_ Timeo ?
_ Oui ?
_ Veux-tu nous d'ècrires ton caractère ?
_ Oui, bien sûr que je le veux.

« Moi ?, mais par où allons-nous commencer ? Par le début me direz-vous, mais quel début ? »

Traitons d'abord mon côté calme. Je suis un jeune homme très calme, je n'aime pas me prendre la tête. Je préfère garder mon calme que de m'énerve pour une raison x où y. Je ne supportes pas les personnes qui hurlent où qui parle fort, pas besoin de hurler pour parler nous ne sommes pas sourd n'est-ce pas ? Mais ne vous y tromper pas je ne suis pas non plus un hippy, parfois je m'énerve si on me cherche vraiment, où qu'on me dit un truc qui faut pas.

Bon parlons maintenant de mon côté rêveur bohème. Oui je suis un grand rêveur, j'aime m'allonger dans l'herbe fraîche du matin, pour lire un livre, regardait les nuages pour penser à mon avenir, à mon amie, à ma vie, où simplement à tous ceux qui me tien a coeur. Je ne veux pas qu'on me prenne pour un garçon qui vit dans un autre monde je vis dans le vôtre, je mourrais dans le vôtre, mais je veux croire à un monde plus beau. Oui je préfère prendre le bon côté des choses et des gens que de perdre mon temps avec des broutilles.

Bon passons à mon côté humain, oui je sais Camille tu haïs ce côté de moi, pardonne moi mon ami, mais je me dois de leur dire. Où en étais-je ? Ah oui j'étais sûr le point de me parler de ce côté humain chez moi. Je suis une personne soucieux des gens, quelqu'un qui pleure où qui va mal je serais là pour lui, je déteste, mais déteste réellement voir quelqu'un de triste, je ferais tous pour lui rendre le sourire. J'ai trop souffert pour faire souffrir, où voir souffrir les gens.

Je dois aussi vous parler de ma relation avec les autres, en général ça se passe plutôt pas mal, je ne suis pas difficile à vivre vous l'aurez compris. Mais il peut arriver parfois que les relations avec les hommes peuvent devenir compliqué à cause des filles, je m'explique : souvent ils deviennent jaloux, pourquoi ? Car j'ai un tact facile avec les filles. Je suis parfois un peu dragueur et charmeur sans le vouloir, donc les autres garçons peuvent m'en vouloir, mais en général je fais comme si de rien n'était et je continue à courtiser là où les filles qui me plaisent (un peu provocateur ? Il me faut bien un mauvais côté)

Je crois que c'est tous
_En es-tu sûr ?
_Oui, je crois !

_Physiquement t'es comment ?

_Canon...

_Et avec plus de sérieux ?

Commençons par le plus simple, j'ai nommé le corps, je suis plutôt grand (un mettre quatre-vingt), mes jambes sont longues et fine. Je suis assez fin, peut être même un peu maigre, je ne pèse que soixante kilos, je suis un peu musclé (ne me prenait pas pour un fil fer) musclé oui, mais mon torse n'est pas trop dessiné, on peut voir ce trait-là en regardant mes bras. Je crois que c'est tout sûr le corps (à par la chose qui me différencie des filles, mais je ne vais pas vous dire ça quand même un peu de tenu)

Bon passons au visage, j'ai le visage fins, un petit nez retrousser. J'ai des traits assez efféminer, c'est l'une des choses que je déteste chez moi. J'ai des joues souvent rosé. Parlons de la chose que je trouve la plus belle, oui se sont bien mes yeux... Ils sont bleus, tirant sûr le vert, ont ne voit que ça sûr mon visage, ils sont ni trop petit ni trop grand.

Ben on peut parler de mes cheveux maintenant, je suis blond avec des cheveux long, non pas genre super long ils m'arrivent aux épaules, mais je les attache tout le temps, même si plusieurs mèches dépasse de ma queue de cheval.

Heu je n'ai pas parlé de quoi ? Ah oui de mon style vestimentaire. Je porte tout le temps des jeans de couleur, souvent bleu, rouge, vert, jaune, violet... J'aime la couleur. Mes hauts sont souvent bleus où noir, (pas trop de couleur quand même). Et je porte tout le temps des vestes à capuche. Je porte tout le temps sûr moi mon Ipod (pour ma musique),petite pression un peu inutile : mon casque est bleu flashy et ma guitare, où mon violon.

Trait particulier ? Oui un seul, j'ai un tatouage, une étoile sûr le torse côté gauche, pourquoi une étoile ? Car j'aime les étoiles ! J'ai aussi pas mal de cicatrise qui se trouve dans le dos.

_J'ai fini, contente ?
_Oui

_Et ta vie ?
_Quoi ma vie ?
_Raconte là nous
_Si vous insistait

Un matin je suis née dans une petite citée d'Espagne. Mon père et ma mère étaient heureux, d'avoir un enfant et un garçon de plus est, ils avaient déjà une fille nommée Theoline, mais mes parents voulaient absolument un garçon Theoline à ma naissance n'avait que 5ans, elle était heureuse d'avoir un frère. Ma mère Lorine était une femme d'une trentaine d'année, elle aimait son mari et ses enfants, d'origine française elle avait quitté sa terre pour suivre, Julio son mari et mon père, lui c'était un macho, il ne supportait pas les filles où les personnes qui lui résistaient.

En grandissant, je me rendais bien compte que mon père, n'aimait pas ma soeur âgé de cinq ans de plus que moi. C'est comme ça qu'à mes six ans, elle en avait onze, Théoline voulait sortir au cinéma avec sa meilleure amie, mon père lui dit non, elle insista comme tous les enfants qui veulent quelque chose, surtout qu'elle ne sortait presque jamais, elle insista donc et mon père lui dit encore non, elle commença à s'énerver, il se leva lui saisis ses long cheveux blonds, puis il la gifla encore et encore, elle avait la lèvre saignante, il la lâcha la regarda pleurée et lui dit « Quand je dis non, c'est non compris ». J'étais choqué, mais je pouvais faire quoi du haut de mes six ans ? Mais ce qui m'avait choqué le plus, c'est le fait que ma mère ne disses rien, ne consolai même pas sa fille de toute façon elle ne faisait jamais rien, moi je me levai de ma chambre, pris la main de ma grande soeur, qui pleurait puis je l'emmenai dans ma chambre.

« Theoline ?
_Oui ?
_Je suis désolé
_Tu n'a que six ans, petit frère viens et prends-moi dans tes bras »


Je pris ma soeur dans mes bras. J'aurais pourtant voulu agir, faire en sorte qui ne la frappe plus. Je fus témoin de ce genre de scène plus d'une fois.

Je grandis encore, j'avais maintenant dix ans, ma soeur en avait quinze, ont rigolé souvent ensemble et elle venait me chercher à l'école. Un jour vers la fin des cours, je l'avais attendu longtemps moi qui finissait à seize heures trente, je l'avais attendu jusqu'à dix-huit heures, pourquoi ? Je ne sais toujours pas, je sais juste que ma soeur est venue, elle semblait heureuse, elle souriait et elle sortait d'une voiture elle avait les cheveux en pagaille avait un sourire, m'avait pris dans ses bras rigolant et me tendis un petit gâteau venant de la boulangerie.

« Theoline tu viens d'où ? Tes cheveux sont si en pagaille pourquoi ?
_Chut Tim, tien mange ne dis rien à papa on a une heure pour rentrer à la maison avant que les parents rentre, mon ami va nous y emmener c'est le frère de mon meilleur ami. Aller viens »


Je n'avais pas posé plus de questions je suis entré dans la voiture elle est venue à côté de moi, il y avait Luc devant nous, je le connaissais un peu, des fois il venait avec nous, il me regarda et me souris. C'est bien plus tard que je compris pourquoi ma soeur avait été en retard ce jour-là et qui était ce garçon. Luc très gentil avec elle. Avait-il vu les coups sûr son corps de jeune fille ? Avait-il vu les marques qui lui infligent ?

Papa ne se calmait pas, il devenait plus violant, il s'attaquait parfois à moi, mais ma soeur ce mettait en travers elle ne voulait pas qui me frappe, m'as cela arriva quand c'est moi à l'âge de treize qui se mis en travers de lui et ma soeur j'eus mal, mais la douleur n'était rien j'étais content que pour une fois il me frappe moi. Ma mère elle reste toujours en arrière elle ne faisait rien, puis dans le milieux riche ces choses ne se disent pas, ses choses ont les cache.

J'avais bientôt quinze ans, Theoline elle avait vingt ans, mais ne pouvait quitter la famille. Elle rentra de la fac tranquillement s'installa dans sa chambre, elle me sourie doucement moi j'avais mal, au dos les coups du père devenait plus fort, il m'avait frappé, car Theoline était en retard ils étaient partis quand elle arriva. Elle me regarda dans l'encadrement de la porte.

« Je suis désolé Tim, mais j'étais avec Luc : s'excusa elle
_Je sais où tu était, j'ai dit au daron que tu avais raté ton train il m'a pas crus : lui répondis-je
_Il t'a frappé ? : demanda-t-elle inquiète
_Non : mentis-je
_Tu ne sais pas mentir : m'informais-je
_Vous avez fait quoi ? : j'évitai le sujet comme je pouvais
_Rien : me mentait-elle
_Dis-le moi : insistes-je
_On a couché : finit elle par me dire
_Comme cette fois où tu m'as oublié à l'école ? : lui demandais-je
_Arrêt : elle me balança un cousin
_Quoi ? Tu l'aimes ? : m'informais-je
_Oui : me répondit elle
_Pars avec lui : lui dis-je
_Tu sais bien que c'est impossible
_Pourquoi ici papa va nous tuai, pars toi : je la suppliais du regard de partir
_Je ne veux pas te laisser : je partis dans ma chambre pour finir mon devoir »


Un soir où mes parents étaient en voyage d'affaire, Théoline invita Luc à venir à la maison, il était dingue d'elle. Moi j'étais grand, enfin grand j'avais quinze ans et j'allais fête mes seize ans bientôt. On mangea tous ensemble, il m'embêtait à dire que j'étais petit, quand je lui répliquais que ma bitte était plus grande que la sienne ma soeur se mit à rire et lui aussi. A la fin du repas, moi je partis dans ma chambre, pour faire un peu de musique, un peu de violons et de guitare, eux ils étaient partie dans la chambre de Theoline, je l'ais entendis couché. Soudainement, j'entendai une porte, je pensais que c'était Luc qui allait dans la salle de bain, mais j'entendis la voix de mon père, je sautai sûr mes pieds accouru vers lui.

« Bonjour papa, maman, vous ne deviez pas rentrer plus tard ? : demandai-je
_Oui, mais notre séjour à était écourté, où est ta soeur ? : demandait-il
_Heu dans sa chambre elle doit dormir : l'informais-je
_Jvais voir... »


Je me mis entre lui et la porte, ma mère me dit de le laissait entré, je dis non de la tête et ne bougea pas. Mon père enleva sa ceinture « pousse toi Timeo » me dit-il fermement et méchamment, je dis non de la tête, c'est alors qui me frappa, il me frappa fort, plus fort qu'avant il était fou de rage. Moi j'étais en sang, j'avais mal une fois que je ne pouvais plus bouger il m'enjamba et entra dans la chambre de Theoline toujours avec Luc, elle se mis à pleurer, je vis son corps nu se mettre a tremblé. Il regarda Luc, ma soeur se mit à hurler : non

« Non quoi ? : dis le père
_Ne lui fais rien, je t'en supplie : hurlait-elle, Luc pars...
_Je ne vais rien lui faire voyons c'est ton petit ami et je vois que vous vous amusez bien
_Luc va t-en : hurlait-elle encore
_C'est ton père ça ? C'est lui qui te fait ces marques sûr ton corps c'est lui l'enflure ? Qui te fait hurler de peur la nuit quand tu dors ? : Luc ce leva il avait remis son caleçon il se leva et frappa mon père, puis il pris ma soeur dans ses bras l'emmena dans le salon toujours elle s'était juste mis une chemise de nuit. Il me regarda me pris en me soutenant par les épaules. Viens toi aussi, aller aide-moi Timeo, allez hop »


Moi je m'appuyais sûr lui mes jambes tremblantes. Mais tout à coup je sentais Luc s'écrouler, il m'entraîna dans sa chute moi qui avait, déjà mal aux jambes, Théoline se retourna et hurla, moi je rassemblais mes dernières forces pour pouvoir voir ce qui était arrivé. Ce que je vis me stupéfia, il avait planté Luc le petit amie à ma soeur, ma soeur se mit à pleurer, elle hurla « je te déteste tu brises ma vie et celui de mon amour, tu brises celui de ton fils, pourquoi pourquoi ? »

Lui il était fou de rage, il la frappa, elle était toujours nue, mon père la regarda avec un sourire, puis soudain il sa déshabilla lui fît l'amour avec force, elle hurla de douleur elle hurla, qu'elle ne voulait pas, elle hurlait, quand il eu fini il sourie la laissa là pleurante, me regarda me mis un coup de pied dans la tête pour avoir menti.

Ce que je me souviens ? Je me souviens juste de mon réveil à l'hôpital, j'avais mal. Je regardais autour de moi rien que du blanc, j'appelai quelqu'un, une infirmière arriva

« Bonjour Timeo David, comment va tu ?
_Mal où sont mon père et ma soeur, oui je suis est depuis quand ?
_Ta soeur va arriver, elle vient toujours à la même heure et ton père est en prison, ta mère et en hôpital psychiatrique et toi t'es dans le comas depuis cinq mois.
_Ouf elle va bien, je peux sortir ?
_Heu c'est tout ce que ça te fait ? T'es dans le comas depuis cinq mois, beaucoup de choses on changeait
_Tant que ma soeur est en vis c'est ce qui m'importe, mon père mérite ce qui lui est arrivé : lui lançai-je »


Elle partit soupirant que me cachait-elle ? Quand ma soeur arriva je compris, elle était enceinte de Luc sûrement, elle m'expliqua simplement que Luc n'est pas mort.

« Tu dois étudier, toi qui es bon élève, Luc et moi n'allons pas rester ici on part en France pour élever notre enfant, on m'a conseillé un pensionnat au Japon.
_Au Japon ? : je fûs choquais elle voulait se débarrasser de moi ?
_Ne toi qui a appris le japonais petit frère, se sera mieux que tu partes la-bas.
_Je partirais si ça peut te rendre heureuse : je conclu la discussion elle se leva
_Attend tu vas l'appelait comment ? : Lui demandai-je
_Tim, il va s'appelait Tim, car on espère qui sera fort comme toi, je suis désolé mon frère, mais je ne suis pas autorisé, à te garder avec moi, on m'a fait choisir parmi des pensionnats et pour moi c'était le meilleur : m'expliqua-t-elle
_Je comprend, adieux grande soeur »


Je restai encore trois mois à l'hôpital, J'aimais la musique ça me permettait d'oublier le fait que ma soeur partes sans moi, qu'elle allait avoir un enfant et que je quitterais ma ville celle qui m'a bercé pendant mon enfance. L'infirmière qui était là à mon réveil, elle m'appris le piano, moi je lui appris la guitare et le violon, moi j'avais appris seul ses deux instruments à l'époque de mes neufs ans, ma soeur m'avait offert une guitare et c'est un peu plus tard que je m'offris un violons. A l'hopital je jouais de plus en plus cela devenait comme un besoin, ça devint peu à peu une passion, il ne se passait pas un jour où je ne jouais pas. La musique met du bôme au coeur, mais bientôt mes dix-sept ans allait arriver et le jour de mon départ pour Rayens avec. Dans l'avion j'avais peur, mais me voilà qui traverse les grilles de cette immense école

Voilà mon histoire