Masaru est un personnage quelques peu complexes. Considérez le comme un émo, si ça vous amuse, il n'en comprendra presque pas le sens. Il est ce genre de personne qui reste dans son coin et à trouver la vie morose, monotone, ou parfois même déprimante, affligeante. Il adore critiquer, c'est le cas de le dire, il vit pour une raison qui lui est inconnue et n'aimerait pas le savoir. Il n'est pas bien curieux mais s'amuse à penser pour les autres et se renseigne sur le peu de choses qui l'intrigue. La mort est pour lui quelque chose d'amusant. Il n'a jamais cru à la réincarnation, ou en satan, ni même en dieu ou quoi que ce soit, il est très neutre vis-à-vis la société, bien que reculée de celle-ci. Il ne s'intéresse pas à ce qui l'entoure, mais prend des notes sur un carnet qu'il garde pour lui/, où il y note ce qu'il voit ou ce qu'il fait. Autant dire qu'avec les autres, c'est un asocial de première classe. Il n'aime pas se faire des amis, ce qui l'amène souvent au point de sa vision de la vie très ... Spéciale. Il s'adapte à tout quand il le faut, quand il le doit, mais ne viendra en aide de personne et travaillera seul le plus longtemps que possible et autant que possible. Solitaire jusqu'à la fin et croyez moi que pour l'avoir en camarade, faut le supporter. Quand il commence à parler, il ne s'arrête plus, en revanche, il sera prêt à tout pour vous, si vous l'avez comme ami. Enfin, comme vrai ami. Et dieu sait que c'est très dur. Pour ce qui est de l'amour ou autre, ben, ce n'est pas dur, il frappe tout ce qui bouge. Oui, pour lui, l'amour, c'est un suicide au ralentit. Mais bon, malgré ses défauts, il a quelques qualités, comme celui d'être un minimum courtois avec les personnes à qui il s'adresse, en revanche, il peut arriver et vous bousculer sans raisons, avant de partir comme si de rien n'était.

De loin ? Mais ce mec a l'air tout à fait normal ! Enfin, oui, il est normal, dans un sens, au moins. Il a un corps de ce que l'on qualifierai de classique. Ses cheveux sont noirs, pas plus noir qu'un autre japonais normal, juste... Noir. Son front, peu relevé, ses yeux sont en revanche, noir dans l'ombre, quelques peu orangés au soleil, sinon, ils sont marron, pour faire simple. Il a un nez fin et peu aplatit, d'où ses origines japonaises, sa bouche reste fine et classique, bien qu'un peu plus "longue" que la normal, horizontalement, ça peut parfois perturber, surtout quand il sourit en montrant ses dents, qui elles aussi, sont blanches, comme la normal. Quand je vous disais que ce mec était normal. Quoi, vous êtes pas convaincus ? Bon... Continuons, pour ce qui concerne sa couleur de peau, il est pâle, très pâle, mais c'est sans doute le seul point à retenir de tout cela. Vous pourrez aussi voir qu'il n'est pas bien musclé, mais un peu quand même, il fait un peu de sport quand l'envie lui prend, en gros, une fois par an. Sinon, question cuisse et pieds, rien d'anormal à relever, en revanche, il garde par moment le dos courbé. Pour ce qui est de ses fringues, il est fringué normalement, chemise courtes et jeans, suffisent, bien qu'il y a des jours où il met un tee-shirt à carreaux noir et blanc, long et moulant, un jean noir et des dockers, une veste en jean noire également, et un chapeau noir à rayure fines et grises, il oublie jamais son long miten noir et blanc au bras droit, ainsi que son bracelet clouté au bras gauche, son foulard au cou, et sa chaine cloutés accroché à son pantalon, avec deux ou trois dés qui se baladent. Voilà ce qu'il peut être physiquement... Glauque, hein ?

Grand frère, tu crois que papa et maman vont bien ?

Évidemment, avec le repos éternel que nous leur avons offert, ils doivent être comblés ! ♥

Minata Akira, une jeune demoiselle née en 2001. C'est une jeune fille qui n'a presque jamais connu ses parents. La raison ? Eux-mêmes. Masaru Akira, jeune étudiant né en 1996, ses parents, tous deux étant originaire du pays du soleil levant. Ils ne voulaient que le meilleur pour leur fils, ce dernier n'étant pas contre, bien au contraire, il était souriant chaque jour et pensait à son avenir en permanence. Bon, il n'avait que 3 ans, alors ça se limitait souvent à être astronaute ou président de la terre. Le jour de ses cinq ans ? Sa vie changea quelques peu. Il fut donc envoyé à l'école, en internat. Il ne bougea presque pas, il suivait ses cours, comme un élève normal, c'était un garçon tout à fait ordinaire. Lors d'une sortie scolaire, qui avait eu lieu en montagne, Masaru se disputa avec un autre élève, celui-ci le poussa et laissa tomber dans un précipice, Masaru, tête la première, et il se pris, pierres, branches, et fut envoyé à l'hôpital d'urgence. Ses chances de survies étaient réduites. Très réduites.

Un mois après, alors que le jeune Masaru était encore dans son lit d'hôpital, attendant l'heure de sa mort, la mère du jeune garçon devait également aller à l'hôpital. Elle était enceinte de huit mois et demi, mais tout semblait mal aller, la jeune dame avait un problème avec le... enfin, la nouvelle-née, elle serait apparemment muette. Elle voulut quand même garder l'enfant, en gardant en tête qu'elle passerait toujours avant le grand-frère. Elle la chouchouta quasiment tout le temps, elle laissait Masaru de côté et ça ne lui plaisait guerre. Cinq mois à l'hôpital, comme seul accueil, son père, à moitié déprimé, mais avec un léger sourire, venant enlacer son fils, heureux de l'avoir retrouvé. Sa mère ? Elle s'en fichait, elle était resté avec Minata. Très vite, la famille dù apprendre le langage des signes. Déjà trois ans que ça durait, on était en 2004 et notre jeune japonais fut détruit mentalement.

Ce qu'il avait dans la tête ? Comme de nouvelles pensées, de nouvelles choses plus coriaces en tête, plus glauque, plus gore... Il était vraiment atteint psychologiquement. Un jour, sa mère décida de le battre, sans raisons apparentes, si ce n'est, celui d'avoir un peu plus d'attention de la part de sa maman. Évidemment, il le pris mal et était à moitié en train de pleurer.

« C'est ça, chiale, petit morveux ! Tu ne mérites aucune attention ! Tu n'as rien vécu pour ! Ta soeur, elle, est muette de naissance ! »

Il s'en fichait. Pour lui, ce n'est pas comme si c'était quelque chose qui lui manquait. Il repartit en pleure dans sa chambre. Un jour de pluie, alors que la famille devait sortir pour aller on ne sait trop où, Masaru avait gardé sur lui un couteau. Il se sentait bizarrement, beaucoup mieux. Et sa mère, se demandait pourquoi il lui en manquait un. Son père étant partis aller chercher des oni-giris, Le jeune garçon sourit à sa mère et dit à sa mère ~

« Maman, maman, vient voir, j'ai quelque chose de magnifique à te montrer ! »

Il commença un peu à courir, gardant son petit sac avec lui. Sa mère lui suivi donc, marchant paisiblement, avec méprit puis elle se dit, qu'elle ne devrait pas être aussi méchante, après tout, ça restera son fils à jamais ... Bien que sa réflexion eut un peu trop tardé. Arrivé dans un coin sombre, à côté du parc, Masaru n'hésita point et planta son couteau dans la gorge de sa mère. Enchaînant ensuite les coups de couteau dans son ventre, il la laissa par terre, avant de voir son père débarquer à toute vitesse. Il cacha la couteau et attendit que son père fut assez proche de lui, pour réserver le même sort qu'il avait prévu à sa défunt mère. Les parents furent retrouvés, le couteau, jeté dans les gouttes et emporter par le courant. Les larmes se mêlant à la pluie fine, aussi douce qu'une pluie d'acide.

« Minata ... Si on te demande où tu étais, tu dis que tu es resté toute la journée, à la maison ... Avec moi ... »

Depuis, il fûrent séparés et envoyés en famille d'accueil. Séparément, Masaru ne revit plus jamais Minata, et depuis ce jour, il était changé, il se sentait libre, mais... étrangement triste. Il n'eut pas d'amis, fut éloigné du monde, rejeté par les autres, même sa voisine, quelques peu spéciales, qui s'amusait à exploser les fenêtres, n'avaient pas l'air d'être des plus amicales avec lui. Mais bon, il finit par être envoyé au pensionnat Rayen. Ses parents adoptifs n'aimaient pas le voir comme ça, ils priaient pour que ça lui change un peu... Après, ça resterait à voir .