Laïna Vi
Messages : 9
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 2ème année ♣ Colocataires: Nevaeh S. Belinski & Miki Nakagawa & Latoni Liee ♣ Relations: | Sujet: » Laïna Vi. Sam 7 Avr - 22:17 | |
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laïna vi ; Alors, qui es-tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S):Laïna Vi AGE:17 ans NATIONALITÉ:Japonaise-Canadienne ORIENTATION SEXUELLE:hétérosexuelle, n'ayant jamais tenté une expérience avec une personne de sexe féminin... ANNÉE SCOLAIRE:2ème année GROUPE:Vocal Adrenalin POURQUOI CE GROUPE:parce que sans la musique, nous ne somme rien. Que voulez-vous faire d'un monde où les oiseaux ne chantent pas, où les chutes sont silencieuses, où le douceur du vent ne peut se faire entendre? PERSONNAGE SUR L'AVATAR:une jeune femme... sérieusement, je n'ai pas pas la moindre idée.
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Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout. On me dit perdue, dans un tout autre monde, mais pleine de vie. Cela dit, c'est surtout lorsque j'écoute ma musique, les écouteurs sur la tête, la musique à fond, je laisse les mélodies se fondre en moi, pour faire le vide. J'ai un caractère assez optimiste, toujours le sourire aux lèvres, je déteste critiquer, prenez-en note. Pour des conseils, par contre, c'est tout le contraire, je n'hésite pas à dire mon opinion, la vraie, avec un léger philtre des pensées, mais bon, toute vérité n'est pas bonne à dire... Parfois, je suis impatiente, mais bon, je me contrôle, si j'ai une bonne raison d'attendre.
Pour ceux qui ne m'approchent pas, ne tentent pas de me connaître, eh bien, ils ne voient qu'une facade, une fille renfermée, mais pétillante de vie, un peu timide et qui pourrait être considérée comme sociable, mais seulement si je ferais un peu d'efforts pour entrer en contact. Je n'aime pas beaucoup me lancer dans le vide, sans savoir si l'action que je fais finira par rapporter. Pour moi, c'est comme sauter en parachute sans parachute, ça me fout la frousse, mais je crois qu'en fait, j'ai surtout peur de me faire juger. Les gens qui jugens les autres sans les connaître, ça me donne envie de vomir, sérieusement, pour moi, ils se rabaissent. C'est comme pour les racistes, les sexistes, les homophobes, les âgistes, en fait tout ceux qui détestent des gens parce qu'ils sont différents, parce qu'ils ont le courage de s'afficher, de s'accepter. Moi, sérieusement, je lève mon chapeau à tout ceux qui s'assument et sont fiers de ce qu'ils sont. J'essaie de me classer dans ces gens-là, de m'affirmer, mais ce n'est pas toujours facile.
Il y a un domaine, par contre, où je suis totallement sensible, délicate, comme une fleur qui tenterait par tout les moyens de s'épanouir en plein désert. Eh oui, vous l'aurez deviné, c'est le domaine de l'amour. Je suis complètement désarmée devant les hommes en général. Cela dit, j'ai aucune idée de mon comportement à ce niveau, mais bon, on peut dire que parfois, aborder un mec, pour moi c'est comme enclencher un mécanisme... alors me faire dire non, c'est assez dûr, quand tu n'as jamais expérimenté. Tout de même, je suis très sûre de moi même et j'ai une confiance en moi dure comme le fer. J'adore l'aventure et je suis toujours partante pour esseyer du nouveau, peu importe le niveau de difficulté, j'ai une volonté de battante, alors il faut bien m'en servir de temps en temps. De toute manière, je suis très gentille, enfin, je le crois, mais ça, c'est à vous de le juger... Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.Quand on m'apperçoit, la première chose que les gens remarquent, c'est que j'ai l'air perdue dans mes pensées, inatteignable, les écouteurs aux oreilles, le refrein en bouche et ma démarche suivant le rythme de ma mélodie.
Si on prend un peu de son temps pour m'observer plus en détail, on peut voir mon style épuré, dans les tons nature, mes cheveux de jais qui cascadent jusqu'à mes épaules et mon regard marron clair, qui pétille de vie et de joie au fil des saisons...
Parfois, certains en arrivent jusqu'à m'aborder. Pour ceux-ci, ce qu'ils observent de plus, c'est mon sourire, charmeur, et mes lèvres pulpeuses d'un rose corail.
Pour être un peu plus précise, je suis de taille moyenne et j'ai un corps élancé, puissant. J'ai une silhouette qu'on ne peut ignorer, tant la féminité de mon corps est évidente, parfois même légèrement provocante...
Sur la nuque, se trouve un tatouage d'un noir d'encre. C'est une phrase, très simple, qui dit : on a aucun droit sur les gens qu'on aime. <3
Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.Je suis née au Canada, d'un père japonais et d'une mère canadienne. Je n'ai jamais connu mon père, ni la raison de sa rupture avec ma mère. Je ne sais même pas s'ils ont été un couple. Tout ce que je sais, c'est qu'il n'y a pas le moindre signe de son passé qui m'a été raconté. Ma mère taisait ce bout de son histoire et ignorait mes questions, alors ...
J'ai vécu mon enfance avec ma mère, au Canada, à déménager de ville en ville, de maison à maison, à changer d'école... Je n'ai jamais compri pourquoi. J'avais beau réfléchir, je ne trouvais rien. Nous avions de l'argent, maman avait de bons travails, elle travaillait dans les restaurants, comme serveuse. Nous n'avions aucune dette, j'avais de bonnes notes, des amies ... Un jour, j'ai tout compri.
****************************************************************************** J'ouvris la porte et déposai mon sac par terre. Je me dirigeai vers la cuisine, où ma mère s'affairait à lire une lettre, qu'elle cacha à ma vue.
-C'était quoi ? Rien du tout, tu n'as pas de devoirs à faire ? -Ne changes pas de sujet, qu'est-ce que tu caches ? -Je ne te cache rien ... -Ne me mens pas.
Je franchi les mètres qui me séparaient d'elle et attrapai le papier qu'elle cachait dans son dos.
-Ce n'est pas de tes affaires ! -Alors pourquoi tu me le caches ?, dis-je, ironique.
Elle ne répondit pas, je commençai donc la lecture.
*Ma chère fille, aujourd'hui, tu as maintenant 16 ans. J'ai enfin réussi à trouver où se trouvait ta nouvelle maison. Je persiste à croire que tu reçois mes lettres, que tu prends le temps de les lire. Pourtant, je ne reçois jamais de réponse. Peut-être m'en veux-tu de ne jamais avoir été là pour toi. Malgré cela, je continue de t'écrire, persuadé qu'un jour, tu me répondras. En même temps, ça me réconforte un peu, de t'écrire, ça me permet de croire que tu sais que, quelque part dans le monde, ton père t'aime et pense à toi. Prends soin de toi, ton père qui t'aime, Lee.*
-Pendant tout ce temps, tu m'as caché les lettres qu'ils m'envoyait... tu m'as toujours menti. C'est pour ça qu'on déménage, que je perds mes amis et tout. Pour ne pas que mon père me retrouve... -Il n'est pas un homme bien, Laïna, c'était pour ton bien... -Comment as-tu pu me mentir à ce point? J'ai vécu dans l'ignorance toute mon enfance parce que tu ne le trouvais pas assez bien pour moi? Tu m'as caché que mon père m'écrivait... Comment veux-tu que je fasses confiance à une menteuse? -Mais... Laïna, ma puce... -Pas de ma puce ! Comment oses-tu?
Elle se mit à pleurer. Je pris mon sac et parti de la maison en claquant la porte. Je me réfugia chez la personne en qui j'avais le plus confiance, c'est à dire ma professeure de français, Maïté Rose. Quelques jours plus tard, je suis passée prendre mes effets chez moi, durant le travail de ma mère, ne lui laissant qu'un mot court qui disait que je partais retrouver mon père. Miss rose m'aida et m'accueillit du mieux qu'elle le put chez elle, dans son petit appartement. Je passais mes soirées avec elle à chercher des informations sur mon père. Tout ce que je savais, c'était qu'il possédait une compagnie au Japon. J'avais aussi mon nom, Vi. Après 3 semaines de recherche, je trouvai enfin l'adresse. Avec l'argent conservé pour mes études, je me payai un aller simple pour le Japon et me ramassai à sa porte, à cogner sous la pluie.
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Au bout de 2 heures d'attente, un homme s'approcha, curieux.
-Dis, vous connaissez un monsieur Vi, qui est supposé vivre ici ? -Bien sûr, il devrait arriver dans peu de temps, et vous êtes ? -Laïna Vi... -C'est pas vrai ! Depuis le temps qu'il rêve de te rencontrer, il t'écris tout les ans, tu ne réponds jamais... -Ma mère ne me donne jamais les lettres... -Ça, il s'en doutait, mais il est tellement obstiné. En passant, moi, c'est Victor.
À ce moment, un autre homme arriva.
-Tu t'es fait une nouvelle amie, Victor ? -Euh, en quelque sorte... Lee, je te présente ta fille, Laïna...
À ce moment, tout s'enchaina, il m'invita à entrer, il ne le croyait pas, il était tou sonné, mais bon, difficile de ne pas croire quelque chose quand on l'a sous les yeux. Je lui racontai mon histoire, comment je m'étais rendue jusqu'à lui... Il me raconta sa vie... Tout se passa comme dans un rêve.
****************************************************************************** Un ans plus tard, me voici, inscrite pour le pensionnat Rayen, qui a une très bonne réputation. Mon père m'a payé l'inscription, étant donné que j'ai vidé mon compte pour payer mon billet. J'ai cessé tout contact avec ma mère, ne supportant pas sa trahison, et mon père, fou heureux qu'il est de m'avoir retrouvé, tente de rattraper les années perdues...
Et derrière l'écran ? AGE:15, mais dans 2 mois, je vais avoir 16 ;)PAYS:CanadaDOUBLE COMPTE ?:Non . COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?:en recherchant un forum intéressant... AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: By Quinn |
Dernière édition par Laïna Vi le Mer 11 Avr - 3:18, édité 4 fois |
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