Une chambre commune [PV colocataire de la chambre N°38]

Donc me voilà dans les dortoirs, je suis dans la chambre trente-huit qui se trouve au deuxième étage, je monte les étage avec mes affaire pas très pratique ça ira mieux demain quand j'aurais que mon sac de cours pour descendre et monté les deux étages.

Je regarde l'étage, les douches sont séparés c'est plutôt pas mal comme endroit, je pense que je devrais bien m'y plaire je trouve assez vite la chambres c'est celle qui n'a pas de plaque avec des noms inscrits dessus comme les autres chambres mais, y' la plaquette avec le numéro trente-huit marqué dessus.

Je rentre dedans la chambre c'est plutôt spacieux mais, je me dirige vers le lit à l'endroit le plus sombre de la pièce je me sentirais mieux, je n'aime pas trop la lumière. Je pose mes affaire par terre sauf mon sac de cour que je pose sur le bureau délicatement.
J'ouvre ma valises et commence à rangée mes affaires dans le petit placard juste à côté du bureau. Je finis de rangé mes vêtement et je commence à faire mon lit que je fais assez rapidement.

Je sortis délicatement les affaires qu'il y avait dans mon sac de cours, il y avait quatre cadres photos et un album photo qui en contenais seulement quatre et mis les photo dans les cadres photo puis les disposa enfin essaya de trouvé une disposition parfaite pour les cadres et quand ce fut le cas. Katie sourit, elle s'était définitivement installé et puis elle s'adressa à une des photos :

-Je sais que tu es heureuse pour moi là-haut, c'est Naoki qui me le dit tout le temps.

La jeune demoiselle souriait toujours quand la poignée de sa porte commença à tourné, prise de panique katie ferma tout baissa les cadres photo et se plaqua sous le bureau en attendant que la personne s'en aille.

Aika parcouru le long couloir sombre qui menait à un immense escalier de marbre. Il lui fallait monter deux étages pour arriver à sa chambre rien de plus facile puisque le jeune homme avait fait apporter ses affaires quelques jours au paravant par Yuki.

Il montât donc les marches avec pour seul bagage son violoncelle. Aika était loin d'être un sportif se qui se fit ressentir au premier étage. Le jeune homme était déjà essoufflé par cet effort. Il se sourit à lui-même prit sa respiration et continua sa monté, il devait y arriver par amour propre enin se n'était que deux petit étage. Certes son violoncelle était très lourd mais il y avait pire dans la vie.

C'est en cet instant qu'il pensa à Katie qui avait du gravir ses même escaliers avec tout ses bagages. Il espéra alors quel était en meilleur condition physique que lui... Aika arriva enfin au second étage. L lui fallait trouver la chambre n°38. Il chercha des yeux, 35, 36,37 et puis enfin voilà la chambre n°38.

Aika reprit son souffle et puis posa sa mains sur la poignée. Il entendit bouger à l'intérieur de la pièce. Il devait y avoir quelqu'un un colocataire sûrement . Aika n'était pas ravi d'être le second arriver peut-être que s'il n'avait pas passée se coup de téléphone il serait arriver premier.

Le jeune homme pour se détendre effectua un petit jeu, fille ou garçon. Il s'amusa à imaginer qui pouvait être derrière la porte. Pour lui c'était un garçon de 3ème année qui se trouvait dans la pièce. C'est alors que Aika trouva la poignée et ouvrit la porte doucement.

Mais surprise il ne voyait personne. Une valise était étendue sur le sol le lit était fait mais il ne voyait personne. Il s'approcha dans la pièce plus tôt sombre vers un bureau ou il crut voir une ombre et dit d'une voix peu rassurer et tremblotante:

- Il y a quelqu'un ?

Il ne vit pas que se trouvait sur son chemin une chaise et tomba à la renverse en hurlant. Il était dos au sol la tête pencher et il vit au dessus de lui une jeune fille. Il avait perdu son parie mais retrouver son amie. La jeune fille n'était nul autre que Katie. Quel étrange coïncidence... Il s'était sûrement trompé de chambre. Pourtant il était bien dans la chambre n°38.

Aika un peu déboussolé resta dans cette position et souri à la jeune fille qui était cachée près du bureau. Puis il dit d'une voix timide:

- Rebonjour mademoiselle, je suis navré que vous me voyez dans cette position très inconfortable. Je ne m'attendais pas à vous voir ici, j'en suis tout retourné .

Aika éclata d'un. Rire sonore les mains sur le ventre puis reprit son sérieux. Il fronçât les sourcils et regarda la jeune fille lui disant d'un ton grave:

- Vous ne me suivez pas j'espère.

Puis il se remit à rire de plus belle. Il se releva et regarda autour de lui la chambre était magnifiquement meublée. Mais ce qu'il cherchait s'était ses affaires. Ou pouvaient elles bien êtres...

Je tremblais de peur que ce soit quelqu'un du personnelle pour venir me réprimandé de pas monté à l'internant avec l'heure fixe quand la voix que j’entendis me rappelais quelqu'un que je connais depuis peu quand d'un coup j'entendis un cri et un boum. Je me suis mise à crier aussi tout en fermant les yeux.

Quand une petite voix timide me dit :

- Rebonjour mademoiselle, je suis navré que vous me voyez dans cette position très inconfortable. Je ne m'attendais pas à vous voir ici, j'en suis tout retourné .

J'ouvris les yeux et vu Aika par terre et d'un coup en sortant un peu ma tête de sous le bureau je dit :

-Que faîtes-vous ici ?

En même temps que je pose ma question il me dit d'un ton grave :

- Vous ne me suivez pas j'espère.

Il riait de bon cœur et son rire me fit rire aussi quand je retrouve mon calme car j'ai du mal à le retrouvais quand je suis prise d'un fou rire, je dit avec gentillesse :

-Je ne vous suis pas puisque c'est la chambre qui était marqué sur le papier de l’administration.

Je me relevé et remettais droit les cadres photos puis je me dirige vers le jeune homme, ramasse la chaise et ensuite lui tend la main pour qu'il la prenne pour aidait à se relever vu qu'il était encore par terre je crois qu'il cherche quelque choses du regard mais par terre il ne verra pas grand choses à mon avis. Je souriais, au moins je connais quelqu'un qui partagera ma chambre durant ma scolarité à Rayen, je suis contente.

Aika riait a grand fracas et son rire fut soudain partagé par la jeune fille qui elle aussi se mit a rire puis après s'être enfin calmée fut prise d'un fou rire contagieux. Les deux jeunes gens riait de bon cœur dans la petite pièce peu éclairée. Aika ne parvenait à peine à voir la jeune fille qui était cachée sous le bureau.

Cela faisait très longtemps que le jeune garçon n'avait pas ri ainsi. Il se sentait comme libéré d'un immense fardeau. Les jours à rester seul et dans l'obscurité était révolu. Cette inscription dans ce pensionnat était pour lui un nouveau départ empreint de surprises et de rebondissement. En l'espace de quelques heures il s'était déjà fait une amie.

Aika plissa les yeux pour mieux voir cette obscurité était plutôt gênante. Il discernait un visage souriant tapis dans l'ombre, celui de la jeune fille lui disant avec gentillesse :

-Je ne vous suis pas puisque c'est la chambre qui était marqué sur le papier de l’administration.

Puis la jeune fille se releva et remît droit les cadres à photos suite à cela elle se dirigea vers le jeune homme, ramassa la chaise pour ensuite tendre la main au jeune garçon toujours allongé au sol. Elle l'aida à se relever. La jeune fille avait les mains douces et froides se qui fit frissonner Aika.

Elle lui souriait, le jeune homme se demanda à quoi elle pouvait bien penser pour sourire de la sorte. Mais cela lui fit décrocher un sourire également. Il était heureux de connaître quelqu'un d'aussi sympathique et encore plus de l'avoir dans sa chambre. Seulement, il restait encore deux lits à combler.

Aika se dirigea vers le second lit sa malle était disposé près de celui-ci. Aika l'ouvrit , un vrai coffre au trésor. Il y avait des tas de partitions ainsi que plusieurs archets, cordes et tendeurs. Il y avait également plusieurs chemises et costumes, quelques rubans et à la surprise général plusieurs crèmes pour le visage. Il faut dire que le jeune homme prenait soin de son apparence. D'autant plus qu'il était doté d'un epiderme très fragile. Non pas qu'il fut narcissique seulement un tantinet coquet.

Aika se releva ses vêtements dans ses bras, puis il se dirigea vers son armoire. Il n’y voyait pas très bien mais trouva enfin celle-ci, il l'ouvrir et y suspendit ses costumes et y rangea soigneusement ses chemises. Il répéta l'exercice pour ses affaires de toilettes et ses accessoires de musique. Il revint à son lit et se pencha au dessus de la malle, derrière elle se trouvait une toile enveloppée dans un papier de soie. Le jeune homme la prit dans ses mains et la posa sur le bureau à côté de celui de la jeune fille. Puis il lui dit les yeux rivés sur la toile toujours enveloppé :

- Je crois que nous sommes condamnées à nous côtoyer pour le restant de l'année mademoiselle. Ne m'en tenait pas rigueur mais se sera pour moi un véritable plaisir.

Le jeune homme était plus que sincère. Pour lui s'était un véritable honneur de se retrouver dans la même chambre que la jeune fille. Aika avait toujours les cheveux détaché dut à leur promenade du matin. Il prit donc un ruban dans ses affaires et entoura soigneusement sa cheveulure avec celui-ci. Il posa alors le regard sur le bureau de la jeune fille et sourie en regardant les cadres sur celui-ci et dit en se rapprochant:

- Pardonnez ma curiosité, mais qui est-ce, des ami(e)s à vous?

Le jeune homme posa ses lunettes sur son nez pour pouvoir mieux voir. Aika observait tout les visages sur les photos d'un air intéressé, heureux d'en apprendre un peu plus sur la jeune fille. Chez lui il en était encore rester au portrait et il y avait que très peu de photo dans son manoir. En voir quelques une dans ce qui allait être sa chambre le changeait un peu.Cette nouvelle vie au pensionnat lui ouvrait les yeux comme jamais.

Je pris une des photos enfin celle que j'avais placé en face de ma chaise et dit d'un ton nostalgique :

-C'est ma famille celle que j'aime le plus au monde et que je protégerais même si je dois mourir...

Je marque un arrêt cela est sure que je les aiment plus que tout au monde même si certaine ne sont plus avec nous dans ce bas monde. Je regarde tristement la photo surtout Kotomi ma tante...cette photo, c'est la dernière que j'ai prise avec elle avant son hospitalisation...Des larmes coulent zut j'enlève mes lunettes vite et essuie mes yeux et prononce d'une voix douce tout en posant la photo sur le bureau :

-Pardon, cette photo me rappelle de mauvais souvenir voilà la cause de mes larmes pardonnez-moi...

Je replace la photo en face de ma chaise et recommence à pensée à elle...c'est dur mais, je dois resté positive et me dire qu'elle est heureuse pour moi là-haut et que je dois être heureuse pour qu'elle soit heureuse. Je souris à la photo puis tourne mon visage vers une autre photo, la dernière que j'ai prise avec Naoki et Katsuko...comparé à l'autre quand j’étais petite j'ai le regard vide et je ne souris pas comme avant quand j'étais petite et avec elle puis regarde Aika qui à l'air dans ses pensés. J'esquive un rire, je pense que je fais passé de bonne année ici entouré de vrai ami(e)s comparé à ceux qui était soi-disant mes ami(e)s dans le collège ou Naoki m'avait inscrite avant de m'envoyer ici.

Aika regardait chaque photos une par une lorsque la jeune fille prit l' une d'entre elle,celle qui étais placé en face de la chaise. Le jeune homme se pencha au dessus de l'épaule de la jeune femme pour mieux voir quand elle dit d'un ton nostalgique :

-C'est ma famille celle que j'aime le plus au monde et que je protégerais même si je dois mourir...

La jeune femme s'arreta parler un instant. elle semblait absente tout en regardant la photo. Elle l'a regardait tristement se devait êtres quelqu'un de très important pour la jeune femme. Cette photo devait renfermer de douloureux souvenirs. Aika avait vu juste. Des larmes coulèrent des yeux de la jeune femme qui enleva ses lunettes pour essuyer ses petits yeux en amandes. puis elle prononça d'une voix douce tout en posant la photo sur le bureau :

-Pardon, cette photo me rappelle de mauvais souvenir voilà la cause de mes larmes pardonnez-moi...

Aika fixait toujours cette photo, elle devait vraiment avoir souffert cette petite. Il trouvait de plus en plus de ressemblances entre elle et lui. Katie esquiva un rire. Aika la regarda l'air perdu. Voir la jeune fille réagir ainsi a la vu d'une photo lui rappela sa propre difficulté a regarder une représentation de sa soeur.

Le jeune homme tourna le dos à la jeune femme sans un mot. Il retira ses lunette lentement pus les rangea dans sa poche des larmes perlaient à ses yeux. Il s'avança vers son propre bureau puis resta devant un moment sans mot dire. Il regardait la toile solidement envelopper. Une fine couche de poussières la recouvrait. Aika ne l'avait pas ouvert depuis un an, il en était incapable revoir le regard de sa sœur lui faisait froid dans le dos. Surtout ces portraits tellement froid et tassiturne qui ne témoignaient pas de la véritable beauté de sa sœur pourtant il devait bien faire face à ses démons un jour ou l'autre...

Il posa une main sur la toile mais dans un excès de rage l'envoya à l'autre bout de la pièce. Non, il en était incapable, il ne pouvait pas revoir ses yeux si pur, ce visage d'ange qui le hantait jour et nuit. Non ça lui était impossible. Dans sa chute le papier de soi qui recouvrait la toile s'était déchirer laissant à la vue de la jeune femme le portrait de la sœur d'Aika.

Le jeune homme recouvrât son visage entre ses mains en prononçant tout bas des excuses. Il semblait avoir perdu la raison... Les souvenirs de cette nuit tragique le hantaient toujours au point de perdre tout contrôle.

Spoiler:

Je continuais de regardé mes photo avec un petit sourire quand un choc me ramena à la réalité, un tableau puis je vis Aika se placé devant et dire tout pas des excuses et là comme par magie j'ai l'impressions d'être comme avant d'avoir mon caractère de petite fille qui ne doit détesté personne. Je m'avance vers Aika et le pris dans mes bras malgré ma petite taille et dit d'une voix douce et apaisante les même mots qu'elle me disait tout le temps :

-Si tu veux pleuré, c'est le moment ou jamais entre la famille et les ami(e)s il n'y a aucune barrière alors ne te gêne pas.

Je restais comme ça et commence à chantait l'air préféré de Kotomi et j'essaie de reproduire ses mouvements doux et calme qu'elle me faisait pour me consolé à chaque fois que j'étais triste et d'une voix encore plus douce, je dit :

-Ne te déteste pas ou ne déteste pas les gens qui t'ont fait du mal même moi...

C'était la même phrase qu'elle m'avait dit avant que ses poumons ne lâche vraiment et que la mort l'emporte...je ne l'ai jamais détesté pour sa mort, je me dit qu'elle avait dit ça justement pour que je ne la déteste pas comme mes lâche de parent qui m'ont laissé à elle je les déteste plus car d'après Naoki en ce moment ils essaient de reprendre contacte avec moi. Je lâche Aika et sourit et prononce encore d'une voix douce :

-excusez-moi je n'aurais pas du agir comme cela, c'est malpolie de ma part...

Je recule de quelque pas et regarde par terre rouge de honte...je ne sais pas trop quoi faire maintenant je suis vraiment sans gêne des fois mais, c'est les moments magique quand les gens que je n'aimerais pas voir triste le sont alors je redeviens cette petite fille qui ne déteste personne et qui les consolent même si c'est un peu malpolie de ma part je me demande quand le jeune homme réagira.

Spoiler:

Aika se laissa tomber à genoux violemment si bien qu'une douleur sans nom parcourra son corps tout entiers. Le jeune homme s'était mis a pleurer lorsque Katie s'avança vers lui et le pris tendrement dans ses bras. Le jeune homme eu l'impression d'avoir prit violemment, il voulut se dégager de l'emprise de la jeune femme mais n'en avait pas la force. lorsque soudain la jeune fille dit d'une voix douce et apaisante :

-Si tu veux pleuré, c'est le moment ou jamais entre la famille et les ami(e)s il n'y a aucune barrière alors ne te gêne pas.

Elle resta ainsi un moment et commença à chanter. Aika se laissa bercer comme un enfant, oubliant l'endroit même où il était. Décidément, il était faible, tellement faible qu'il s'en voulait même de vivre. Aika frissonna aux caresse de son amie. Puis d'une voix encore plus douce, elle dit :

-Ne te déteste pas ou ne déteste pas les gens qui t'ont fait du mal même moi...

Aika se devait de reprendre ses esprit. Seulement le jeune homme avait l'impression que son cerveau ne lui répondait plus. Tout son corps était lourd et engourdit. Katie l'apaisait il aurait pu rester des yeux dans le creux des ses bras. Katie le lâcha, lui sourit et prononce encore d'une voix douce :

-Excusez-moi je n'aurais pas du agir comme cela, c'est malpolie de ma part...

Aika fut sorti de ses rêveries. La réalité vint le frapper à nouveau. Il s'était encore une fois mal conduit et avait laissé ses émotions le contrôler. Katie recula alors de quelque pas et regarda par terre. Aika cessa de pleurer et sécha ses larmes du revers de sa manche puis il sourit à la jeune femme. Il prit ses mains dans les siennes et lui dit tendrement.

- Voyons ne vous excusez pas mademoiselle, vous n'avez pas du tout mal agit. Vous avez agit selon votre cœur il n'y a rien de mal à ça.

Aika abaissa ses lèvres jusqu'au mains de la jeune fille et y apposa un baisé. Puis il se releva et s'enfonça dans la pièce la ou le portrait avait finit sa course. Il le ramassa délicatement, enleva complètement le papier de soie qui le recouvrait et le fixa avec ses yeux tristes. Puis il revint vers son bureau et y suspendit le tableau. Il recula de quelque pas pour regarder le portrait de sa sœur puis détourna le regard en direction de Katie. Il souriait péniblement et dit d'un e voix chevrotante:

- Cette jeune femme est ma sœur... Uta Tsumetai ...

Il ravala avec difficultés quelque larmes et leva la tête vers le plafond. Sa sœur lui manquait tellement que le simple fait d'en parler le rendait malade. Il n'osait jamais parler d'elle tellement ses souvenirs en était douloureux.

On retourna dans la triste réalité, Aika prit le tableau pour le suspendre au mur quand d'une voix que notre demoiselle connaissait bien celle qu'elle utilisait toujours quand elle parlait d'elle avec Naoki ou quand elle s'était confié à Katsuko au début de sa première année de collège, une tristesse inimaginable par quiconque :

- Cette jeune femme est ma sœur... Uta Tsumetai ...

Katie voyait bien que le jeune homme n'était pas très bien et se demandait si sa soeur n'était pas morte et que cela l'affectait beaucoup surement car ils étaient très proche comme pour notre demoiselle et sa tante Kotomi. Cela causse toujours du chagrin à notre jeune demoiselle même maintenant et vu les photos qu'elle a toujours avec elle, katie essaie de pensée qu'elle doit être heureuse là-haut pour elle...

Elle alla se recroquevillé sur son lit et dit d'une voix faible :

-Vous me rappelez moi lorsque j'avais huit ans et même maintenant quand je pense à elle...

C'est sortis tout seul, je me sent un peu bête là il doit me regardé méchamment et me trouve surement égoïste et d'autres truc surement pas très gentil c'est normal je suis une imbécile de première qui ne sait pas dire ses sentiments correctement, je resserre mes bras autour de mes bras et enfouie ma tête dedans je n'ai pas remis mes lunettes depuis alors j'enfouie bien ma tête dedans...je me sens nulle et c'est surement pas la première erreur que je fais faire au pensionnat j'espère que ce sera facile de me faire des ami(e)s je l'espère vraiment...

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