Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
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 » Suzuki Daichi.

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Suzuki Daichi

Suzuki Daichi


Féminin
Messages : 78
Age du perso : 20 ans
♥ Côté coeur : Et si nous jouions cartes sur une table pour une fois ?

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MessageSujet: » Suzuki Daichi.   » Suzuki Daichi. Icon_minitimeMar 25 Sep - 19:30


Daichi Suzuki ;


Alors, qui es - tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S): Daichi Suzuki
AGE: 20 ans
NATIONALITÉ: Japonaise d'origine européenne
ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro
ANNÉE SCOLAIRE: -
POSTE SOUHAITE: Surveillante (Personal)
POURQUOI CE POSTE: Elle a quitté son domicile afin d'éviter de commettre l’irréparable. Pour gagner sa vie et devenir indépendante, elle décide de postuler en tant que surveillante, n'ayant vraiment pas les qualifications requises pour être prof.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Inconnu


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
« Suzuki n’a pas toujours été telle que vous la voyez aujourd’hui. Lorsqu’elle était petite, elle était très timide, du moins, c’est ce que nous pensions comme elle parlait très peu. Nous avions remarqué ce changement après le naissance de sa petite sœur, Chihuo. Malheureusement, elle était un enfant fragile … Son cœur était, et l’est toujours, tellement fragile que nous devions rester souvent à l’hôpital. Nous avions donc imaginé qu’elle était très affectée par ça et nous avions même consulté des psychologues mais ils n’ont rien décelé d’anormale. Ils ont dit que était certainement passager … Mais ce visage triste n’a jamais disparu de son visage. Elle était souvent seule, pour ne pas dire toujours en fait. Comme maintenant mais il y a une période où elle avait changé. Au début, je pensais que ce n’était pas un bon changement … Je la trouvais très influencée par ce type, ce délinquant. Quand elle le rencontra ou du moins quand nous l’avons surpris avec mon mari dans la rue avec lui, je ne peux pas dire que c’était une surprise. Seule, jamais elle n’aurait pu devenir ainsi. Elle, qui parlait si peu et répondait rarement, commençait à nous répondre. Non pas sur un ton aimable, elle était devenue très arrogante. Ses notes, habituellement moyenne, avaient littéralement chutées. De plus, elle commençait à sortir le soir et rentrait de plus en plus tard. Autant dire que cela caché quelque chose mais nous n’avions pas beaucoup le temps de nous en occuper … Nous avions également Chihuo. Mais j’étais hors de moi ! Ce type profitait d’elle et le fait qu’elle se sente seule pour abuser de ses faiblesses ! J’en suis encore persuadée aujourd’hui ! Mais étrangement, bien que nos relations ne s’améliorèrent pas et qu’elle allait voir de moins en moins sa sœur, à notre grand déception car Chihuo en fut très blessée, lorsqu’elle regardait son téléphone, un sourire s’affichait sur son visage habituellement si terne. Ce fut toujours quelques secondes mais cela procurait un sentiment bizarre … Suzuki, lorsqu’elle sourit, elle arrive à transmettre sa joie à n’importe qui, bien qu’elle sourit peu. Et depuis cet accident, elle ne sourit plus du tout et ne nous adresse plus du tout la parole. Elle mange seule dans sa chambre et ne se mêle plus à aucune activité. Je pensais être soulagée de ne plus la voir traîner avec ce mec et qu’il n’incite plus aucune fille à la délinquance mais au fond … peut-être que j’ai eu tort de souhaité sa mort – Peut-être qu’il était plus important que je le pensais. » Maman de Suzuki et Chihuo


Je suis loin d’être un ange ou une de ses élèves angéliques. Je n’aime pas la compagnie, je déteste le bruit de la foule, l’idée de voir des couples m’insupporte. Je suis de celle qui préfère observer et écouter que parler. Les gestes valent bien mieux que des paroles, à mon sens. C’est ce que Nabuo m’avais appris avant qu’il ne décède. Oui, il m’a appris à apprendre à me connaître et à m’exprimer tant verbalement et physiquement mais sans lui, je ne veux pas faire profiter aux autres de ce que j’ai appris à ses côtés. Je suis égoïste et je le sais. Je ne laisserai plus personne s’approcher de moi. Je lui appartiens, même au-delà alors je lui reste fidèle. J’attends la mort, pour pouvoir le rejoindre … Pourquoi ai-je survécu à cet accident de voiture ? Je me le demande si c’est pour être loin de lui … J’aurai aimé prendre sa place car je sais que lui aurait plus profité de la vie que je ne le fais. Ma mère croit que j’adore ma sœur et que je suis triste pour elle et pour sa vie mais en réalité, je la déteste. Je les déteste tous en fait. Je ne lui en veux pas d’être fragile du cœur, non, j’ai pitié d’elle et de son existence pathétique qui l’attend dans cet hôpital mais honnêtement est-ce une raison pour mes parents de m’ignorer ainsi ? Je n’existe pas à leurs yeux saufs lorsqu’ils remarquent que je suis heureuse alors si j’ai le malheur d’avoir quelque chose ou quelqu’un à quoi je tiens et qu’ils ne peuvent donner à ma sœur pour qu’elle soit elle aussi, heureuse, quitte à ce que je n’ai plus rien. Comme mon doudou. Il lui avait plu, ils lui avaient donnés sans me demander. J’avais 4 ans.
J’ai peu d’amis car lorsque j’étais petite, mes amies n’arrêtaient pas de vouloir rendre visite à Chihuo et ça m’agaçais plus que tout. Toujours rien que pour elle … Avec Nobuo, c’était différent. Je pouvais parler, il m’écoutait. Il était là pour moi et peu lui importait avec qui j’étais ou qui était ma famille. J’avais toute son attention et ça, c’était agréable.
J’adore passer mon temps à lire afin de m’identifier aux personnages principaux. Leur vie n’est pas monotone et sans intérêt. Je préfère choisir les bouquins aux belles fins pour me remonter le moral. Donc oui, je suis assez terne comme fille mais je n’ai pas encore eu le courage de me suicider. Je suis lâche … Si j’avais plus de cran, je serai déjà loin d’ici. Finalement je ne mérite vraiment pas d’être ici. Avant j’aimais aller au cinéma et manger au restaurant ou mac do. Mais ça, c’était avant.



Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.
« Suzu’ est une fille vraiment belle naturellement ! Ses longs cheveux blonds donnent vraiment envie de passer sa main dedans malheureusement ça ne risque pas d’arriver … Elle se laisse très peu approcher ! Elle se maquille très peu, a un teint pâle mais ça fait ressortir ses grands yeux bleus. C’est une beauté à l’état brute, sans aucune superficialité.» Camarade de classe

« Son visage triste donne vraiment envi de la prendre dans ses bras pour la réconforter. Ses petites lèvres tremblent de temps à autre comme si elle était sur le point de pleurer mais la seconde d’après son visage est à nouveau inerte. On se perd facilement dans ses yeux bleus azur … C’est rare d’être aussi typée car elle n’a vraiment rien de japonais mis à part sa petite taille – dans les 1 m 58 je dirai. Une raison de plus pour la protéger ! » Ancien voisin

« Bien qu’elle parait forte, elle ne sourit jamais. Ses expressions reflètent exactement tout ce qu’elle ressent. Elle ne porte pas beaucoup d’habits colorés. Elle fait tout pour se fondre dans la masse, toujours habillée de blanc, de noir, de gris ou de couleurs foncés, elle ne porte vraiment aucun vêtement coloré. Jamais. Toujours très classe, elle incarne vraiment la féminité. C’est mon modèle, j’aimerai vraiment être comme elle ! » Chihuo, sœur de Suzuki

« Quand elle sourit, le monde entier peut s’effondrer, je pourrai mourir en paix. Au début, ce qui m’a fasciné, c’est son visage. J’ai eu l’honneur de toucher sa chevelure, de goûter la douceur de sa peau et il n’y a rien à redire, c’est la femme que tout homme rêverait ! Sans oublier ses percings aux oreilles que je n’arrête pas de lécher. Lorsqu’elle rougit, ce qui peut lui arriver, elle est vraiment sexy. Fine, élancée, elle renvoie l’image d’une fille soignée et sûre d’elle. Je l’aime vraiment » Nabuo, ancien petit ami de Suzuki, décédé

Ce que personne ne sait, c’est que suite au décès de Nabuo, je me suis faite tatouée en bas du dos les ailes d’un ange.



Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.
Inutile de parler de ma naissance, je ne m’en rappelle plus. Née le 3 mai 1992 sous le signe astrologique du singe, je fus le premier enfant de l’union entre Haley Daichi, d’origine anglaise, et Shigeaki Daichi, d’origine japonaise. Ils se rencontrèrent à l’âge de 18 ans, lorsque ma mère venait d’être transférée dans une nouvelle école japonaise où elle fit la connaissance de mon père, l’un de ses camarade de classe et se marièrent à 6 ans plus tard. Quant à moi, je suis venue au monde lorsqu’ils avaient 26 ans. Je ne sais plus quel genre d’enfant j’étais mais la famille de tarda pas à s’agrandir quelques mois plus tard. J’étais désormais l’ainée et grande sœur de Chihuo lorsque j’étais âgée de 2 ans et demi. Malheureusement, les médecins ont rapidement remarqué que Chihuo était une enfant fragile. Le début de la galère commença. Souvent à l’hôpital, pour ne pas dire tous les jours, mes parents ne me prêtaient plus aucune attention, bien trop occupés désormais à choyer ma sœur. Je me souviens qu’à cette époque, je dormais régulièrement chez ma grand-mère ou chez mes tantes car ils n’avaient pas le temps de me coucher, restant à l’hôpital jusqu’à tard le soir. Il est vrai que j’aurai pu comprendre, j’aurai pu être triste pour ma sœur mais non, je ne ressentais rien de tout ça. Je me sentais trahi, en colère. Résultat : je ne mangeais plus. C’est surement à partir de ce moment-là que j’ai commencé à me renfermer sur moi-même. En y repensant, c’était vraiment très égoïste de ma part mais même avec l’âge, je n’ai pas changé.

Les années défilèrent et malgré cela, le rythme de la famille était encore et toujours centré sur Chihuo. J’en avais assez mais je n’osais rien dire, me trouvant vraiment ignoble d’espérer qu’ils arrêtent d’aller à cet hôpital mais qu’ils passent plus de temps avec moi. Un monstre sans cœur, voilà ce que je pensais. Dans mes souvenirs, mes parents ont fait une activité avec moi, une seule : aller chez un psychologue. Ils croyaient tous que j’étais profondément touchée par ce qui arrivait à Chihuo et que je refusais de parler par choc émotionnel. Quel choc. Mais encore une fois, je n’ai pas dit la vérité pour ne pas choquer mon entourage car oui, malgré mon jeune âge, partout où j’allais, les gens me demandaient comment allait Chihuo alors je savais que c’était important. Important que je ne dise pas que je n’en avais rien à faire d’elle. Ils semblaient tous si préoccupés par son état de santé. Je crois que j’avais même prié pour qu’elle disparaisse de ma vie mais en vain.
En effet, mes parents n’assistèrent jamais aux fêtes à l’école et même que les professeurs comprenaient la situation et ne disaient rien pour les encourager à venir. C’était ahurissant, je me sentais vraiment rejetée. Personne ne faisait attention à moi et je commençais à croire qu’au final ce n’était pas eux qui avaient tort mais bel et bien moi de ressentir de tels sentiments.

Plus tard, à 16 ans, je ne sortais jamais avec mes amis ou je ne faisais aucune activité interclasse. Bon, on va dire que je n’avais pas d’amis donc il m’était difficile de sortir avec qui que ce soit. Je parlais pas et mes notes n’étaient ni bonnes ni mauvaises. Dans la moyenne, comme tout le monde. Je ne passais pas inaperçue de par mes cheveux blonds et mes yeux bleus mais mis à part mon physique, je n’avais rien pour me démarquer. Pas de qualités ou très peu car si j’en avais eu, peut-être que ma famille aurait été plus là pour moi. Ou si j’avais été malade à la naissance, il n’y aurait pas eu Chihuo et j’aurai existé à leurs yeux … Oui, j’aurai aimé naître en mauvaise santé.

Alors que je commençais enfin m’habituer à mon existence terne et sans intérêt, je rencontrais Nobuo. Je venais à peine d’avoir 17 ans et il était dans une classe supérieure à la mienne. Je me rappelle qu’il se mit à s’asseoir à la même table que moi à la cantine en disant que j’avais l’air bien triste seule et qu’à partir d’aujourd’hui, il allait rester avec moi tous les midis. Je pensais qu’il plaisantait alors je me contentais d’acquiescer histoire de dire parle toujours. Mais le lendemain, il était revenu. Le jour d’après également et sans même m’en rendre compte, j’avais pris l’habitude de déjeuner tous les jours avec lui. Il portait des tatouages et des piercings. Il était le genre de garçon excentrique qui s’entendait bien avec tout le monde. Mon opposé en quelque sorte mais lorsque j’étais avec lui, je savais qu’il m’écoutait. Bien sûr, je ne lui ai pas tout de suite adressé la parole mais avec le temps, je me confiais à lui. Dès que j’étais avec lui, je ressentais cette sensation bizarre qu’à peine je n’étais plus avec lui que j’avais hâte de le revoir le lendemain. J’attendais toujours patiemment le jour suivant. Il fut le premier et le seul à avoir mon numéro de téléphone et encore une fois, avant même que je m’en aperçoive, il a pris une place importante dans mon cœur. Il disait que c’était normal que je me sente seule, que personne ne devrait être seul et qu’il serait toujours là pour moi.

Grâce à lui, je commençais à me sentir plus joyeuse mais uniquement lorsqu’il était là car à la maison, je ne parlais pas de Nabuo. Je ne parlais de rien. De toute façon, cela leur importé peu ce que je faisais alors je me mis à sortir. Ils ne le remarquèrent pas tout de suite, ils n’étaient eux-mêmes jamais à la maison. Cependant, un jour, ils nous croisèrent, Nabuo et moi. Cela faisait déjà un an que nous sortions ensemble. Depuis ce jour, ils faisaient attention à moi, certes mais attention à ce que je ne fréquente plus ce qui me fit bien rire à l’intérieur de moi. Il leur avait fallu 18 ans pour prendre conscience que j’existais et maintenant que j’étais heureuse, ils voulaient s’interposer à mon bonheur. Je ne les laissais pas faire et continuais de sortir. Après quelques mois de relation sérieuse, je couchais pour la première avec un garçon et pas n’importe lequel, c’était lui, l’amour de ma vie. J’allais moins de moins en cours afin de passer plus de temps avec lui. Il n’était pas d’accord pour que je sèche les cours mais il ne me rejetait jamais lorsque je le retrouvais. Je suppose qu’au fond, il savait que j’en avais besoin. Il était un peu comme une drogue à laquelle on devient accro. Mes parents pensèrent qu’il était responsable du fait que je n’allais plus en cours mais c’était ma décision.

Mais un jour survient un drame. Nous étions tous deux dans la voiture et il roulait à la vitesse normale, autorisée lorsqu’un camion nous percutait côté conducteur. L’homme s’était endormi au volant. Durant trois semaines, j’étais plongée dans le coma afin que je ne souffre pas trop de mes blessures mais lorsque je me réveillais, je me suis souvenue de tout. L’accident, le sang sur les vitres et partout. Une vraie boucherie. Il me fallut plusieurs minutes pour demander où était Nabuo car je ne pris pas tout de suite conscience du lieu où j’étais. À leurs visages, avant même qu’ils ne me répondent, je savais. Je savais qu’il était mort sinon il aurait déjà été là, auprès de moi. Je ne voulais cependant pas le croire. Pas lui ! Pourquoi lui ?

En quelques jours, je perdis environ 5 kilos car je ne mangeais plus. Je sortis tout de même de l’établissement après avoir passé des entretiens avec des psychologues afin que je passe le cap de la mort de Nabuo. Je n’avais même pas assisté à ses funérailles car j’étais dans le coma à ce moment-là.

Depuis, un an est passé et j’ai arrêté les cours, ne trouvant plus la motivation d’y aller. Dès que l’heure du repas de midi sonnait, j’allais me réfugier dans les toilettes, savant pertinemment qu’il ne sera plus jamais là. Chaque jour, je passais sur sa tombe mais je suis conscience que je devais arrêter sinon j’allais mourir à mon tour. Je décidais de quitter la ville où j’avais grandi pour me forcer à ne plus penser à lui ni à ma famille. J’ai entendu parler d’une école qui recrutait des surveillant alors j’ai saisi cette opportunité pour postuler pour le poste de surveillante.



Et derrière l'écran?

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DOUBLE COMPTE ?: Peut-être bien
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Qui sait ?
AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? Code bon - Rei ♠



Dernière édition par Suzuki Daichi le Jeu 27 Sep - 17:00, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: » Suzuki Daichi.   » Suzuki Daichi. Icon_minitimeMar 25 Sep - 19:52

Re bienvenue.
Tu as deux semaines pour terminer ta fiche de présentation.

Akiba.
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MessageSujet: Re: » Suzuki Daichi.   » Suzuki Daichi. Icon_minitimeJeu 27 Sep - 16:52

Finish :heart:
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MessageSujet: Re: » Suzuki Daichi.   » Suzuki Daichi. Icon_minitimeJeu 27 Sep - 18:24

Ca me semble bon et ton histoire est très touchante, surtout la dernière partie, j'aime.

Validée :)
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MessageSujet: Re: » Suzuki Daichi.   » Suzuki Daichi. Icon_minitime

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