Lewin Rainer
Messages : 89 Age du perso : 18 ans. ♥ Côté coeur : À gauche, sous ma cage thoracique.
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3e année. ♣ Colocataires: Anastasia Heacroft, Elizabeth Carter, Ace Seikan. ♣ Relations: | Sujet: » Lewin Rainer Mer 25 Juil - 23:02 | |
| Alors,qui es-tu ?- Noms & prénoms : Lewin Rainer - Âge : 18 ans. - Nationalité : Allemande. Sauf si elle change quand on réside au Japon, j'sais pas. - Orientation sexuelle : Mais non, détrompez-vous, ce ne sont que des taquineries. - Année scolaire ou profession : 3e année. - Groupe : Anarchist. - Pourquoi ce groupe : Parce qu'il a pas envie de se faire berner. Et c'est son crédo. - Personnage sur l'avatar: Un brun banal au pif. Piqué sur Zerochan; artiste random. Des fois j'me dis j'vais voyager, souvent j'ai envie d'rester là.On en aura vu des cas, un peu dispersés dans le monde et les villes, qui se balladent dans les coins qu'ils trouvent; certains un peu trop discrets, d'autres du genre à crier dans tous les sens et les derniers sûrement invisibles. En fait, tout est relatif et si on rassemble tous les points de vue on a tous les cas : du plus simple au plus étrange. Même Lewin. Lewin, lui, il slalome entre tous ces gens. Il fait son chemin tout seul, en essayant de combler les trous de son éducation tant bien que mal. Il essaye de s'adapter à ceux qui semblent un peu intéressants en laissant dans leur merde ceux qui l'attirent pas plus que ça. En fait, Lewin c'est un peu un mélange, un vieux mix tordu de tout ce qu'on peut trouver dans ce monde. Il a pioché ses traits chez les inclassables de chaque catégorie, sauf les plus simples. Parce qu'il est ordinaire, c'est le plat exact, 'faut pas l'oublier. Mais on sait pas, il a quand même réussi à se dégoter des originalités étranges, comme sa manie de toujours emmerder les gens jusqu'au bout avec son vieux rictus railleur. Mais c'est qu'un exemple. Il aime bien qu'on lui apporte le chocolat chaud au lit puis qu'on le laisse tout seul sans un mot, aussi, et aboyer un coup pour avoir sa caresse sur le haut du crâne, gerber partout pour vous laisser le plaisir de nettoyer derrière lui. Voilà un joli alignement de métaphores simplement pensées mais v'voyez, on peut lui attribuer un tas d'images, ça correspond toujours aussi bien.
Quand on le connait pas, il est cool, il est calme et c'est limite si on a pas envie de le laisser là, assis sur son banc à contempler le vide. Trop discret, pas assez intéressant. Voilà ce qu'on dit de sa gueule pâle et trop impassible. De prime abord, on arrive quand même à lui arracher quelques mots, à le faire parler un peu mais pas trop, à discuter mais toujours avec une distance contrôlée. Faut pas trop espérer non plus. Il vous laissera pas prendre le dessus, il a bien trop peur qu'on se paye sa gueule encore une fois. Depuis qu'il est arrivé ici, ça a déconné dans sa tête. Il sait bien qu'avant ça, ça a merdé tout autour de lui. Ça a franchement pas été agréable et figurez-vous qu'il faut aller loin pour déranger Lewin. Alors c'est dire. Du coup, maintenant, il guette et c'est cet air distant et arrogant des premiers abords qu'on lui reproche. C'est peut-être aussi pour ça qu'on préfère le laisser tranquille et éviter de lui adresser la parole.
Mais c'est sûrement pas voulu. Il a peur de faire confiance au mauvais moment et de se laisser aller quand il faut pas. Un peu égoïste. Alors il se crispe. Bon, pensez-bien qu'il est pas autiste non plus. Venu un moment, il se fait à vous et il arrive à communiquer comme un vrai pote. Et puis s'il veut quelque chose ou s'il a une quelconque envie de passer son ennui sur une personne tout à fait anodine, il saura le faire comprendre. Il est chiant en fait. Sauf quand il est pas chiant. Mais ça c'est facile à dire. Une fois qu'il vous aura laissé marcher sur son terrain, vous allez voir qu'il est pas si lassant que ça. Il peut même être jovial. Qui l'eût cru ? Ouais, quand il s'amuse, quand il se marre pour oui et non, quand il est heureux, Lewin est jovial. C'est un fait. Et finalement, on se dit qu'il est peut-être pas si désagréable et qu'on pourrait faire l'effort de l'approcher.
Tout ça, c'est contradictoire hein ? Ça passe du coq à l'âne comme on dit mais finalement, ça prouve qu'il est humain, le Lewin. Même s'il a l'air de glace, au contact d'un regard furtif, d'une poignée de main inattendue, d'un sourire mal tracé, il sait réchauffer son cœur. Faut juste lui faire comprendre qu'on n'est pas tous un salopard qui veut le découper en morceaux à la tombée de la nuit.
On n'est pas vieux amoureux, on reste seul le soir.Le premier mot à caser ici, c'est « banal ». Quoi d'autre ? Avec une tignasse brune en bataille, des yeux d'une couleur pas plus profonde qu'un noisette plat et un vieil accent qui traîne depuis longtemps, on récolte pas mieux qu'un « Peut mieux faire. » dans la case présentation. Peut-être que certains vous diront qu'il a une bouille d'ange, une belle gueule, ou tout au contraire qu'il a tout d'une tête à claque, que c'est le stéréotype d'un salopard fini. Enfin bref, finalement, dans le réaliste, niveau physique il reste régulier. On va dire qu'il a eu de la chance sur ce point là, il est pas plus désagréable qu'un autre à regarder. Ou à mater d'ailleurs, d'une façon ou d'une autre. Peut-être que certains le boufferaient bien pour leur diner, mais la majorité reste sûrement passive. Tout est relatif.
Ses cernes chroniques, ses ongles rongés, sa démarche un peu désintéressée sont sûrement les points qui font qu'on se souvient de lui. Finalement, il est pas totalement invisible. Il reste humain, le Lewin. Mais de prime, c'est son effarante non-originalité qui marque. Ensuite, y a peut-être son air posé, la raison pour laquelle on dit de lui qu'il est à la ramasse. C'est vrai qu'il sait bien faire régner l'indifférence dans ses mirettes. Après tout, c'est pas comme si le monde entier l'intéressait. Il vous observe avec ce brin d'insolence dans le regard mais c'est sans doute pas voulu. Alors on le pardonne ou on lui fout une grande claque dans la gueule. A vous de voir.
Niveau apparence physique, il a pas grand chose de plus qu'un autre gars pêché par là. Vous l'avez sûrement compris en fait, mais c'est pas plus mal de radoter. Il se couvre avec ce qu'il tire de son placard, et l'éternel ensemble jean - teeshirt lui va parfaitement. L'esthétique de ses fringues compte moins que leur prix, d'après Lewin. Mais il a pas faux. Entre un teeshirt noir sans marque et un teeshirt noir prisé de tous les pleins de fric, y a une différence qu'on voit sans mal. Tant que le rendu est pas flash ni pailleté, ça devrait convenir. Tant qu'il est bien dans ses pompes même si elles sont un peu foutues, tant qu'il est à l'aise dans ses fringues et qu'il crève pas de froid, tant qu'il est pas moulé dans ses teeshirts, tout va bien. On va cracher nos souhaits, on va donner d'la voix.Lewin dira que le parcours ça nous construit. Que même si c'est seulement fait d'une succession de bonnes et de mauvaises aventures, y a que ça qui nous fait. On se cogne le petit orteil contre ce putain de pied de table qui est toujours là pour nous narguer, puis on trouve un pansement, de la pommade et tout va bien. Et on se re-cogne. Et on se rend compte que c'est pas grave et que tant pis, puisqu'il reste des pansements. On appelle ça le progrès, et il en faut bien dans une vie. Tantôt le ying, tantôt le yang, tout un tas de trucs qui nous apprennent une grande part des choses de la vie, des gens, et puis du reste. Les choses magnifiques le sont souvent trop pour être vraies, m'voyez. Et Lewin sait bien que quand on prend une bonne douche, on se casse forcément la gueule dans la boue la minute d'après.
Lewin n'a aucun souvenir du jour où sa mère s'est barrée. Mais tout comme son père, il se doute qu'elle reviendra pas. Soit parce qu'elle en a aucune envie, soit qu'elle a seulement aucun moyen de le faire. Lui, il avait pas vraiment l'impression que c'était qu'un problème de moyens. Et en grandissant, c'est devenu une certitude. ll a bien vu la photo ce cette femme inconnue et la bougie sur la table de nuit de papa. Il pense bien qu'elle a pas seulement enjambé le paillasson pour aller vivre ailleurs. Certains diraient qu'elle s'est envolée, d'autres diraient qu'elle a disparu, et les derniers diraient qu'elle a simplement crevé. Papa, il dit juste que c'était une femme magnifique. Il dit qu'elle venait de par là-bas, des pays de l'Est, il dit qu'il lui a sauvé la vie, du moins c'est ce qu'elle répétait tout le temps, il dit qu'elle était triste et qu'elle était mince. Il a jamais cité un seul défaut de sa mère. Alors Lewin se dit qu'elle en avait peut-être pas. Papa dit qu'elle était parfaite et qu'ils faisaient de magnifiques voyages ensemble. Il a toujours dit, il a toujours idolâtré, il a toujours seulement témoigné et Lewin sait qu'il a prié, mais il a jamais rien expliqué. Il a continué de parler de ''maman'' sans jamais evoquer un nom ni un prénom. Lewin était complice avec le père. Ni l'un ni l'autre n'avait quelconque confident, à part eux réciproquement. Et ils se complétaient tellement. Stefan apprenait les choses d'adultes à Lewin, et Lewin lui parlait des choses avec sa vue d'enfant. Il savait très bien dire que c'était pas grave si maman aimait voyager dans le ciel, il expliquait qu'il savait bien où elle était et qu'il le disait à personne parce que les autres, ils sauraient pas vraiment ce que ça voudrait dire. Il avait bien compris où était maman. Et avec son père, Lewin pouvait se cogner l'orteil sur un pied de table qu'il accourerait avec les pansements parfaits. C'était les pansements de papa, et en plus, il les mettait tellement bien, ses pansements.
Au début, dépourvu de génitrice au sens concret, Lewin a pensé que c'était normal, que certaines personnes étaient nées comme ça et que ça allait pas plus loin. Forcément, vu qu'il a jamais connu autre chose. Ses camarades à l'école, ils parlaient des goûters chez les amis, là où les biscuits des mamans étaient trop bons, ils racontaient qu'ils étaient allés au cinéma avec maman et papa, que maman leur avait acheté des nouveaux jouets trop cools. Lewin, il disait que papa était gentil, que c'était trop bien de rester devant la télé le soir à bouffer des sandwich, que papa avait acheté des nouveaux dvds. Au bout d'un moment, les dits camarades ont commencé à se foutre de sa gueule. C'est comme ça que ça marche. Il était un peu différent, et les autres le voyaient bien. Une bonne raison pour ricaner, d'après eux. Ça les faisaient chier, d'un côté. Ils auraient bien aimé savoir où elle était, la mère de Lewin. La curiosité était leur vilain défaut. « Elle s'appelle comment, ta mère ? » qu'ils lui demandaient avec leur putain de sourire railleur. Et Lewin cognait. Ça lui arrivait, s'il décidait pas de seulement partir sans répondre. Et ça faisait vachement de bien. Parce que même lui, il le savait pas. Et il voulait pas qu'on lui rappelle qu'il était pas au courant de certaines choses. Il voulait juste qu'on lui foute la paix alors il en parlait plus. Il avait pas envie de montrer ce qui faisait déconner les petits moutons. Mais de toutes façons, en rentrant à la maison, il se sentait largement mieux. Il avait tous les pansements qu'il voulait, même s'il s'était cogné l'orteil des dizaines de fois pendant la journée.
A partir d'ici, ça commence à être moins marrant. Je vous l'accorde, j'ai sauté une grande partie du passé de notre brun, mais elle est pas vraiment importante alors bon. Hein. Pendant les années de Hauptschule et de Realschule de Lewin, qui correspondent à peu près au collège en France, son père a soudainement eu l'envie de voyager un peu partout. Ça lui a pris comme ça. Ça lui donnait un peu un genre de lâcheur. Plutôt sympa pour son fils qui avait justement besoin d'un exemple à suivre à cette période de la vie. C'est là que tout - du moins, la plus grande part - se construit, surtout. Alors Lewin a commencé à bien dérailler. Le père disait seulement : « A dans deux semaines ! » avec ce putain d'enthousiasme égoïste. Parfois il revenait plus tard. Il adorait les voyages. Le gamin, lui, il cessait pas de déménager d'une maison à l'autre. Il dormait chez ses potes, chez des amis généreux de son père - qui leur avait parlé de ses excursions - non sans languir des nouvelles de ce dernier. Forcément, quand on est en Islande, en Estonie, en France ou jenesaisoù encore, y a pas vraiment moyen de transmettre des infos. Il voulait sûrement être tranquille. Lewin se laissait faire, il se disait que papa voulait voir de nouveaux horizons, qu'avec tout ce qu'il avait vécu, il avait bien le droit de s'offrir ce genre de plaisir, de se rappeller des lieux où il avait emmené maman. Ça, c'était pendant les premières années. Mais le temps passant, Lewin a commencé à se poser des questions. C'est vrai que ça paraissait vachement louche, toute cette merde. Il a demandé aux différents potes de son père chez qui il dormait pourquoi papa voulait pas rester là, mais ils disaient toujours qu'ils savaient pas. Comme si Lewin était trop jeune pour comprendre, hein. Comme s'il était trop immature et trop arriéré. Il avait horreur de se faire prendre pour un con . Et il savait devenir agressif. Alors il leur redemandait, en élevant la voix comme un enfant sait le faire. Mais on insistait face à son impuissance de gamin. On lui répétait seulement qu'on savait pas. Et Lewin, ça l'énervait. Maintenant, quand il se cognait l'orteil à ces foutus pieds de tables et ces coins de canapé, il retrouvait plus les pansements dont il avait besoin. Et il avait toujours un peu mal. Même quand papa revenait et lui donnait ses pansements, ils tenaient pas bien longtemps.
Avec tous les gens sur lesquels il est tombé, il en a reçu, des idées, le Lewin. On lui disait que l'école c'était très important, puis on lui expliquait que ça rendait fou, on lui racontait que c'était chiant et qu'il fallait garder de la liberté. On lui parlait de la société, des gens, on lui disait qu'ils étaient solidaires et qu'avoir plein de connaissances, c'était vraiment pratique en plus de rendre joyeux. Certains lui ont répété qu'il fallait pas faire confiance, qu'il fallait surtout se méfier et que les gens aimaient bien se servir des autres. On a expliqué à Lewin tout un tas de contradictions qu'il savait pas juger. La seule leçon qu'il a tirée de ça, ça a été d'apprendre à vivre d'une manière un peu cynique. C'est comme ça qu'il a passé la plupart de sa scolarité. Même s'il accumulait les convocations, il s'en tamponnait sévère. Ça lui plaisait, et c'est allé vite. Son tuteur - alias Papa - était pas là. L'établissement allait sûrement pas faire venir ses nouveaux tuteurs illégaux aux convocs. Alors les rendez-vous restaient ignorés. Ah ouais, il avait pas pensé à ça le père. Il pensait sûrement que Lewin l'attendrait sagement et lui offrirait des petits gâteaux pour son retour, qu'il garderait son souvenir de gamin jusqu'à ses quinze ans. Et bah non, manque de pot. A quinze ans, on a largement l'âge de se rendre compte qu'il y a une durite à péter quelque part. Alors il continuait à récolter des mauvaises notes, des convocations de retenue où il allait rarement, des mots dans le carnet qu'il signait lui-même. Il est devenu le genre de mec associal qui démarre une baston tout seul et qui revient avec des bleus placés un peu au pif. Mais une fois passée la porte d'entrée - soit dit en passant, elle devenait de moins en moins accueillante cette porte d'entrée qui changeait toujours de couleur - Lewin était juste calme, posé. On aurait pu le nommer Placide. Il savait bien cacher l'amas de conneries dans lequel il trébuchait toujours. D'ailleurs, c'est là qu'il se cognait l'orteil maintenant. Mais il savait bien qu'il aurait pas ses pansements, alors à quoi bon faire gaffe ?
Puis est venu le moment où Stefan a appris tout ça. Stefan n'a rien dit. Pourtant il avait bien vu toutes ces lettres de convocation, ces rapports de colle. Ça, Lewin s'en rappelle bien. Pourquoi il s'en fiche, maintenant ? Il aurait pu lui crier dessus, ou au moins lui demander de ne pas recommencer. Mais rien, nada. Comme si c'était pas arrivé. Comme si c'était seulement insignifiant. Pendant ses voyages, son père avait vachement changé. Il ressemblait à un célibataire dépressif et même s'il était joyeux en retrouvant son fils, tout ça se dégradait. Et à chaque fois qu'il revenait, il lisait un peu plus de courrier de la part de l'établissement. Et il l'ignorait toujours. Pourtant, le brun avait réussi à ne pas se faire virer. C'était sa seule appréhension. Le reste, il avait oublié que ça se faisait pas. Stefan était jamais en colère. De toutes façons, il pensait plus qu'à ses voyages. Et Lewin était carrément tout seul. Dans sa tête, bien-sûr. Même papa avait trop changé pour être encore complémentaire à son propre fils. Il l'a perdu, dans un sens. Papa voulait sûrement rester là-bas. Peut-être qu'il avait retrouvé maman. Ça travaillait, dans la tête du gamin.
Et ledit papa continuait de prendre l'avion. Lewin se demandait même plus où il allait. C'était devenu normal de tanguer entre les potes de papa et de passer des nuits chez diverses personnes. Il les connaissait tous, maintenant. Et maintenant que ça a assez, duré, maintenant que Lewin est complètement déboussolé et qu'il a su continuer de s'élever seulement par lui-même, il est temps que ça finisse. C'est grâce à papa que tout aura commencé, et c'est à cause de lui que tout se sera terminé. Stefan revient du Japon. Il a dû trouver qu'il était cool, cet établissement. Pourtant il avait rien de mieux qu'il autre. Ce que Lewin pense surtout, c'est que son père a dû trouver cool de l'envoyer à Perpette. C'est vrai que c'est pas mal comme façon de se débarasser de quelqu'un.
Il aura qu'à se démerder pour communiquer. Il aura qu'à eviter de finir comme de la merde. Il aura qu'à trouver son chemin tout seul. « Tu verras, c'est beau le Japon. Tu vas apprendre plein de trucs. Tu m'appelera pour me raconter. » C'est que des conneries. Et depuis, Lewin sait garder son comportement cynique. Au moins, il saura guetter les pieds de table pour protéger ce putain d'orteil. C'est l'heure d'enlever les masques... !- Surnom : Dites Lewin, ça suffira. - Comment avez-vous trouver notre forum ? En me balladant de partenaire en partenaire. - Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement : B-rabbit. ♔
Dernière édition par Lewin Rainer le Mar 2 Avr - 23:03, édité 12 fois |
|