Une fille ? Non non, elle ne devrait pas approcher ce jeune timide, au cas où son coeur flancherais ! Non qu'il déteste les femmes où que celles-ci lui donne l'eau à la bouche, mais c'est bien de la faute de sa timidité. Du type peu silencieux, il aime bien parler et se faire remarquer de tout le monde, même si il sait fort bien qu'il risque d'attirer l'attention des dames et de fuir en courant. Malgré tout, il reste généreux à sa façons, surtout si quelqu'un pleure par sa faute. Il déteste voir quelqu'un pleurer, puisque sa lui chamboule le coeur. Méfiant et susceptible, il feras toujours attention si on lui propose quelque chose, mais il ne faut jamais le mettre au défi. Il accepteras toujours les défis qu'on lui lance, sauf si il les trouve trop abusif. Enfin, il ne faut pas trop l'embêter non plus, car il n'hésiteras jamais à se servir de sa batte de baseball ou son skate pour tabasser quelqu'un, juste dans le but de lui faire mal, et il ne regrette jamais les blessures qu'il cause normalement. Brutale avec les hommes, il ne se gêne pas pour les frapper, aussi efféminé soit-ils. Pour lui, un homme reste un homme, même si il éprouve parfois une certaine attirance pour ceux-ci. Il ne cache pas son côté bisexuel, même, il en est fier, et chercheras toujours à montré sa supériorité aux autres garçons. C'est un petit bad boy après. Il n'aime pas suivre les règles et est plus du genre à traînasser ci et là, loin des classes. Parfois il lui arrive de suivre ses cours pour ne pas se faire sortir du pensionnat, mais il profite le plus souvent de sa liberté pour sortir.

Il est mignon, mais le seul défaut qui fait que les gens se moquent de lui... Il est roux. Un petit roux aux cheveux mi-longs et aux yeux mordoré, presque orangé. Non qu'il se plaigne, mais il y à aussi une autre raison, il n'est pas extrêmement grand pour ses 19 ans. 1m72. Enfin, malgré ses traits un peu jeune, il n'a pas à se plaindre puisqu'autant les dames que les hommes savent apprécier son corps svelte et légèrement musclé. Pas à tout faire craquer quand même. Outre son physique de jeune bad boy, il se vêtit comme quelqu'un de normal. Une petite camisole noir sous son t-shirt aussi blanc que de la neige, un short vert forêt qui se termine environs aux genoux et des baskets bleu et orange. Côté accessoires et autres, il porte un bonnet noir, une montre, une veste rouge attacher à la taille, un tatouage rouge près de l'épaule gauche et, son meilleur, son skate et sa batte de baseball !

La russie, un pays où tout semble normal. Enfin, aux yeux des habitants eux-même, c'est normal, pour les touristes, c'est sublime, mais pour ce gamin, c'est l'enfer. Un petite monde d'horreur mêlé au sang qui coule à chaque jours. Ce petit rouquin qui vis ses journées tapis dans l'ombre de son terrifiant père, dans l'espoir que celui-ci le laisse rejoindre sa mère, enfin.

Née à Londres, il y passa les cinq premières années de sa vie, il menait une belle existence au côté de son majestueux père et de sa charmante mère. Semi-russe, semi-japonais, il n'était jamais embêté vue ses origines. Deux charmants peuples, de toute façons. Un enfant aux traits doux qui aimait bien s'occuper de sa mère, tout ce dégrada la journée même où il devait entré à l'école. Son père, riche homme d'affaire, voulait emmener son fils pour le faire entré dans une des écoles pour enfants surdoués en Russie, alors que sa mère, elle, voulait rester à Londres pour qu'il mène une existence normale. Il ne c'était jamais pardonner de voir sa famille ainsi déchirée par sa faute.

Son père ayant frapper sa mère, celle-ci l'avait quitter le jour même pour retourner au Japon, son pays d'origine, alors que le père, son fils sur les bras, avait préférer retourner en Russie. L'homme ayant rejoins sa Maîtresse, tout deux élevèrent l'enfant dans le bordel. L'alcool, la drogue et toute sorte de chose immonde. Alors qu'il était forcer d'aller à cette école pour ''Surdoué'', ce qu'il détestait au plus profond de son âme. Il voulait abandonner cette école, mais redoutait la réaction de son géniteur qui était connus pour son tempérament explosif.

Finalement, à peine ses dix ans atteint, il s'approcha de son père qui observait son journal à table le matin, et, d'une petite voix timide, s'exclama. ::

-Père, pourrais-je quitter cette école..? Je ne l'aime pas vraiment, les enfants là-bas me font du mal... J'aimerais aller dans une école normale !

Encore aujourd'hui, il regrettait ses paroles.
Son père l'avait mainte fois frapper, et avait tonner de sa voix grave, tel le grondement d'un puissant lion, qu'il n'irais jamais dans une vrai école, que ce n'était que des ''chiens galeux'' qui allait là-bas. Et ce fut d'ailleurs la nuit la plus terrorisante de sa vie. Violer par son père qui tenait à lui montré comment la vie pouvais être dégoûtante, la rouquin n'avait plus jamais vue son père du même oeil.

Deux ans plus tard à peine, son père était mort d'une maladie, et la Maîtresse de celui-ci c'était suicider par tristesse de la perte de l'homme qu'elle aimait. Ainsi sans famille, le petit russe avait du se tourné vers sa mère, qui elle, était encore au Japon. Ne sachant nullement parler japonais, il ne lui fallut pas grand temps pour apprendre, devenant ainsi trilingue, sachant le Russe, l'anglais et le Japonais.

Entrant pour la première fois de sa vie dans une école dite ''normale'', il était heureux, il avait des amis, mais son caractère avait changer du tout au tout. Ratant des cours pour aller faire du skate ci et là, il n'obéissait plus comme lorsqu'il était petit. Selon lui, le jeune Erwan était partis, et à ses yeux, il était devenue plus ''mature''. Ainsi avait-il raté sa première année d'entré dans une école banale, et, après s'être fait sévèrement réprimandé, il se démena du mieux possible pour réussir, ce qu'il fait. Un peu déçu d'avoir un an de retard sur ses camarades, il recommença tout de même à fuir l'école. Il n'aimait pas cet endroit.

Désespérée, sa mère avait finalement observer la dernière option qui lui restait. Envoyer son fils dans le pensionnat du village le plus près, Matsuyama. Malgré les plaintes et refus de celui-ci, il dut faire ses bagages, skate et batte de baseball sous le bras, valise sur l'épaule, il se retrouva ainsi prisonnier de ce village, même d'un sens, il ne se plaignait pas de l'endroit, même si il n'avait pas d'amis.