Dessus toutes les étoiles du monde, c’est belles lumières éclairaient la forêt. Une forêt d’un ton assez rose, elle était magnifique. Dans cette dernière il y avait de grands arbres semblables à des pins gigantesques avec d’immense feuille. Il y avait aussi de grosse racine qui ressortaient d’un côté de la terre pour replonger dans un autre et sur les quels étaient de nombreuses petits fleures roses toutes mignonnes. Par terre, je pouvais distinguer aussi des buisson, violets cette fois, et quelques tulipes. J’étais au milieu de cette dernière, sur le seul coin d’herbes sans fleurs, il était d’ailleurs entouré d’eau. Je levais les yeux au ciel et observait le paysage. C’était tellement magnifique, je me serais crus dans un compte de fée, je tournais en rond. Puis je vis une chouette sur un arbre, elle me regardait et moi aussi. J’entendis quelque chose marchait dans l’eau je me retourna inquiète et aperçu un cerf. Je m’approcha de lui et le caressa, voyant qui se laissait faire je continua avec un grand sourire. Une ne bicha apparue pas très loin de moi loin. Je m’avançai vers l’eau et vit des pissons, mais surtout mon reflet, je portait robe blanche et rose avec un bustier a dentelle et le reste en froufrou. Chose que je ne m’imaginais pas portais un jour. Je plongeais ma main dans l’eau et vit par l’effet miroir de l’eau un grand rayon de soleil tapait sur un endroit de l’île. Un endroit bien précis, je me retournai pour l’observer et au centre de ce dernier poussait une rose rouge. Je m’avança et la caressa de mes doigts sous les yeux de tous les animaux présents, quand soudain…

Un cris pressant fut pousser et me fit sursauter. Je me retrouve les yeux grands ouverts assis sur mon lit. Je hais à tout jamais la personne qui m’a réveillé, ça devrait être interdit de réveiller les gens de cette façon. Surtout les gros dormeurs comme moi. Bon il devait être neuf heures mais pour moi neuf heures, c’est tôt, trop tôt pour se réveiller volontairement. Je me retoucha en grognant un peu et tournait dans mon lit essayant de retrouver le sommeil, et cette rose. J’aurais aimé savoir la suite de mon rêve, c’est toujours au moment les plus instance qu’on se réveille ! Comme pendant les films quand la pub se lance. J’aime pas ça d’ailleurs, sa m’énerve. On est à fond dedans on est dans la peau des personnages et là « Publicité » Agr. Ca devrait être interdit. Je pris mon coussin et le plia dans tout les sens pour trouver une bonne position, mais impossible. Je le jeta par terre et me leva en colère. Je pris tayson (son doudou panda) par la main et le traîna jusqu’à la salle de bain. Je me regarda dans le miroir et fila à la douche. Une fois propre je m’habillai avec un short en jean, une chemise bleu dont j’avais retourné les manches pour en faire plus que des demis, et de grandes chaussettes montantes rayées bleues et blanches. J’enfilai mes docs rouge en sautant partout dans la salle de bain pour y faire rentrer mon pied. Puis après je partis chercher une veste rouge et l’enfila. Comme ça mes docs serais assortis avec, et je serais un peu mieux habillée. Je pris une serviette et l’accrocha a ma chemise le temps que je me lave les dents. Puis je pris mes cheveux et fit un chignon banane assez détendu et passai un serre-tête rouge avec un nœud penchant sur un côté. Je me maquilla un peu pris mon sac à main, mis Tayson dedans et c’est bon j’étais prête.

Je sortis tranquillement de ma chambre cherchant se que je pourrais bien faire de ma journée. J’avais vraiment envie de voir les animaux que j’avais vu dans mon rêve. Je n’en avais pas énormément vu ici, bon à Taiwan non plus c’est vrai. Mais déjà un peu plus quand je me promenais au bord de l’eau pour voir les poissons. Et j’en ai vu pleins d’autres aussi comme des pandas, mon animal préféré, c’est d’ailleurs pour ça que mon Doudou en ai un. J’adorais les prendre en photo, et j’avoue que j’aimerais bien recommencer. Leur pelage me manque, et au Japon, les pandas, je ne pense pas que ça cours les rues. Donc je n’aurais aucune chance d’en revoir, a moins que… J’aille au zoo ! C’est décidé, j’irai au zoo aujourd’hui ! Contente d’avoir trouver une occupation, je retourna vite dans ma chambre prendre mon pareil photo, et tout le tralala dont j’ai besoin pour mes photos. J’enfilai tout ça autours de mon cou et je partis en sautillant dans les couloirs toute gaie. Je m’asseyais sur la rambarde de l’escalier et me laissa glisser toute en bas. Je continuai de sautiller un peu partout, cueillant une fleur et la sentant. Elle avait un doux parfum et je l’ai mis derrière mon oreille. J’attendais le bus qui emmenait au zoo, calmement à l’abri de bus. Une tonne de personne descendit sur moi je faisait une drôle de tête fronçant les sourcils et agitant les bras en tenant mon sac et mon appareil essayant de me vriller un passage pour monter dedans.

Je m’essayai sur un siège à côté d’un vieux monsieur qui lisait son journal. On parla ensemble tous le trajet, j’aimais bien parlais avec des gens, surtout les personne âgées, elles ont toujours tout en tas d’histoire a vous raconter. Et elles sont souvent drôles. Quoi qu’un rien m’amuse, mais je rigole toujours quand même. On commentait le journal qui venait de finir de lire, sur les titres de la politique, dont je comprend absolument rien, et les BDs au milieu. Ce petit chien me faisait toujours extrêmement rire, autant que les celle de Garfield. A l’annonce de l’arrêt je me levai et quand le chauffeur freina je traversai tout le bus en m’arrêtant au siége du conducteur. Je lui souriras d’ailleurs, et descendit en continuant de sautiller. Je vis l’enseigne du zoo et me précipita d’aller acheter mon billet d’entrer. C’est se que je fis le plus vite possible même si il y avait une bonne dizaine de minutes d’attente. J’étais impatiente je remuait dans tous les sens et quand j’ai enfin eu mon ticket je couru y rentrer. Je regardais autours de moi et vis les flamands roses, ils étaient beaux, mais mon dieu cette odeur immonde !! Je posa un genou à terre et clissa le zoom de mon appareil entre les barreaux et pris des photos d’eux, mais beaucoup tellement ils puaient. Je me dirigeai après vers de petits singes, ils sautaient partout et je trouvai ça tellement drôle. Je pris pleins de photos d’eux puis me mis a les imité un peu en rigolant. Mais c'est pas eux que je voulais voir, mes des pandas, c'était ca mon but de la journée! Alors c'est bien décidé que je retounra cherchant les pandas et bomba dans une jeune fille.

"Oups pardon mademoiselle, mais vous savez où sont les pandas ?" dis-je avec un grand sourire.

Ma maladresse me perdra telle un jour ? Ou alors s’arrêtera telle ? Continuerais-je à bomber de toutes sortes de choses jusqu’à la fin de mes jours ? Je n’espère pas, c’est pas que se soit une mauvaise chose de toujours bomber dans les gens, souvent qui me sont inconnu, au contraire je fais pleins de rencontre comme ça, mais un jour si je tombe, dans tous les sens du terme, sur une mauvaise personne, sur la mauvaise personne plutôt, que se passera t’il ? Serait-ce la fin ? Je ne pense pas ! Au fond de tout être se trouve quelque chose de bien. Et, ce n’est pas parce que moi je suis une fofolle qui vois le bien partout que j’ai forcément tort ! Tout le monde mérite d’être vu comme bon, après, si il est pas et que ça se prouve, alors tant pis. Il faut juger les gens pour se qu’ils sont pas parce qu’ils paraissent être. Mais bon, il faut quand même que je soigne cette maladresse, à force de tomber de partout je risque aussi de me faire vraiment mal et de finir à l’hôpital. Quoi que ça me plairait d’aller à l’hôpital, d’être allongés sur un lit et d’avoir tout le monde a mes petits soins. Et puis de voir des gens courir partout, et de petits bébés à la maternité. Oh ils sont tellement mignons, enfin quand c’est petits, après quand ça grandit ça fait une peut n’importe quoi.

Après être à l’hôpital c’est cool y a tes amis qui viennent te bichonnes mais bon je ne veux jamais avoir un bras cassé, sans bras, on ne peut pas dessiné et ça me manquerait trop. D’ailleurs, la jeune fille que j’avais bousculée était en train de dessiner, très bien d’ailleurs, les grandes girafes qui me rendaient encore plus petites. Je me jetai à terre pour l’aider à ramasser ses affaires. Je regardais son dessin les yeux grand ouvert, à telle point que je mis un moment à comprendre qu’elle m’avait répondu.

« Oh tu dessines ! Et bien en plus de se que j’ai pu voir, j’adore dessiné aussi, si je pouvais je m’arrêterais jamais ! Quoi que si pour prendre des photos, c’est ma passion ça ! » Je remonta mes lunette et jeta un coup d’œil à droite puis à gauche et la regarda en peu peinée « Désolé, je parle un peu trop, mais oui je veux bien que tu m’accompagnes jusqu’à eux ! » Dis-je en affichant un grand sourire à présent.

Bon, c’est vrai que je m’éternise toujours quand je parle, mais surtout quand il est question de mes passions où quand je trouve quelqu’un comme moi. C’était tellement rare que j’en devenais toute heureuse. J’aimais autant pratiquer le dessin ou la photographie qu’en parler avec d’autres. Connaître leurs astuces, et tout se qu’on peut dire. A Taiwan j’étais tellement différente que la me sentir normale me rendait trop heureuse.

Je regarda la jeune fille toujours en montrant mes dents, se qui faisait sortir toute la joie de vivre qu’il y avait en moi. Elle avait l’air d’être joyeuse elle, mais tout en ne l’étant pas, c’était assez bizarre. C’était justement ce genre de personne un peu bizarre que j’appréhende toujours, mais elle a l’air toute gentille malgré se petit truc qui me laisse une appréhension, mais bon, c’est sûrement sa peau blanche et son corps squelettique qui me fait peur. Bon, l’avantage, c’est qu’à côté je fais grande, mais grosse. A part ça elle avait de magnifiques longs cheveux. J’avais envie de passer ma main dedans pour voir si ils sont doux. Mais bon, je pense pas que se genre de fait lors d’une première approche. Je me mis à côté d’elle et regarder partout autours moi en souriant.

« Merci beaucoup au faite et je m’appelle Taiwan et toi ? »

Un pied après l’autre, il faut éviter tout les gros cailloux, ou bien tout simplement les poteaux ou les poubelles. Puis avancer tout doucement en suivant la ligne blanche qui détermine la promenade à pied de celle à vélo. Visiter un zoo à vélo, étrange comme idée, enfin les gens font se qu’ils veulent je ne vais pas aller les contredire, quoi que. Je marchait telle une grande enfant en collant mon pied a celui de derrière et avancer a pas de fourmis plonger dans mon esprit de rêve. Je me baladais comme sur un fil de cirque suspendu à trente mètres de hauteurs. Le cœur qui bat à trois cent à l’heure, et quand on arrive à l’autre extrémité, on commence a pencher un peu, on voit l’arriver à deux mètres, et la on est pris d’un grand déséquilibre quand tout à coup …

Le son de la voix de la fille à côté de moi me réveilla, j’étais heureuse qu’elle aime la photographie, mais triste d’avoir mi un pied en dehors de la ligne et d’avoir tué l’âme d’équilibriste qui été en moi. Je regarda le sol et lui fit un petit adieu en fermant les yeux. Puis je revenais au monde réel en sautillant partout.

« Oh oui, c’est tellement merveilleux de pouvoir immortalisé tout et n’importe quoi, d’un rêve en passant par un simple paysage qu’on ne reverra sûrement jamais à un moment de bonheur. J’adore ça, je prendrais des photos à longueur de journée, de nuit, j’évite le plus possible de me séparer de mon appareil ! Regarde je l’ai avec moi !! » Puis je me mis a batifoler et a tourner sur moi-même quand je bomba dans une poubelle et me rattrapai a cette dernière. Je me gratta la tête et revint vers la jeune fille qui cherchait ses dessins. « Lucy, c’est trop mignon ! Comme tes dessins, ouah qui sont beaux ! T’es douée ma parole !! »

Il y eu un petit silence qui me fit repartir dans mes pensées les plus abstraites. Je sautillai en regardant droit devant moi et observant les animaux que je croisais. Les premiers étaient des zèbres, un grand classique, ils étaient beaux et ayant un grand enclos je m’amuser a compter tout le long du chemin leurs nombre de rayures. Bon la conclusion n’est pas trop bonne vu que je changeait souvent de zèbres, mais je pense qu’il sont noire à rayures blanches… ou alors blancs a rayures noires… Dans coup de trompent je revint a moi, nous voila devant les éléphants. Mon dieu qu’ils étaient grands, et gros, à côté je ressemble à un petit poteau. Je m’amusais à marcher comme eux en fredonnant la chanson « La patrouille des éléphants » que j’avais entendu toute petite.

Lucy reprit la parole alors que nous arrivions aux paresseux, quels fainéant ceux là ! Ils ont la belle vie eux, je dors je mange je me gratte le dos, et je recommence. J’aimerais être un paresseux des fois, histoire d’une semaine, voir comment ça fait de dormir toute la journée, rien faire et surtout de bien le faire. Je les regardait faire, ils avaient l’air heureux en plus, fatigués, comme quelqu’un quia fait la fête toute la nuit, sauf que eux, ils ont passé la nuit a dormir, comme celle d’avant, et celle d’encore avant. Enfaîte ça doit être pénible a la fin de pas pouvoir faire un pas sans être crevé, de pas sortir faire la fête, courir partout chanter crier ! Mais dormir, ils ont se bonheur en contre partie !

« Oui je suis venue exprès, j’adore les pandas, c’est mon animal préféré ! Et la où j’étais avant j’en voyait souvent mais ici, ben a part là… Enfaîte si je suis venue là ça vient d’un rêve que j’ai fait cette nuit… Fin je ne vais pas t’étaler ma vie si tu ne veux pas ! Mais je veux bien que tu me montres très croquis ! Et les bébés pandas c’est grroooos magnons ! »