Alors,qui es-tu ?
- Noms & prénoms : Sekhmet Netjer
- Âge : 24 ans
- Nationalité : Égyptienne
- Orientation sexuelle : Hétéro vu qu'elle est en couple....

- Année scolaire ou profession : Prof d'histoire antique
- Groupe : Unlisted Actors
- Pourquoi ce groupe : Faut le vouloir pour passer toute sa vie sur les bancs d'école... Et puis bon les études il faut aussi les rembourser !

- Personnage sur l'avatar: Alex Benedetto de Gangsta.

Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout, non?

Je ne sais pas tellement si me décrire moi-même est vraiment objectif, mais bon je peux tout de même essayer. D’abord je pense que je suis surtout possessive, lorsque quelque chose est à moi c’est à moi et à moi seule et je crois que mon petit-ami pas tellement catholique vous en dira de même. Combien de fois j’ai pu piquer une crise de jalousie car des filles s’approchaient de lui de bien trop pré, mais bon en même temps il faut dire que j’ai tiré et qu’il a tiré –surtout lui – le gros lot. En revanche, ça ne me déplait pas tellement lorsqu’il joue au basket avec ces potes, sauf quand son foutu sport passe avant moi, mais bon il faut dire que j’en fais de même… La dernière fois alors que je traduisais une tablette de hiéroglyphes j’ai quand même réussit à lui balancer mes lunettes. Oui je le confirme, lorsque je travaille ou lorsque je suis vraiment concentré j’ai tendance à être violente… Mais bon on ne se change pas, que voulez-vous. Il n’empêche que si on met de côté mes petits travers je suis quelqu’un de vraiment normal, je sais très bien rire, voire peut-être trop même, mais bon vu que la vie est courte il faut en profiter. Dans tous les cas, je ne me souviens pas que mes élèves m’ont déjà sortie que j’étais une peau de vache ou quoique ce soit dans ce style-là, mais bon même moi lorsque j’étais plus jeune je ne l’aurais pas dit devant un prof… Dans tous les cas j’ai oublié de vous dire un petit truc… Certes de mes actions ne sont pas considérées comme très bien vu.

Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.

Je ne comprendrais jamais les gens et les stéréotypes… Pourquoi dans la tête des gens un professeur d’histoire antique ressemble à un vieux bonhomme tout grisonnant avec une bonne barbe et un ventre aussi gros qu’un ballon de baudruche. Pourtant je tout le contraire… Dans la fleur de l’âge j’ai tout ce qu’il faut là où il faut. Certes je ne suis pas très grande et je commence à attraper de bonnes fesses, mais bon il n’en reste pas moins que je suis une femme et non ce stupide stéréotype… En revanche, j’ai un atout considérable dans ma poche, le charme du Moyen-Orient, même si en ce moment ces mots laissent penser autre chose. Il n’empêche que c’est grâce à mes origines ethniques que j’ai pu avoir mes noirs et brillant, ma peau basanée et mes yeux noisette et quand bien même si quelqu’un ne serait pas dire d’où je viens, mon accent qui traîne lorsque je parle laisse parfaitement entendre que je ne suis pas d’ici. Dans tous les cas ce n’est pas mon style vestimentaire qui risquerait de trahir mes origines, du moins je pense que mes vêtements sont classiques pour quelqu’un de mon âge, peut-être moins pour ma profession en revanche…

Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.

Je tiens à vous dire une chose, pour réussir dans la vie il faut se battre, je ne parle pas au sens propre du terme, avec du sang et de la sueur, de toute façon à ce genre de combat j’aurais vraiment vite perdue, moi je parle surtout du sens figuré. Où il faut travailler d’arrache-pied pour gagner un tant soit peu quelque chose et j’en avais du boulot à faire… Je viens d’une grande famille, plusieurs frères et sœurs et heureusement pour moi je n’étais pas la petite dernière, juste au milieu c’est parfait. Dans tous les cas on n’était pas tellement riche, mais le strict minimum me suffisait amplement, mon père travaillé comme guide dans la ville et plus rarement il amenait les étrangers voir les pyramides. Mais à chaque fois je l’accompagnais en cachette, délaissant un peu trop mes camarades de classes et mes classes tous court. C’est à cette époque-là aussi que j’ai passé les plus belles années de ma vie, non pas quand je suivais mon père, mais lorsque des archéologues venus de l’étranger avaient commencé à entreprendre des fouilles dans les vieilles pyramides qui me targuaient de leur hauteur de me cacher des secrets. Je laissais tombé mes rêves de mon vieux pays et j’apprenais son histoire avec envie, quémandant des informations auprès des stagiaires qui fouillé le sable et auprès des livres d’histoire qui se cacher au fond de la bibliothèque. Ainsi j’étais ce que l’on pouvait appeler un rat des villes et un rat des champs, des champs car je cherchais toutes les informations possible et imaginable sur le terrain et j’apprenais les bases dans les livres. Au final toutes ces heures dans la poussière avaient porté leurs fruits, j’obtenais des notes pharamineuses en histoire, délaissant un peu les autres matières, pourtant j’obtenais rapidement une bourse pour une grande école, me permettant de nourrie ma passion dévorante, si bien que je laissais un peu de côté la vrai vie comme on pouvait le dire. Ainsi je passais mon diplôme vers mes dix-huit ans et il s’offrait deux choix devant moi soit devenir comme mes parents un petit travailleur pour vivre une vie paisible ou tenter de vivre une plus tumultueuse dirons-nous. J’avais commencé ma première année d’étude supérieure au Caire, ma ville natale, mais je voulais voir plus loin, si bien que je profitais d’un cursus scolaire à l’étranger. Différent pays s’offraient à moi et pourtant automatiquement je choisis l’Australie. Pourquoi j’en n’avais aucune idée et pourtant je n’ai jamais encore regretté mon choix. Je ferais tous pour devenir Egyptologue, même si le chemin serait long et tumultueux. Ainsi je suivais mes cours simplement et bêtement, j’étudiais l’histoire et les vieilles civilisations du monde et je jetais des regards comment dire… Plus moderne sur les terrains de sport de la ville, si bien qu’un jour je me retrouvais nez à nez face à adolescent bien plus jeune que moi, mais comme un jeune oisillon je tombais amoureuse de lui, laissant les oui dire des autres passer au-dessus de ma tête. Au que oui, il était beau et qu’il l’est toujours mon Jayden. Au début on se voyait secrètement et beaucoup moins au fil du temps. Pourtant lorsque mes études étaient fini, du moins avant que je puisse passer mon doctorat je proposais une aventure folle à mon jeune amant, partir de ce pays et d’aller plus au nord, au Japon plus précisément. A mon grand plaisir il accepta sauf que voilà, mes belles idées étaient belles et je n’avais pas imaginé ça… Redevoir vivre notre amour en secret… Ça c’est la LOOSE ! Dire que ça fait un an que cette histoire dure, mais bon plus qu’un an et je pourrais lui en faire voire de toutes les couleurs ou pas….

C'est l'heure d'enlever les masques.. !
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