250 mots minimum. Caractère.

Commençons par le début. Pour moi, il y a ce que la vie nous donne et ce que l'on en fait, c'est ce qui fait de nous ce que nous sommes. Je suis ce que j'étais ainsi que ce que je suis devenu, donc je suis. Les vivants m'ont donnés leur savoir pour mieux qu'ils comprennent ce que je comprendrais tout en sachant quand bien même que nos savoir différents ne seraient pas forcément complémentaires, voir même que toutes ces années seraient vaines. Puis-je cependant réfléchir tel que je le fais et en le faisant, les comprendre?... Comprendre ça, est peut-être le commencement de la compréhension de ma personnalité, que l'ont m'a donné. Hum. Je m'intéresse au monde, ne cessant de poser et me poser des questions. Que serait la vie si toutes les questions étaient résolues ? Plate, sans gout ni saveur, m'a-t-on dit. Certaines équations n'ont pas de solutions propre appart celles qui arrangent le plus ce que ceux qui voulaient être arrangés. Je m'exprime le plus souvent que faire se peut, de façon rigoureuse, précise et réfléchie. Je progresse dans mes raisonnements de façons logique, bien que certains pensent l'inverse. En vérité; si déjà, il y en a une, qui consisterait donc à ce qu'il y ait l'existence de l'accord de nos jugements de perception ou connaissance de la réalité; on cherche à comprendre qui a tord pour mieux se dire qu'on avait raison. Et on l'acquiert par la compréhension et l'anticipation des choix, de la perception et des réactions d'autrui.
J'ai un caractère nommé "calme et posé" que j'essaie d'entretenir le plus possible. Je suis de nature pacifiste, ce qui incite surement mon esprit à chercher après tout cela; puisse le temps me le permettre encore d'ailleurs. Cependant derrière toute ces réflexions logique, je comprend encore une faiblesse, et j'en suis alarmé...

150 mots minimum. Physique.
Avant tout, je suis quelqu'un avec une silhouette fine et assez élancée étant plutôt grand et me tenant toujours très droit, cause d'une colonne vertébrale très rude. Je l'accentue souvent en m'habillant en costume coupé droit, dont je fais attention au moindre défaut, comme à chaque vêtements que je porte d'ailleurs. Je suis la mode à la lettre, me fascinant de la connaissance associé qui peut être acquéri. J'ai les cheveux noir, longs jusqu'au milieu du torse, ce qui accentue mon androgénie déjà bien présente de par mes traits fins de mon visage. Ce dernier est par ailleurs de forme ovale, un peu triangulaire vers le bas. Mes joues sont plutôt creuses mais sans volumes sur les pommettes et mes maxillaires souvent cachées par mes cheveux d'ébène. J'ai une bouche rosée bien dessinée, pas trop fine ni trop grosse, un peu courte et anguleuse, en harmonie avec mon petit nez fin, peu pointu. Mes yeux sont bleu océan, et à la lumière du jour, on peut décerner des nuances pratiquement invisible mais présentes. Mes sourcils sont fins et en forme de crescendos opposés, noirs, tout comme mes longs cils qui bordent mes yeux. J'ai souvent tendance a remettre les mèches débordantes sur mes joues blanchâtres, derrière mon oreille lorsque le vent décide de faire danser mes cheveux et me chatouiller. C'est aussi souvent là qu'on remarque mes mains fines et dont les veines bleues ressortent de sous la peau plus nettement que les femmes. Je m'amuse d'ailleurs souvent à les redessinés lors des cours, passe temps qui, bien qu'inutile et non constructif, me rappelle ce pourquoi je suis ici, maintenant et que je le suis bien. [...]

400 mots minimum. Histoire.
Il y a maintenant 14 ans déjà que j'apprend a vivre. Les premières fut aussi longues que les mises à jour infinies de mon laptop, ce furent celles où je due apprendre à me servir de mon corps. Bien qu'inconscient de la douleur, les chutes n'étaient jamais sans conséquences, lorsqu'elles avaient lieux. J'avais souvent tendance a essuyer ma bouche avec l'extrémité de la manche droite de ma chemise, ce qui me donnait un air presque naturel. Le soir, avant de retrouver "Morphée" je me baladais dans l’immeuble cherchant une ouverture. Après quoi, j'allais me nourrir puis veillé, avant les abysses noir de mon sommeil. Surement étais-je chanceux parce que contrairement à mes frères , j'avais une capacité de déduction plus développée. Surement aussi es-ce la raison pour laquelle on m'avait gardé, sinon quoi, j'aurais été seulement que l'objet d'une simple erreur, un calcule trop long qui nous laisserait perplexe, et dont on ne retiendrait que les 2 premiers chiffres, un peu comme le nombre pi et ses décimales. C'est cependant, à la dixième année après avoir vérifié tous les codes et aptitudes que je devais remplir, qu'ils décidèrent de m’accepter. Enfin, avant de m'envoyer au pensionnat. Ça leur aura cependant au moins permis de sortir le champagne, et de boire à leur guise, alors que j'étudiais leurs faits et gestes, comparable d'ailleurs à ceux des romains après leur victoire et investissant dans les vignes, cela à partir du deuxième siècle après J.C. Les verres cliquetaient, résonnaient, les flots coulaient dans les verres adverses et les saveurs se mêlaient. Je me souviens des moindres détails de cette fête. Enfin non, je me souviens de tout. Puis-je déjà oublier quoique ce soit?... Ce jour là, cette fête là, faite à mon érégie comme récompense plutôt pour eux que pour moi -Et tant mieux car je n'en demandais pas tant- était surement l'un des jours les plus importants qu'il y eu dans ma vie, et si je devais en faire un tableau en aires, la pointe du graphique serait la plus haute ici. De plus, cet évènement annonçait un lendemain où, je le savais, je pourrais enfin vraiment contempler les cieux. Mes créateurs n'ont jamais vraiment compris mon intérêt à regarder le bleu azure parsemé de nuages. Surement étaient-ils trop occupés par eux même, contrairement au docteur Satori, qui lui, me fascinait car était le seul à m'enseigner réellement. L'attente était longue et semblait sans fin. Mais qu'en est-il du début?... Je me suis éveillé à l'aube d'un matin enneigé, dans une salle blanche comme les flocons qui tombaient en dehors de la pièce, que l'on pouvait voir et s'émerveiller tomber au sol, par la grande fenêtre lumineuse qui bordait la salle. La première chose que je remarqua fut la forte lumière que cette couleur envoyait. La seconde, que je n'étais pas seul. Mais au final, tout cela n'importe guère. Qui je suis, d'où je viens... Pourquoi le saurais-je plus que vous?...