Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Menthe Sweetie.

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MessageSujet: » Menthe Sweetie.   » Menthe Sweetie. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 19:51


SWEETIE Menthe;


Alors, qui  es - tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S): SWEETIE Menthe
AGE: 23 ans 
NATIONALITÉ: Australienne
ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle 
ANNÉE SCOLAIRE:  
GROUPE:Unlisted Actors
POURQUOI CE GROUPE:Parce que Menthe n'est plus étudiante, qu'elle vit désormais seule, travaille plus ou moins. Une adulte, si je puis dire. 
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Inconnue 


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
Menthe change souvent de personnalité, selon son manque de drogue. Lorsque qu'elle se trouve tout à fait satisfaire, elle fait preuve de bien plus de qualité, je vais maintenant citer. C'est une personne amusante, avec qui on passe de bon moment, avec qui on sourit. Une blague par ci, une blague par là. Attirante. Un peu comme un aimant. On la voit, et étrangement, une envie d'aller lui parler, de découvrir qui elle est. Pourquoi tout ces tatouages ? Pourquoi de la drogue ? Elle use de sujets captivants, lorsqu'elle le veut bien. Car loin d'être idiote, elle aime se cultiver, lire, aller au musé, visiter des châteaux, regarder des documentaires, regarder les informations. Cela lui permet de se reposer. De sortir un peu de sa vie mouvementée, qu'elle voit comme difficile. Les moments où elle apprend ou découvre des choses sont des moments ou le manque se fait moins ressentir. Sociable, elle parle facilement aux autres, sans timidité. Elle est plutôt appréciée, bien qu'un peu crainte au début. Elle entraîne souvent les autres grâce à son dynamisme, et ses moments d’impulsivité. Spontanée, elle n'aime pas le quotidien, elle aime l'action, les choses un peu farfelues. Courageuse, elle n'a jamais peur de rien, et surtout pas des petites araignées, ni des autres personnes. Même addict aux films d'horreur. Peut-être que son courage vient aussi de sa force. Parce que loin d'être frêle, Menthe est musclée, peut-être parce qu'elle ne pouvait faire autrement. Il fallait être musclée, pour pouvoir s'enfuir, courir et éviter de se faire prendre par la police. Intuitive. Son intuition est d'ailleurs ce qui lui a permit de réussir, de n'avoir que peu de problème. Aussi parce qu'elle est astucieuse, maline, et habile. Créative, elle est douée pour tout ce qui touche l'art. Le dessin, la peinture, la photographie. Peut-être à cause d'une sensibilité intense. Elle a l'habitude de toujours vivre la vie d'une façon intense. Que ce soit dans une relation amoureuse, ou dans une amitié. Ouverte d'esprit, elle accepte à peu près tout le monde, comprend à peu près tout le monde, ou du moins, cherche à comprendre, quand elle pense que cela vaut le coût. Elle accepte toutes les religions, tous les types de personnes. C'est aussi quelqu'un qui apprécie charmer, en soirée. Elle fait preuve de sensualité.
Maintenant, voilà le coté mauvais de sa personnalité. La drogue. Beaucoup de drogue. Et je ne parle pas de petites drogues, comme le cannabis. Mais de choses plus lourdes. Elle prend régulièrement de l'ecstasy, de la cocaïne, et de l'héroïne, mais pas par piqûres, seulement fumée. Et d'autres encore. Comme des amphétamines. Elle à commencé la drogue à dix-neuf ans. Fortement dépendante, lorsqu'elle est en manque, elle peut devenir au début, fortement désagréable. Elle s'irrite facilement. Se met en colère. C'est comme si touts ses émotions étaient décuplées. Quand le manque devient de plus plus fort, elle devient même violente, agressive. Elle peut alors faire des choses horribles. Elle serait prête à tuer, pour avoir sa dose. Elle n'hésite jamais à aller demander à des dealers, et traîne avec des gens dangereux. Ayant traîné pendant longtemps des dealers de drogues dures, elle est devenu apte à se défendre. Planter un couteau dans le ventre de quelqu'un ne lui fait pas peur. Maintenant, elle essaye de limiter ses fréquentations avec ce genre de personnes, mais sa toxicomanie la pousse tout de même vers eux. La drogue lui donne souvent les idées confuses, et elle se sent la plupart du temps mal dans sa peau. De se sentir comme... pas à sa place. D'avoir envie de s'arracher la peau avec les ongles, afin d'être délivrée. Elle souhaiterait arrêter, ne plus rien prendre, mais l'envie est toujours là. Et le manque provoque des douleurs atroces pour l'organisme. Elle regrette souvent les choses qu'elle a pu faire lorsqu'elle étaient en manque.
Même lorsqu'elle n'est pas sous l'effet du manque, ou même avant qu'elle ne commence à se droguer, Menthe avait bien évidemment déjà des défauts. Elle était arrogante envers les adultes, sans respect pour les personnes âgées. Irresponsable. Toujours excessive dans tout ce qu'elle entreprenait, dans les fêtes. Elle a toujours été fêtarde, trop fêtarde. L'alcool coulait à flot, depuis qu'elle seulement l'âge de quinze ans. Toujours rebelle, ne supportant pas l'autorité, surtout celle de ses parents. Vulgaire, toujours à dire des gros mot. « Putain » est un mot de liaison, pour elle. Malgré le fait qu'elle soit sociable, elle a toujours eu u coté de louve solitaire. Passant des journées seule à se morfondre. Un poil dépressive. Amicale, certes, mais ne donnant jamais complètement sa confiance à qui que ce soit. Ou lorsqu'elle le fait, les choses se finissent souvent mal, car elle doit certainement mettre trop de passion d'ardeur dans les relations qu'elle entretient. Trop jalouse. Elle a aussi un coté manipulatrice, lorsque l'idée lui prend. C'est un jeu, un divertissement. Draguer, s'amuser, coucher avec un mec pour profiter de sa drogue, ou pour le faire souffrir plus tard. Elle a aussi un côté mystérieux, secret, et ce doit être ce qui la rend si attirante. On voit bien qu'elle n'est pas comme les autres. Qu'elle se drogue. Qu'elle a l'âme d'une artiste. Car elle en est une. Surtout lorsqu'elle se drogue. Ses œuvres sont souvent sombres, glauques, mais majestueuses. Les artistes sont toujours incompris. Ajoutons à la liste qu'elle est sans gêne, sans pudeur. Et fataliste. En gros, fascinante, avec de diverses facettes de personnalités intéressantes, effrayantes, et pourtant si attirantes. On pourrait la croire très gentille, on pourrait la croire très méchante. Même elle, elle ne sait pas qui elle est, ce qu'elle est. Un peu perdue. En même temps, il est rare que sont cerveau ne soit sous l'emprise d'aucunes drogues.



Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.
Une silhouette élancée, voilà la première impression que donne Menthe. Grande, fine, une finesse proche de la maigreur. Un visage fin, encadré par des cheveux noirs corbeau, fins. Une mèche sur le front, une autre tombant le long de son cou. En l'observant mieux, on découvre un visage à la peau plutôt claire, sans imperfection, mais le plus souvent au teint maladif, manquant de vitalité. Des yeux eux très expressifs, d'un bleu pâle, gris selon la lumière à laquelle ils sont exposés, et surtout encadré pas des cils naturellement très longs, et d'un noir de jais. Des yeux souvent maquillés par un trait de khôl noir. Un nez droit, ni trop long, ni trop court. Une bouche pulpeuse, naturellement rouge, laissant découvrir un sourire aux dents droites, toujours blanches, mais commençant légèrement à se ternir. Sous ce corps fin, quelques muscles, quelques formes féminines. Mais surtout quelques formes dessinées. Des tatouages. Mais pas seulement quelques tatouages. Beaucoup de tatouages. Partant du bas du cou, en forme de col bateau jusqu'au chevilles. Des dragons, des feuilles, des fleurs, des écailles, une libellule, un éventail, une femme, des os, des rayures et j'en saute. Certains ont une signification, d'autres sont un simple souhait esthétique. Plusieurs heures de travaille, de personnification pour ce corps. Ce corps qui pourtant se détruit peu à peu. Faiblit. Les tatouages cachent une peau terne, grisonnante même. Féminine, Menthe porte des talons, porte des robes, des jeans moulants, des couleurs variantes. Parfois une envie de touche masculine. Des tee-shirt larges, des baskets. Toujours une cigarette à la main. Chez elle, toujours de la drogue à portée de main. Quelques cicatrices, une dans le cou, une dans le bas du dos, une sur la hanche. Un joli visage, c'est indéniable. Mais commençant déjà à se dégrader, malgré son jeune âge. Belle pour certains, laide pour d'autre. Tout est une question de goût pour les tatouages.



Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.
Monsieur et madame Sweetie sont désormais papa et maman Sweetie. C'est comme cela que je les ai appelé pendant un certain temps. Maman riche héritière, papa avocat à renommée international. Oui, c'est dans cette famille que je suis née. Une gosse de riche, comme certains disent. J'aurais pu être heureuse. Si seulement mes parents ne m'en avaient pas autant demandé. Trop d'autorité. De quoi étouffer. Je devais être l'enfant prodige. L'enfant parfaite. Sauf que mon sexe ne me permettait déjà pas d'être l'enfant qu'ils attendaient. Et comme si cela ne suffisait pas, il fallait que je sois encore moins aimée, car par ma faute, ma mère avait eu des complications lors de ma grossesse, et elle ne pourrait enfanter à nouveau. Ils étaient donc destiné à n'avoir qu'un enfant. Ils m'aimaient un peu, tout de même. Je me rappelle de câlin de ma mère, des rares fois où j'ai pu être installée sur les genoux de mon père. Je ne cherche pas à dramatiser. Je n'ai jamais été battu. Ni manqué de quoi que ce soit. Mais me forcer à faire du piano, dès l'âge de quatre ans, de la danse, et dès me donner des cours particulier ! De trois à sept ans, j'allais dans une école privée, à grande renommée. Lorsque j'eus cinq ans, mes parents adoptèrent un enfant, déjà déçu que je n'apprécie ni la danse, ni le piano, ni ce qu'ils voulaient que j'apprécie. Je n'aimais que le dessin. L'enfant qu'ils adoptèrent était évidemment un garçon. Un asiatique. Qui avait déjà trois ans. Il semblait déjà fort vif pour son âge. Alors que j'étais frêle et maigre. En grandissant, j'avais l'impression d'être transparente à coté de lui. On continuait à m'en demander, mais aucune attention particulière. A sept ans, je fus enfin en âge d'aller dans un pensionnat pour jeunes filles. Pendant les années que j'avais passé avec mon « frère », je dois avouer que nous nous étions assez bien entendu, malgré ma jalousie. Je ne lui avais jamais réellement voulu de mal, et nous voir jouer ensemble n'était pas rare. Déjà à partir de sept ans, dès que je fus mise en pension, on pu voir un changement en moi. Il n'y avait plus l'autorité de mes parents qui s’exerçait sur moi, mais seulement celle de professeurs et de femmes méchantes. Elles nous traitaient un peu comme à la vieille école. Je commençais à ne plus pouvoir supporter que l'on me donne des ordres. J'étais un peu vulgaire, impulsive, je faisais des petits trucs en douce. Rien de bien méchant. Mais restée ainsi enfermée dans un pensionnat dans la campagne de l'Australie aggravait les choses. Sept, huit, neuf, dix, onze, douze ans. J'y restais jusqu'à douze ans. Six ans, à ne sortir qu'un mois par an de cet vieille et grosse maison remplie que de filles. Je retournais vivre chez mes parents, car à douze ans, je commençais déjà à poser quelques problèmes. Je devais vivre avec mon frère, et mes parents à nouveau. Mes parents étaient, du moins c'est le souvenir que j'en ai, odieux. Je n'avais presque pas le droit d'ouvrir la bouche. Je devais me tenir droite, rester polie, et calme. Moi qui avais déjà pris l'habitude de vulgarité, d'impulsivité, qui avait perdu du respect pour les adultes. J'avais pris goût à ce mode de vie. Celui où on ne respectait pas grand chose. Celui où on disait « Merde » quand on faisait tomber quelque chose. Douze ans, et presque déjà insupportable pour eux. En revanche, mon frère qui n'avait que dix ans à l'époque, et moi, nous nous entendions à merveille. Je lui apprenais les joie de violer les règles. Lui m'apprenait le japonais. Mes parents étaient terrifiés à l'idée que je le corrompe. Mais ils ne pouvaient me mettre à la rue. J'allais à l'école publique, ayant refusé corps et âme de me retrouver avec des fils à papa dans une école privée. Treize ans, rebelle dans la classe. La fille qui répond au professeur, qui discute en cours, et qui se fait amie de tout le monde. En dehors des cours, chez moi, je faisais un minimum mes devoirs, ne voulant pas devenir une idiote. A la maison, je ne voyais pas grand monde. Mes parents étaient occupés, ci et là. Mon père en voyage d'affaires, emportant ma mère avec lui. Me laissant mon frère et moi aux domestiques. Je n’incitais pas trop mon frère à devenir comme moi, contente que lui soi heureux comme il était, sage et obéissant. Mais pourtant, je jouais avec lui, l'emmenais avec moi en ville. Bref, nous étions proches. C'est à mes quinze ans que tout commença à « déconner ». Étant laissé par mes parents faire ce que bon me semblait, car ils avaient abandonné l'idée que je me rangerais gentiment du bon coté, je sortais le soir, traînais avec des gens, plus âgés que moi. Tout ce joua sur un an. Ces gens plus vieux de deux ou trois ans, surtout des garçons, de quartiers défavorisés surtout, m'incitèrent à goûter à certaines substances illicites. Je les considérais comme mes « potes ». J'acceptais. D'abord un joint. Ensuite une pilule. Ensuite de la poudre à sniffer. A 17 ans, j'étais déjà sous la dépendance de quatre drogues. L'héroïne, la cocaïne, l'ecstasy et le cannabis. Sans compter la cigarette et l'alcool. Je vivais toujours chez mes parents, j'allais toujours en cours. Mais je tournais mal. Très mal. Je faisais des conneries, dangereuses. Je suivais mes potes dans des vols, dans leurs affaires de deal. Je couchais avec eux pour avoir ma dose. Pour avoir ce que je voulais. Ils auraient pu facilement me demander de me prostituer en échange de drogues, je l'aurais fait. Mais par chance, j'étais tombé sur un groupe où ils considéraient les femmes à peu près comme leur égales. Une histoire de deal me donna une cicatrice, au cou. Et surtout d'être arrêtée. Heureusement, papa était avocat. Il aurait voulu me jeter de la maison, mais je n'avais que dix-huit ans, et mon frère, avec qui j'entretenais toujours de très bonnes relations l'en empêchait. Au fur et à mesure des deal qui tournaient mal, j'apprenais à me défendre, au couteau. Je devenais forte. Ce qui me permis d'acquérir plus facilement de la drogue. En état de manque, pour la première fois, je poignardais quelqu'un. Celui qui me fournissais, qui refusait, parce que je ne voulais pas coucher avec lui. En plein dans le ventre. Un beau connard, ce mec. Il eut une hémorragie interne. Et il mourra. C'était la première fois, et la dernière que je tuais quelqu'un. J'avais déjà frappé , poignardé, menacé, mais jamais tué. Ca me chamboula un peu. Seulement un peu. Personne ne sut jamais que c'était moi. Dix-neuf ans, je sors avec le « chef » de la bande. Une relation passionné, intense. Je lui donnais corps et âme. Lui me fournissais en drogue. Il se droguait aussi. Une relation violente, malsaine. Mais avec lui, mon corps était en feu. On brûlait. Il me poignardais. Juste au dessus de la hanche. Si j'étais morte, cela aurait été pris comme un crime passionnel. Je passais deux semaines à l’hôpital. Vingt ans, toujours la même vie délabrée. Vingt et un an, je commençais à voir des changement chez moi. Ma peau perdait son éclat. Je commençais à tousser du sang, pour la première fois. Ce fut ce qui me calma un peu. Juste un peu. Je limitais mes fréquentations, essayais de trouver un travail. Mes études ? J'avais passé mon bac, deux ans auparavant. Mon bac de littérature. J'avais réussi, malgré la drogue. Je pouvais chercher un travail, essayer de trouver quelque chose, un petit boulot. Je peignais mes toiles, de magnifiques tableaux, qui se vendaient. Je devais peintre, à mon compte. Je ne gagnais pas grand chose, mais j'avais l'argent de mes parents, qui couvraient mes dépenses. Je devenais un peu, juste un peu plus calme. Moins violente. Plus aimable ? Peut-être grave à des fréquentations plus normales. Je traînais avec des gens normaux. Je me cachais pour me droguer. Je sortais toujours, faisais la fête, souvent, buvais, charmais, m'amusais parfois avec des gens. Jamais dans ma vie je n'avais entièrement donné ma confiance. Si, une fois, et cela c'était transformé en crime passionnel. Mais vint une deuxième fois. Mes vingt-deux ans... l'année où j'ai le moins mais aussi le plus déconné de ma vie. Je me droguais, certes, mais moins. Mon humeur était plus stable, à part quand j'étais en manque, j'étais sociable, et avec mon entourage agréable à vivre. Pas très gentille, mais pas méchante. Je donnais quelques services. J'étais ouverte d'esprit. J'étais courageuse et travaillais dur pour peindre et gagner de l'argent. Je n'étais pas une Sainte, loin de là ! Je fumais, sniffais, faisais la fête, mais j'avais des moments de lucidité. Grâce à mon frère. Voilà où j'ai déconné. Mon frère, qui ne l'était pas, car nous n'avions pas le même sang, pas les mêmes parents, et même pas les même origines. Nous étions différents. Et très proches. Trop proches. Jusqu'au jour où nous couchions ensemble. Comme si nous ne pouvions nous résister. Il avait vingt ans, moi deux ans de plus, et notre idylle dura un an. Jusqu'à ce que nos parents le découvrent. Et là, ils ne renièrent pas. Mais ils m'envoyèrent au Japon, dans un appartement qui leur appartenait. Un appartement gigantesque. Moderne. Ils me le donnèrent. Mettraient de l'argent sur mon compte chaque mois. J'arrivais donc au Japon, séparée de mon frère. Je trouvais un petit travail, j'étais assistante photographe. Et en plus, je vendais mes toiles. J'avais de quoi vivre aisément. Voilà comment je me retrouvais à Matsumaya.



Et derrière l'écran?

AGE: 86 ans.
PAYS: Le pays des bisounours. La France.
DOUBLE COMPTE ?: Oui~
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: J'ai l'impression de l'avoir entendu trente fois, celle là.
AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: La Pomme l'a mangé ~ ♪  



Dernière édition par Menthe Sweetie le Sam 1 Sep - 0:40, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: » Menthe Sweetie.   » Menthe Sweetie. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 20:03

Bonjour ; Bienvenue ♪
Deux semaines donc pour terminer ~ Bon courage !

Ringo ♪
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MessageSujet: Re: » Menthe Sweetie.   » Menthe Sweetie. Icon_minitimeSam 1 Sep - 2:16

J'ai terminnnnné! Merci ! ♪
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MessageSujet: Re: » Menthe Sweetie.   » Menthe Sweetie. Icon_minitimeSam 1 Sep - 20:23

Rien à redire pour ma part. ♪
Tu seras validée au passage d'une admin ^-^
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MessageSujet: Re: » Menthe Sweetie.   » Menthe Sweetie. Icon_minitime

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