Henri A. Von Rosenstein
Messages : 17 Age du perso : 17 ans ♥ Côté coeur : Vide intercidéral.
Carte d'identité ♣ Année scolaire: Deuxième année ♣ Colocataires: no.30 avec Tsuyoshi et les frères Katsunobu. ♣ Relations: | Sujet: » Henri A. Von Rosenstein. Lun 29 Oct - 0:15 | |
| Alors,qui es-tu ?- Noms & prénoms : Von Rosenstein Henri Asashi - Âge : 17 ans - Nationalité : Japonaise et allemande, né au japon. - Orientation sexuelle : Certainement homosexuel - Année scolaire ou profession : Deuxième année - Groupe : As Everybody ( je ne suis pas très sûr du groupe.) - Pourquoi ce groupe : Hormis son physique, Henri est tout de même une personne normal. Et je ne le voit dans aucun autre groupe... - Personnage sur l'avatar: Himuro Tatsuya Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout, non? « Asashi ? Oh.. mmh. Il a toujours été calme. Oui. C'est un garçon plutôt discret dans sa vie privée. Il parle rarement de lui. Surtout après ce qu'il s'est passé.. Il s'est de plus en plus effacé . » « Ce type ? Ohh ! Un vrai taré ! Enfin avant cet accident. Il était calme mais fallait pas le chercher.. Héhé alors ça non ! »
De nombreuses choses changent au cours d’une vie, bonnes ou mauvaises, que l’on veuille ou non. Le caractère évolue autant en mal qu’en bien, comme celui d’Henri. Nous avons la possibilité de le modeler à souhait suivant avec qui nous nous trouvons. Ou pas. Ce n’est pas le cas du jeune homme qui juge les femmes égales aux hommes. Aucunes galanteries et faisant preuve de presque aucuns tacts. Il dira ce qu’il désire de dire, que cela plaise ou non. Mais cela ne veut pas dire que sa bouche sera toujours ouverte. Au contraire. Henri est du genre à ne pas vouloir gaspiller sa salive pour quiconque. Ce n’est pas un jugement d’être supérieur, c’est qu’il n’aime juste pas parler. Écouter, parfois. Il s’en fichera de vous comme de sa première couche culotte. Sa manière de parler est un peu détachée et posée, sa voix est grave et douce à la fois, parfois hésitante, elle change rarement d’intonation. C’est.. plat. C’est ce que la plupart des personnes pensent juste en le voyant, mais son physique est pour plus tard. Si vous l’observez ne serait-ce un peu plus de deux trois jours vous remarquerez que c’est un vrai sauvage avec tout êtres humains. Un sauvage qui se tient correctement. Dans le sens où on voit une éducation plutôt strict derrière ses agissements.. Si vous avez la malchance de lui poser des questions sur sa vie passée, présente ou futur qui serait un peu trop personnel, il vous enverra balader vite fait bien fait ! Mais avec calme, toujours avec calme. Un vrai petit con pour ça. Il réagit toujours calmement quoiqu’on lui dise, c’est certainement un bon point pour lui cela. Vous le verrez aussi la plupart du temps seul, pas qu’il est un rejeté de la vie, mais il ne veut pas qu’on lui parle de son handicap bien flagrant. Un handicap qu’il peine à gérer, comme beaucoup de choses. Il n’a pas envie qu’on lui parle tout court, à force, il s’y est fait, de rien aimer.. enfin de rien aimer de la population. Avec un caractère pareil, il faut savoir qu’il peine à se lier d’amitié avec autrui, cela le pèse parfois. Je ne peux pas affirmer qu’il hait ou aime la solitude, mais à force, comme tout être humain normalement constitué mentalement, peine à supporter cela. Un jour ou l’autre il devra apprendre à changer sa manière d’être. Bien que cela soit peu très clair au niveau de son comportement. Alors vous aurez au bout de quelques jours une conclusion assez normale : Froid et distant. Cependant si vous vous donnez de la peine à le connaitre, malgré les premières mauvaises impressions, vous saurez qu’il est, au fond, tout un autre garçon. Parce que Henri a bien évidemment un fond sympa, même si c’est à sa manière.. Parce qu’il lui arrive de sourire ou rire, quoique ce dernier point c’est plutôt rare. Je veux dire de manière sincère, pas de manière nerveuse. Son sourire se forme souvent sur des choses telles que, aussi bizarre que cela semble être, des choses mignonnes. Vous savez.. Les chibi.. Ou alors les choses typiquement kitch japonaises. Il apporte une certaine affection à ces merdes… Enfin, il pensera ça. Que ce sont des merdes qui sont plutôt adorable. Sinon il aime d’autre choses de la vie mais en petite quantité. C’est que ce type a tout de même un minimum de sensibilité. D’ailleurs, il peut s’énerver. Je veux dire ; vraiment s’énerver et éprouver une grosse frustration qu’il gère malgré tout en public. Pas d’étalement de sentiment dans un lieu bondé de monde, s’il vous plait.. Cela lui arrive notamment lorsqu’il ne parvint pas à faire quelque chose. Quelque chose de très con la plupart du temps. Par exemple : en classe, il a tendance à se rendre très nerveux. N’étant pas très doué à l’école, il pourrait ne pas dormir pour étudier et comprendre un foutu exercice. Il est du genre persévérant, mais cela le peine de ne pas comprendre ou de ne pas réussir. La peine engendre donc la colère et parfois il fait des excès de colère en balança la chose qu’il a dans les mains, chamboulant ce qu’il a à portée de main. Sur certains points, Henri fait preuve de timidité. Ce qui est avec les filles, aucuns problèmes. Disons qu’il a quand même grandit avec trois sœurs.. Et comme il n’est certainement pas attiré par les donzelles.. cela explique cela. Il ne parlera pas de son homosexualité, pas qu’il ne l’accepte pas.. S’il ne parle pas de sa vie pourquoi parlerait-il de sa vie sexuelle.. qui est plutôt morte.. ou alors qui n’a pas encore bien commencé dira-t-on. Donc, avec les hommes c’est autre chose. Il rougit facilement devant une personne qui lui plait, et pas de quoi faire un plat.. Enfin il le cachera en se tirant tranquillement. En même temps il a plutôt l’habitude de partir sans prévenir..
Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.Henri ne passe pas inaperçu, non parce qu’il a un style extravagant, parce qu’il est doté d’une beauté incroyable ou autre connerie de ce genre. Parce qu’il est rare de croiser un jeune, n’étant placé dans une école spécialisé, installé dans une chaise roulante. Parce que voilà, le jeune homme suite à un accident a dû se faire amputé au niveau des genoux. Au lieu de mesurer dans le mètre quatre-vingt environs, il ne mesure qu’un mètre vingt-trois et des poussières pour une quarantaine de kilo. Hormis ces deux membres en moins, le jeune homme est normalement constitué. Et pour ne pas perdre de la force musculaire, Henri, ayant été plutôt sportif avant son accident, ne pouvait rester sans rien faire. Alors il pratique régulièrement des exercices pour se muscler le dos, les abdo, le torse et ses bras. Ou encore pratiquant du basket, assez difficilement tout de même. Mais il n’en abuse pas trop, parce qu’il n’aimerait pas se voir trop muscler. Ce qui est tout à fait compréhensible. Et d’ailleurs, il préférerais avoir des muscles souples.. M’enfin. Alors je vous laisse imaginer qu’il est doté d’un peu de musculatures sous ses vêtements. Des vêtements plutôt simple et, ma foi, assez cher. Il ne porte pas de la marques visibles, oh non. Mais aime porter des beaux vêtements, simples et classes. Souvent dans les tons sombres. Manteau, pull, t-shirt, etc. Il est très classique dans ses choix. Sinon, comme dis plus haut, au niveau de ses jambes il n’y a plus rien, toutefois, il porte des prothèses, trouvant cela plus plaisant à voir que du vide. Ce que je peux dire de ce cher Von Rosenstein c’est qu’il n’est pas laid. Il le sait, mais s’en fout en fait. Son visage fin s’accorde totalement avec son corps, parce que je n’ai pas précisé qu’il est.. était (?) élancé. Une mâchoire toutefois un minimum carré qui fait la différence. Parce que plus jeune, beaucoup l’ont confondu avec une fille. A cause ses ses sourcils naturellement fins, ses lèvres légèrement rosée et ses cils trop long. La loose. Son nez est fin et plutôt grand, malgré qu’il ait des origines japonaises. C’est donc plus du côté de son père, qui est également japonais et allemand. Ce qui fait que Henri possède un quart de sang allemand le reste est japonais. Ses cheveux sont donc évidement bruns foncés, et fin.. et soyeux.. Bref, il aime prendre soin de lui. Sa frange se sépare en deux sur le côté, cachent son œil gauche. D’ailleurs, ses yeux sont de marron. Pas de quoi à être exceptionnel disons. Le jeune homme à la chance d’avoir une belle peau, c’est toujours dû à l’alimentation ça et puis aussi le fait qu’il prenne soin de lui. Il possède quelque grain de beauté sur son corps et un seul sur le visage. Sous son œil droit. Pour parler de ses airs. Il a un regard assez froid et indifférent. N’affichant très peu un sourire, il garde un petit air boudeur comme ça. Cela pourrait presque être mignon..
Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait. C’est toujours bien compliqué de rester calme lorsque vos camarades de classes vous traitent comme un mal propre. Dans son ancienne école, jamais ça aurait été ainsi.. Quel bandes de petits con. Les enfants sont parfois vraiment horribles..
Cela a commencé lorsque la famille Von Rosenstein venait d’emménager à Tokyo. Dans une maison aussi belle que la précédente. Leur trois enfants n’étaient pas pour ce changement de vie, et normal. Il ne voulait pas abandonné tous leurs petits copains. J’étais le cadet de deux sœurs, la troisième viendra un peu plus tard. Trois années les séparaient. À l’âge de 7 ans, j’intégrai une nouvelle école en cours d’année. C’était plutôt amusant comme les garçons avaient peur de moi et les filles qui étaient amoureuses du nouvel arrivant. Sauf que plus les semaines passaient, plus je me faisais détester. Pourtant je n’étais pas si terrible que ça. Je jouais et embêtais comme tous les garçons de mon âge. C’était dur, mais peu importe, je revoyais mon ami de la maternelle, Yuki, pendant les vacances et jours fériés. Le seul avec qui j’avais gardé contact parmi mes amis de mon ancienne classe. Mon amitié avec lui, au bout du compte ne suffisait plus vraiment. Plus les moqueries continuait, plus je faisais des conneries et martyrisais mes camarades. Mes parents étaient toujours convoqués par la principale, mais je n’en avais rien à faire, même s’ils me réprimandaient. Et cela continua jusqu’à ce que je quitte la primaire, donc mes 11-12 ans. Après la primaire, direction le collège. Un collège privé qui plus est. Cette fois-ci, je voulais me faire discret, préfèrent qu’on m’appelle Asashi pour ne pas que j’attire à nouveau l’attention. C’était un peu fichu. Je ne pouvais changer de comportement en une semaine. Si on me cherchait, je prenais la mouche et attaquais directement. Mais je savais qu’il fallait faire attention à mes ainés. Je n’étais pas le seul petit rebelle de cette école. Par ailleurs, je n’avais pas assez prêté attention à ce qui m’entourait lors de la cérémonie d’entrée, parce que parmi les premières, il y avait deux de mes amis d’enfance. C’est juste après les vacances d’été, lorsque je me rendis sur le toit que j’en croisai un. Enfin, je ne l’ai pas du tout reconnu sur le coup. « Hep toi ! - …Mh.. ? - Tu ne serais pas Henri ? » Et c’est ainsi qu’un petit groupe d’amis se forma. Il y avait Watanabe Yohei et Masahara Shinra, tous deux en deuxième année, et puis deux de mes amis d’enfance : Watanabe Yuki et Tachibana Kôsuke.. Lorsque je revu Kôsuke.. Ce type avait drôlement changé, cela m’avait bien troublé. Depuis, Yuki n’arrêtait pas de me coller, m’entraînant avec eux contre mon grés, mais cela n’était pas bien dérangeant. Je peux vous dire que je me suis malgré tout amusé avec ces imbéciles, nous faisions tout pour emmerder notre monde. Mais ce que j’aimais faire par-dessus tout c’était du basket et su baseball après les cours. Yuki et moi avons même intégré le club de basket du collège, Kôsuke, lui.. c’était un club-de-ceux-qui-rentre-chez-eux. Il n’en avait complètement rien à faire des clubs et toutes ses choses par groupe. Quel con. Cela dura deux ans, jusqu’à ce qu’on se retrouve en troisième année. Yohei et Shinra avaient quitté le collège, pour aller dans le même lycée. Après un mois et demi de la rentrée, Yuki vint prévenir Kôsuke et moi (nous étions les deux dans la même classe) d’un problème avec ce foutu Masara. Son frère et ce dernier étaient impliqués dans une bagarre, la veille, entre trois type du lycée voisin au leur. Et que cela allait recommencer.. Surtout que ces types de l’autre lycée avait un petit groupe de yankee à la mords-moi le nœud. Et Yuki ne trouva pas mieux que de vouloir les aider, ne voulant pas laisser son frère dans une situation pareil. C’était ridicule. Je n’en avais pas l’envie, mais encore Kôsuke était partant. Depuis toujours il se motivait pour se battre, c’était vraiment un con ce gars. Et s’il y allait, je le suivait automatiquement, allez savoir pourquoi.. « Putain.. Masara-san… n’est même pas foutu de se débrouiller seul.. » Le jour J. Nous nous sommes donc rendus sur le lieu du rendez-vous. Kôsuke n’arrêtait pas de répéter de la merde, montrant son excitation qui partit aussi vite que prévu lorsqu’il aperçut un type de dernière année de lycée et le nombre imprévu de personnes. En fait, non je m’étais trompé, son excitation s’enflamma encore plus. Le troisième année était Isao, il connaissait depuis pas mal de temps le frère de Yuki, alors normal qu’il lui vienne en aide. Ce type avait une mauvaise réputation en plus de ça, il s’était fait renvoyé de trois collèges. Heureusement que nous l’avions de notre côté. Puis le premier coup partit. Je n’étais franchement pas chaud pour me battre, j’étais derrière cette merde, à regarder autour de moi, j’aurais pu me tirer vite fait, mais lorsque j’aperçu Yuki dans une mauvaise posture, je me devais d’intervenir.. C’est ainsi que tout commença. Qu’un engrenage s’enclencha… Après notre soit disant victoire, qui était dû principalement à l’autre psychopathe d’Isao, Kôsuke ne se sentait plus du tout pisser, il s’était complètement enflammer, un vrai gamin qui aimait trop se battre. Un vrai con.. Un con dont je ne pouvais détacher mon regard..
« Saké pour tout le monde mes agneau ! - T’es con toi ! on a pas l’âge idiot !! - Oh.. Peu importe ! »
En dehors, Isao était plutôt cool.. pour les autres. J’y étais un peu indifférent surtout que j’avais un autre problème plus sérieux à résoudre. Mon attirance pour un homme, Kôsuke. Je ne savais à qui en parler, surtout qu’aimer un homme, société ouverte ou non, c’était plutôt compliquer à avouer. Hormis mon problème psychologique, depuis qu’on trainait avec Yo, Shin et cet Isao, surtout lui, nous n’arrêtions pas de nous battre et j’en éprouvais un petit plaisir. Un sentiment presque de liberté. Sauf quand je rentrais avec des coquarts, bleus et du sang, mes parents m’interrogeaient. J’avoue que je ne leur répondais pas, c’était limite si je les écoutais parler. Je gardais mon calme devant leurs cris avant de m’éloigner sans dire un mot et m’enfermer dans ma chambre. C’était une période assez intéressante pour un collégien, je me trouvais presque cool… Puis un soir ça a dérapé
« …. - ALLÔ ALLÔ !! ROSEN - ..nh.. Putain.. tu.. sais quelle heure il est.. ?... - FAUT QUE TU BOUGES !!! YUKI A DES PROBLÈMES !! - …J’arrive.. »
Si cela n’avait pas été pour lui, je ne me serais pas lever de mon lit et sortit en douce. Lorsque je suis sorti, Isao m’attendait avec sa vieille moto pourri, je ne m’attendais pas que ce soit lui qui vienne me chercher, il m’expliqua brièvement la situation. Et quelle merde. Yuki était dans un pétrin pas possible. Lui qui était le plus sage d’entre nous, c’était lui qui avait ramassé le plus. Lorsqu’il rentrait de ses cours du soir, il était tombé sur nos «rivaux » et l’ont séquestré dans un immeuble dont je ne connaissais pas l’existence. Et l’un des gars avait envoyé un sms à son frère, Yohei. Nous devions en sommes aller le rechercher et c’était vraisemblablement une sorte de piège. Je ne la sentais pas cette fois-ci. Et j’ai bien fait. Nous avons retrouvé notre Yuki tabassé, je ne sais pas qui entre son frère ou moi avait plus la haine, mais une chose était sûr je n’allais pas laisser passer ça. Kôsuke s’était chargé de mettre notre ami dans un endroit sûr avant de le ramener à l’hôpital, pendant que nous étions à la recherche de ses bâtards. Et puis ce fût leur tour… oui. Je ne me souviens plus exactement de ce qu’il s’était passé ce jour-là, j’avais eu une espèce d’absence, j’avais complètement pété les plombs. Tout ce dont je me souviens c’était Isao me félicitant d’avoir bien tabassé deux types, un peu plus et je leur avais pété le crâne.
« Ahaha ! T’es un vrai monstre quand tu veux gamin ! Je ne pensais pas ça de toi ! »
J’avouai à Kôsuke que nous avions été trop loin depuis le début, mais il ne comprenait pas. Ça l’avait plus qu’éclater cette connerie. Et je ne savais plus où cela allait nous mener cette histoire. Les jours passaient, je restais avec Kôsuke, à l’écouter dire de la merde et je le suivait lorsqu’il séchait. Nous passions notre temps à l’hôpital auprès de Yuki, qui n’avait pas de très grosses blessures, heureusement. Cependant je ne me sentais pas vraiment en forme. Et Kôsuke l’avait remarqué, putain, enfin. À force de se voir que les deux, il remarquait un peu toute mes manies et puis..
« Depuis quand est-ce que tu m’aimes ? »
J’avais envie de mourir, je le niais autant de fois qu’il le fallait, et j’ai fini par craquer.. oui. J’ai versé des putains de larmes devant lui, je crois qu’il était assez désemparé devant un type comme moi. Mais il a fini par me prendre dans ses bras puis m’embrasser. J’étais mille fois plus choqué qu’il y avait deux minutes.
« Je ne t’aime pas. Je veux dire, je ne suis pas amoureux de toi. Mais je voulais voir ce que cela faisait. Et ce n’est pas dérangeant. - … couillon. » Un vrai con, après ça nous n’avons plus jamais reparlé de ce qu’il s’était passé. Je n’attendais rien de lui. Juste après la sortit de Yuki, vers la fin de l’année scolaire, mon père et ma mère voulais m’envoyer dans une autre école, histoire de m’éloigner de mes amis. À ce stade de ma vie, je crois que je m’en raclais le cul. Cela devait être bon pour tout le monde de prendre nos distances.. Oui. Par contre ce qu’il me faisait un peu chier c’est que ça devait être mon oncle et ma stupide cousine qui devait m’emmener dans cette école. J’avais donc prévu le cou d’emporter mon lecteur de musique avec moi, je n’avais pas grand-chose la dessus, en plus des musiques pas terrible, mais c’était toujours mieux que de rester à parle de choses chiante avec eux. La route était longue et je m’étais endormit. Ce qu’il me réveilla fut une grosse secousse. Je ne m’étais pas rendu compte sur le coup mais nous avons été en pleine accident de la route. Puis pour la deuxième fois de ma vie je ne me rappelai plus de ce qu’il c’était passé. Lorsque je me réveillai, j’étais complètement shooté, je voyais deux trois silhouette très flou, puis je me rendormis, avant de me réveiller quelques heure plus tard. Ma mère était en pleure, mon père l’était limite aussi, c’était plutôt choquant, je me suis tout de suite dis qu’ils abusaient, je n’étais pas mort non plus. Peut-être avec une sale mine mais quand même. Egoïste que je suis j’ai pensé après coup à mon oncle et sa fille. Eh merde l’accident.. Putain de merde. J’eus vraiment peur. Je tentai se me redressé mais trop affaibli, je ne trouvais aucune force. Mon père m’a expliqué par la suite ce qu’il c’était vraiment passé, un bus avait perdu le contrôle renversant plusieurs voiture, dont nous. Puis.. son regard est devenu plus grave et plus désolé qu’avant.
« Tu.. Pour t’extirper du véhicule.. ça à prit plusieurs heures et… »
Sa voix tremblait, je n’avais jamais vu mon père dans un tel état. Puis il continua difficilement, c’est drôle.. Il me semblait que j’avais mal à mon pied gauche.. Il continuait à me parler, puis c’est le médecin qui continua sur mon état de santé, mais je ne les écoutais déjà plus. Je ne savais pas si je devais pleurer, crier, m’énerver, ou rire. Mon esprit se vida aussitôt, les personnes qui venaient me rendre visite, je ne les calculais plus. J’ai dû suivre des psychiatres, des cours de rééducation, comment mettre mon bandage autour de mes deux.. moignons. Je n’arrivais pas à y croire. C’était juste impossible pour moi de suivre ce genre de chose. Pendant que les adolescents de mon âge rentraient à l’école, moi je faisais de la physiothérapie. Cela dit, suivre tout ça m’a permis de remonter un minimum la passe, et puis Kôsuke m’a bien remonté le morale, Yuki aussi. Mais après ça, nous savions que nous nous reverrons plus. Plus tard, dans quelques année certainement..
Maintenant je vis avec mon handicap, je ne souffre plus à ces endroits-là, c’est complètement cicatrisé. Et pour entrer en deuxième années j’ai dû suivre des cours privé et passer des tests, c’était dur m’ai j’ai réussis.. Kôsuke et Yuki, dans les dernières lettres que j’ai reçu sont dans la même classe, Yuki veilles sur le comportement de Kô et ce dernier sur Yuki tout court. Isao n’a pas changer, il doit s’être trouver un boulot, c’est certainement marié avec une trainée.. Shinrai est à l’université tout comme Yô..
C'est l'heure d'enlever les masques.. !- Prénom ou surnom : Abel - Pays : Suisse - Âge : 18 ans - Comment avez-vous trouver notre forum ? Augustus ! - Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement :Code bon By Akiba.
Dernière édition par Henri A. Von Rosenstein le Jeu 1 Nov - 0:34, édité 6 fois |
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