Kuri fumait clope sur clope dans cette cascade qui était trop verte pour lui, il était déjà venu une fois par le passé et avait fait la rencontre d’une bonne personne il y a de cela quelques temps, sauf qu’aujourd’hui il était là pour une jeune fille qui se nommait Céleste et dont le jeune homme avait déjà vu quelque fois dans le passé et dans l’école. Il lui avait donné rendez-vous ici comme ça un weekend end, pour s’amuser et parler un peu, il était en plein journée et il pleuvait beaucoup, poussant l’homme à se réfugier sous un arbre et attendant son tour près d’un grand arbre, le plus près au bord de l’eau. Il ne pouvait s’empêcher d’avoir des grands rires, la pluie était froide et glaçante, gelant la moelle de l’homme jusqu’à l’os, mais rien de saurait enlever un homme qui réfléchit et qui est sur le bon chemin de trouver quelques réponses de rigoler, même la pluie des plus froides et tremblant, glaçant le cœur des hommes.

Mais le bonheur véritable, Kuri ne l’avait pas trouvé, pas encore, il cherchait toujours et encore le bonheur absolu mais il savait que cela n’allait pas être maintenant. Parce qu’il ne servait pas et ne cherchait pas le bonheur absolu, seulement il attendait que cela lui tombe tout cuit et tout rôti dans le gosier, enfin nous aurions pu le croire mais non. Kuri ne voulait pas que tout le monde se mette à chercher l’amour, il voulait juste voir comment pouvait évoluer le monde autour de lui en étant passif. C’était drôle de s’excentrer du monde pendant quelques minutes et de voir le monde qui pouvait avoir des influences diverses et variées sur le regard des hommes.

Bon, la pluie s’arrêtait et il regardait l’eau en étant intéressé par prendre un bain de minuit à midi mais il avait peur de la conscience collective et de ce qui pouvait arriver, enfin c’était en théorie car en pratique il ne voulait pas faire partie de cette conscience moraliste et impérialiste, qui trompait et empêchait le monde d’évoluer selon les usages. Et qui voulait nous imposer un code de l’éthique dont il fallait refuser toute valeur morale qui n’appartenait pas au code.

Un rire venait de couvrir le bruit de la pluie, l’homme regardait le téléphone et à un petit rire, en quelques mois son répertoire était rempli de nouveaux contacts et de nouveaux numéros pour lui mais elle ne disait rien et soufflait avec un rire. L’heure était bientôt venue et elle ne devait plus tarder