Romeo et Juliette, une belle oeuvre [Timeo]

[Pas tres long pour un debut mais je n'avais pas trop d'inspiration pour cette fois]

J’avançai, les herbes me chatouillant les pieds, la sensation de picotement de la chaleur du soleil dans mon dos et un beau livre relie, aux décorations envoutantes des anciens livres en bon état, sous le bras.
J’avais décidée de venir dans le Parc pour m’y reposer après cette journée charge. En travail et en émotions. Les senteurs de l’herbe fraichement coupée, des fleurs aux magnifiques couleurs rouges, jaunes, m’entourant… le paradis. Il y régnait un grand calme pour un mercredi après-midi, a part les rares cris de quelques… hum… mignon petit enfants.

En voyant un saule pleureur dont les branches touchait le sol et qui était presque cache derrière une haie recouverte de roses, je ne pus empêcher le besoin qui montait en moi d’aller m’y assoir.
Un saule pleureur, triste. Rien de mieux pour moi en ce moment. En effet, je venais d’apprendre que les chiots de la portée de ma chienne Melody laisse aux Etats-Unis étaient tous morts.

Je refoulais cette pensée dans un coin de mon esprit déjà trop encombre, m’assit par terre, contre le saule pleureur, ses branches me cachant littéralement du monde. J’ouvrais le livre a une page au hasard. « Romeo et Juliette » un grand classique que j’adorais, lire et jouer. Me levant, je dis quelque réplique, comme si j’étais réellement Juliette.

-« Quel est cet ouragan dont les rafales se heurtent ? Romeo est- il tue et Tybalt est-il mort ? Mon cher cousin, et mon mari plus cher ! Alors, que sonne la trompette terrible du dernier jugement ! Car qui donc est vivant, si ces deux- la ne sont plus ! »

Sa voix était pleine d’émotion. Je ne jouais pas Juliette, j’ETAIS Juliette. En fermant les yeux, je me voyais dans une robe soyeuse, la nourrice à mes cotes en train de parler. Je continuai quelques répliques, puis me rassis dans l’herbe, les larmes aux yeux d’aillant jouée des passages tristes.

« Parfois il faut savoir rire quand on voudrait pleurer »

Non merde aller vous faire voir, énervé ? Oui est alors ? Sérieux elle étais obligée de m'envoyait une lettre pour me dire ça ? Sérieux ? Bon ce qui s'est passé et simple, ma soeur à accouché jusque là rien de grave, mais ils sont retournés en Espagne, jusque là aussi rien de grave, mais ils se sont mariés sans moi, moi qui suis ici seul... Seul non, mais je la tuerais...

Brefff j'étais en jean trouais avec une veste ouverte sans t-shirt en dessous, y a un problème peut-être ? Non bon ben arrêté de me mater comme ça. Je marchais dans les couloirs, mon casque sûr les oreilles et ma guitare sûr le dos. La fatigue et l'énervement ce faisait encore ressentir, mais la musique me calmait, puis il fait beau dehors et si j'allais jouer un peu où finir mon livre ? Je vais voir ce que je vais faire.

Je parti de l'académie pour me retrouver dans le parc, une fois arrivé je m'assis sûr un banc enleva mon casque de mes oreilles étendis mes longue jambe, le soleil tapait sûr ma poitrine dénudé, j'enlevai mon sweatt, je le posai à côté de moi sûr mon étui à guitare.

Je me mis à lire le livre que j'avais dans mon étui, une pièce de théâtre très précisément, ''Hamlet'' écrite par William Shakespeare, un écrivain anglais. Cette pièce raconte l'histoire d'un homme un prince qui doit venger son père de son fils. Une pièce vraiment très bien écrite.

Je lisais encore, quand j'entendis soudainement une tirade de Juliette, enfin Juliette c'est un personnage d'une autre pièce de théâtre ''Romeo et Juliette'' en gros Romeo et Juliette sont nées d'une famille différente, bien que les familles se déteste l'amour née d'une haine commune. Mais qui est cette fille qui joue Juliette si bien ?

Je regardai autour de moi et je la vis une fille, brune en dessous du sol pleureur là-bas, je pris ma guitare ma veste que j'attachai mon bassin, j'étais toujours torse nu.

« Tu devrais plutôt jouer celle-là »

Je l'avais sûrement tiré d'une sorte de transe, je posai ma guitare et ma veste par terre, puis je fis la tirade l'une des plus connus de cette pièce et de Juliette.

« Adieu ! Quand nous reverrons-nous ? Dieu seul le sait. Je sens une vague frisson de peur s'épandre dans mes veines et glacer presque la chaleur de ma vie ... Je vais les rappeler pour qu'elles me rassurent. Ma nourrice !...que ferait-elle ici ? Cette scène lugubre, je dois la jouer seule... le flacon ! Oh, si cette mixture n'agissait pas ? Serais-je alors mariée, demain matin ? Non,non ! ceci l'empêcherait. Toi, reste ici ... »

Je ne dis plus rien pendant dix secondes puis la regarda souriant.

« Salut je m'appelle Timeo et toi ? »

Cette jeune fille est vraiment belle une sorte de tristesse sûr son jolie visage où de mélancolie, cette fille est tous simplement touchante avec un air gentil.

J’étais perdue dans mes pensées, essayant de voire, d’imaginer ce qu’avait ressenti Shakespeare en écrivant cette pièce, le drame…

Soudain je vis un jeune garçon s’approcher de moi, assez beau il est vrai. Mais, je fus surprise par son accoutrement. Torse nu et une guitare accroche au bassin. Ah, un point de plus pour lui. La musique c’est bien aussi. L’inconnu me parla avant de s’exclamer une autre tirade de Juliette.
Je ris intérieurement de cette interruption inattendu.

-Salut je m'appelle Timeo et toi ?

L’inconnu, euh Timeo me dévisageait et j’étais vraiment gênée. Pour reprendre la conversation, je lui répondis donc.

-Salut, moi c'est Amy. Tu as du talent tu sais ?

Ayant finit ma petite phrase, je remis une mèche derrière mon oreilles. Un tic que j’avais déjà a ma plus tendre enfance et qui étais resté. D’habitude, ces temps ci elle ne faisait ca que lorsqu’elle était nerveuse. Non...Je ne serais pas nerveuse en présence de ce Timeo. Qu’est ce qu’il m’a fait pour que je le sois. Non je n’avais aucune raison d’être nerveuse. A part qu’il me dévisageait vraiment avec beaucoup d’attention. J’allais finir par croire que j’avais quelque chose de colle au visage.

Détournant le regard, je cachais mes joues devenues rouge en mettant mes coudes sur mes genoux et en posant ma tête dans mes mains.

Cette fille était vraiment jolie une de s'est beauté simple, comme je les aime quoi par contre elle a l'air vraiment timide. Je lui souris gentiment pencha ma tête un peu sûr le côté m'approcha d'elle un instant mon corps a quelques centimètres du sien elle devait voir mes cicatrises, mais je m'en foutais.

« Si tu trouves que j'ai du talent c'est gentil, moi j'ai plus de talent en guitare je te montre si tu veux ? »

Il pris la main de la jeune Lady, oui elle ressemble aux princesses des comptes de fée, parfait se sera son surnom. Elle s'était recroquevillé sûr elle-même rouge je la sortais donc de sa transe. Je la tirai un peu plus vers moi et la fit s'asseoir juste à côté de moi.

« Tien regarde la guitare, tu sais en joué ? »

Je l'observai elle rougissait peut être que ma présence la gênait, je ne comprenais pas trop pourquoi. Je lui pris la main et la posa sûr mon genou pour jouer la chanson de Edith Piaf, la vie en rose. Il la regarda souriant.

« Tu connais cette chanson ? »

Pour lui cette chanson était l'une des plus belles de la terre et pourtant elle était vielle certes, mais resté l'une de ses chansons préférées. Bref il regarda cette fille vraiment très belle, on ne peut pas dire qu'elle ressemblait à un top-modèle où à ces filles des magasines bien trop maigre non elle elle avait une beauté simple, le genre de fille qui me donne envie de la protégeai et d'être son ami.

Je lui posais un baisais sûr la joue avec douceur et lui caressa la joue.

« T'es belle tu sais ? »

Enfin à mon avis elle savait qu'elle était belle et si elle l'ignorait je serais là pour lui rappeler.

J’étais encore dans ma transe lorsque le certain Timeo s’était rapproche de moi. A quelques centimètres a peine. Il avait des cicatrices, je n’avais pas pu m’empêcher de le remarquer. Mes yeux aptes a voir les tout petits détails les avaient vus des le début.

« Si tu trouves que j'ai du talent c'est gentil, moi j'ai plus de talent en guitare je te montre si tu veux ? »

-Hum franchement je…

Je ne pus même pas finir ma phrase qu’il s’était installe, m’avait assise à cote de lui. Trop près de lui. Je me dégageai le plus doucement possible et m’éloignais d’une bonne dizaine de centimètres. Ah je me sentais déjà mieux. Ce qui serait la chose qui me rendrait tous mon calme, c’est que cet étrange garçon parte.

« Tien regarde la guitare, tu sais en joué ? »

-Nan, pas vraiment, mon père en …

Comme la dernière fois, il ne me laissa pas achever sa phrase, il commença a jouer quelques notes que je reconnus immédiatement. Je retirais ma main vite fait de son genou pour ensuite, fermer les yeux les yeux et fredonner les paroles de « La vie en rose » d’Edith Piaf.

« Tu connais cette chanson ? »

Cette fois ci je ne pus même pas commencer une réponse que Timeo m’avait colle un baiser sur la joue. Cela en était trop.
Je me levais d’un bond, en reculant pour agrandir encore la distance entre nous. Il ne devait pas le savoir mais ca faisait un peu pervers. S’approchait comme ca des gens qu’il ne connaissait pas et les embrasses.

-Euh écoute, vous êtes gentil, mais la vous me faites un peu peur tout de même. Et pour répondre, oui je connais cette chanson. Et elle est bien, mais je préfère de loin « Mon amant de St Jean »

Le jeune garçon lui dit ensuite :

« T'es belle tu sais ? »

-Mais vous êtes con ou quoi !? Je vous dis que vous me faites et tous ce que vous trouvez a dire c’est « T’es belle tu sais ». N’en rajoutez pas.

Oh, mais en moins de cinq minutes elle se mis à hurler sûr moi, l'énervement que j'avais contre ma soeur et l'alcool que j'avais bu hier me fit mal à la tête, je regardai la fille en biais pourquoi elle s'énerver comme ça, je haussai les épaules me ressaisissant pour ne pas m'énerver pour ça. Je compris en fait elle n'aime pas mes manières, j'aurais été une fille oui je me serais moi aussi sûrement, elle ne doit sûrement pas voir mon état léthargique et anormal, oui je suis encore bourré de la veille, ce n'est pas vraiment de ma faute alors. Bon oui un peu quand même.

«
Ne cris pas j'ai mal à la tête, excuse moi pour mes manières
»

Simple et cours en fait, je ne veux pas qu'elle hurle j'ai mal très mal à la tête, je cherchai dans mon sac ma petite boite je me mis à rouler mon joins tranquillement, mis de la musique avec mon téléphone portable « Saka Ponk » un groupe que j'adore. Ma tête se mis à bouger au rythme de la musique, je n'écoutais déjà plus la jeune fille.

Je tirai une latte tranquillement de ma petite cigarette (modifier certes), je soupirai de bonheur et me laissa tombé par terre, le soleil filtrai par les feuilles du sol, les rayons de ce magnifique astre venait me chatouillé le visage. Une sensation de chaleur juste magnifique. La musique se finis j'attrapai mon portable et mis une vielle musique pour faire plaisir à la jeune fille, plus calme et plus traditionnel, « Mon amant de St Jean » de ce chanteur français Patrick Bruel un classique.

Je me mis à chanter doucement ma voix un peu grave d'homme malgré, j'aime chanter et je sais que je chante bien et pour cause je chante toutes les chansons que j'écris. Je jetai un regard à la jeune fille c'était-t-elle calmais ? Bof en fait je m'en fiche, je soupirai doucement.

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