Je semble plutôt simple aux premiers regards, mais ce qui se cache à l'intérieur est beaucoup plus complexe, même si certain trais se lisent très facilement sur mon visage. Les gens qui ne me connaissent diront de moi que je suis discrète calme et timide, mais c’est une grosse erreur. Je suis discrète, certes, que quand je suis avec des gens que je ne connais pas du tout ! Mais quelque minutes plus tard, la vrai moi prend le dessus, et là, je suis vraiment moi. La fille bavarde, amusante par sa maladresse et son humour pourrit. . J’aime énormément aider toutes les personnes, les réconfortés, leurs parler et tous ça. J’adore être entouré de personnes, sortir faire la fête avec eux, de temps en temps et prendre un verre n’a jamais tué personne. Je supporte très bien l’alcool, en plus, alors pourquoi s’en privé ? Je suis donc énergique, fêtarde et assez imprudent. La moindre petite chose qui me passe par la tête, je la fait, puis je réfléchis après. La vie est trop courte pour ne pas en profiter! Bon des fois j’avoue, que c’est un mauvais mélange mais je suis toujours entière ? On ne me connaît pas extrêmement bien aux urgences non plus. Bon j’y vais pas généralement à cause d’accident sportif, je en suis pas une grande sportive dans l’âme faut dire. Il faut juste avouer que j’aime faire du rugby et du volley, et un petit footing de temps en temps aussi, mais rien de plus.
A part ça, côté coeur, je suis plutôt charmeuse, attentionnée, fidèle et romantique. J’aime le mec capable de vous jouer un morceau de guitare au soleil couchant au bord de la plage, mais aussi le délinquant, disons, que je ne suis pas vraiment fixée. Mais je prends soin de cette personne plus que de la mienne, je suis très possessive et jalouse. Ce qui me rend des fois dans une fureur…
Ange et démon. Tout n’est pas beau tout rose chez moi. Je ne vous aime pas, je ne vous aimerai jamais. Je suis sans pitié, tu me tapes, je te tape encore plus. Insultes moi, je t’insulterais Quand un ami me fait un coup bas, je met longtemps, très longtemps à le lui pardonnerais. Je suis rancunière, et j’assume. Mais quand une personne me blesse, ou quand je suis juste en colère mais vraiment énormément, je deviens violente.

A quoi je ressemble ? Haha grands curieux ! Je suis une jeune fille assez grande, surtout avec mes talons que je porte pratiquement tous le temps. Je mesure dans les 1m67, ce n’est pas si grand que ça mais avec six ou huit centimètres au bout de chaque chaussure tout de suite elle atteint la taille « mannequin ». On me dit souvent, d’ailleurs que j’ai le physique pour, avec mon petit ventre tout plat et ma poitrine ni trop grosse ni trop petite, une belle poitrine en gros. Puis il y a mon doux visage. Pour moi, c’est la plus belle chose de mon corps, je le trouve beau, même si j’en ai bavé pour l’avoir comme ça, entre les crèmes, les soins et tout le reste. Mais maintenant j’ai une peau si lisse au teint uni grâce à un peu de fond de teint claire rosé. Au milieu de ce dernier ce trouve deux perles, des petits yeux gris bleus, entouré de grande lunette carrée de différentes couleurs en fonction des jours. Celle-ci repose sur un nez assez normal, ni trop gros, ni trop petit. Mais plus petit que gros. J’ai aussi une fine bouche souvent accompagnée d’un rouge à lèvre rouge assez claire. Evidement comme presque toutes les jeunes filles de son age elle se maquille mais en restant le plus naturel possible, son but n’étant pas de ressembler a une palette de peinture. Sur tout ça tombe une chevelure blonde foncée et lisse. J’ai les cheveux qui m’arrivent en bas du dos, c’est pour ça, que j’aime les friser pour qu’il remonte un peu. Je m’habille en respectant la mode d’aujourd’hui tout en ayant mon style en peu bcbg dévergondé. Je pense que c’est tout après a vous de me voir.

Son passé…Alors tous commença un été en 1989. Une jeune femme plutôt jolie, assez grande, jeune de vingt-huit ans et bien blonde se promenait dans central park. Une nouvelle habitante de la « pomme verte ». Elle venait tous juste de finir son emménagement ici à New York où elle commençait sa carrière de journaliste. Elle venait visiter sa nouvelle ville. Elle marcha au milieu des arbres sur un petit chemin de terre. Elle se posa tranquillement sur un banc regardant un journal qui traîner à côté d’elle. Elle lisait les articles se disant qu’un jour c’est un des siens qu’on verrait là. Elle lisait tranquillement quand une voix l’interrompit, celle d’un jeune homme lui disant qu’elle avait pris son journal. Elle fondit en excuse en lui disant qu’elle pensait que c’était un journal public qu’elle est nouvelle ici qu’elle ne connaît pas tous les petits trucs. Puis elle se leva en lui tendant son journal puis mit sa mèche en arrière pour bien le voir et vis son visage. Un beau jeune homme avec un air sportif et de magnifiques yeux bleus. Le jeune aussi la regardait il a trouvait drôlement belle, il ne voulait pas la fâchait, il rigola en lui disant que ce n’était pas grave qu’il avait déjà lu et lui demandant d’où elle était. Cette dernière était française venu a N.Y. pour faire carrière. Il lui proposa de marcher un peu avec elle pour faire «connaissance ». Elle accepta avec grand plaisir elle ne connaissait personne ici un peu de compagnie ne lui ferai pas de mal. Ils se promenèrent, parlèrent de la France de travail et de pleins d’autre chose quand le jeune homme l’interrompit. « Au faite je m’appelle Oliver, Oliver Scott et vous ? » « Nancy Moreau enchanté Oliver ». Les présentation était faite ils partirent boire un coup dans un bar et continuèrent de ce jours pendant plusieurs jours d’affilé.
Ils se connaissaient très bien. Lui était un agent marketing pour une grande entreprise et elle démarré plutôt bien sa carrière de journaliste. Un jour de pluie ils se mirent ensemble, ça faisait un mois qui se connaissaient. Les années passèrent et ils se marièrent mais l’idée d’avoir un enfant n’était abordée que par elle et jamais par lui. Il voulait « avoir un très bon emploi stable » avant d’avoir un enfant. Les année passèrent et Oliver devint directeur d’une grande entreprise et Nancy une rédactrice en chef d’un grand magazine New-Yorkais. 7ans après leur rencontre elle tomba enceinte. Pour elle c’était la chose la plus merveilleuse au monde, lui aurait voulu profiter seule de sa femme encore un petit moment mais le destin décida cala comme ça. Son ventre grossit et leur grand appartement aussi. Une autre chambre fit construire, celle pour leur futur enfant. Une belle chambre de bébés. Les sept premier mois se déroulèrent sans soucis mais au bout de la fin de ce dernier c’est là que tous devient plus compliquer. Elle partit le soir même à l’hôpital ou on lui annonça une chose horrible « Vous avez un grave cancer, on peut l’enlever à condition de perdre le bébé ou sinon on sauve le bébé et vous mourrez, tout en sachant que vous ne pourrez pas avoir d’autre enfant ». Réflexion affreuse vivre ou donner la vie ? Lui voulait qu’elle reste en vie avec lui, elle voulait donné sa vie. Et c’est la mienne qui fut gardé.
Oliver pleura sa femme pendant des jours en restant à l’hôpital et laissant, son enfant, sa petite fille, moi, sous les soins des médecins en attendant qui reprenne des forces. Ce n’est qu’au bout d’un mois qui vint me voir et me pris dans ses bras. Il m’aimait mais me détestait. Je lui rappelait sa défunte femme il me donna donc le nom qu’ils avaient choisit mais lui rajouta un deuxième prénom « Je l’appellerai Ashleen Nancy Scott ». Il ramena la toute petite fille que j’étais chez lui, pris un grand congés à son travail pour s’occuper de moi durant ses premiers mois. Il s’occupait bien de moi, au début, puis plus je grandissait plus il s’éloignait. Pour mes cinq mois il repris son travail me laissant à une nourrice. Les années passèrent encore et encore, je fis mes premiers pas avec sa nounou, fis ma première rentrée avec sa nounou et fêtait mes anniversaires aussi avec elle. Mon père ne s’occupait plus d’elle. Ses amantes défilèrent à la maison n’échappant pas à la vue de la jeune fille de 10ans. Un soir je préparai à manger avec sa nourrice et mis la table. Je l’attendais assise sur mon siége, durant des heures. Il ne rentra que très tard vers minuit. Il fit surpris de voir sa fille là et s’agenouilla à coté lui m’annonçant que j’allais avoir une belle mère. Puis sortit à ce moment une jeune pin-up blonde platine avec une alliance au doigt. Je compris que c’était elle et me mis a courir dans ma chambre en pleurant. Ma nouvelle « maman » ne fit rien et posa son postérieur de silicone sur notre canapé une coupe de champagne à la main. Je la détestais. Je ne faisait plus rien, ne travaillait plus, am seule ocupation était de la faire fuir. Mon père fut convoqué plusieurs fois par ses professeurs mais il ne daignait venir pour cause de « surcharge de travail ». Je développai une haine envers mon père et ma belle mère. Celle-ci portait très bien le rôle de tyran. Elle me détestait pour une seule raison, moi aussi j’étais sur le testament de mon père et à sa mort nous devrons tous nous partager. Je le savais bien, je vieillissais et ne l’oubliais pas. Un jour, le couple s’engueula la femme lui disant « Je veux être la seule sur ton testament ».
Je ne voulais pas les entendre se fâcher tous les soirs. Je me bouchais les oreilles avec mes écouteurs et commençais à faire mes devoirs, chose qu’elle n’avait pas faits depuis un moment. Les querelles durèrent pendant plusieurs mois et je fuyais de plus en plus la maison m’inscrivant à un club de rugby pour me défouler. Le rugby, cette idée me vint e des filles de ma classe en parler. C’est vers mes seize ans que mon père lui annonça leur divorce. Satan était partit de la maison. Mon père recommençait à faire attention à moi. Mais moi, je n’oubliai pas se qui c’était passé et continuais de travailler et faire ma vie comme je le voulais. Mes notes avaient augmenté depuis qu’elle était arrivée, c’est la seule chose pour laquelle je la remercie. Mon père ne comprenais pas trop comment se fut possible et me poussais à sortir avec ses amies et tous. Je le faisais déjà, alors je doublai les soirées et les sortis, soit disant «pour lui faire plaisir », mais ils ne savaient toujours toutes celles où j’allais. J’eu quelques petits copains mais je ne m’attachais pas trop eux. Un peu avant que j’ai mes dix-huit ans mon père m’annonça qu’il avait trouvé quelqu’un d’autre. Je ne voulais pas revivre ça et lui demandai si je pouvais loin, le plus loin possible. Mon père aimait cette nouvelle femme et comprenait ça fille. Il suivit mon désir et m’inscriva là, à Rayen.