Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Alena March

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AuteurMessage
Alena March

Alena March


Féminin
Messages : 18
Age du perso : 18 ans

Carte d'identité
♣ Année scolaire: 3ème Année
♣ Colocataires: n°XX avec ---, --- & ---
♣ Relations:

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MessageSujet: » Alena March    » Alena March  Icon_minitimeDim 5 Aoû - 1:53


nom prénom ;


Alors, qui es - tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S): Alena March
AGE: 18 ans
NATIONALITÉ: Anglaise
ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro
ANNÉE SCOLAIRE: 3ème année
GROUPE: As every body
POURQUOI CE GROUPE: Parce qu'elle ne correspond à aucun autre groupe !
PERSONNAGE SUR L'AVATAR:


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
Si nous devions cibler le caractère d’Alena March à l’aide d’un seul mot, nous pourrions le qualifier de paradoxal. D’un naturel avenant envers les autres, cette jeune femme réussit néanmoins à constamment faire perdurer en elle un once de méfiance. Elle ne peut se satisfaire d’un sourire bienveillant pour accorder sa confiance en quiconque. Et c’est probablement pour cette raison qu’elle ne se laissera sûrement jamais marcher sur les pieds. En effet, on ne peut passer au dessus de son caractère naturellement bien trempé. Vous ne lui plaisez pas ? Elle vous le fera savoir, avec cependant un certain tact si son humeur vous le permet.
Malgré tout, on ne peut lui enlever le fait que son visage rayonnant, son irréprochable sincérité mais également sa maladresse innée lui confère un certain charme souvent apprécié des autres. Pourtant, Alena n’est pas une jeune fille qui puisse se vanter d’avoir une confiance aveugle en elle-même, et cela même si ses actes et ses paroles s’affairent à nous faire penser le contraire. Bien souvent rêveuse, elle ne peut s’empêcher de s’imaginer avec des caractéristiques qui ne lui appartiennent pas. Courageuse ? Bien peu pour elle… A moins que cela se rapproche d’une personne qui lui est chère et qu’elle se doit d’aider peu importe la situation. Persévérante ? Elle n’a jamais réussi à achever l’un de ses innombrables projets qui ont tous finalement été abandonnés en cours de route dés lors qu’un obstacle, aussi infime soit-il, se dressait devant elle. Adroite ? Une table, le rebord d’une fenêtre, une feuille de papier et c’est le drame… Pas une seule journée ne se déroule sans que se dessine sur son corps un nouvel hématome bleuâtre qui s’estompe plus ou moins rapidement, ou bien qu’une tache de sang apparaisse sur sa peau halée.
Pour résumé, il ne faut en aucun cas se fier à ce qu’elle cherche à montrer, car si l’on regardez un peu plus longuement, vous pourriez découvrir certaines façades de sa personnalité que l’on ne s’attendait en aucun cas à découvrir.




Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.
Alena March… Si je peux vous en parler ? Rien ne me ferait plus plaisir. La première chose dont on se remémore inévitablement lorsque l’on croise la route de cette mystérieuse jeune femme ce serait sans aucun doute son regard perçant qui semble lire en vous comme dans un livre ouvert, comme si lorsque celui-ci plonge dans le votre, le monde ne devenait qu’un vaste assemblement d’atomes se désintégrant à la vitesse de la lumière à votre vue, comme si votre présence s’apparentait à ce qui lui était de plus cher, de plus précieux. Comme si rien ni personne ne pourrait troubler ce silencieux échange solennel. Pourtant, leur teinte, oscillant entre un imposant gris aux lueurs argentées et un bleu azur dans lequel le désir de s’y plonger la tête la première était une envie partagé par un certains nombre de personnes, refléte deux attitudes paradoxales. Et la noirceur parfois prononcée de son maquillage ne manque pas d’accentuer cela. Mais cette particularité, vous ne pourrez la découvrir qu’en vous approchant d’un peu plus près.
Mis à part ses yeux représentant l’un de ses plus grands mystères, on ne peut passer au dessus des traits si fins de son visage qui peut se révéler aussi angélique que démoniaque. Son adorable petit nez se marie à la perfection avec la forme de son visage, tout comme sa bouche.. Si bien dessinée.. Ses lèvres aux teintes rosées immanquablement pulpeuses qui ne pouvaient mieux s’accorder à sa peau blanche et laiteuse qui parait scintiller radieusement lorsque les rayons du soleil s’y reflètent. Et si nous devions continuer sa description nous pourrions dire que sa chevelure auburn aux reflets dorés qui retombe avec une certaine désinvolture sur son front ainsi que le long de son dos, met également en avant son cou d’une pâleur encore plus accentuée que celle de son visage. Mais cela ne la rend que plus attrayante.
On peut ajouter à cela un corps particulièrement attirant qui ne pourrait se qualifier de filiforme car en effet, celui-ci arbore tout de même des formes généreuses, qui lui donne des allures de femme. De son mètre 70, et grâce à ses 54 kilos, sa silhouette élancée lui donne une démarche pleine d’assurance et de détermination, même si la vérité est en réalité tout autre. Et parfois, son style vestimentaire appuie amplement cette impression. En effet, il lui arrive de porter des vêtement on ne peut plus féminins et mettant physique, ses formes en valeur, tout comme elle peut s’habiller d’une façon très banale. Mais peu importe ce qui recouvre son corps, on ne peut échapper à sa beauté étincelante et à son sourire radieux qui éclaire son visage de mille feux.



Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.
L’automne semblait enfin se décider à apparaître dans la majestueuse capitale de l’Angleterre, Londres. Les feuilles desséchées commençaient à tomber lentement sur le sol afin de former un tapis verdâtre et orangé dont le parfum rappelait à tous vaguement l’été qui avait laissé place à une saison des plus grandes beautés, le vent commençaient à souffler dans une légère brise encore chaude qui permettaient aux feuilles de virevolter, de tourbillonner inlassablement, et entre ses arbres grelottant, bientôt vidés de leur somptuosité, se trouvaient Alena March.
Elle s’était adossée quelques heures plus tôt contre un arbre imposant, après s’être enfuie de chez elle le temps d’une nuit dans le plus grand des secrets parce qu’un irrépressible besoin de respirer l’avait agité. Elle se sentait enfermée chez elle, privée d’oxygène, de vie, elle avait eu cette soudaine impression de ne faire partie que du décor, de s’accorder avec perfection avec cette multitude d’objets inanimés et le fait de s’échapper de cet endroit qui lui était à cet instant même semblable à une prison d’or, lui était devenue une nécessité.
Après avoir effectué un saut habile depuis sa fenêtre, elle avait décidé de se diriger vers l’un de ses endroits favoris, qu’elle avait découvert quelques années plus tôt. Ses pas la menèrent donc vers un petit parc abandonné où coulait un ruisseau qu’Alena affectionnait particulièrement. A peine arrivée, elle laissa ses doigts effleurer le cours d’eau qui émettait un sifflement immanquable très agréable. La jeune fille restait quelques instants la main dans l’eau avant de finalement aller s’adossée au plus imposant des arbres qu’elle n’avait jamais vu et qu’elle connaissait à présent par cœur. Elle avait appris à apprécier ses défauts, son tronc nouailleux en cent lieux ébranché, sa vieille tête morte qui lui paraissait se hisser de plus en plus haut dans le ciel chaque année, ses nombreuses nervures qu’elle comparait à des blessures dues aux nombreuses décennies qu’il avait du passer immobile, à la merci de n’importe quel menace… Et c’est parce qu’il était si imparfait qu’elle se sentait si bien lorsqu’elle y était accoudée. Il lui ressemblait, en tout point. Et cette pensée la mena à ressasser des souvenirs lointains. En 18 années, Alena avait habité de nombreux pays, notamment la France, l’Espagne, l’Australie, l’Islande… mais jamais elle n’avait eu l’occasion de résider dans son pays maternel, l’Angleterre. Elle en avait toujours rêvé, et son souhait s’était réalisé après la mutation volontaire de ses parents qui chérissaient ce pays. Néanmoins, dés son arrivée, Alena qui avait eu l’habitude d’être une jeune fille particulièrement caractérielle et censée, ne réussit pas à mettre une logique au comportement si excentrique et paradoxal de ses concitoyens. Elle ne fit donc aux premiers abords aucun effort pour s’intégrer, et cela encore moins avec les jeunes de son âge. Pourquoi voudrait-elle s’apparenter à des personnes qui n’avaient strictement rien à voir avec elle ? Et pourtant, dés son premier jour dans son nouveau lycée, elle ne tarda pas à se familiariser avec Aria, une lycéenne de son âge qui était venue l’aborder. Elles apprirent à se connaître au fur et à mesure des jours ce qui permit également à Alena de s’intégrer de plus en plus facilement à ce troupeau d’énergumènes qui ne semblaient finalement pas si incompréhensibles que cela. Mais il en était toujours de même, malgré le sourire particulièrement attirant de la demoiselle et son attachante sincérité, tout le monde ne pouvait l’apprécier. Soit on l’adulait, soit on la détestait, c’était tout blanc ou tout noir, et ça l’avait toujours été, peu importe le pays où elle avait vécu.
Les années passèrent, sans que ses parents ne daignent proposer de déménager, ce qui était du goût de la jeune fille. Alena grandissait, sans que personne ne s’en aperçoive, elle atteint très vite ses 18 ans. La cigarette, les amis, les garçons, et parfois l’alcool, faisaient partie intégrante de sa vie, mais rien de bien inquiétant. Elle se révélait juste être une jeune femme qui avait pour première ambition de profiter de sa jeunesse. Sa meilleure amie, Aria, avait les mêmes habitudes qu’elle, et les mêmes penchants et c’est sûrement parce qu’elles se ressemblait autant qu’elles s’appréciaient, se comprenaient comme personne. Pourtant, l’enfance d’Aria était bien différente de la sienne, ses parents qui étaient divorcés depuis ses 13 ans, lui avaient fait vivre un enfer en essayant d’avoir sa garde, plus pour se sentir supérieur l’un de l’autre que pour le réel bonheur de leur fille. Son frère avait eu un tragique accident de voiture il y eu 2 ans de cela ce qui le mena à la tombe, et même si sa meilleure amie n’en parlait jamais, Alena savait pertinemment qu’elle n’arrivait pas à s’en remettre. Et c’est sûrement l’une des raisons principale de sa décadence. Aria s’était mise depuis quelques temps à fumer quotidiennement bien plus que des cigarettes, à boire bien plus qu’il ne le fallait, à se donner aux garçons bien plus facilement qu’elle ne le devrait. Elle se laissait souiller et maltraiter par des gros bras qui n’en valaient strictement pas la peine. Et malgré tous les efforts que fournissait Alena, elle n’avait jamais réussir à la sortir de cette vie de déchet. Elle avait tout essayé, se confiant même à ses propres parents en espérant qu’ils pourraient lui fournir l’aide nécessaire. Pourtant Aria n’acceptait aucune de ses ébauches de solution, elle disait aller bien, et n’avoir besoin de personne.
Alena passait donc de plus en plus de temps dans ce petit parc à essayer de réfléchir à ce qui pourrait la sortir de cette enfer dans lequel elle était tombée si jeune. Mais un jour, alors qu’elle s’apprêtait à passer le pas de la porte après avoir erré toute l’après midi, sa mère la stoppa net en lui barrant la route et en la tenant informée qu’Aria était partie. Partie ? Mais où ça ? Apparemment son père l’avait envoyée en Floride, chez son oncle. Elle était partie. Elle n’était plus là. Et l’idée de passer ma dernière année de lycée sans elle à mes côtés m’était insupportable. Et c’est cet irrépressible besoin quasi constant de s’évader hors de cette ville gorgée de souvenirs qui l’ont menée au pensionnat Rayen.




Et derrière l'écran?

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Shimeku Nagashi


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MessageSujet: Re: » Alena March    » Alena March  Icon_minitimeLun 6 Aoû - 2:30

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