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► Histoire
• Histoire : Nous sommes le 17 mai 1994, à l'hôpital de Tokyo. C'est cette date que commence l'enfer de la vie d'Aika. Personne ne se rapelle de cette nuit, mais on peut dire que très tard dans la nuit, Aika était déjà entrain de boxer les parois du ventre sa pauvre mère qui allait mourir d'épuisement, ce qui avait bien faillit la tuer. Les médecins se demandes encore comment la future mère à survecue à tout cette pression des coups de poings et de pieds de la petite Aika qui tardait à sortir de son ventre. Finalement, ce n'est que dans la matiné que ce long couchemard fut finit. C'est dans un dernier poussement de la part de la mère d'Aika, que cette petite fut née. Fille unique, les deux parents étaient énormément heureux d'avoir enfin cette magnifique petite fille dans espérée. De plus, il y avait un bruit incroyable dans cette section de l'hôpital. Aika s'était mise à pleurer, crier dès sa sortie du ventre de sa maman, les medecins ,contents que cette longue nuit d'accouchement soit enfin terminée, s'étaient mis à rire, épuisés puis forcément, les parents s'était mis à pleurer. Dans la première petite maisonette, quelque part dans les rues de Tokyo, vivaient la petite famille. Bien que ils n'avaient pas beaucoup d'argent, Kimiko, la mère d'Aika avait lâcher son travail afin de parvenir à bien éduquer et élever sa fille. Malgré cela, son père arrivait quand même à récolter assez d'argent pour subvenir aux besoins de la famille. Aika grandit dans le bonheur. À l'âge de sept ans, Aika commença son éducation à l'école. Elle avait des amis et des bonnes notes. C'est que un peu plus tard, que l'enfer commença. Un jour, Aika revient, heureuse de l'école. Aujourd'hui, son proffesseur lui avait donnée son bulletin de fin de cycle, et que de merveilleuses notes y figurait. Forcément, ses parents allaient sauter de joie. Mais ce ne fut pas le cas. Elle rentra en courrant dans la maison et monta à l'étage, annoncer la bonne nouvelle à sa mère. Kimiko était là, assise sur son lit le visage entre ses mains. Le téléphone trainait à l'autre bout du lit. Cela ne pouvait que être l'annonce d'une mauvaise nouvelle...

En voyant sa fille qui s'était arrêter au cadre de la porte, Kimiko essuya discrètement ses yeux qui restait tout de même humides. Elle se leva pour faire un câlin à sa fille, se qui l'avait un peu réconfortée.Kimiko essayait de cacher sa tristesse à Aika, mais elle n'était pas idiote. Aika savait bien que quelque chose de mauvais se tramaît dans la maison. Ce ne fût qu'au souper, qu'elle pu enfin savoir ce qu'il se passait. Tous assis à la table, les parents de la jeune fille qui avait maintenant onze ans, se voyait tout les deux d'un visage mauvais et triste. Son père releva la tête vers sa fille puis lui annonca qu'il s'est fait renvoyer de son travail. La cause ? L'entrebrise ne gagnait pas assez d'argent. Résultat, se sont les employés qui gagnent les conséquences. L'entreprise avait fermée, donc les employés renvoyés. Pendant deux mois, le père d'Aika n'avait pas réussis à se trouver de travail. Il avait donc abandonné les recherches. À l'école, les élèves la rejetait, en traitent sa famille de « pauvres ». En même temps, c'était vrai. Sa mère avait pas pas repris son travail, car pendant son absence on l'avait remplacée. Les mois passe et passe. Maintenant, Aika à treize ans. Le père d'Aika, aussi étonnant soit-il, avait sombré dans l'horreur de l'alcool. Dès qu'il y avait un contre temps, il s'acharnait sur sa pauvre fille, qui ne pouvait rien pour arrêter ça. Sa mère, le savait bien. Mais elle n'osait pas s'interposer. Plus que le temps fillait, plus que cela empirait. On ne peut donc pas dire, que la vie d'Aika était rose. Loin de là. Des blessures et des cicatrices se retrouvaient alors un peu partout sur son corp frêle. Bien sûr, cela les marques se voyaient. C'est pour cette triste raison, qu'elle se retrouva sans amis. Les autres ne savaient sûrement pas, c'était quoi d'être battue. Si ça serait eux, ils ne l'a rejeterait certainement pas..

Sa mère fermait les yeux sur ce malheur. Aika, elle, s'était trouver un passe-temps, une passion ; la musique. La nuit lorsqu'elle pleurait, caché tout au fond de son lit, elle composait des chansons ,éclairée par la faible lumière de sa chambre et les chantaient. Puis, un jour, lorsqu'elle voulait se rendre à l'épicerie pour rendre un service à sa mère, elle rencontra une fille, qui semblait bizarre. Les premiers temps, elle l'évitait mais plus que le temps passait, plus qu'elle se rapprochait d'elle. Un nouveau cercle d'amis, s'ajoutait peu à peu. Aussi bizarre et manipulateurs, les nouveaux amis d'Aika l'incitait à faire des choses, que normalement, elle n'aurait jamais faite. Comme aller dans des boîtes tard le soir, sortir de plus en plus les jours de la semaines, les mensonges à sa mère, ect. En réalitée, elle avait à son tour plongée dans l'horreur de la drogue... C'était comme si elle avait une deuxième vie. Un bonheur qui s'était jamais réalisé, qui se réalisait enfin grâce à la drogue. Mais on sait tous que la drogue, c'est pas bon. Vraiment pas bon. Et il fallait à tout prix la sortir de cette enfer. Le pire, c'est que Aika le savait. Elle ne s'en était rendue compte, mais, malheureusement, elle s'y était trop attachée. Son père la battait toujours, et l'avait même violée, une fois. C'était trop. C'est pour cela que sa mère prit enfin les choses en main, deux ans plus tard. Aika, quinze ans, fus envoyée au Pensionnat Rayen...