Le mot qui sors le plus souvent de la bouche des gens à mon égard c’est, tout bêtement que je suis garce. Ils n’ont pas tout à fait tort, mais je le vis bien. Sous mais apparence de gentille fille se cache un diable. Je prend un malin plaisir à manipuler les gens, surtout les garçons, pour avoir se que je veux, ou tout simplement par plaisir. Je suis aussi une grande séductrice, je sais que mon physique est un atout et je m’en sers. Mon truc, c’est d’attirer pour faire souffrir. Enfin, d’attirer, de provoquer surtout, je ne vais pas sortir de belles phrases d’amour pour un gars qui pense qu’à me prendre. Pour moi c’est une revanche envers tous les hommes qui un jour on fait souffrir une fille. J’ai tellement souffert à cause de ça par le passé que maintenant, je me venge. Mes histoires sont rarement plus longues qu’une semaine, et je ne m’engage pas, enfin plus, pour le moment. A moins de trouver une perle, mais je pense que c’est impossible et même elle paressera par la même case que les autres. C’est un peu sadique comme méthode ? Certes, et alors ? Le savoir souffrir est mon plus grand bonheur. En revanche, je suis extrêmement jalouse et possessive, pas avec mes coups d’un soir, mais avec mes amis, et le garçon que je vais aimer. Evidemment je ne dirais rien à ce dernier, je resterai mystérieuse pour ne pas montrer mes sentiments.
Avec mes amies, filles, je suis plutôt gentille, mais certains jours une peste. Je peux être la meilleure des amies, comme la plus grande, passé moi l’expression « salope du moment ». J’ai plus de facilité à être gentille avec des filles qu’avec des garçons, mais bon je suis assez caractérielle, si tu me plais je serais gentille sinon ce n’est même pas la peine de m’approcher. En revanche avec mes vrais ami(e)s, je suis très rancunière. Ils sont rares et j’y tiens, au premier coup bas, ils font sentir une tension. Et mes vrais amis, sont se sent en qui j’ai entièrement confiance, mais je suis très méfiante. Je ne suis pas la fille qui va falloir venir chercher si ous voulez un bouche troue. Ma confiance est dure à avoir. Je suis une grande fêtarde qui profite à fond de la vie. Alcools et drogues sont mes amies, et j’ai un fâcheux penchant pour les jeux. Je joue aussi bien avec des cartes qu’avec des gens. Je ment à longueur de journée et sur tout se qui en a besoin. Mais derrière ce démon que je semble être, se cache au fond, une gentille fille, il faut juste savoir le faire ressortir.
A part ça, je suis sportive, je pratique pas mal de sport. Mais pas au point d’avoir de gros abdos, je ne trouve pas ça beau pour une fille, juste pour avoir de quoi me défendre lors du bagarre. Oui je suis assez bagarreuse mais bon rien de bien n’alarmant, il faut juste pas me chercher. Je ne suis pas franchement pudique, j’ai un beau corps se serais idiot. Oui je suis aussi narcissique, j’ai confiance en moi, et je le montre.

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Comment suis-je ? Plutôt attirante ? Vous m’en direz d’autres ! Mon physique est mon point fort. Je suis plutôt grande, un bon mètre soixante-dix qui me va parfaitement bien. Quoique je porte souvent, voir tous le temps, des talons, et rarement des petits toujours de huit, neuf ou dix centimètre J’ai de grandes et fines jambes trônées d’une taille fine et d’un ventre plat. Avec ça, j’ai aussi une belle poitrine, n’est pas ? Un beau 90C. Puis, mon visage est si fin, et ovale. J’ai une petite bouche, et un petit nez, refait à cause d’un mauvais coup lors d’une bagarre. Puis deux petites perles bleus aux reflets verts au soleil. Tout cela surplombé d’une cascade de cheveux bruns-rouge tombant sur ce dernier. Ils sont plutôt fins, et ondulés au naturel, mais il m’arrive de prendre lisseur est de les avoir raides comme des piquets. Je me maquille un peu, mais pas énormément, seulement les yeux et les lèvres. Pour les lèvres c’est soit couleur aubergine, soit un rouge assez pétant. Pour les yeux, eyeliner, mascara, et des couleurs foncés ou pétantes Je ne mets pas de fond teint, ça abîme trop. J’aime trop mon teint blanc et puis avec, la cigarette ne défigure déjà assez, pas besoin d’empirer ça. J’ai aussi deux tatouages, un sur le bras droits, enfin un composé de trois. Une phrase, « Fly away, and live » d’où deux oiseaux s’envolent. Et un autre sur le haut de la cuisse gauche, mon premier, offert par mon ex copain, une clé de sol. J’aime autant ce dernier que je le déteste. A part ça, j’ai mon propre style vestimentaire. Je ne sortirais jamais sans accessoires, pour moi c’est indispensable, une couronne sur la tête, ou en collier, de grosses bagues et tous pleins d’autre chose. Au niveau des vêtements, je suis souvent en robe, mais un bon vieux slim n’est jamais de trop. Ils sont soit couvrant soit au contraire, court et provocateur. Mais ils sont un point commun, tout comme mon maquillage, ils sont sombres avec des pointes de couleurs éclatantes.

Tout commença par une rencontre, deux être destinée à vivre l’un avec l’autre. Elle, arrivait juste de New York, lui vivait là bas, à Sydney. Elle descendait de l’avion prêt pour refaire sa vie. Recommencer tout de zéro. Lui, venait de laisser s’envoler le dernier espoir d’amour qu’il pensait trouver. Ils se rencontrèrent par hasard. Elle cherchait simplement la sortie qu’il lui indiqua. Elle su toute de suite que se serais l’amour de sa vie. Cet homme qu’elle ne connaissait pas, mais qu’elle souhaiter voir vivre avec elle plus que tout. Ils parlèrent un peu mais sans plus. Elle prit un hôtel pas loin de la gare et lui rentra chez lui ou il vida son corps de larmes. Se fut que dans la soirée qu’il repensa à cette femme, cette inconnue, qui lui parut si gentille, mais il était tellement triste qu’il ne fit pas assez attention à elle. Au regard qu’elle portait sur lui. Elle, tournait et virait en rond espérant qu’une chose, le revoir. Ce soir là, son voeu fut exaucé. Le lendemain, elle arriva à son nouveau travail de professeur de sport et bomba dans un collègue. Il se tourna vers elle et la reconnu. Lui était l’autre prof de sport. Ils parlèrent, flirtaient ensemble pendant plusieurs mois. Puis vint le jour ou il se mirent ensemble pour de bon, et c’est quelques soirs plus tard que mon histoire commença.

Après avoir passé neuf mois dans ce ventre je sortis enfin. Ma liberté au bout des doigts. Je grandissais a vu d’œil, j’étais leur fierté, leur petit bijou. Mes parents me couvait est, étant profs de sports, ils m’inscrivirent à tout en tas d’activités sportives. J’avoue que ça, je leur en suis reconnaissant. Je me mis à l’âge de 6ans à la danse classique, mais je partis deux ans après, je n’aimais pas trop ça. Après, à huit ans, je commençais le tennis et la natation. L’eau, j’aimais tellement ça, j’aime encore ça d’ailleurs. C’est un des endroits qui me calme. J’ai toujours aimé nagé seul et plonger dans les vagues. La natation fut le seul sport que j’ai gardé longtemps avec la boxe. J’étais assez douée mais pour moi c’était juste un divertissement qui me sortait des études. Avoir des parents prof, c’est souvent un inconvénient. Les miens, m’obliger avoir de bonnes notes, au risque de tout me supprimer. Je les ai écouté pendant un moment, mais je passai en seconde et mon style vestimentaire était poussé à son paroxysme. Premier poids sur leur épaule, l’autre petite fille n’était pas celle dont il rêvait, j’avais mon style, et ils mirent un petit moment à l’accepter. J’avais à peine quinze ans quand je rencontrais Adan, Adan Scott. Mon premier amour. Guitariste dans un groupe de rock. Il était assez connu dans notre lycée. On se mit ensemble le soir d’un de ses concerts, ça devait faire trois semaines à peine que je le connaissais. On avait pratiquement le même style vestimentaire, et surtout la même conviction, vivre à fond. Il était toute ma vie. Au point que je le présentait à mes parents. Entre nous c’était l’amour fou, le soir il me ramenait chez moi, le week end j’allais chez lui ou il venait, bref c’était parfait. Puis avant le noël d’après, ça faisait un peu plus d’un an qu’on était ensemble. Cette journée était magique, il m’ouvrit mon premier tatouage. Une clef de sol ave une petit cœur s’en échappant sur le haut de la cuisse gauche. Nous passâmes notre soirée au resto. Mes parents reçurent mon bulletin, et m’attendirent au tournant. Je rentrais chez moi vers deux heures du matin, complètement soule et défoncé. Je ne les ai même pas écouté. Je suis rentrer dans ma chambre que je fermis à clef et dormis. Ce fut que le lendemain matin, ou mes parents m’engeulérent d’une tel force que je leur balança tous se que j’avais sur le cœur. Toute la haine que je ressentais pour eux. Du fait qu’ils m’inscrivent à des compétions que je n’ai jamais eu envie de faire, au fait qu’il ne comprenne pas que je veux vivre ma vie. Sous ses mots, mon père pour qui sa fille devait être parfaite, me voyait comme pourrit, souillé par Adan. Il commença à le critiquer et je ne pouvais, Adan était toute ma vie. Je le contredisais au point qu’il me baffa. La première fois. Et la dernière. Je ne dis plus rien je partis en courant dans ma chambre m’enfermer. C’est à ce moment là que je reçu un sms d’Adan. Son groupe avait jouer devant des gens qui avait vraiment aimer leurs musique et veulent qu’ils se reproduisent sur scène. Tout allez bien pour leur groupe, jusqu’au jour il dut partir a Canberra. Soit mes parents avait oublier l’accrochage et me laisserai partir le voir les week end, soit… soit on devait se séparer. Mais cette chose était pour moi insupportable, rien que le fait d’y penser me rendait triste. J’expliquai la chose à mes parents. Mais ils ne s’étaient pas remis de la conversation de la veille et en rajouta une couche me disant que se n’était qu’un imbécile, que je n’irai pas gâcher ma vie à cause d’un imbécile. Je fus prise d’une grande rage. Tel que je ne l’avais jamais connu. Je rentrai dans ma chambre mais pas pour faire comme la derniére fois. Je pris, ma valise et y entassa tous mes affaires, habits, sous-vêtement, chaussures. Puis mon sac à main avec mon portable mon ordinateur et tous câble dont j’avais besoin. Je pris aussi tous l’argent que j’avais dans ma tirelire claqua la porte de ma chambre traversant le salon. Ma mère ne comprenait pas mais mon père se leva en trombe et hurla « Si tu pars c’est même pas la peine de revenir » « Je n’y comptais pas de toute façon, désolé maman. Je vous aime. ». Et une fois sortis dehors ma mère me poursuivait en pleure me disant de pas faire ça que ce n’était qu’une connerie. Je lui pris les mains en la regardant dans les yeux « Maman, quand tu as vu papa tu as sus que c’étais le bon, Adan, c’est papa pour moi » Elle me regarda et m’embrassa sur la joue « Fait gaffe a toi et envois de tes nouvelles, je t’aime ». Sur ses mots je partis à pieds jusqu’à chez Adan, seize ans, seul dans la rue. Je posai mes valises devant sa fenêtre éclairée et je toquai. Il ouvra et me vit en larme. Il regarda par terre et vis mes valises et compris. Je rentrais toutes mes affaires et blottis contre lui. Je vécu chez ses parents quelques jours avant qu’il parte a Canberra. Nous partîmes ensemble avec le reste du groupe. Là bas il eurent un plus grand sucé que prévu et nous voyageâmes un peu partout dans l’Australie, c’étais magique. Je me promenais avec l’homme que j’aimais et c’était vraiment merveilleux. On s’arrêta dans une autre petite ville où je fis faire mon deuxième tatouage, une phrase « Fly away, and live » d’où deux oiseaux s’envolent. Le signe de ma liberté. Le bonheur dura un an et demi. J’approchais à grand pas de mes dix-huit ans quand, le soir après un concert, je tombai sur Adan et une autre fille, en « pleine action ». Je restai debout devant eux et lâcha le verre d’eau que j’avais dans ma main. Le bruit du verre brisé les arrêta et ils se retournèrent vers moi. J’hurlai et pleurai toute les larmes de mon corps. Je m’enfermai dans la salle de bain pour me calmer mais je ne pouvais pas. Je rassemblai mes affaires dans cette pièce. Et je ressortis la fille était partit il m’attendait devant la porte. Il me cria qu’il s’excuser qu’il regrettais. Je lui mit une baffe et partit un l’insultant de tout les noms d’oiseaux, j’hurlais dégoûté. Comment avait il pu me faire ça !! C’était sensé être l’homme de ma vie, le père de mes enfants. Il m’avait trahis ! Brisé ! Je pleurais toutes les larmes de mon corps en refaisant mes bagages pour la deuxième fois. Lui était retenus par les autres membres du groupe qui lui disait que je n’étais « qu’une meuf rien de plus ». Je partis vers la gare en sortant les larmes sur ma joue. Canalisant ma colère. Mais je le détesté, je les détestais tous. Je ne savais pas où aller. Je pris mon portable et appela ma mère. Elle était enceinte, de sept mois, mais mon père ne voulait plus entendre parler de moi, j’étais morte à ses yeux. Je n’avais plus personne, je me payai un hôtel pas très bien pour cette nuit ou je posa mes bagages et partit dans un bar pas loin. Je fuma et buvais quelque verre, mais tenant assez bien l’alcool j’étais nettement mieux que les pochtrons. Un d’entre commençait à se rapprocher de moi et me caresser la cuisse. Je le regardai sans dire, il avait une alliance, encore un. Je voulais qui souffre comme Adan. Il remonta encore sa main et je dégagea ma veste pour qu’il voie un peu mon décolleté et m’approcha de son oreille en lui chuchotant « Je t’excite hein ? ». Il souffla un petit coup et une odeur de mauvais whisky se sentis et il répondit juste « Tu peux en être certaine, t’es carrément bonne, je serais prés à payer chère pour t’avoir dans mon lit ». Assise je mis ma main sur se cuisse la montant doucement il haussa un petit sourire et moi je mordiller la lèvre avec un sourire caché. Puis un peu avant d’atteindre son « joujou » je me leva et lui décolla un pain en geulant « Prend moi pour une pute aussi ! ». Puis je sentis une mains sur mon épaule je me tournis et reçu et coup de poing dans le nez. Je me rattrapai au comptoir et en décolla un autre au gars. Mais il l’arrêta je jetai le tabouret à terre et partis en courant à l’hotel. Je restai donc enfermé dans cette hôtel pourrit sans manger pendant deux jours. Mais mon nez me faisait de plus en plus mal, et n’ayant pas 18ans et pas l’argent pour payer l’hôpital j’appela ma mère et lui raconta tout. Elle s’arrangea pour me faire virer pas mal d’argent sur mon compte. Je partis de suite après cette nouvelle à l’hôpital. J’avais le nez cassé et en profita pour le refaire faire. Je suis restait deux nuits à l’hôpital en me demandant où j’allais bien pouvoir vivre. J’étais trop jeune pour vivre seul. Pour travailler sans aucune expérience. Je me demander se que j’allais devenir. Puis je retournais dans cette hôtel et ma mère m’appela un soir. Elle m’avait inscrite sans rien dire à mon père, ici, à Rayen, pour pas que je me détériore plus. J’étais perdu, du coup j’acceptai. Mais j’étais devenu autre. Adan m’avait pourrit. Je ne voulais qu’une chose, faire autant de mal que j’ai eu mal. J’étais devenue, une garce, une peste, je jouai avec tous les garçons que je rencontrais durant mon voyage. Et je continuerais ici.