Même avec des efforts, Shiki n'a jamais réussi à devenir très aimable. Il est froid avec la plupart des gens qui l'entour, également la majorité de ses amis. Seuls quelques proches ont réussit à percer l'énorme carapace autour de lui. Il aime être seul, au calme, bien qu'il ne refuserais pas l'entrée à une énorme fête. Dans le fond, il peut être gentil. Mais la spontanéité n'est certes pas son fort. Il n'aime pas se battre, et cherche le moins possible les ennuis. Il regarderai même quelque'un se faire taper dessus et passerait son chemin,, sans remord ni regret. D'un naturel assez paresseux, on pourrait qualifié " dormir " par son activité favorite. Malgré ce petit défaut, il fait un effort lors des tests, et travail un minimum. Avec ses capacités, il pourrait être une forte tête. Mais ça ne l’intéresse pas. Il préfère se fondre dans le tas d'étudiant, juste assez pour passer l'année suivante, mais pas assez pour se faire coller une étiquette : " Intello ". Pendant les cours, il a du mal à rester sans rien faire, et se vois souvent reprocher un comportement insolent envers certain professeurs. Shiki n'aime pas se faire marcher sur les pieds. Que ce soit par un élève de l'académie, ou par un adulte, pour lui il n'y a pas de différence. Et il se moque bien des séquelles. Bâcher des cours aux heures de colles, il les aura toutes fait,et n'en est pas peu fière...(Votre caractère, 250 mots au minimum. )

Grand, mince et élancé, Shiki n'a pas à se plaindre de son physique " plus qu'avantageux. "Il fait dans les 1m 78, et pèse environ 67 Kg. Un corps de mannequin, qui ne les laisse pas toutes indifférente. Il soigne plus son apparence que tout autre chose. Ses cheveux, a la base noir, tombes en mèches rouges dans sa nuque, déviant un peu parfois. Bien qu'ils soient toujours peignés à la perfection. Ses yeux sont rouges également, même si leurs couleur d'origine est brune. Il a la peau blanche, très nette. Il ne supporterai pas de sortir avec ne serait-ce une petit bouton sur le visage. Il s'habille raffiné, mettant des jeans presque slims, et des tee-shirts lâches, souvent creusés au niveau du col. Pour ses chaussures, elles sont toujours fermées, et de marques. Comme tout le reste de ses vêtement. Même le plus petit détail doit sortir du plus grand magasin de Tokio. (Votre physique, 150 mots au minimum. )

Tout commence il y a 15 ans. Shiki était encore un petit enfant, commençant à peine à marcher. Il vivait dans une immense demeure, issue d'une famille très riche. Il avait une grande soeur de 7 ans, des parents encore amoureux, et une chienne nommée Aya. Tout le monde était heureux, les choses ne pouvaient pas mieux tournées. Pourtant, le père de Shiki tomba gravement malade. Il dut arrêter son travail, et trouver autre chose pour avoir de quoi nourrir sa famille.Des hommes violents lui en voulait pour quelques chose, une chose dont il ne voulait jamais parler. Mais tout le monde s'inquiétait, tout ça prenait un aspect étrange, comme du harcèlement. Menaces, insultes, ils allèrent même jusqu'à jurer la perte de ses enfants. Ils avaient peur pour eux, ils étaient terrifiés. Alors un jour, la mère de Shiki, Aruka, emmena ses enfants loin, très loin. Elle leur disait que là où ils allaient, les problèmes ne les suivraient pas. En dehors de Tokio, dans une maison reculé, isolée de la ville, ils avaient une Tante nommée Kenshi. Ils s'installèrent là-bas, en attendant que les événements retombent. Mais ce ne fut pas le cas...Les parents de Shiki furent retrouvés morts, une semaines après leur séparation. Le jeune garçon venait d'avoir 8 ans. Sa soeur, plus agée, était parti avec son petit ami, disant que tant qu'ils restaient là, leurs vie étaient en danger. Mais il avait tout de même voulu rester ici, totalement emmurer dans son mutisme. Il passa ses 15 ans, sans que rien n'ai bougé. Il ne parlait à personne, regardait dans le vide. C'est à ses 16 ans que sa tante péta les plombs, et l'envoya dans un pensionnat pour lui remettre les idées en place, et lui rendre le sens des priorités. C'est finalement le pensionnat Rayen qui l'accueillera un peu après. Il reste tout de même très renfermé, bien que la superbe psychologie du pensionnat l'aide énormément ( héhé x3 ). Finalement, il s'y ait fait une place, et entame sa deuxième année avec un petit sourire de satisfaction. (Votre histoire, 400 mots au minimum. )