||₪|| Suwa Nichijô ||₪||

♥ Votre Image ♥

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

→ Identification
• Nom : Suwa
• Prénom : Nichijô
• Âge Dix Sept ans
• Origine(s) : Japonaises
• Orientation Sexuelle : Bisexuelle
• Groupes : Racailles


→ Aspect physique

• Physique :

Nichijô est une jeune garçon de dix sept ayant potentiellement terminé sa croissance morphologique. N'ayant que peu de chance de continuer à grandir, il ne peut à présent que s'occuper de gérer son poids, pour ne pas ressembler aux Sumos que l'on peut apercevoir dans les compétions. Ayant un corps frêle et peu enclin aux combats, et pour cause, ne dépassant pas la soixantaine de kilogrammes et atteignant difficilement le mètre soixante dix à cause de ses origines nippones. À cause de cela, il a souvent été martyrisé par ses camarades de classe et par ceux que l'on va nommé « les Caïds des bacs à sables » qui étaient les enfants turbulents du primaire. Profitant de la différence de musculature entre le jeune garçon à la chevelure proche de l'olive, ils pouvaient lui faire vivre toutes les misères du monde.

En parlant de sa musculature, ayant déjà une constitution fragile qu'il a dût hériter des gênes de sa mère, il n'a pas chercher à résoudre le problème de sa faible carrure pour la simple et bonne raison qu'on lui a toujours appris que les muscles ne faisaient rien dans la vie d'un homme, sauf se pavaner devant les femmes en manquent de plaisirs charnels. L'homme était comme un bête, ayant besoin d'user de la force brute pour pouvoir prouver sa supériorité par rapports aux autres, à celle qu'il convoite. Une chose plus qu'inutile, le jour où vous verrez un champion de body building diriger une grande entreprise, ou même dirigé une entreprise tout court demandant des connaissances techniques. Seulement dans ce cas là, vous pourrez contredire les préjugés que possèdent Nichi.

Les mains du jeune homme sont l'une des parties les plus importantes de l'anatomie, pour ce dernier. Usant du langage corporel pour pouvoir convaincre et manipuler son entourage, elles sont essentielles pour le rebelle. Malgré, l'usage malsain de ces dernières, elles sont tout de même d'une douceur tout à fait enviable et peuvent éventuellement servir à réconforter les quelques connaissances du garçon ( même si ces dernières ne sont pas du tout nombreuses).

La partie la plus compliquée à être décrite sur le corps humain, à cause des très nombreuses nominations des éléments la composant. Seulement, étant la première chose que les gens aperçoivent en vous regardant, il est une source d'informations intarissables sur les sentiments de la personne. Rien ne peut être cacher sur un visage, mis à part si ce dernier à été entraîné durant des années. Pouvant empêcher de trahir des sentiments qui pourraient être désavantageux, s'ils étaient découverts. Nichijô est devenu un grand maître dans la dissimulation d'informations sur son visage, arborant toujours un minois chaleureux et enjoué, même si la réalité était tout autre. Mais revenons au visage de notre ami délinquant, ce dernier possède des traits fins et charmants pouvant aisément permettre au jeune homme de pouvoir flirter avec de charmantes demoiselles aux courbes avantageuses et généreuses.

Surmontant le visage, la chevelure est ce qui est le plus maniable pour afficher son style et son soi intérieur. Pour ce qui est de celle de notre jeune homme, elle est d'une teinte verte penchant beaucoup plus sur l'olive. D'une longueur acceptable atteignant le mi-long, elle parvient à cacher toute la nuque de l'étudiant, ainsi que ses oreilles camouflées sous les mèches lisses. Quelques mèches parviennent devant ses iris permettant de faire ressortir davantage ces derniers. D'une couleur proche du beige, on peut voir dans ces yeux de la malice et une grande confiance en soi. Malgré, la beauté naturelle de ces pupilles, ces dernières ne sont pas en grandes formes l'obligeant à usé de lunettes pour pouvoir identifier ce qui se trouve à une grande distance de lui. Mais cela ne dévalorisant en rien, le visage fin du jeune délinquant, aux apparences de premiers de la classe.

Son style vestimentaire est très sobre et surtout d'un autre monde que celui des étudiants. Car oui, malgré qu'il soit un étudiant très doué, il possède une seconde beaucoup moins glorieuse, mais qui lui permet une bonne rémunération et ainsi de pouvoir se payer les vêtements qui lui semblent nécessaire pour se sentir à l'aise en société.

Ce Style vestimentaire se compose de plusieurs vestes de couleurs sombres (puisque les couleurs claires se tâchent facilement). Ces dernières jamais fermées donnent un certain charisme à l'adolescent. Sous ses vestes, ils possèdent généralement des chemises de couleurs alliant le blanc et souvent le bleu pâle. Pour finaliser le tout, il possède des accessoires, comme une cravate qu'il ne serre jamais d'une triple couleur, rouge pour le sang versé, blanc pour le bien et noir pour le mal, ainsi qu'une ceinture pour pouvoir tenir son pantalon sans que ce dernier ne tombe et le mette dans une position gênante. Ses pantalons sont toutes des bas de toiles s'alliant parfaitement aux vestes de costumes impeccables. Souvent de couleurs sombres pour ne pas être trop remarquable, tous les plans sont bons pour pouvoir éviter d'attirer l'attention et ainsi attirer les regards indiscrets sur ses petits commerces. Des chaussures classes dont les choix de couleurs ne diffèrent pas des précédents.

Le tout formant, un parfait costume de businessmen ayant terminé sa journée de boulot et se rendant dans les bars – restaurants pour pouvoir discuter avec les collègues de boulots. Seulement, étant qu'un étudiant, il ne peut aucunement aller dans des endroits comme ce dernier. L'impression se dégageant de la personne de Nichijô, au niveau vestimentaire, est celle d'un jeune garçon trop mature pour son jeune âge.

Nichijô n'est pas quelqu'un d'agréable avec qui discuter de longues heures de tout et de rien. Si vous tentez de le faire, cela sera à vos risques et périls, le seul moment où il peut discuter de certains choses, c'est quand il est en train de vous vendre quelque chose provenant de son petit commerce. Ayant un tempérament exécrable, cela est dût à plusieurs choses qui ont rythmés sa vie jusqu'à aujourd'hui.

Faisant partie d'une famille de grande renommée à l'étranger, le jeune garçon a dût maîtrisé plusieurs langues afin de pouvoir prétendre au titre d'héritier de la famille. De plus, quand il se rendait à l'école, ce n'était pas à pied ou en vélo accompagné de ses parents. Il y allait seul, dans une limousine luxueuse qui était conduite par un majordome. Comprenant peu à peu, la différence évidente entre lui et les autres enfants, il a commencé à prendre la grosse tête et est devenu hautain envers les autres élèves de son âge ou même avec les simples passants qui le gênaient. Le seul moment où il n'osait pas être aussi désagréable était en présence de sa famille. Son père, ne lui pardonnerait sûrement pas une telle injure à son autorité. Et le rêve de pouvoir contrôler la Mult-nationale familiale serait totalement compromis, surtout que son grand frère était beaucoup plus talentueux que lui dans divers domaines, mais cela était dût à son âge et aussi aux différentes expériences qu'il avait pût rencontrer durant sa vie.

Étant devenu Hautain à cause du statut social que la naissance lui avait accordé, il ne fallut que peu de temps pour qu'il devienne méchant et arrogant avec ses camarades de classe, bien sûr, il ne se permit pas cela avec les personnes physiquement plus massives que lui. Cela serait un idiotie de sa part, s'il avait tenté d'être désagréable avec une personne pouvant l'envoyer à l'infirmerie en un seul coup de poing bien placé. Il était donc doux comme un agneau en présence de ces derniers, enfin cela dura jusqu'au collège, où il décida qu'ils n'étaient pas différents des autres élèves, mis à part leurs forces qu'ils pavanaient à la vue de tous.

Bien qu'il possède de nombreux défauts, cela ne l'empêche d'être doué de certaines qualités qui en réalité sont toutes liées à la rencontre qu'il a fait durant la dernière année qui lui restait à faire au collège. Durant cette période, il avait fait la rencontre d'un garçon plus âgé que lui, mais ce dernier, lui avait littéralement sauvé la vie en intervenant durant une rixe entre Nichijô et des malfrats du coin, dont un des membres avaient vu son petit frère se faire piéger en beauté par le délinquant à lunettes. De cet action complètement stupide aux yeux de celui qui était sauvé, ce dernier en devait toujours une à son sauveur. Une loyauté digne, de celui que l'on nomme comme le meilleur ami de l'homme, le chien.

La seconde qualité que l'on pourrait lui accorder, est celle d'être très protecteur des personnes qui l'entourent et qui lui sont chers. Même si elles peuvent se compter sur les doigts d'une main, elles possèdent avec eux, une protection que tous le monde pourraient leurs enviés à cause de nature de cette dernière. Car, protéger quelqu'un avec son caractère peu donner quelque chose de très dangereux pour celle qui a tenté de faire du mal aux camarades proches de Nichijô.

Surtout que le jeune délinquant est quelqu'un de très sournois dans ces actions. Il n'hésiteras aucunement à utilisé tous les procédés existants pour pouvoir parvenir à ce qu'il a envie de réaliser. Aucune action n'est superflue dans les agissements du jeune manipulateur qui n'hésite pas à frapper dans les endroits douloureux du passés de ceux qui pourrait le gêner. Ayant un esprit fin et doué d'une intelligence notable, Nichi se permet de prévoir plusieurs coups à l'avance, les conséquences de ces actes, si un jour, il reçoit un retour de flamme, d'une de ses actions, il le regretterait amèrement.

Né durant le mois d'avril, la saison était douce et agréable à vivre. Le printemps était venu frappé aux portes de la ville et entrait pour réchauffer le cœur des gens après un hiver des plus rigoureux qu'ils avaient dût essuyés durant leurs vies. Pointant le bout de son nez durant cette période, un jeune garçon destiné à un grand dessein vu pour la première fois, la lumière du jour.

Cette naissance n'avait pas eu lieu dans un hôpital public, puisque les Suwa étant des membres de la haute société avaient les moyens de pouvoir se payer des soins dans des hôpitaux privées. C'était un luxe que pouvait se permettre cette famille aux revenus plus que suffisants à cause de la grande réussite du chef de famille. Le père de Nichijô. Durant sa naissance, à laquelle, il n'avait pût assisté à cause d'un voyage d'affaires à l'étranger. C'était le frère de sa mère qui avait assistés sa sœur durant l'accouchement en salle de travail, son Oncle qui était aussi un actionnaire de l'entreprise Suwa & Co.

Vivant comme tous les jeunes nouveaux nés, il apprît à marcher, à parler et à faire tant de choses nouvelles qui l'émerveillaient. Découvrant sans cesse de nouvelles choses à expérimenter, étant celui qui découvrait des choses qui lui était inconnu mais qui pouvait sembler dérisoire pour son entourage. Mais pour lui, vivre dans un manoir était quelque chose de presque inimaginable. Cela représentait des dizaines et des dizaines de mystères à élucider et des centaines de cachettes pour pouvoir jouer avec les domestiques quand il était l'heure d'aller prendre le bain ou d'aller souper. Il était heureux de son enfance, malgré l'absence de son père, il pouvait toujours compté sur son oncle qui était plus souvent présent que son géniteur. Il possédait aussi un grand frère, mais ce dernier étant déjà rendu à l'école avait besoin de calme et de silence pour pouvoir répondre aux attentes de leur père. Et même si Nichi respectait cela, il ne comprenait pas pourquoi son père mettait tant de pression sur les épaules de son grand frère.

Vînt le jour, où il dût rentrer à l'école élémentaire (ou primaire). Cette période fût des plus douloureuses pour le jeune enfant, car n'ayant pas une force carrure à l'opposé des autres hommes de la famille, il avait hérité de la morphologie de sa mère. Ce qui fît, qu'il devînt rapidement le larbin des petits caïds du coin qui se connaissaient depuis leurs naissances. Étant obligé de respecter les taquineries et les méchancetés de ces derniers, il est devenu rapidement un maître dans l'art de cacher ses souffrances derrière un masque souriant. Les années passèrent et les méchancetés et autres vilénies.

Originaire de la ville de Matsue, le jeune garçon devait se rendre dans l'un des collèges de cette ville. Assuré que ce qu'il avait subit, durant plusieurs années durant l'école élémentaire, allait recommencer une fois arrivé au collège. Ce qu'il ne voulait absolument pas, étant un bon élève, il commença à s'intéresser à d'autres choses que ce qu'il apprenait en cours et il avait pour cela deux parfaits spécimens à étudier. Son père étant directeur d'une multinationale reconnu à l'étranger et son frère étudiant pour pouvoir prendre la place de son paternel, étaient de parfaits sujets d'études sur la capacités à manipuler et à atteindre ses objectifs. Prenant exemple sur eux et s'intéressant à ce qu'ils avaient étudiés durant leurs jeunesses.

C'est ainsi qu'il intégra un collège privé et commença à user de ces capacités naturelles pour pouvoir atteindre ses fins. Punir ceux qui l'avaient maltraités durant son enfance en usant de stratégie et de stratagèmes pour atteindre ces derniers sans avoir à user de la force brute. C'est ainsi que le jeune manipulateur s'attira des ennuis qu'il n'avait pas du tout prévu, la présence du donnée qu'il n'avait pas pris en compte et pour cause, il n'avait aucune idée que cette dernière existait. La présence d'un grand frère baignant dans les gangs de rues, réputés pour être très violents.

C'est ainsi qu'un soir, où Nichijô devait récupérer de l'argent de la part du petit Caïd du collège, il se rendit sur le lieu habituel de l'échange. Ce dernier était une petite ruelle à l'écart de la population et proche de l'usine. D'où venait l'argent que le Caïd donnait au jeune homme à la chevelure olive ? C'est simple, usant de son statut de mauvais garçon, il rackettait les autres élèves plus faibles que lui et il l'aurait fait même sans la demande du jeune Suwa. Mais pour quelle raison, il donnerait l'argent à quelqu'un de beaucoup moins costaud, et qu'il martyrisait durant leur enfance. C'est simple, pression psychologique. Il suffisait de posséder des informations sur une personne et que cette personne n'ait aucune envie que ces dernières soient divulgués dans le collège ou même dans la ville. Cela était simple et efficace et évitait de devoir se salir les mains. Un pur moyen de se faire de l'argent rapidement et simplement.

Alors que les coups pleuvaient sur mon corps meurtri par la douleur, je ne pouvais que rester étendu sur le sol, si je émettais une seule marque de résistance, ils ne feraient que prendre du plaisir à continuer à me frapper sans aucune retenu. C'est ainsi que je pensais que ma vie allait se terminer, d'une façon misérable et peu envieuse dans une ruelle déserte et malfamé. Cela pourrait porté atteintes à la renommée de ma famille, mais bon, je ne pouvais rien y faire, j'avais tenté de changer le destin qu'on m'avait affublé en me donnant cette morphologie féminine.. Et le résultat n'était pas des plus classes. Alors que mes espoirs de survies s'envolaient de plus en plus. J'entendis soudain des pas de courses venant de notre direction ! Quelqu'un semblait avoir entendu les bruits des coups sur mon corps frêle et était en train de venir à ma rescousse, enfin c'est ce que j'ai pensé les premières secondes avant de me reprendre en imaginant d'autres amis de mes assaillants venir les aider à mettre fin à mes jours. Et la joie que j'avais éprouvés en entendant les sons de pas, s'évanouirent aussitôt. Sombrant dans l'inconscience à cause de la douleur, je ne comprit pas ce qui s'était passé quand je me réveilla dans une chambre d'hôpital avec ma mère et mon oncle en train de discuter avec les infirmières. Se réveillant peu à peu, une infirmière accompagner de sa mère vinrent pour voir si son état était mieux. Tout d'abord complètement déboussolé, il demanda ce qu'il s'était passé et sa mère lui répondit.

«  C'est un jeune homme se prénommant Yoshiaki qui a prévenu les secours avant d'être attaqué par une bande de jeunes voyous qui lui ont cassé le bras. »

Je me sentis alors tout penaud en entendant cette nouvelle. M'informant sur les agissements de ce Yoshiaki, j'appris qu'il allait dans un pensionnat et décida de le rejoindre pour pouvoir payer ma dette que j'avais contracté le jour où il m'a sauvé des délinquants suite à mon erreur de calculs.