Juliette arrive! [Libre]

►Chez moi:
• J'étais la, devant mon armoire, ma valise grande ouverte, vide... Que prendre, que ne pas prendre... Ce n’était pas si difficile, je prendrais tout... Mais le nombre de valise seraient élevées. J’avançais d’un pas et je pris tous mes jeans, mes slim, mes pantalons coupe large ou droite, mais tous taille basse, ensuite, tout mes tee-shirt, dos nus, débardeurs, manches longues, colles roulés, en allant jusqu’au gros pull d’hiver, puis robe longues et courtes, salopettes, mini-jupes à jupes longues… Ensuite, je pris une petite ‘poche’ blanche en tissus bordée de dentelles blanches, j’ouvris cette poche et je glissai mes sous vêtement dedans, ainsi que mes chaussettes. Je dus m’asseoir sur ma valise pour la fermer. Après je pris une autre valise où je mis toutes mes écharpes, gants, sacs, lunettes, bijoux, maquillages ; et je pris encore une autre valise ou je mis mes cinq manteaux et, dans un sac plastiques toutes mes chaussures. Mon frère vint me chercher pour m’amener a l’aéroport ou il prit l’avion avec moi…
► Dans la voiture en route vers le pensionnat
•J’étais dans la voiture avec mon frère qui conduisait. Il s’était porté volontaire pour m’amener malgré le long trajet (neuf heures sans compter l’avion). Heureusement que c’est lui qui m’avait amené parce qu’avec mes parents ce n’était pas vraiment la joie… Et puis, j’avais 17 ans et maintenant que j’étais un peu plus grande je m’entendais bien avec mon frère de 20 ans. J’avais appelée mes amies souvent pendant le trajet. Et puis mon frère s’arrêta, et me sourit On y ai! A bientôt Juju ! Je lui fit un câlin même s’il détestait sa. Je sortis pris mes valises et je lançai un dernier regard a mon frère, qui lui me lançait un regard d’encouragement que je lui rendis par une mine de chien battu qui lui arracha une moue un peu triste, pourtant ce n’était pas son genre. Et puis je lui souris car j’étais en fait contente d’être dans le pensionnat, c’est moi qui avait choisis quand même ! J’ouvris le portail mes valises a la main. J’étais habillé d’un slim noir avec des nikes montantes de couleur jaune, rose, bleu, et noir. J’avais mon manteau orange blanc et noir cintré en tissus. Maquillée de mascara, eye-liner et gloss transparent, j’étais joli pour une fois, mais je pouvais faire mieux car mes cheveux étaient tout simplement détachés mais tout de même bouclés et brillants. Certains élèves me regardèrent intrigués, d’autres me sourirent mais n’osèrent pas m’aborder se qui m’arracha une grimace mécontente qui déclenchèrent leurs rires, je devais avoir fais une drôle de tête. Bref, j’avais aussi ma guitare sur le dos et tous ça pesait lourd à force, donc je m’assis sur une valise et sourit en découvrant les rayons du soleil qui caressaient ma peau blanche sur mes mains et légèrement rose sur mon visage lorsque j’entendis des pas…

Les quinze minutes que Lullaby avait passé devant le pensionnat -sa future école où elle passerai son année scolaire (merci mamie !) - droite et immobile tel un suricate apeuré lui parut être une eternité. Ses mains jointes semblaient être deux petits êtres qui se tordaient mutuellement de douleur, illustrant le stress intense auquel elle était soumis. Autour d'elle, la population s'afférait passivement : elle offrait un joyeux échantillon de styles différents. Un mini carnaval de Rio ! Cette image fit sourire la nouvelle. Plus détentue, elle pris son courage à deux mains et alla s'assoir sur un banc, se fondant dans masse populaire avec ses valises et son eternel allié, le sac à main. De ce dernier elle sorta son petit mirroir rose et observa la figure qui avait supporter un voyage long et quelque peu inconfortable. Sa chevelure rebelle s'était un peu rebiffée mais à part ce soucis mineur tout allait bien. Il fallait quand même qu'elle fasse bonne impression car comme disait sa mère, la première c'est toujours la plus importante...

*Ce faire des amis*

Une impression de sueur froide fila sur sa nuque comme un rasoir affuté, La demoiselle était d'un naturel timide. Que faire si personne ne l'aimait ?
Son talon vint frapper le sol nerveusement. La panique frappa violament le coeur de Lula, panique à bord. Une bourrasque de pensées affolentes virvoltèrent dans la tête de la brunette. Un rapide calcul, 6 mois au minimum. Elle devra passer 6 mois minimum ici. Elle imaginait déjà ces mois dans l'horreur et la solitude. Après cette alerte mentale, elle se força son corps ainsi que son esprit à se calmer. Une nouvelle école ? D'accord, autant en profiter! Prendre les devants et éliminer cette Lullaby ''de la première impression ''. La jeune fille se motivait mentalement quand quelques fou-rires attira son attention.

*Wow!*

Le clou du spectacle. Une demoiselle bariolée munit de ses bagages et d'un étuit s'avançait triomphalement devant le pensionnat. Elle était nouvelle -comme Lullaby- mais n'avait rien avoir avec elle. Elle semblait n'avoir peut de rien avec son look original et son air serein. Serait-elle vraiment nouvelle ici ? La question effleura la brésilienne mais fut vite balayé par la motivation qui avait atteint son appogée. Quand la demoiselle colorée tourna la tête aux alentours, la nouvelle décocha un sourire à l'intéressée. Après un moment d'hésitation, Lula se leva et fit quelques pas dans sa direction.

* Allez Lula, tu peux le faire ! t'es pas timide au fond !*

Sa silouhette vêtue de noir se posa à distance raisonnable de l'autre nouvelle et fit un signe de la main avec un ''bonjour'' innodible. Elle déglutit difficilement et repris une voix plus forte.

'' Salut, tu es nouvelle aussi ? ''

Avant même d'attendre une réponse, elle se retourna brusquement et se cogna le front :

'' Mes affaires !! ''

Elle se precipita vers le banc et ramassa ses bagages. Quelle tête en l'air. elle revint vers la nouvelle et ria de bon coeur. Elle se sentait détendu à présent.

'' Pardon, je recommence. Je m'apelle Lullaby ! ''

Je me tournai vers une jeune fille au cheveux brin. Celle-ci me sourit, sourire que je rendis aussi tôt. La brunette me salua et me demanda si j’étais nouvelle, mais avant même de pouvoir répondre, la jeune fille se frappa le front pour se rappeler qu’elle avait oublié ses bagages à coté du banc ou elle était installée avant de venir me saluer. Elle revint puis se présenta, elle était nouvelle et elle donnait l’impression d’être assez stressée, pas du tout comme moi, j’étais détendu, heureuse et j’avais bien l’intention de me faire des amis et d’aider cette fille a être moins stressée, déjà en étant sympa avec elle :
« Salut, ouais, je suis nouvelle ! Je m’appelle Juliette Da Rocha, mais tu peux m’appeler Juju si tu veux. T’es contente d’être dans ce pensionnat ? »Je ne savais pas trop quoi dire, qui sais, j’allais peu être, surement passer pour une vrai « gourde » ou « cruche » parce que je parlais assez vite. Mais bon, j’étais souriante et j’espère que sa rattrapera le coup. En fin de compte, je crois que je n’étais pas aussi détendu que ce que je pensais. Ma manière de frotter le sol avec mes chaussures le confirmait. Sa me faisait bizarre, j’étais habituer a être super détendu, la je l’étais mais pas beaucoup. Dans mon ancien Lycée j’étais un peu populaire et connu pour être sympa, mais la je me rends compte que je vais devoir faire mes preuves. Je me répétais dans ma tête *cool, belle, rebelle, gentille. Cool, belle, rebelle, gentille* Pour moi, ses critères semblaient les meilleurs pour se faire des amis, et de plus, a part le « belle » ils me correspondaient bien. Bref, je râpais le sol en jouant avec les gravillons en attendant la réponse de Lulla, et oui, je lui avais déjà trouvé un surnom. Bref, de peur d’abimer mes nikes toutes neuves et super chers, j’arrêtais de jouer avec les graviers et je regardais Lulla et j’attendis.

Pendant, que la jeune fille lui parlait, Lullaby observait Juliette. Les couleurs assemblées sur sa personne rendait le personnage gaie et dynamique, même le monde qu'elle avait fréquenté jusqu'à présent s'accorderait à dire que ''ceci n'est pas très conventionnel''. Mais voilà, la demoiselle avait l'air de s'en fiche royalement, comme la plupart des gens qu'elle avait l'occasion de voir autour. Finalement, c'est Lula qui se sent cruche avec son habit de corbeau ! Si elle avait sut, l'adolescente aurait sortit ses habits de tous les jours. Et Mme Millestone qui avait insisté pour changer radicalement sa garde-robe pour paraître "respectable". Heureusement que Lullaby à amener ses anciens vêtements. Il va faloir faire un sérieux tri ce soir dans sa nouvelle chambre... Oh! Et toutes ces formalités à remplir. Il ne fallait pas débarquer en plein mileu de l'année aussi. Pour l'instant la nouvelle avait envie de dompter son stress et essayer de se faire un amie peut-être.
Intérieurement elle souria. Pour la première fois depuis l'annonce de, son larguage ici, elle se rendit compte que un pensionnat, loins de ses parents et de sa vile grand-mère signifié un peu de liberté... Le sourire s'extériorisa, cette fois-ci ce n'était plus un sourire de politesse ou celui d'une cruche, celui-là était un sourire de soulagement. Quel plaisir!

Oui, je commence à être contente d'être venu ici. Et toi ? Tu viens d'où ? On m'a dit qu' ici les gens venait du monde entier pour venir étudier ! C'est dingue !

A ces mots la jeune fille se rapella les heures de propagandes sur les bienfaits que cette école aurait sur elle. Ce la pourrait être vrai en fin de compte mais pas comme ''on'' l'espérait... Le stress se transforma en une sorte de douce et lente pulsion. Lullaby ne connaissait pas ses côtés aventurières ! La sensation qui s'emparait du corps de la nouvelle élève s'avèrait effrayant et bon à la fois : bisarre quoi ! En espérant qu'elle ne fasse pas peur à Juju avec ses questions ! C'était rare que la brésilienne se sente à l'aise aussi rapidement. En même temps elle fit un gros travaille sur elle-même pour ne pas se terrer dans un coin, après tout il fallait prendre cette situation comme un challenge voilà tout. Et comme suplice il existe certaiement pire. Elle se mit à marcher vers le banc en invitant son interlocutrice à faire de même. Pour l'instant la brunette n'était pas apte à aller en cours ou remplir quelques paperasses "délicieusement" barbantes. Autant discuter.

Ah, voila que Lulla c'était un peu détendu. Et tant mieux, parce que les gens stressés sa me fais stresser aussi x') Bref, Lulla me demanda d'où j'étais, de loin, très loin. De France. Heureusement que comme J'adorais le Japon j'avais appris le Japonais et que je savais aussi parler Anglais. Ah, sauf que moi... J'étais pas venu étudier, enfin, si, bien sur, je voulais avoir des bonnes notes, mais j'aurais pu aller autre part. C'est juste que j'avais envie de "m'échapper" de mes parents. De vivre, de faire ce que je veux, me maquiller, m'habiller comme je veux, même en mini-jupe si je veux ou en gothique ou n'importe comment! Le rêve. Et puis je pourrais avoir un petit copain, et oui, parce que mes parents m'interdisent carrément d'en avoir un, surtout mon père, il ne peut pas accepter que je ne sois plus sa petite fille, sa chose, son objet, et ma mère pensait pareil, du moins, je pensais. Ici, j'étais libre. J'avais de l'argent de poche, mes parents n'étaient quand même pas assez cruelle pour ne pas m'en donner, et puis je fais du baby-babysitting aussi, sa rapporte un peu. Pas grand chose, mais de quoi m'acheter des fringues. Bref, la brunette alla vers le banc pour s'asseoir, je la suivis. Je n'avais pas envie d'aller en cours. Je n'avais pourtant que sa a faire vu que mes parents s'étaient chargé des papiers par la poste. Sa avait couté cher comme la destination est hors de la France... Passons, je n'avais pas envie d'aller en cours, pourtant dire que j'étais si sérieuse avant... La, je séchais. Et j'adorais sa. Sa m'effrayais, mais je sais que j'aurais encore envie de le faire, pire encore, je savais que je le ferais. Trop de liberté d'un seul coup, voila se que sa donne, une folle furieuse en liberté, moi. Bref, je m'assis sur le banc avant de répondre a Lulla:
"Je viens de France... Ouais je sais c'est loin, sauf que moi j'ai pas envie d'étudier, pourtant je suis partie pour de longue études... Et toi Lulla, tu viens d'où?"
Je m'étais permis d'appeler Lullaby Lulla. Je trouvais ce surnom trop mignon. Et puis, c'était presque sur, Lulla deviendrais mon amie. Je le savais, j'en étais sur, comme si je pouvais voir l'avenir x') Premier jour ici, et déjà une amie! C'est cool non?

Les deux filles s'assayèrent sur le banc. Cette fois-ci Lula n'avait pas oublié ses bagages et en soi, c'était un belle victoire pour ce demi-cerveaux ! Elle sorta de son sac son gloss et son petit mirroir tout en répondant à Juju :

'' Hey, mon père est français aussi, il m'arrive d'aller le voir assez souvent. Quelle conïsidence ! Je parle français courement mais je dois dire mais j'ai un horrible accent ! "

La demoiselle arrivait même à plaisanter à présent. C'était fou la vitesse à laquelle elle s'était adaptée. Néanmoins Lullaby était assez satisfaite d'elle. Si sa famille la voyait, la petite cadette de la famille choyée à longueur de journée par ses cousins et ses autres parents, se faire une amie aussi rapidement, ils en tomberaient des nus.
Elle referma son attirail rapidement et le fourra au plus profond du sac. Avec ce geste brusque elle fit tomber son portable par terre. Tout en le rammassant elle répondit :

" Je vis avec ma mère au Brésil et de temps à autre je vais en France voir ma famille paternelle. Là-bas, ma grand-mère m'impose des règles qui sont plus stricts que dans mon pays; à chaque vacance ça me fait un de ses changements... "

Puis l'élève posa ses yeux sur l'écran de son portable. C'était encore l'heure brésilienne. En réalité elle n'avait pas la moindre idée de quelle heure il était à présent, tout ce qu'elle savait c'est qu'elle était en train de sécher les cours mais bon, avec tout ce qui l'attendait cette journée
aurait quand même tourné vers l'adaptation, le déménagement et autres trucs de genre. Même si la nouvelle aquièrait plus de liberté elle avait aussi plus de responsabilités maintenant. Mais sécher le premier jour d'école en plein milieu de l'année, sur toute une vie c'est pas un drame conclue t'elle. La main pianota rapidement sur la machine pour arriver dans le menu date et heure. Lullaby se retourna vers Juju et lui demanda :

" Tu sais quelle heure il est ici ? "

Oh! Le père de Lulla était Français! Un point commun entre nous! C'est super non? j'allais pouvoir parler Français un peu, sa me manquait déjà! même avec un accent, je m'en fichait. D'ailleurs je ris un peu à la blague de mon amie. Et oui, pour moi Lulla était maintenant une amie. Alors comme ça elle venait du Brésil? Je n'étais jamais allé la bas. D'ailleurs, je ne suis jamais allé en Amérique. Comme je suis d'une famille modeste, je ne peux pas me permettre de voyager comme bon me semble. Les billets d'avions sont de plus en plus chers et mes parents avez du éconnomiser beaucoup pour en acheter a moi et a mon frère pour venir ici. Des règles plus stictes? Bah je savais pas qu'il y avait une différence... Ah, oui l'heure, je regardais mon portable tactile, je n'avais pas changé l'heure non plus. Ahlala... Les portable tactile c'est trop chiant. Dommage, je ne peux pas m'en acheter un autre. Tant pis je fais avec, en plus sa a la classe x') Je répondis a Lulla avec quelques secondes de retards car j'étais un peu dans mes pensées...
Bah, j'ai pas changé l'heure non plus, mais je sais une chose, c'est l'heure des cours, mais j'men fous un peu. Tu restes avec moi ou tu veux aller en cours?
Moi, je n'avais pas du tout envie d'aller en cours, de voir toutes les têtes se lever et se poser sur moi en me critiquant comme si j'étais... je sais pas quoi, un vulgaire objet. Surtout que si je suis en retard sa le fait pas trop. Autant être a l'heure et ignorer tout le monde. C'est bizarre que je pense comme ça, pourtant j'adore quand tout le monde pose ses yeux sur moi, mais là, non, je n'en n'avais pas du tout envie.

Lullaby ne put empêcher un rire nerveux de franchir la porte de ses lèvres. Oui, il était l'heure des cours. Peut-être qu'à cette heure-ci elle serait en train de s'évanter assise sur sa table de cours tout en écoutant passivement le cours avec Anna-Maria et Pili , ses amies, à côté d'elle. Ou alors en train de trainer dans les rues avec ses cousins Tonio et Pablito qui ne peuvent s'empêcher de siffler les belles filles. Lula se rapellait de ses hontes infligées à sa personne pendant ses longues après-midi. Elle se remémorait les virées en moto avec Juan son voisin Et ce soleil arrassant qui tape sur sa peau de bronze...

Pour la première fois, Lula se sentait un peu nostalgique. Par combien d'états allait-elle passer encore ? Certes, c'était tout à fait normal que son ancienne vie - qu'elle laisserai pour un bout de temps entre parenthèses - lui manque, mais tout ce qu'elle gagnait en échange était bénéfique... pour elle. Il fallait juste ce méfier des excès voilà tout. Mais ce n'était pas ce qu'elle était en train de faire en ce moment même ?

Une moue s'afficha sur la figure de la brésilienne. Elle réfléchissait sur le pour et le contre de l'action comise en se moment même. Ses bonnes manières de première de classe galopaient en direction de sa conscience. C'est ainsi que quand Juju lui exposa les deux solutions du dilemme elle dit tout bas, avec le ton des grands complots :

" Et si on visitait l'école en clandestins ? "

La nouvelle élève s'était appliquer à parler en français. Finalement, plus que l'anglais elle travaillerait le français. Elle imaginait déjà les deux exploratrices dans les labirhyntes du pensionnat qui semblait énorme de l'extérieur. Quand le matin, Lula arriva devant la batisse elle se demandait comment allait-elle bien se retrouver dans ce gigantesque batîment. Et puis, ceci serait sa future maison à présent et on ne visite pas une maison avant de l'acheter ?

Génial! Pas de cours pour l'instant. Je vis aussi que Lulla avait eu l'air de réfléchir. Réfléchit... Oh lala, c'est trop compliqué pour moi! Enfin, en ce moment. c'est pourquoi je la regardais et je lui dit:

Pense pas trop, sa va fatiguer ton cerveau!

J'avais dis ça avec un petit rire même si c'était pas vraiment drôle. Je rigole pour rien. C'est pas ma faute, je suis comme ça. On pourrait me dire "pipi caca" que j'aurais limite une crise de fou rire. D'ailleurs, je me rappelle, c'est au collège en 5éme que je suis devenu comme ça. J'ai eu un premier fou rire en classe (ce qui ma valu un mot de discipline et une heure de colle), et depuis, j'ai toujours des fou rires. Mais c'étaient souvent avec mes meilleures amies qu'on avait des fou rires et j'avais peur de ne plus en avoir sans elle. Heureusement, le téléphone sa existe et la web cam aussi x'). Bref, je me levai et commençais a marcher en faisant signe a Lulla de faire de même.

Allez, vive l'école buissonnière!

Je rigolais toujours un peu. Comme j'étais normalement sérieuse, j'étais un peu excité a l'idée de sécher. Si mes parents l'apprenaient j'étais morte. Et puis de toute façon, j'men fous, il viendront pas ici pour m'engueuler!

» Romeo et Juliette, une belle oeuvre [Timeo]

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