder le matin.

Tout ca pour dire que ma réflexion ma conduit jusqu'à la porte de se cher dortoir. Dans un soupir je pris la poigné en main et ouvrit la porte. Quand j’ouvrais cette chambre en générale je ne jouais plus. M’imposant cette limite pour ne pas perdre contact avec la réalité. Mon visage devint légèrement blaser quand je mis le premier pat dans cette chambre. J’entendis un « salut » et je m’inclinai devant mon colocataire. Celui-ci était plus grand que moi c’était flagrant mais bon que voulez vous ? Ne dit-ont pas que la meilleurs taille est quand nos deux pieds touchent le sol ? Bref je m’inclinai devant ce jeune coloc et avança vers le lit du bas à coté de la fenêtre qui était le mien pour m’affaler comme une grosse me*de après avoir soigneusement retiré mon haut que je pris soin de valdinguer au sol. Laissant apparaitre mes tatouages caché sans vraiment y faire attention, tout en écoutant Daryl me poser une question assez banale. Avant de répondre a cette question je vais décrire les tatouages visible sinon ca na pas d’intérêt d’en avoir. Sur le bas de mon dos était dessiner une flaque de couleurs assez brune avec une assez grand feuille verte poser a la verticale dedans alors qu’elle était surplomber d’un cerisier éternellement fleurit, perdant que ses pétales volaient dans un mouvement de vent en spirale. Ce cerisier partait des omoplates pour se finir sur le début de ma fesse droite. Le deuxième tatouage est sur la naissance de ma hanche gauche. Un petit pantin aux multiples facettes. Des vêtements assez ancien et cousu de manière vulgaire tenus par des ficèle disparaissant sur mes cotes et tenu pas une main assez spectrale sur ma cote gauche également. Derrière mon oreille, caché par mes cheveux se trouve un sourire également à la vertical prenant la forme de la lune alors que deux feu follet l’accompagne. Et pour fini le dernier se trouve sur mon pectoral gauche au niveau du cœur. Ici est dessiner une main articuler de manière assez bjdienne* transparente aillant l’illusion de sortir de mon tors pour attraper quelque chose qui n’existe pas

Une fois affaler dans mon humble lit je mis un gras derrière ma tête tendit que l’autre était poser sur mon bas ventre. Ma jambe gauche replier je frémis légèrement les yeux et répondit calmement.

« Je viens de terminer le bizutage d’un petit nouveau dans le domaine théâtrale »

A ma réponse un fin sourire se dessina sur mes lèvres. Il est vrais que je n’y avais pas été très gentiment mais ca en valais la peine.

« Et toi ta journée ? Pas trop compliquer ? »

([HRP] bjd: poupée japonaise articuler de partout.)