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| Quand une idole rencontre une fraise [PV:Ichigo] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Quand une idole rencontre une fraise [PV:Ichigo] Lun 6 Aoû - 12:39 | |
| Tu te demandes pourquoi tu es là jeune fille, pourquoi es tu allé dans un bain public pour te relaxer, normalement l'idole que tu es à des goûts de luxe et refuserait d'aller là bas sans la présence de gardes du corps, mais c'est vrai, tu n'en avais plus, et normalement on t'avais assuré qu'un ange engagé par la maison de disques dans laquelle tu étais veillerais sur toi. Tu te regardes dans le miroir de ta chambre en te demandant pourquoi tu avais décidé de faire des couettes ta marque de fabrique, c'était simple et étrange à la fois.
Tu ne saurais vraiment comprendre la fascination que les gens ont eu pour les couettes, un souvenir doux et fugace d'enfance, d'une période chère et désirée où les vertus pures et innocentes introduites avec panache dans nos chères têtes blondes valent mieux et ont plus de poids que les valeurs si terre à terre de l'argent, du pouvoir et du sexe. Tu décide d'enlever tes couettes et d'apparaître les cheveux détachées, cela te semble si bon ,si doux et si plaisant que de te balader comme cela que tu te demande même comment tu as pu vivre sans cela si longtemps.
Tu regardes autour de toi à la recherche d'un ingrédient que tu as trouvé au dernier moment en faisant les soldes avant de venir finir ici dans ce petit lieu paumé. Des lunettes roses, cela te donnait l'air plus accessible, et j'étais sûre que tu ferais fantasmer quelques hommes ou femmes avec ce petit côté sérieux qui t'est propre de base, les lunettes rajoutant ce petit côté élève sérieuse que les gens aimerait voir se lâcher et faire des heures supplémentaires ou rester après les cours pour des leçons particulières.
Je sais que toi Céline, tu ne penses pas à cela, mais moi, Risette à l'intérieur de toi peu le voir et le sentir, et même agir de temps en temps sur toi, pour tout le montrer, agissant sur ton corps pour que celui-ci se lâche plus.
Personne dans la rue ne t'a reconnue pour aller jusqu'aux bains et c'est bien dommage pour moi, seulement, tu aimes ça, ce fait de te sentir une parmi tout une masse, mais moi, je déteste ça, je veux que l'on me voit et être vue, jouer le jeu de la séduction intense voyant le cœur des hommes se lâcher et devenir encore plus mou et plus flasque que d'habitude. Et comme cela je prends alors facilement le contrôle du corps des hommes et surtout de leur âmes, le plaisir de la chair ne t'intéresse pas tant que cela au final et tu te demandes pourquoi moi j'aime cela. Tout simplement, parce que c'est bon et que ça vide notre cerveau de tout plaisir coupable, je me permets de te faire remarquer que cela permet de vider d'autre chose et je te vois rougir quand tu captes ma pensée. Tu va dans un vestiaire et tu ne peux t'empêcher de penser que je suis une conne. D'un côté tu as raison, et ce n'est pas faux, je suis bien une idiote mais une idiote qui t'a rendu riche. Tu te déshabille lentement, faisant glisser les vêtements au sol un par un, tu ne peux résister au plaisir de Narcisse quand tu es en sous vêtements et tu te regardes de nouveau dans cette glace qui permets de te voir encore et toujours sous certains angles, et tu en profites pour toucher et palper ta peau d’albâtre, un peu trop blanche à notre goût depuis que tu as du arrêter les séances d'UV et l'auto bronzant qui te rendait la peau, un peu plus orange que d'habitude, comme une petite carotte orange. Tu regardes tes sous vêtements et tu soupires, cela se voit que tu n'a personne dans la vie et que tu portes des tenues qui font tellement clichés qu'on voudrait vomir tout les deux même si nous nous retenons de vomir. Non, mais la petite culotte rose en coton blanc devrait être interdit, surtout quand on porte le soutien gorge associé derrière. Tu décide de les enlever rapidement avant de passer dans la plus belle des tenues qui celle originelle, la tenue d’Ève. Tu ne peux d'ailleurs pas t'empêcher de caresser rapidement ta peau douce et belle, frissonnant au contact de ma main contre ton corps. On s'arrête rapidement, car nous savons que nous sommes là pour nous détendre et pas pour nous exciter.
Tu souffles et tu passes la main devant ton visage, tu as l'air fatiguée et c'est pour cela que tu mets la main devant ton visage, signe que je peux sortir si je ne fais pas de bêtises. Je prends ta place, plie rapidement tes affaires dans le petit panier en osier jaune avant de prendre deux serviettes, une pour les cheveux qui servira à la sortie du bain, et l'autre pour cacher notre corps. La serviette arrivant pile à la bonne hauteur et ayant pile la bonne taille pour que je dusse choisir que cacher véritablement, laissant le reste visible pour les gens qui me verrait jusqu'au moment où j'entrerais dans le bain salvateur qui changerait un peu ma vie. Je marchais vite préférant au final cacher mes fesses et laisser le haut de mes seins à l'air libre.
J'arrive dans le bain pour femme, il n'y a personne, logique, je suis arrivée peu de temps après l'ouverture, je me place dans un coin tranquille profitant de l'eau chaude si pure et si relaxatrice, me posant dans un coin et fermant les yeux , mon corps glissant dans l'eau, me laissant plus que ma tête de visible. |
| | | Jolene Evans Crazy Strawberry ♥
Messages : 120 Age du perso : 19 ♥ Côté coeur : Pas le droit d'en parler...
Carte d'identité ♣ Année scolaire: Troisième ♣ Colocataires: # ♣ Relations: | Sujet: Re: Quand une idole rencontre une fraise [PV:Ichigo] Mer 8 Aoû - 22:15 | |
| ♪ You Know That I’m a Crazy Bitch ♫
Dès que j’entendis la musique « Smile » d’Avril Lavigne, je saisis mon téléphone, posé devant moi, sur mon bureau. Oui vous avez bien lu, j’étais assise a mon bureau, mais rassurez vous tout de suite, je ne travaillais pas. Faut pas rêver non plus ! Jetant un coup d’œil sur l’écran de mon portable. Ma mère m’appelait, ce n’était pas normal, car nous n’étions pas dimanche. Oui, ma mère m’appelait tous les dimanches pour être sûre que je travaille bien et que j’assiste bien aux cours. Bien évidemment, je lui disais ce qu’elle voulait entendre, lui mentant pour ne pas qu’elle s’énerve encore une fois et m’envoie dans un pensionnat encore plus loin que la maison cette fois ci. Mais le fait qu’elle m’appelle ainsi, en milieu de semaine m’effrayait, elle devait avoir une mauvaise nouvelle à m’annoncer. Était-il arrivé malheur à Yuki ? Rien que d’y penser, j’en frémis. J’avais tellement peur pour lui, mon petit frère adoré. Sans plus attendre je décrochais d’une main tremblante.
« - Ichinette! C’est maman, comment vas-tu ? - Oui maman, je sais que c’est toi. Et oui ça va. Dis, on n’est pas dimanche, pourquoi est-ce que tu m’appelles ? Il s’est passé quelque chose de grave ? - Non non ma puce, mais il y a juste un jeune homme qui est passé a la maison en te cherchant. Il est en train de discuter avec ton frère la, je vais le chercher, attends un instant. Mais tu aurais quand même pu lui donner ton nouveau numéro ! »
Mais qui est-ce qui est-ce que ça pouvait être ? Un garçon qui débarque chez moi et me demande ? A première vue, je n’en avais aucune idée. Je n’entendais que de la friture à l’autre bout de la ligne, puis le pas léger de ma mère, suivit de celui, plus trainant de celui qui devait être leur hôte.
« - Allôôô ? Qui est-ce ? - Eh bien ma petite Ichi, on ne me reconnaît plus ? Dit une voix rauque, railleuse que je ne connaissait que trop bien. Je gémis intérieurement. Et répondis d’une voix glaciale que je ne me connaissais pas. - Kakeru. Que fais-tu chez moi ? Et qui crois-tu être pour déranger ma famille après la manière dont tu m’as traitée ??! - Ben voyons ma chère, calme toi… Je voulais simplement savoir comment tu allais depuis la dernière fois qu’on s’est vus ! Il ricana et repris. J’ai entendu dire que tu étais en pensionnat maintenant, à cause de ton attitude de petite salope en chaleur ! - Je. Ne. Suis. Pas. A. Toi. Mais pour qui te prends-tu ? Tu pensais que j’allais être anéantie après que tu te sois foutu de moi ? Bah oui espèce de connard ! Mais faut croire que t’es toujours aussi con, t’as toujours pas changé Ka. Une bite à la place du cœur, voila ce que t’as. Nan mais franchement, je suis heureuse d’être ici maintenant, pour plus voir ta tête d’enculé pédophile ! Tu peux aller te faire foutre, plus jamais je ne veux te voir ni entendre parler de toi, c’est bien clair ? Sinon, tu peux être sur que tu ne pourras plus jamais te servir du petit machin pendouillant qui te sert de bite, et que tu n’auras plus de dents pour sourire ! »
Et ce fut sur ces paroles fortes vulgaires que je raccrochai. Je me mis à pleurer. Pour une fois que tout recommençait à aller à peu près bien, pour une fois que je ne pensais plus à lui, il refaisait intrusion dans ma vie d’une manière plus que brutale qui m’avait prise de court. Tous mes sentiments se mélangeaient : la rancœur, la tristesse, la joie même ! La joie de l’avoir envoyé dans les roses ainsi. Je détestai finir dans cet état à cause de lui. Je serrai les dents en me maudissant d’être aussi faible dès qu’il s’agissait de Kakeru. Je restai ainsi, sans bouger un certain temps, prostrée sur mon bureau. 1 ? 5 ? 10 ? 15 ? 20 minutes ? Je n’en avais aucune idée. Tout ce que je savais c’était que j’étais toute crispée. En redressant la tête une tache de couleur m’attira. « SOURCES DOGO ONSEN » Disait la brochure. Des sources chaudes… Hum. Pourquoi pas après tout. La chaleur, les vapeurs, tout ça me changera les idées. J’en avais besoin. Je DEVAIS oublier Kakeru, et tout ce qu’il m’avait fait.
Je me levai. Ma petite robe blanche remontant sur mes jambes. Sans oser me regarder dans un miroir, je pris mon sac, avec mon téléphone, de l’argent et mes papiers dedans. Je quittais le pensionnat en rasant les murs et marche d’un pas rapide jusqu’aux sources. Une fois là bas, je vais dans un des vestiaires me déshabiller. Quand je suis en sous vêtements, je ne peux m’empêcher de me regarder dans le miroir. Ma lourde poitrine, mes boucles blondes, mon ventre plat et mes jambes fines. Enlevant mon soutien gorge en dentelle prune assorti a ma culotte, je ne peux m’empêcher de frôler mon corps du bout des doigts, fermant les yeux pour essayer de me remémorer de la sensation que me prodiguaient ceux de Kakeru. Mes doigts couraient sur ma peau et je m’aperçus que cette sensation la était beaucoup plus agréable que quand c’était Ka. C’était beaucoup plus… Doux ? Oui, nettement moins brusque, moins empressé. Un léger soupir franchit mes lèvres, et je quittais cette petite cabine pour aller dans les sources après avoir enroulé mon corps dans une petite serviette blanche, d’où ma poitrine débordait.
Arrivée dans le bain des femmes, j’eus l’impression d’être soudainement devenue aveugle. Toute cette fumée, cette vapeur m’empêchait de voir plus loin que mes pieds, mais ça me suffisait. J’entrais dans l’eau en tâtonnant puis me laissait aller sur les fesses tranquillement en laissant mes mains glisser autour de moi dur le banc en pierre, sans rien voir. Quand mes mains rencontrèrent quelque chose de doux. Je les laissais remonter quand je sus ce que c’était. Je venais de toucher une serviette, donc j’en déduis que quelques instants auparavant ma main se trouvait sur une cuisse. Je pris mon temps avant d’enlever ma main, j’attendis de voir a qui appartenait cette peau si douce. Une jeune femme brune « apparut » lorsque toute cette brume se dissipa quelque peu, et ce ne fut qu’a ce moment la que j’enlevai ma main en me confondant en excuses.
« Oops. Pardon, je, euh.. Je voulais pas, je voyais pas ou j’étais a cause de tout ça. Dis-je en désignant la vapeur d’un geste de la main. J’m’appelle Ichigo, mais en général on m’appelle Ichi, ou la fraise. Et toi ? »
Elle était plutôt mignonne, et je ne pouvais pas m’empêcher d’entamer le dialogue, déjà bien plus relaxée qu’il y a cinq minutes grâce à l’eau chaude de ces sources.
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