Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Jimmy Rhage.

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MessageSujet: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeLun 18 Juil - 23:16

« Les règles, ce n’est fait que pour être briser. »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

♣ PAPIER D'IDENTIFICATION
    Prénom: Jimmy
    Nom: Rhage, cependant son nom de famille est réellement Stewart, mais à cause de tout ses problèmes de famille, il a renoncer à ce nom.
    Surnom: Jim, Rhage, Jim The Rage
    Âge: 18 ans
    Nationalité: Canadien
    Année scolaire: 3 ème année
    Orientation sexuelle: Hétérosexuel
    Groupe: Cigarettes & Gun
    Pourquoi avoir choisit ce groupe? Parce que Jimmy est un délinquant et qu’il est très porté sur la bagarre, la drogue et les cigarettes.


♣ MIROIR, DIS-MOI À QUOI JE RESSEMBLE..
    Lorsque notre regard se pose sur Jimmy la première fois, on y voit un beau jeune homme assez grand aux allures rebelles. D’ailleurs, il mesure environ 6 pieds 2. Son corps est muscler, mais sans pour le moins exagérer. Il ne tient pas à faire du body-building. Tout ce qu’il tient c’est d’être en forme et d’approfondir sa force, chose très utile lorsqu’il se bagarre. Le jeune homme a une peau claire et un nez droit et fin. Il possède un visage qui ne laisse pas beaucoup de filles indifférentes. Ses cheveux noirs et en batailles lui arrivent quelques fois devant les yeux. Ses yeux sont d’un bleu très foncé, presque noir. On pourrait même dire qu’il possède une collection de tatouages et de piercings. Le long du croquant de son oreille droite se trouve une série d’anneaux argentés, ainsi qu’un dans son lobe de cette même oreille. Il a également un autre piercing à son sourcil gauche et pour finir un à la langue. Un tatouage recouvre entièrement son dos. L’adolescent est toujours vêtu de couleur sombre. Comme par exemple, il met très souvent des jeans très foncés ou des pantalons noirs. Il lui arrive très souvent de mettre un chandail à manches courtes noir ou une camisole pour homme également sombre avec une chemise noire à manche relevée jusqu’à ses avants bras, laissant entrevoir des tatouages en black and grey sur ses bras. Il en a également un sur sa main droite, une araignée. Ou plus précisément, une veuve noire.


♣ IL SE PASSE QUOI, DANS TA TÊTE ?
    Rebel et délinquant dans l’âme, Jim se fou de ne pas se conformer aux règles. Elles sont plus agréables pour lui quand elles sont brisées. Il possède un comportement très porter sur la violence et aime bien la bagarre. Il est très arrogant et provoquant. Cet adolescent dit très souvent ce qui lui passe par la tête affirme ce qu’il pense ou dit, peut importe les conséquences. Si quelque chose lui déplait on le sait rapidement. D’ailleurs, s’il ne vous aiment pas ou s’il a tout simplement un problème avec vous, ne vous inquiétez pas. Vous le saurez bien assez tôt. Malgré ses airs de grand dur, se cache un certain côté tendre. Mouais... Disons plutôt qu’il l’est à sa façon. Il lui arrive d’avoir un langage particulièrement grossier lorsqu’il s’y met, il ne se gêne surtout pas pour pousser d’innombrables jurons lorsque l’envie lui prend. Au départ, fumer et se droguer était pour lui une façon de surmonter les problèmes survenant dans sa vie merdique. À présent c’est encore comme ça, mais c’est également devenu une habitude, un besoin. De plus que son tempérament colérique et impatient n'arrange pas du tout les choses. Comme si c'était une sorte de rage au plus profond de lui qui le maintenait encore sur pieds. Il est de ce genre de personnes qui sont plus d'action que de raison. Donnant ainsi le résultat qu'il agit et réfléchit par la suite. D'un tempérament impulsif, il est déconseillé de le mettre en colère. Vous risquez de vous faire tabassez ou de vous ramassez sur sa liste noire, ce qui n'est pas une place de choix.


♣ SOUVENIRS, SOUVENIRS..
    Résumer ma vie ? Mouvementée et merdique. Voilà ce qui peut très bien coller avec l’existence que j’ai mener jusqu’à présent. Mon état mental face à tout ça ? Dépressif ? Non. Pas tant que je consomme. Détraqué mental ? Peut-être. Fou furieux ? Fou peut-être pas, furieux, sans aucun doute. Bref... Pour comprendre, débutons par le commencement.

    Je suis né en 1993 lors d’une nuit de printemps. Plus précisément le 20 avril. Dès le départ je dois dire que je n’étais pas un enfant désiré. Bah... Par mon géniteur oui. Ma mère je ne crois pas. Je n’en ai jamais eu la certitude. Cependant, à voir comment cela se passait à la maison durant mon enfance et une partie de mon adolescence, je ne serais pas surpris de savoir que mon crétin de géniteur, alias mon père l’a forcé pour m’avoir. Dès que je n’étais qu’un gamin, je dois dire que je ne portais pas cet homme dans mon cœur. J’ai grandit dans la violence et pour moi, une enfance heureuse n’existe pas. L’imbécile qui me servait de père avait un caractère violent et si les choses ne se passaient pas comme il le désirait, c’était la catastrophe et il employait les coups. Pour lui, nous étions les personnes les plus pathétiques en ce monde. Que tout était de notre faute lorsqu’il avait un problème. Le nombre de fois où j’ai eu droit à une fessée était incalculable. Je n’y pouvais rien si je n’avais absolument aucun respect pour lui. Par contre, la plus à plaindre étant sans aucun doute ma mère. Plus les années passaient, plus son état et son allure semblait se dégrader. Mon... Robert. Je vais l’appeler par son nom. Cela évitera que je prononce le mot père en parlant de lui. Bref, Robert ne la ménageait tout simplement pas. Dès que j’essayais de l’aider, de l’enlever à ses mauvais traitements, il la maltraitait sans ménagement ou il arrivait qu’il se vengeait sur moi. Cependant, cet imbécile s’arrangeait toujours pour ne pas toucher notre visage. Il ne fallait pas que cela se sache ce qu’il nous faisait endurer. D’ailleurs, depuis que je suis un gamin, il m’a juré que si jamais je parlais et qu’il se retrouvait en prison, dès qu’il sortirait, il nous retrouverait et qui tuerais ma mère. Je tenais énormément à cette femme et je ne tenais pas à la perdre. C’est donc dans la peur que j’ai gardé ce sombre secret qui devenait un lourd fardeau Je m’étais fixer comme objectif que lorsque je serais grand, j’emmènerais maman dans une belle grande maison où elle pourrait être super contente, tel je le disais lorsque je n’était qu’un enfant. Je portais toujours des chandails à manches longues afin de cacher les ecchymoses causées par Robert. À l’école en cours de Gym, si le professeur ordonnait que je mette un chandail à manches longues, je lui répliquais que je n’étais pas à l’aise à me mettre ainsi que je détestais porter ce genre de vêtement. Si ça ne marchait pas, je faisais tout pour qu’il m’envoie chez le directeur. Je n’avais donc pas à faire les cours de Gym. J’étais toujours sorti ou presque. C’est à partir ce moment que j’ai commencer à devenir un ‘’enfants à problèmes’’. La direction avait même appelé chez moi. Devinez qui répondait ? Robert. Il travaillait de nuit, donc le jour il était à la maison. Il avait ordonner que je ne devais en aucun cas faire les cours de Gym que j’avais un problème cardiaque ou un truc du genre. Il est médecin donc... Le diagnostic était donc très crédible. Assez pour que je sois exempté de ces cours. Je n’ai jamais compris comme un homme aussi stupide avait pu décrocher une telle profession. En tout cas. Concentrons-nous plutôt sur les événements qui sont survenus dans ma vie.

    À travers tous ces événements, lorsque j’avais 6 ans, ma mère donna naissance à un autre enfant. Une petite fille que Robert nomma Elisabeth. Une partie de moi était heureux d’avoir une sœur, alors que l’autre répugnait cette naissance. Ce n’est pas ma sœur que je répugnais. C’était le fait qu’elle soit arrivée dans une famille comme la notre qui me mettait en rogne. Elle aurait mérité vraiment mieux comme géniteur. Elle allait se retrouver prisonnière comme nous de ce lourd quotidien. Je m’étais jurer que j’allais tout faire pour protéger cette puce. Je ne voulais pas qu’elle endure tout ce que Robert nous faisait endurer, à ma mère et moi. Plus les années défilaient, plus j’étais protecteur vis-à-vis elle. C’était ma sœur et j’y tenais considérablement. Lorsque mon père tentait de s’en prendre à Elisabeth, je m’arrangeais pour le provoquer d’avantage et qu’il s’en prenne à moi à la place. Souvent cela fonctionnait. Bien sûr, il y avait quelque fois que non, mais je m’en voulais de ne pas avoir été capable de le provoquer assez. Robert était mon cobaye pour les provocations. C’est en partie grâce à lui que maintenant je me débrouille plutôt bien pour être arrogant et provoquer les autres. Bref, revenons au sujet. C’est le seul truc pour lequel je le remercie. Avec les années, mon tempérament devenait du plus en plus colérique. Un rage s’emparait de moi lorsque je pensais à tout ce qui survenait dans ma vie. Lorsque j’allais trouver un moyen d’échapper à cet enfer, je le ferais payer à Robert et je partirais avec ma mère et ma petite sœur. Cependant, ça n’était pas si facile. Parler serait beaucoup trop risqué. Je ne pouvais pas me permettre de perdre ma mère et ma sœur parce que j’avais parlé. À l’école, je détestais qu’on approche et j’avais tendance à envoyer promener ou à frapper tout ceux qui tentaient de se rapprocher de moi. J’étais très désagréable avec mes camarades de classe, mais c’était sans doute parce que je n’arrivais pas à canaliser toute la rage que j’éprouvais au plus profond de moi. Je la transférais donc sur les autres élèves. C’était ma seule façon de me libérer en partie de ma colère.

    Mon entrée au secondaire, lorsque j’avais 13 ans, fut un point déterminant dans ma vie, si on peut dire ça comme ça. C’est là que j’ai fait la rencontre de certaines personnes qui sont devenus mes amis. On formait une sorte de gang. Ce sont eux qui m’ont fait découvrir la drogue. C’est à ce moment, que je me suis mis à consommer. La sensation que j’éprouvais lorsque je me droguais était sensationnelle. Je me sentais mieux. Comme si j’oubliais mes problèmes sur le coup. La vie me semblait plus belle. Je ne me souvenais pas depuis quand j’avais ressentit une étincelle un joie comme celle-là. C’était si loin. Vous devinez donc que j’y suis devenu accro. C’était la seule façon que j’avais de surmonter cette vie merdique que je menais. Faire partit de ce gang était également une façon pour moi de me libérer de l’emprise que mon géniteur avait sur moi. Avec eux, j’avais même commencé certaines pratiques qui me permettaient de me défouler. Nous avions commis plusieurs actes de vandalisme. La drogue, me battre et commettre de tels actes me donnait une impression d’aller mieux, d’évacuer toute cette rage qu’il y avait au fond de moi. Elle était toujours là, mais j’y repensais moins tout simplement.Je passais ainsi plus clair de mon temps dans la rue. Moins je passais de temps à la maison, mieux je me portais. Ce qui était une erreur considérable venant de ma part. Cependant, à l’époque, je n’avais pas la moindre idée à quelle point les choses dégénéraient.

    J’ai passais un an à vivre ainsi, tel un brigand. Une nuit alors que je rentrais dans l’endroit de malheur où j’avais passé mon enfance à endurer les coups et les injures de Robert, je vis la maison dans un bordel incroyable. Les meubles à l’envers, de la vaisselle brisée et éparpillée par terre. Je fronçai mes sourcils en observant le spectacle qui s’offrait à moi. Qu’est-ce qui avait bien pu se passé ici ? C’est alors que des pleurs retentir à l’étage du haut. Je levai mes yeux et gravis les marches. Le bazar était tout autant présent dans les marches. Le premier étage devait sans doute être dans le même état. Arrivé en haut des marches, ce fut quelque chose de bien pire que j’ai vu. Je posai une main sur ma bouche en observant le corps inerte de ma mère. Il n’y avait qu’une légère couverture qui cachait son corps des épaules aux chevilles. Ses yeux étaient fermaient et ses traits semblaient flasques, irréels. Était-elle... J’aimais mieux ne pas y penser, mais je devais en avoir le cœur net. Je me suis penché à ses côtés et mis deux doigts sur son cou, afin de suivre son pouls. Je ne sentais rien et sa peau était froide. Une rigidité cadavérique commençait peu à peu à s’emparer de son corps. Cela devait faire plusieurs heures qu’elle était comme ça. Si froide, si inerte. Si morte. Elle était pourtant toujours envie lorsque j’avais quitter la maison le matin. Tout ça devait s’être produit dans la journée. Je sentais la rage se réinstaller en moi. Les pleurs attirèrent de nouveau mon attention. Il provenait de la chambre d’Elisabeth. Que diable lui était-il arrivé à elle ? Je me suis levé en jetant un dernier regard au corps de ma mère avant de foncer tout droit en direction de ma petite sœur. Une fois entré dans la chambre, je la vis recroquevillée par terre contre un mur. Elle tenait un drap contre elle. Ce dernier était taché de sang à quelques endroits. Elle pleurait toutes les larmes de son corps. De plus qu’elle était prise de tremblements. Elle leva ses yeux vers moi. J’y ai vu tant de tristesse, tant de désespoir. Je me suis rapproché doucement et me suis accroupit à ses côtés en la regardant. Ma petite sœur de 8 ans s’est alors blottie dans mes bras et éclata en sanglot déchirants. Aujourd’hui si je pense à cet événement, il m’arrive encore de pouvoir entendre ses pleurs et d’y percevoir sa peur, sa détresse et sa peine qui l’assaillaient. Nous sommes restés ainsi quelques instants avant que je lui demander ce qui avait bien pu se passer ici. Elle s’est mise à pleurer davantage, comme si toutes les horreurs qu’elle avait pu endurer se répétaient en boucle dans sa tête. Elle avait murmuré un petit « C’est... Papa... ». Ca y était ma haine par rapport à lui s’agrandissait à cet instant. Ce fut avec difficulté qu’elle m’avoua tout ce qu’il lui avait fait. Il l’avait violée, comme il devait avoir faire à ma mère pour me mettre au monde. C’est à se moment qu’une colère, non une rage, noire a envahit mon esprit. Tout ce que je voulais était qu’il crève et qu’il pourrisse six pieds sous terre. J’avais beau être un délinquant, mais le viol est une chose que je ne supporte pas. J’ai jetai un regard au réveille-matin de ma sœur. Il approchait cinq heures du matin. Robert arrivait dans quelques instants. Je reportai mon attention sur ma sœur.
    - Je reviens, ai-je murmuré avant de me lever et de sortir de la chambre.
    Il allait le payer pour toutes ces choses qu’il avait bien pu faire. Il avait ruiner mon enfance et détruit celle de ma sœur. Il avait également brisée la vie de ma mère. J’ai descendu les escaliers assez rapidement. Rendu en bas, j’ai frappé dans un mur. On fait tous des actes étranges lorsqu’on est en colère. Le mien est de frapper dans quelque chose. Je me suis alors aussitôt dirigé dans la cuisine. Je pris un couteau de cuisine qui gisait le sol de la cuisine. Ce bazar avait du être causé par Robert ainsi que ma mère et Elisabeth. Lui qui voulait les attraper et elles pour se sauver. Je baissai les yeux vers l’arme blanche que je tenais dans ma main droite. Avec mon gang j’avais appris à comment me servir très bien d’un couteau. Je me suis posté à quelques mètres de la porte d’entrée et la fixai un air rageur. Je tremblais de fureur. Robert avait fait bien de problèmes comme ça. Il était temps que quelqu’un l’arrête. Cette personne allait sans aucun doute être moi. J’attendais impatiemment qu’il l’ouvre cette fichue porte. Qu’est-ce qui lui prenait tant de temps ? Au bout de quelques minutes, qui me parurent une éternité, la porte s’ouvrit enfin. Je le laissai entrer et fermer la porte calmement. Il n’avait pas l’air de m’avais aperçu. Sans doute la petite obscurité qui régnait dans la maison. Je le vis poser son regard sur moi et son sourire s’effaça aussitôt.
    - Qu’est-ce que tu veux, bon à rien ? Avait-il demandé sur un ton méprisant.
    Je n’ai rien répondu et j’ai foncé droit sur lui, le couteau à la main. C’en était assez ! Je l’ai poignardé encore et encore en criant tout un tant d’injures. Il s’est effondré par terre sous mon assaut et essayait tant bien que mal de se débattre. Tout ce j’avais gardé pour moi depuis tant d’années sortait enfin. J’éprouvais un sentiment de bien être, de soulagement en le tuant. Je ne crois pas que je répèterais l’expérience de tuer, mais dans ce cas-ci, ce fut une libération de passer à cet acte. Je me suis arrêté lorsque j’ai sentit du sang sur tout mon visage. J’ai compté vingt-quatre coups de couteau. Je doutais énormément qu’il survivre. En fait, je crois qu’il était déjà mort, mais je n’avais pas envie de vérifier son pouls. Je me suis redressé et j’ai vus l’éclat des gyrophares bleus et rouges de la police devant la maison. J’étais cuis. Ce n’était pas la peine que je me force à essayer de cacher les preuves surtout pas en si peu de temps. Je l’avais tué et j’assumais. Il le méritait amplement. S’il était comme ça avec nous, je me demande bien comment il était avec ses patients... Je secouai négativement la tête. J’aimais mieux ne pas le savoir. Les policiers ont cogné et je leur ai dit d’ouvrir. Il y avait du sang dans la fenêtre de la porte. C’était sans doute ça qui avait alerté un passant qui faisait son jogging matinal qui a alerté la police. Voir du sang sur une fenêtre à tendance à rendre les gens nerveux. Les policiers sont entrés et une fois qu’ils ont vus Robert par terre et moi avec du sang plein la figure, cela ne leur a pas pris de temps à réagir. Mon géniteur fut transporté à l’hôpital, ma mère à la morgue et ma sœur fut emmenée dans un centre qui venait en aide au filles et femmes victimes d’agressions sexuelles, alors que moi les crétins de policiers m’emmenèrent avec eux. Je n’ai jamais vraiment apprécié les autorités. Cependant, je savais que je l’avais bien cherché. Je n’éprouvais absolument aucun malaise ou culpabilité d’avoir tué Robert. C’était une sorte de soulagement et de libération que j’éprouvais. J’avais débarrassé cette terre d’un débile profond. Je fus emmené en cour quelques jours plus tard. Comme je n’avais que 14 ans, je fus jugé avec la loi des mineurs. J’ai donc été emmené dans un pavillon. Une prison pour mineurs. Ma peine consistait à y être incarcéré jusqu’à mes 18 ans.

    Au départ, ce n’était pas la joie. Vous savez lorsqu’il y a un nouveau dans ce genre d’endroit, on essaie de voir ce qu’il vaut. On le bat et tout autre truc du genre. Les fois où j’ai eu à me battre dans la rue m’ont été très utile à ce moment là. Au bout de plusieurs mois, j’avais réussis à faire ma place et me faire respecté ici. Déjà que j’en terrorisais quelqu’un à cause que j’avais avouer que j’étais ici pour avoir commis un meurtre. Ils avaient peur que j’en fasse autant avec eux. Pauvre idiots ! Cependant, c’était utile d’être craint dans un endroit pareil. C'est à partir de ce moment que j'ai décider de changer de nom. J'étais Jimmy Stewart avant. C'était le nom de famille de mon père. Je n'avais plus envie de posséder quelque chose de lui. C'est pourquoi j'ai pris Rhage à la place. Les autres détenus avait commencer à m'appeller Jim the Rage. Ca collait assez bien avec mon tempérament colèrique.
    Même si j’étais incarcéré, je n’ai pas cessé la drogue. Il n’est pas supposé en avoir dans un pavillon ? Je vous l’accorde. Par contre, certains détenus arrivent tout de même à en avoir. Je ne sais pas comment ils faisaient, mais j’appréciais qu’ils arrivent à en avoir. J’ai tendance à être agressif lorsque je suis en manque de drogue. Les gardiens n’auraient sans doute pas appréciés me voir dans un tel état. Durant mon séjour là-bas, j’ai eu droit à la visite de ma petite sœur. Elle grandissait à vu d’œil. Elle habitait désormais avec nos grands-parents maternels que l’on n’avait pas vus depuis quelques années. J’aurais aimé pouvoir sortir maintenant, là, tout de suite. Cependant, je devais attendre d’être majeur. J’aimais bien la voir et de prendre de ses nouvelles. Plus ça allait, plus je trouvais difficile de me conformer aux règles. Cependant grâce à la réputation que j’avais, lorsque je faisais quelque de pas très... Comment dire ?... Eum... De pas très permis dans le pavillon, je faisais passer le coup sur le dos de quelqu’un d’autre. Ce n’est pas une bonne chose à faire, mais je ne pouvais m’empêcher. C’est à partir de seize ans que j’ai eu mes premiers tatouages. Il était permis dans le pavillon de s’en faire faire lorsque nous avions plus de seize ans. Tous les tatouages que je possède viennent de mon séjour au pavillon.

    Rendu à 18 ans, je pu enfin sortir. Par contre selon les autorités je devais aller dans un endroit pour m’instruire. Ils disaient qu’il me fallait aller dans un endroit loin de chez moi et tous ce qui pourraient ranimé mes souvenirs et refaire renaître tout ce comportement violent dont je possédais avant de rentrer au pavillon. J’avais toujours ce même caractère, seulement, je m’étais simplement arrangé pour qu’ils ne s’en rende pas compte. Bref, à cause de tout ça, je fus forcé de quitter ma ville natale et ma maison pour aller étudier dans un pensionnat nommé Rayen au Japon. Au départ, je n'étais pas très fervent l'idée de changer comnplètement de pays. J'allais être loin d'Elisabeth et je ne pourrais pas la protéger convenablement. Cependant, je n'avais pas le choix de partir. C’est depuis ce temps que je fréquente cette école...



♣ FAMILY.
    Robert Stewart: Un homme vraiment imbécile, salaud et mort qui lui sert de père. Il a ruiné l'enfance de Jimmy et celle de sa petite soeur. Il a également détruit la vie de sa mère. Jim l'a tuer avec 24 coups de couteau.

    Mary Jensen: La mère de Jimmy et d'Elisabeth. Il tenait beaucoup à elle et regrette qu'elle soit maintenant morte. Cependant, il se dit qu'elle est surement mieux où elle est maintenant.

    Elisabeth Stewart: La petite soeur de Jimmy maintenant âgée de 12 ans. Elle s'est fait violer par son père et vit désormais avec leurs-grands parents. Elle tient beaucoup à Jimmy et aimerait vraiment qu'il ne soit pas partit au Japon, mais il n'avait pas le choix de partir. Le jeune homme tient énormément à sa soeur et s'est promis que lorsqu'il le pourrait, il lui rendrait vitiste un jour.



♠ DERRIÈRE L'ÉCRAN.


    Petite Description: Des cheveux violets et noirs, des yeux pairs, des lunettes et quelques piercings.
    Pays: Canada! ^^
    Double compte? Non, pas encore!
    Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Google!
    Avez-vous lu le règlement? Validé. Miyoshi.



Terminé ? Oui [ X ] / Non [ ]


Dernière édition par Jimmy Rhage le Mer 20 Juil - 21:38, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeLun 18 Juil - 23:38

Ah =w=

Je t'aime \o\

Je valide l'avatar qui est... Violable à souhait !

Le code est bon. La carte d'identité est activée. Tu as deux semaines pour terminer ta fiche mon chaton /PAN/

Miyosh' !
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeMar 19 Juil - 6:04

Ahh ouaiis !!! Un autre Québécois !!! Bienvenue, mon cher !! *w*
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeMar 19 Juil - 6:53

Bonjour/Bonsoir et Bienvenue dans mes Rangs.

Calme Miyo. Tu vas faire fuir le nouveau. [Ce qui ne serait nullement étonnant.]
Cela fait plaisir de voir une personne qui est une racaille sans problème mentaux pour une fois.

Venom.
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeMer 20 Juil - 21:37

Merci beaucoup pour cette acceuil!^^ =')

J'ai désormais finis! Cependant, j'ai changer l'âge et l'année scolaire de Jimmy et sa nationalité pour que ce soit plus logique. En espèrant que ce ne soit pas si mal. ^^ La fin de l'histoire n'est pas magnifique, je l'avoue, mais bon... c'est toujours mieux que rien!^^ x)
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitimeMer 20 Juil - 21:45

Je valide mon grand \o
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MessageSujet: Re: » Jimmy Rhage.   » Jimmy Rhage. Icon_minitime

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