Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Maaku Kanzaki.

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Maaku Kanzaki

Maaku Kanzaki


Féminin
Messages : 23
Age du perso : 17 ans
♥ Côté coeur : Disons amour sans espoir.

Carte d'identité
♣ Année scolaire: 2ème année
♣ Colocataires: Timeo David, Pauline de la Rosette, Kai Turindo
♣ Relations:

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MessageSujet: » Maaku Kanzaki.   » Maaku Kanzaki. Icon_minitimeLun 4 Juin - 0:51



Maaku Kanzaki ;


Alors, qui es-tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S):Kanzaki Maaku
AGE: 17 ans
NATIONALITÉ: Japonaise
ORIENTATION SEXUELLE: Bi
ANNÉE SCOLAIRE:  2 ème année
GROUPE: Artistic Talent
POURQUOI CE GROUPE: Maaku est dessinatrice de mangas, et elle fait ça bien.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Alisa Amiella (Gods Eater)


Alerte, hyperactive en liberté.
Maa est une jeune fille calme, du moins en apparence car en vérité c'est une vraie boule de nerf. Du genre pile électrique. Chargé à bloc, la pile. Sauf qu'elle a la décence de ne pas assommer les gens qui lui tapent sur les nerfs, ce qui lui fait clairement une sacré différence avec sa meilleure amie.
Et pourtant, ce n'est pas l'envie qui lui manque parfois, étant donné qu'elle est très orgueilleuse et donc, très susceptible. Et même si elle peut rire de n'importe quoi, tout ce qui touche à sa fierté personnelle est à proscrire car ça peut la mettre très, très en colère. Et comme elle se refuse presque toujours à frapper, c'est sa parole qui claque. Généralement d'un calme froid, souvent méchante. Non, toujours méchante, en faite. Elle n'est pas le genre de personne dont la colère épargne le mental.
Si l'on excepte ce côté particulièrement désagréable, c'est une personne assez sympathique, ou tout du moins facile à vivre. Si elle est loin d'être surdouée, elle possède une grande culture générale, notamment sur l'art et les civilisations, récentes ou anciennes, de l'Asie à l'Amérique. Mieux que Wikipédia.
De nature, Maa a tout d'une hyperactive... A part la classification médicale d'hyperactive. Elle court partout, ne supporte pas l'inactivité et, paradoxalement, elle est capable de passer plusieurs heures à fignoler un petit trait sur un dessin (on ne garantit pas cependant que ses nerfs supporteront le stress intense d'une erreur qui a tendance à la... survolter, au point qu'elle a besoin de faire un pause pour dépenser le trop plein d'énergie.) Quand on vous dit que c'est une pile électrique sur pattes...
Mais Maaku est sensible. Pour ne pas rajouter un hyper de trop, on ne dira pas hypersensible, mais ça n'est pas loin. Elle se laisse toujours dominer par ses émotions, ce qui peut être sympathique quand elle est amoureuse, et beaucoup moins quand elle est triste. Du coup, elle est aussi sentimentale. Et même si plusieurs de ses amis trouvent le romantisme désuet et dépassé, elle rêve toujours du prince charmant, ce qui ne l'empêche pas de tomber amoureuse de personne qui sont très loin de l'être. Une fille, par exemple, c'est très loin du prince charmant, et pourtant...
N'oublions quand même pas que Maa est une artiste. Une artiste hyperactive certes, mais une artiste quand même. Du coup, elle a développé un certain... perfectionnisme. Non, en fait, elle est carrément maniaque. Elle ne supporte ni l'erreur, ni l'échec, ni la moindre petite ombre ou le moindre petit trait de travers sur un de ses dessins. Et si ça ne la met pas dans une colère folle, c'est tout juste... Alors quand elle se sent survoltée par le stress, elle se regarde un anime complet ou deux, et finit généralement un jeu vidéo au passage. Et ensuite, elle reprend ses dessins comme si de rien n'était.
Gardons le meilleur pour la fin, parce qu'il fallait bien une chute. Sa meilleure amie n'est autre que la ténébreuse Lulu Dixapel, et comme elle est aussi amoureuse d'elle, sa vie n'est pas facile tous les jours. Saluez chaleureusement la confrérie des piles électriques, ça va faire des étincelles. Enjoy.




Qui a dit qu'il fallait être conventionnel ?
Le style de Maaku aurait tôt fait de la classer dans les originales. Elle n'a rien à envier aux personnages qu'elle dessine. Fluette, son allure fragile est souvent démenti par la puissance de sa voix. En tant que japonaise pure souche, elle est assez petite, ce qu'elle s'efforce de compenser avec des talons. Sauf que, comme elle a du mal avec les talons hauts, les siens ne dépassent généralement pas 5cm. De toute façon elle n'a qu'une paire de chaussures, peu adepte du collectionnage. Les chaussures en question sont de hautes cuissardes qui, finalement, remplacent sans problème les traditionnelles chaussettes hautes.
Du coup, comme elle n'a pas franchement d'autre choix, elle ne porte que des shorts et des jupes. Et, si elle les complètes de collants en hiver, elles/ils sont toutefois suffisamment court(e)s pour attirer bon nombre de regard dans sa direction. De toute façon, elle n'y a jamais prêté la moindre attention, et elle n'a pas l'intention de commencer aujourd'hui. Maa est atteinte d'un genre d'allergie à tout ce qui peut couvrir son ventre : à moins qu'un intense froid extérieur ne l'oblige à porter des hauts longs, elle déteste ça et porte donc plus souvent des vêtements du style brassières, chemisiers courts ouverts, et autre trucs du même style. Comme il lui arrive de ne pas porter de soutien-gorge, le haut de son corps se dispute souvent avec le bas à celui qui attirera le plus les regards, qu'ils soient offusqués ou intéressés. Adepte de l'asymétrie, elle trouvera toujours un moyen d'effacer celle de son corps. Généralement, son champ d'action préféré repose dans ses bras. Bagues, bracelets, ou encore rubans et mitaines, tout y passe pour ne pas donner une impression d'égalité droite/gauche à son corps. Ah oui, et quand elle peut (c'est à dire souvent) elle a une bretelle de sa(son) juste/short/débardeur/autre ? Qui ne sert absolument à rien. Et encore ça, ce n'est que l'aspect vestimentaire.
Car la petite dessinatrice d'Osaka a trouvé bien mieux pour se démarquer, le bien mieux en question étant un changement radical d'apparence qui la sépare de la classification cliché des asiatiques... et de n'importe quelle autre population. Disons que les jeunes filles aux cheveux rose-argenté et aux yeux bleu clair sont rares. Quoique pour les yeux, c'est encore un lieu commun. Les cheveux, par contre, c'est une lubie qui a fait grincer les dents de ses parents pendant un certain temps. Disons que l'envie prononcée de leur fille de faire de son corps une "œuvre d'art" ne leur a pas spécialement plu...



Bla bla bla... Ou la vie trop pleine de Maa Kanzaki
Maaku Kanzaki, c'est d'abord une petite fille aux cheveux d'un noir de jais (le changement est assez conséquent, quand même), deuxième d'une fratrie de quatre enfants, fille d'une mère au foyer trop présente et d'un père homme d'affaires trop absent. Née en plein milieu du mois de juin à Osaka, il ne lui a fallu que trois ans pour décider que son frère, Hanseru, serait son prince charmant. Disons que dès qu'on lui a fait ingurgiter assez de conte de fées pour qu'elle saisisse le concept, elle l'a aussitôt adopté. Son frère, de cinq ans plus vieux qu'elle, s'est donc vu idolâtré par une petite fille qui manifestait déjà des bribes d'hyperactivité. Ce qui, vu l'orgueil familial, était loin de lui déplaire.
Ses deux petites sœurs, Ayuko et Kiyoe, sont nées dans sa cinquième année. Et si son frère avait l'étiquette prince, elles eurent bien vite l'étiquette "poupée". Ce qui ne plus que moyennement à la mère dédites poupée lorsqu'elles surprit sa plus grande fille en train de s'amuser avec les vêtements et le peu de cheveux de ses sœurs alors qu'elle jouait avec elles. Dès lors, le mot d'ordre fut de la séparer des bébés jusqu'à ce qu'elle fasse la différence entre "jouet" et "personne".
Le déclic se fit quand elle atteignit l'âge de sept ans. Sept ans, c'est l'âge exact auquel la petite Maaku tomba amoureuse pour la première fois. Aru Kaiyoto était un gamin de sa classe, facilement reconnaissable à ses yeux verts parfaitement occidentaux. Dès lors, elle se désintéressa à la fois de son frère et des deux petites, s'étant trouvé un centre d'intérêt beaucoup plus préoccupant. Son petit couple enfantin tint très exactement 1an et 12 jours. Aujourd'hui encore elle se souvient avec précision de cette durée, vu qu'elle fut énormément marquée.
Car Aru avait une particularité extrêmement dérangeante : il était surdoué. Et cette intelligence supérieure le sépara bien involontairement de la petite Maa. Après avoir sauté deux classes, il fut envoyé dans un collège pour surdoués. Et elle ne le revit jamais. Malgré tous ses efforts pour réussir, elle ne parvint jamais à le rattraper, et finit par renoncer, le cœur en miettes. Puis ses parents déménagèrent à Matsuyama, et la distance avec ses souvenirs d'enfance lui permit d'oublier sa peine.
En entrant dans le secondaire, elle découvrit les mangas. Rapidement fascinée par ce style de dessin si typiquement asiatique, elle mit à profit la grande culture générale qu'elle avait acquise pour créer des décors et des personnages exotiques, négligeant l'école sans prêter attention aux remontrances des professeurs et de ses parents. Elle avait perdu sa motivation au travail, et elle ne faisait jamais rien sans motivation. Avec le dessin, elle se forgea un nouveau rêve, se plongea dans l'univers des mangas et des jeux vidéos, étudiant le style des meilleurs dessinateurs. C'est à l'âge de treize ans qu'elle se tourna vers la peinture et étudia d'autres techniques, occidentales, récentes comme plus anciennes. Rapidement incollable sur l'art, elle choisit ensuite d'apprendre l'anglais. Et se concentra donc exclusivement sur cette matière dans ses études, sans négliger d'obtenir des résultats suffisamment bons aux examens pour continuer d'évoluer normalement. Entre temps, cependant, l'enfant renfermée avait grandi. Elle s'était fait un certain nombre d'amis et, surtout, elle avait des vues très... disons visible sur un des jeunes garçons de sa classe. Craignant d'être repoussé, elle choisit de mettre toutes les chances de son côté. C'est à peu près à ce moment-là qu'elle s'efforça de donner à son uniforme un côté plus... provoquant et excentrique. Pour le coup, ça fonctionna très bien et cette jeune fille plus différente que les autres attira les regards. Et surtout, celui qu'elle voulait, celui du magnifique Ikuei Kusano. Visiblement, elle avait un faible pour le style "étranger", car Ikuei avait des ancêtres européens qui lui avaient légué de magnifiques yeux bleu marine. A tomber par terre. Ou, en l'occurrence, à tomber amoureuse. Elle resta avec lui pendant deux ans, avant de se rendre compte qu'il faisait sévèrement du charme à une jeune américaine en échange scolaire... ce qui lui donna de sérieuse envie de meurtres et réveilla la colère froide, glaciale et cinglante qu'elle n'avait jusqu'alors jamais exprimé. Vu la façon dont il l'évita ensuite, la colère en question était clairement efficace.

A l'âge de quinze ans, une fois qu'elle fut à peu près sûre de maîtriser l'anglais mieux que la plupart des japonais, elle commença à traîner sur des chats anglophones en ligne, et des forums. C'est sur un de ces chats qu'elle a rencontré Lulu. Lulu, une fille plus hyperactive qu'elle, aussi intelligente que son premier amour, cultivée et surtout, surtout aussi colérique qu'elle, bien qu'elle ait toutes les deux une façon radicalement opposée d'exprimer leur colère. Et bien qu'elles soient dans des pays très éloignés, elle devint rapidement sa meilleure amie. Aussi quand Lulu lui dit qu'elle souhaitait partir de chez elle et calmer sa tendance naturelle à la névrose, Maaku l'invita aussitôt à s'inscrire à Rayen. Rayen, un pensionnat au Japon, proche de chez elle. Pourtant, quand Lulu débarqua au Japon, elle n'eut pas l'occasion de la voir souvent, prise dans un certain nombre d'obligation.
Car, avec le club de son lycée, Maa commença un manga, qui lui prit pas mal son temps. Ajoutée à ça, un nouveau prétendant, 100% japonais pour une fois, attira son regard. Pour plaire à Tetsuya Hokahashi, elle n'hésita pas. Comme il n'aimait le style trop conforme des japonaises, et que malgré ses tenus excentriques elle était toujours dans ledit style conforme, elle fit comme lui : elle se tint les cheveux. En rose, au départ, ce qui eut le mérite de la faire ressembler encore plus à un de ses personnages de manga. Puis elle entreprit de le séduire, redoublant d'originalité pour dépasser ses rivales. Au bout de trois ou quatre semaines, elle parvint à son but et le jeune homme tomba dans ses bras. Sauf qu'entre temps, Shûrei Takeda, le scénariste qui s'occupait de... scénariser son manga, justement, avait aussi craqué sur elle. Et, embarquée dans ce triangle amoureux véritablement infernal, elle n'eut que peut de temps à consacrer à sa meilleure amie nouvellement japonaise.

Le problème se régla d'une façon assez tragique. Alors qu'il sortait d'une soirée ou Maa avait eu disons... sa première expérience "intime" avec le Tetsuya en question, celui-ci avait décidé de rentrer en moto, prétextant qu'il n'avait pas bu. Bon, si, il avait bu. Mais une bière n'était pas dangereuse, selon ses propres dires. Ce qu'elle ne crut absolument pas ; elle refusa de monter avec lui. Pensant qu'elle faisait ça parce qu'elle préférait rester avec Shûrei, qui n'avait absolument pas renoncé à lui tourner autour malgré ce qu'il avait très clairement entendu en passant à côté d'une des chambres, Tetsuya était parti seul. L'alcool et la frustration avaient fait le reste, et l'accident qui en résultat lui fut fatal.
Dès lors, les dessins de Maaku devinrent nettement plus... glauques. Elle passa du manga shônen au manga un peu gore sur les bords, changea de style de jeux vidéos, de films, s'embrouilla l'esprit pour oublier que le soir où elle avait goûté à quelque chose qu'elle avait en l'occurrence trouvé merveilleux était aussi le soir où elle avait perdu celui qu'elle aimait le plus au monde de façon radicalement définitive... Elle broya du noir pendant plusieurs mois, malgré les tentatives désespérées de Shûrei et de ses amis de la convaincre qu'elle n'y était pour rien. Pas évident à gober quand on se sent coupable jusqu'au plus profond de son âme.
Le scénariste de son manga, bien qu'étant en partie la cause de son problème, fut aussi une part de la solution. Alors qu'elle commençait à se noyer dans quelque chose de nettement plus dangereux que son chagrin, l'alcool en vérité, il parvint à la faire reprendre pied et elle lui fut éternellement reconnaissante.

A l'âge de seize ans, Maaku changea de couleur de cheveux, ternissant son rose vers un gris plus fade, et commença à porter des lentilles bleues, malgré la réticence de ses parents. Son frère était partie à l’université, rentré à Osaka pour être plus précise, ses deux petites sœurs jouaient les rebelles dans leur première année de secondaire. Et elle, dans son lycée, commença à se sentir désespérément seule. Personne ne partageait son goût pour le dessin, pour l'art, pour les cultures et les civilisations étrangères. Enfin.. Personne sauf Takao et Rieka, les deux seuls amis qui la comprenaient vraiment. Le problème, c'est qu'ils formaient un couple qui avait tendance à s'éloigner des autres. Par dépit, elle finit par sortir avec Shûrei, qui se révéla n'être pas plus qu'un flirt de quelques semaines. Elle ne l'aimait pas, point final. C'est au moins de juin qu'elle se trouva un but simple : un élève de sa classe, Kazune Mitsukashi, était martyrisé par des espèces de yankees que Maa trouvait particulièrement exaspérants. Du coup, elle décida de le défendre, et fit la démonstration du monstrueux potentiel de force que sa colère pouvait déclencher. Deux finirent à l'hôpital, le troisième parvint à éviter un coup de barre en métal en pleine tête. Malgré tout, Kazune n'eut jamais peur d'elle et elle se trouva très vite attirée par lui, tout en se promettant et en lui promettant de ne plus jamais faire de mal à qui que ce soit si elle se mettait en colère.
Cependant, les parents de Maa voyant leur couple d'un mauvais œil, et se souvenant des requêtes de leur fille avant sa rencontre avec Kazune, ils l'envoyèrent au pensionnat Rayen. Pensionnat où elle retrouva Lulu, et perdit son copain, qui supporta très moyennement la séparation. Ah, et aussi parce que c'est à son entré à Rayen qu'elle s'était rendue compte qu'elle était loin d'être strictement hétéro et que Lulu était particulièrement... enfin qu'elle faisait battre son cœur vraiment, vraiment trop vite pour que ce soit normal. Autant dire que la rumeur selon laquelle Lulu et Ulrich Kirschten avaient des relations très intimes ne lui plut que moyennement..


Et derrière l'écran ?

AGE: 20 ans
PAYS: France
DOUBLE COMPTE ?: .
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Je suis la sœur de Lulu \o/ (tada!)
AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Ok by Rikia ~

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Shimeku Nagashi


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MessageSujet: Re: » Maaku Kanzaki.   » Maaku Kanzaki. Icon_minitimeMer 6 Juin - 4:12

Validée ♥ !
J'adore la présa. (:
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