Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 Une rencontre mouillée !

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MessageSujet: Une rencontre mouillée !   Une rencontre mouillée ! Icon_minitimeMar 11 Sep - 14:38

    « Qu’elle belle journée qui s’annonce ! »

    Kairi se trouvait dans la voiture de ses parents, il y avait malheureusement son horrible frère qui les accompagnait. Sa mère avait insisté pour qu’il vienne car il n’allait pas revoir souvent sa sœur, même si lui il s’en fichait clairement il vint quand même, de tout de façon il allait être libérer, il n’aura plus sa folle de petite sœur à supporter, ou plutôt l’inverse, c’était Kairi qui prenait enfin de belles et grandes vacances !

    « Tais toi la mioche, on va enfin se débarrasser de toi ! »

    La mère lança un regard noir à son fils, mais ça ne l’empêcha pas de donner un coup de poing sur l’épaule de Kairi, évidemment elle ne se laissait pas faire, alors elle s’agrippa d’aussi tôt sur le bras de son frère pour lui infliger plusieurs griffures. Le père cria d’un ton sec pour calmer ses deux enfants qui étaient à l'arrière de la voiture, c’était encore la meilleure si il faisait un accident à cause d’un imbécile de frère qui incapable à rien. Le moment de silence se fit court, car ils étaient enfin arrivés à bon port. Le père de Kairi mit les clignoteurs laissant sa voiture juste en face du portail de l’établissement. Il pleuvait des cordes, comme disait souvent Kairi, elle allait se mouiller les poils, même si elle se prétendait une neko, elle adore l’eau, ça lui arrivait souvent de laisser aussi sa queue et ses oreilles de neko pour aller à la piscine, elle en avait plusieurs donc elle changeait le temps qu’elle laissait les autres sécher.

    « Tu vas nous manquer ma chérie, fais attention à toi, et hésites pas à nous contacter de temps en temps pour nous donner des nouvelles. »

    « Moi tu ne vas pas me manquer sale tête de chat ! »

    « Qu’elle humour mon grand frère chéri, je vais enfin plus voir ta sale tête de cocker frisé ! Ne t’en fais pas maman, tout va bien se passer je suis grande maintenant ! »

    Elle fit vite un bisou à sa maman ainsi que son papa, et prit sa grosse valise en allant en direction de l’entrée, elle n’eut le temps d’avancer quelques pas qu’elle sentit quelque chose lui frapper son dos. Elle regarda derrière, son frère lui avait lancé une boule de boue sur elle. Mais quel con ! Sa mère lui cria dessus, mais il en avait l’air de n’en avoir rien à cirer. Elle le laissa entrer dans la voiture, elle le fixait du regard tel un chat prêt à bondir sur sa proie. Voyant son frère qui la regardait depuis l’intérieur de la voiture, juste avant qu’elle ne soit plus sur son champ de vision, elle lui lança un bon gros fuck du doigt en lui tirant la langue, elle commença à rire seule quand elle remarqua qu’il était en train de s’énerver tout seul derrière la voiture, mais très vite, il ne restait que le bruit du moteur qui s’en allait gentiment. Elle tira sa valise qui était pas mal lourde, devant le pensionnat il n’y avait personne, pas étonnant avec une pluie pareille. Arrivée dans le hall, il se trouvait que celui-ci était blindé. Elle alla à la réception pour prendre sa clef de chambre, son inscription était déjà faite, il lui suffisait juste de s’annoncer. Elle prit l’ascenseur et alla à la chambre n°20, elle toqua avant d’entré, mais la porte était verrouillée, elle l’ouvrit, il y avait déjà quelques affaires éparpillé partout dans la chambre, un lit et une armoire était libre, elle posa sa valise près de celle-ci.

    Que c’est mignon ici ! Quand je vais décorer mon coin, la chambre sera encore plus mignonne ! Bon… Il faudrait que j’aie vite mettre à laver ma robe, profiter que c’est frais pour faire partir la tâche.

    Elle regarda vers la sortie de la chambre, il y avait un petit plan, que demander de plus, la buanderie se trouvait tout en bas. Elle déshabilla et alla chercher une tenue décontractée, un training rose tout doux pour être plus précis. Ce qui était marrant avec ses habits, c’est qu’elle faisait toujours de jolies troue sur ses pantalons pour laisser la queue y passer, par contre les robes ou les jupes il n’était pas nécessaire de le faire. Pour son premier jour elle avait pas cours, donc autant profiter, elle sortit son PC portable et le posa sur son lit, elle prit deux manga pour passer l’attente, le temps que son vêtement sèche.

    Arrivant à la buanderie, elle se sentit tout de suite bien, c’était agréable d’être dans cette pièce, il faisait bon chaud. Il y avait des produits et tout ce qu’il fallait, ainsi que des étendoirs. Elle alla au fond pour prendre la dernière machine pour ne déranger personnes, elle mit sa robe à l’intérieur ainsi que le produit. Elle appuya sur le bouton pour lancer la machine, mais rien ne se passa. Elle insista, mais c’était peine perdu, elle remarqua qu’il fallait insérer une pièce… Qu’elle plaie, elle n’avait prit aucun liquide avec elle.

    « Oh, qu’elle poisse ! Graou…. »

    Elle croisa les bras pour chercher vite une solution, il ne lui restait qu’une chose à faire, laver la robe à la main, qu’elle galère elle retira la robe de la machine et reprit ses mangas en allant en direction du évier, quand elle tenta d’ouvrir le robinet, le filtre était cassé, le jet d’eau gicla contre elle, l’eau était froide et il se trouvait qu’elle était encore plus mouillé qu’avant, elle ferma tout de suit elle ferma tout de suite pour stopper le courant d’eau. Elle resta debout sans bouger, sa robe dans la main, ses mangas trempés dans l’eau.

    « Hann…. »
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MessageSujet: Re: Une rencontre mouillée !   Une rencontre mouillée ! Icon_minitimeSam 15 Sep - 16:52

Se tremper, ou mouiller ?
Nana s'était déjà installée depuis plusieurs jours dans le Pensionnat, même si elle restait une nouvelle aux yeux de cet établissement scolaire. Qu'importe, son intégration ne fut pas difficile, sa popularité s'occupa de tout. Elle avait déjà des suivantes hypocrites, des déjeuners réservés pour quelques semaines à venir, et déjà de « bonnes » relations avec ses professeurs. Quel ennui d'avoir une vie si parfaite !

Le déjeuner venait d'ailleurs de prendre fin ce jour-ci. Elle ne mangea pas sa viande desséchée ni ces légumes crus et trop peu goûteux. Elle se contenta d'une pomme, et s'offrit une petite salade de fraises, juste par gourmandise. Elle aurait dû éviter cela. En remanger après tant d'années, c'était un supplice que de goûter à tel un délice : elle aurait presque oublié ce goût si généreusement fruité ! Ses papilles dansèrent de plaisir lorsque le nectar de fraise se déposait sur sa langue et s'insinuait dans sa gorge. Elle se délectait réellement de ces fraises au goût si particulier, si unique, qu'elle en ronronnerait presque de plaisir. Pendant sa propre dégustation, les deux filles qui mangeaient aujourd'hui avec elle se contentèrent de passer leur midi à discuter de la vie de Nana, omettant par la même occasion de finir leur plat de mauvaise fortune. Ce n'était pas une perte cependant, en voyant la qualité de cuisson des aliments...


« Oh Nana ! Tu te souviens quand tu as été embauchée par le Myoko's Mag ? Tu as tout de suite fait la couverture, et tu as fait triplé les ventes en moins d'une semaine de travail ! C'est d'ailleurs... » n'eut-elle pas le temps de finir sa phrase, que sa camarade la coupa.

« C'est d'ailleurs... Pour ça que je l'achète tout le temps maintenant ! Avant, je trouvai cette revue ringarde et sans intérêt ! »

« Ouiii ! Tu as raison Nako-chan ! Nyaaaah ! »

Les deux filles sautèrent de joie en découvrant leur intérêt commun pour cette revue de mode, puis se jetèrent dans les bras de l'une et de l'autre, comme deux véritables amies. Même si al cause de cette joie paraissait un peu futile aux yeux de Nana, elle éprouvait un peu de jalousie et de remords. Elle n'avait personne pour partager ses réelles passions, contrairement à ces deux personnes qui éprouvaient une proximité désirable. Elle ne les dévisagea pas plus longtemps, et un coup de fil mit fin à son mutisme, et surtout à la mélancolie qui naissait dans son cœur en regardant ce tableau d'amitié dont elle était privée.

« Allo, Ayumi-san ? »

« Désolée de te déranger ma petite chérie ! Il se trouve qu'il y a un petit problème pour la journée ! Hum, en réalité... Matthew ne pourra pas être disponible aujourd'hui, tu vas donc devoir t'occuper toute seule de toi pour quelques heures. Ton père avait besoin de son meilleur majordome pour une réception, je crois. Enfin, je ne sais plus mais il me semble bien que c'était ça. Bref, débrouille-toi quand même pour ne pas salir l'image que nous avons créée toute les deux de la sublime Nana ! Essaye de ne pas paraître une petite roturière devant tes nombreux fans hein ! Kissu ! »

Malgré sa bonne humeur, elle appelait rarement pour annoncer une bonne nouvelle, et c'était assez agaçant. Son hyperactivité excessive et son sourire constant ne parvenait pas à rendre Nana moins énervée, malheureusement. C'était grisant d'entendre une mauvaise nouvelle sur un ton jovial, quand même... Nana soupira après qu'Ayumi ai raccroché aussi vite qu'elle avait parlé sans attendre de réponse de la part de Nana. De toute façon, ce n'était pas comme si elle avait le choix, il fallait qu'elle mette la main à la pâte...

Bon, elle décida de profiter de l'heure du déjeuner pour faire ses corvées les plus humiliantes, à l’abri de tous les regards. Quand tout le monde est occupé à se rassasier, ils ne seront donc pas là où elle ira faire les petits travaux ménagers... Elle sortir de table et s'éclipsa dans sa chambre. Première étape : laver le linge sale qui s'amoncelait en grande quantité... Elle prit la pile de ses sous-vêtements, les plus délicats à laver, et surtout les plus discrets à nettoyer. Elle descendit furtivement les étages du Pensionnat, en rasant les murs et s'assurant de ne croiser aucune personne dans les couloirs. La porte de la buanderie se dressa enfin devant elle, elle soupira de soulagement.

La porte rouillée était entre-ouverte, et aucun bruit ne parvenait de l'intérieur. Elle voyait les lavabos devant elle, et la voie semblait libre. On rince rapidement, puis on s'éclipse. Rien de plus facile. Elle poussa la porte qui grinça un peu sur ses gonds, et se précipita à l'intérieur sans vérifier l'état de la pièce. Son cœur sautait légèrement sous sa cage thoracique : l'adrénaline coulait dans ses veines, comme la peur de se faire surprendre comme si elle volait une boutique de bijoux. C'était presque excitant. Elle rinça rapidement les quelques boxers et soutient-gorge qu'elle avait emmené, sans se rendre compte qu'une personne l'épiait, dissimulée dans un renfoncement de la salle. L'endroit où cette personne était dressée ne pouvait pas se voir de l'extérieur, c'est pour ça que Nana ne l'avait pas vue.

Une fois son horrible labeur terminé, elle sourit de fierté, c'était une sacré mission qu'on lui avait imposé, mais ça sortait de l'ordinaire et elle aimait ça, même si c'était un peu humiliant. Elle se retourna, tenant entre ses bras contre son torse le trophée de sa victoire : ses vêtements propres et encore humides...

L'instant se figea, le film de sa vie devint une image fixe. Le temps s'arrêta, les horloges ne sonnaient plus, et il n'y avait plus que l'espace de cette salle qui existait autour d'elle, et de "elle". Les vêtements glissèrent de ses bras, pour s'écraser mollement à ses pieds. Ce mouvement de texture ne fit pas trembler la scène, toujours aussi immobile que les quelques secondes auparavant. Pas un souffle ne faisait vaciller l'environnement dans lequel elles plongeaient toutes les deux. Pas un souffle, pas un bruit, mêmes leurs respirations étaient silencieuses et discrètes. Et pourtant, la situation semblait insupportable, ce lourd silence écrasant, et cette honte grandissante étouffante. Que faisait cette fille, ou ce chat... ici ? Pourquoi la regardait-elle, les yeux attendris et ronds comme des billes ? Nana était perdue... Elle n'arrivait pas à bouger, ses membres étaient pétrifiés et sa gorge serrée l'empêchait d'articuler même un petit mot.

De lourdes secondes, aussi denses que les larmes de son front, s'écoulèrent. Elle était était rincée par la honte, tout autant que cette créature indéfinie était trempée. Ses vêtements étaient imbibés d'eau, mais son training rose n'était pas transparent heureusement. Cependant, l'humidité de ses vêtements les collait à toutes les courbes de son corps, offrant ainsi à la vue ses seins dardés par la fraîcheur de l'eau. Nana sourit : cette fille n'était pas en position de force, comme elle.


« Alors comme ça, on prend plaisir à espionner les autres ? C'est excitant de tremper son corps dans l'eau, à la place de ses vêtements ? Tu es trempée de plaisir, ça se voit, ma petite... »

Elle s'approcha, déliant ses muscles tendus de peur lorsqu'elle fut surprise entrain de laver ses dessous. En avançant, elle força sa camarade à reculer, jusqu'à atteindre le mur avec son dos. Elle perdit son sourire sadique, et ses yeux se froncèrent sérieusement. Plus aucune sympathie ne se ressentait sur son visage : elle suait de tout son corps une noire méchanceté.

« Écoute-moi bien, chat des rues. Je suis le genre de personne qui peut faire vivre un rêve à des personnes, comme offrir le cauchemar aux autres. Je sais provoquer les extrêmes : je peux faire briller les gens de bonheur ou les broyer dans le malheur. Je peux détruire ta vie comme la créer comme bon me semble. Tu m'as sévèrement irritée là, et tu commences à apparaître sur la mauvaise liste des personnes que je viens de citer... C'est vraiment chiant le choix que tu m'imposes à faire, là. »

Elle posa ensuite sa main contre le mur, juste derrière l'oreille de ce personnage de manga, afin d'approcher son visage à quelques centimètres du sien. Ses yeux plongèrent dans ses pupilles tremblantes, afin de sonder son esprit. Elle articula ses dernières paroles très lentement, pour qu'elle les enregistre bien.

« Je ne sais pas ce que je dois faire de toi, c'est bien la première fois que quelqu'un m'humilie. Pas publiquement, certes, mais bon...Peut-être qu'une compensation pourra me satisfaire... Oui, hein ? »

Le silence retomba dans la salle, et ses yeux se baladèrent sur les parcelles de peau qu'elle offrait. Sous ses yeux se dessinait des courbes fragiles : une gorge si facilement rompue, un torse si svelte surélevée par une belle poitrine, ni trop grosse ni trop jeune. Sa seconde main vint frôler sa joue, et elle descendit son doigt le long de sa jugulaire, jusqu'à l'entrée de sa poitrine. Elle sourit, et s'écarta juste avant qu'un refus ne puisse se manifester.

« Hum, je ne vais pas te violer va. Je risquerais d'avoir une journée encore plus décevante. J'espère que tu as bien compris que je ne supporte pas quand tu m'irrites de cette façon. Bon, mon majordome n'est pas là aujourd'hui, donc je dois trouver quelqu'un d'autre avec qui passer la journée. On va dire qu'un chat peut être aussi bien que ce chien. Que faire... »

Elle regarda sa pile de vêtements par terre, l'esprit enjoué par l'intimidation qu'elle venait de provoquer. Quel amusement ! Peut-être qu'elle pouvait être plus intéressante que tous les autres pions inutiles de ce Pensionnat...

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