| Sujet: » Adrian Poliakov. Lun 13 Aoû - 5:08 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Poliakov Adrian ♪ Alors, qui es - tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S): Poliakov Adrian AGE: 20 ans NATIONALITÉ: Russe - Allemand ORIENTATION SEXUELLE: Bad Girl ♪ ANNÉE SCOLAIRE: [x] GROUPE: Unlisted Actors POURQUOI CE GROUPE: C'est ce qui conviens le mieux au personnage. Il est plus indépendant et ne correspond a aucun des groupes pré-sélectionner. Voilà pourquoi il est dans ce groupe. PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Devil May Cry Dante
|
Le métissage :• Il méprise énormément les adultères. Il pense que tromper la personne avec qui ont a choisit de faire notre vie est un crime, un viole. Et que l'homme a le pouvoir de retenir ces pulsions concernant les autres femmes. Qui sont là pour être des tentatrices, ni plus, ni moins.
• Il a le don de manipulation. En effet, il peut manipuler qui il veut, du moment que la personne tombe sous "son charme". Il peut se faire passer pour qui il veut, le mensonge ne lui fait absolument pas peur. Et il a exceller a ce jeu lors de son "suicide". [Voir histoire]
• De personnalité refermer et froide, il arrive tout de même a sourire quand cela l'arrange. Il est lunatique, mais c'est lui qui choisit ces propres humeurs. Bien entendue, il se veut froid et distant avec la personne qu'il a choisit d'aimer. Car il ne faut surtout pas lui parler de destin. Il ni croit pas pour un sous et serait près a vous défiez pour ne serait-ce y avoir pensée !
• Les animaux ? Ce n'est pas ce qu'il l'intéresse le plus dans ce monde. Quoi que, les serpents et les corbeaux lui offre une certaine fascination. Ils trouve ces "bestioles" totalement a part, contrairement aux autres espèces qui peuple la planète.
• Les armes ? Il adore toucher des bouts des doigts des revolver, n'osant pas en prendre un dans sa main. Peur de vouloir s'en servir et retirer la vie d'une personne. Il est certes froid mais n'a pas une aura d'assassin pour autant.
• Niveau intelligence ? Il n'es pas surdoué mais pas abruti non plu. Du moins, il a évoluer depuis ces six ans, dieu merci ! Cependant, ce n'est pas le genre de personnes a courir après la connaissance. Bien qu'il aime de temps en temps passer du temps dans une bibliothèque, au calme, loin de tout, près des mots. Les mots ont bercer sa jeunesse, il faut le dire. Jusqu'à sa mort pré-maturer.
Superficielle :Un jeune mâle, bien taillé, ça vous tente ? Quelle question, personnes ne cracherait dessus ! Des abdominaux a bout de champ, des montagnes sur chaque bras, des rochers sur chaque jambe. C'est un corps bien entretenu qu'il possède. Il y a également son visage si carré, avec une légère barbe sur le menton. Elle par contre, n'es pas entretenu, il l'a laisse pousser en bataille, la rasant seulement quand elle commence a gratter. Ces lèvres sont fines, cachant une dentition parfaitement blanche. avec un nez long et fin, centré au milieu du visage. Ainsi que des yeux en amandes d'un bleu profond et glacial. Comme sa mère. Sa peau est si pale, qu'on pourrais lire sur ces os. C'est imagé, bien entendue, mais il ne prend pas de couleur. Sûrement dû au fait qu'il ne supporte absolument pas la chaleur !! Il est a la recherche constant de froid. Comme une drogue. Ces cheveux sont courts, d'un argent brillant. Qui le pousse pus vers le coté allemand que russe. Pour le plus grand désespoir de son père.
Il s'habille principalement de noir et rouge bordeaux. Toujours un couteau à cran d'arrêt sur lui. Pourquoi faire ? Simplement jouer avec, lorsqu'il s'ennuie. Rien de plus.
Ruskof : Historique final :Un homme et deux femmes : C'est dans le pays le plus froid du monde, où la centrale nucléaire a éclater que commence l'histoire. C'est lors d'une soirée hivernale, où les quarante degrés était en dessous de la barre zéro que que cet homme rencontra la femme qui allait devenir sa maîtresse. Cette femme a la longue chevelure argenté et se regard glacial. Aussi grande en taille qu'en manipulation, aussi douée fut-elle, aussi narcissique fut-elle, aussi élégante fut-elle, aussi dévastatrice fut-elle, Monsieur Poliakov Ilia ne pouvait la laisser. Il ne pouvait s'empêcher d'admirer sa beauté et sa force de persuasion. Comme des adultes, ou pas. Ils passèrent la soirée a se tourner autour, se jetant des regard de braise, se touchant dés que possible, se cherchant sans cesse. Bon d'accord, ils ressemblent plus a des enfants qui cherche a se trouver. Monsieur Poliakov en oublia complètement sa femme enceinte et son clamp qui observait cette scène dans l'ombre. Observant le moindre fait et geste de la jeune femme manipulatrice. Tout était scintillant pour les "jeunes gens". Après avoir vidé quelques bouteilles de vodka et de champagne, ils se dirigèrent vers une chambre d'hôtel. Ilia demanda a ces gardes du corps de rester devant la porte, donnant l'ordre de les dérangés sous aucun prétexte. La nuit se passa sous les couettes, à faire des galipettes par ci, par là. Se laissant quelques minutes de répis pour reprendre aussi sec. Auraient-ils pensés a se protéger ? Bien sur que non. L'alcool fait des ravages, tout le monde le sait. Mais avant de pensée à la grossesse, un autre problème survint. La femme du mafieu. Il allait devoir s'expliquer, expliquer son absence soudaine et non calculé. Mais l'homme ne doit rien à la femme, c'est ainsi dans leur monde. Et il comptait emmener sa maîtresse dans le domaine familiale. Que la femme soit d'accord ou non. C'est ainsi que la famille Poliakov se retrouva avec non pas un, mais deux fils. Adrian et Ivan Poliakov. L'isolement : C'est lors de ces six ans, que le jeune homme tomba sur une "mine d'or". Bien entendue, c'est une expression morbide. Car l'or en question est l'isolement. Une sortie avait été programmer pour les deux jeunes garçons. Avec leur mère respective. Les demi-frères, très proches les uns des autres, dû a leur âge et au peu d'enfants qui se trouvait dans leur domicile, décidèrent de mener une expédition sur les terres glacé de leur pays natale. La Russie. Madame Poliakov Tatiana [Mère d'Ivan] et Mademoiselle Schwarz Lilli [Mère d'Adrian], étaient trop occupé a se balancer des vacheries pour garder un oeil sur les jeunes. Les enfants de six ans, se permis d'aller plus loin que la limite ordonner par leur mère. Bien entendue, Ivan laissa Adrian courir vers l'usine abandonner. S'abstenant de le suivre dans sa connerie, il observa la scène avec intention. Il savait que ce lieu n'était pas bon pour eux. Que la radio-activité circulait dans la terre. Et que c'est pour cette raison qui leur était interdit d'y aller. Mais il ne retint pas son demi-frère pour autant. Adrian fini par toucher une pierre brillante. Un bijou complètement sale, terreux. C'est alors qu'un cri strident se fit entendre non loin de là, près d'Ivan. Sa mère commença a lancer des injures en allemand, se prenant la tête dans les mains, les larmes aux yeux. Tandis que, quelques heures plus tard, des hommes habillé en blanc vint le récupérer. Il se laissa faire, complètement paniquer. Qu'avait-il fait ? Il tenait fermement le bijou abandonné dans ces mains, se laissant porter comme une chose futile par ces deux hommes. Le forçant a monter dans l'arrière d'un camion. Il fini par être enfermer, loin du domicile familial, dans un cabanon paumé au pleine foret. Recevant seulement des servantes, déposant sa nourriture devant la porte de celui-ci, avec de quoi écrire pour passer le temps. Ivan, prit de remord, vint souvent lui rendre visite. En cachette, étant persuader que son demi-frère n'avait rien eu et que tout ceci était du pur cinéma. Une façon vulgaire de l'évincer de la course. Il tenta a nombreuse reprise de rendre le sourire à Adrian. Mais le fait d'être isoler loin de tous, comme une bête curieuse ne lui donnait pas goût au sourire. La positive attitude n'était pas son truc. Aucun de ces parents n'avait envisager venir le voir, ne serait-ce qu'une fois. Ils pensaient tous que d'ici un an ou deux il finirai par mourir comme un vulgaire insecte. Sauf que cinq ans passèrent, et le jeune garçon était toujours en pleine forme physique. Qu'allait-il devenir ? L'adieu fraternel : Contre toute attente, le chef du clan Poliakov, décida enfin de lever l'isolement sur son fils cadet. Adrian était de nouveau "libre". Il profita de chaque bouchée d'air avaler. Savourant de nouveau sa liberté, loin de la forêt, loin de ces quatre murs et loin de ces feuilles et stylo. Le seul point positive qu'il gardera de cette aventure, c'est le talent qu'il s'est découvert. Il dessinait merveilleusement bien. Et c'est ainsi que les sept années suivantes fût prise d'assaut par un entraînement intensive. A quoi cela allait-il servir ? Nul ne le savait encore. Sa mère tenta de reprendre contact avec son fils, à présent retourner dans son pays natale, l'Allemagne. Elle lui envoyait souvent des courriers, lui expliquant la raison de son départ soudain. Pensent qu'elle allait perdre son fils unique. Et le fait qu'elle ne supportait plu les remarques désobligeante de la compagne principale d'Ilia. Adrian dû finir sa vie de jeune homme sans sa mère, et un père peu présent. C'est lors de ces dix-huit ans, que le concours commença réellement. Le chef du clan, père des deux hommes, les convoqua en même temps. Leur dévoilant les plans qu'il avait concocter pour eux. Quel était le plan ? S'entre-tuer. Le vainqueur aura l'honneur de prendre les rennes familiales. Mais est-ce que la mort de l'un d'eux en valait réellement le prix ? les deux jeunes hommes n'étaient pas d'accord avec le paternel. Ils réfléchirent de longues heures, afin de trouver un arrangement. Mais aucun n'était bon. Ils décidèrent donc de faire une révolte. Du moins, c'est ce qu'Adrian laissa croire a son frère. Car lui, avait trouver autre chose pour épargner ce scénario d'horreur. Il se mit a écrire une lettre d'adieu, au nom de la "justice". Pendant que son frère aîné dormait. La lettre disait ceci : "Cher Ivan,
Je souhaite tout d'abord a te remercier de ton soutien toutes ces années. De m'avoir permis de retrouver le goût de la liberté et de ne pas m'avoir laisser finir mes jours dans cette cabane hideuse et mal entretenu. J'espère que ton nouveau rôle au sein de la famille de permettra de faire un trait sur le passé et les paroles de père. Soit fort, deviens un bon maître de maison et protège ta femme au prix de ta propre vie. Ne fait pas les mêmes erreurs que nos ancêtres et n'oublie pas le plus important, ton humanité.
J'aimerai que tu passe ce mot pour moi à la famille : "Merci d'avoir été ce que vous avez été pour moi.". N'oublie pas d'écrire a ma mère mes derniers mots. Et de pensée à moi de temps en temps. Je compte quitter ce monde et ne pas verser ton sang. Adieu. Poliakov Adrian.". La trouvaille : C'est lors de ces deux années de voyage intensive, qu'il trouva enfin l'endroit idéal pour déballer ces valises. Il avait prit le strict nécessaire de chez lui, pour ne pas mettre la puce à l'oreille de sa famille et faire croire a son "suicide". Matsuyama. Un appartement aussi grand qu'une cage à souris, un peu à l'étroit mais parfait pour finir une vie paisible. Vous ne trouvez pas ? Et derrière l'écran? AGE: 19 ans PAYS: France DOUBLE COMPTE ?: Non . COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Etant donner que j'étais Kotori Kaji, je me suis permis de revenir ici. AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Code Bon :3 - R. ♥
|
|
|
Ringo Orisa Ѽ Psychologue Scolaire ♡
Messages : 389 Age du perso : 21 ans o/ ♥ Côté coeur : Rien en vu, Chef ! '^'
Carte d'identité ♣ Année scolaire: Psychologue scolaire la semaine, Barmaid le week-end ! ♣ Colocataires: Sans \o/ (je suis seule au monde T.T) ♣ Relations: | Sujet: Re: » Adrian Poliakov. Lun 13 Aoû - 15:32 | |
| Bienvenu ! ^-^ Il ne te manque qu'une seule chose pour être validé au passage d'un admin : l'activation de ta "Carte d'identité" dans ton profil. J'aime ton avatar ♪
Ringo. |
|
| Sujet: Re: » Adrian Poliakov. Lun 13 Aoû - 15:46 | |
| Ce qui est fait - Merci bien ♪
Ca fait plaisir de voir que mon avatar plaît \o/ |
|
Shimeku Nagashi
Messages : 965 Age du perso : 17 ans ♥ Côté coeur : Nop!
Carte d'identité ♣ Année scolaire: ♣ Colocataires: ♣ Relations: | Sujet: Re: » Adrian Poliakov. Lun 13 Aoû - 17:08 | |
| Oh oui, ton avatar plait ♫ Donc donc ... Je te valide. Rien à redire, tu n'avais pas à t'inquiéter hier. ♥ |
|