 |  Sujet: » Alyssa Moores.  Ven 28 Déc - 10:27 | |
| Alyssa Moores
« Les amis valent mieux que l'argent »  | Noms & prénoms : Moores, Alyssa. Vous pouvez la surnommez comme vous le voulez.
Age : 22 ans.
Nationalité : Américaine.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Année scolaire ou profession : Elle est surveillante.
Groupe : Personnal.
Pourquoi ce groupe : Parce que Alyssa, c’est une surveillante.
Personnage sur l'avatar : Erza Scarlett de Fairy Tail |
Caractère
« Quand on a du caractère, il est toujours mauvais. » Alyssa, elle n’est pas du genre à se casser la tête pour les autres. Elle fait sa vie, et voilà. Jamais elle ne changera pour plaire ou deviendra une autre. Elle restera toujours qui elle est, la même. Si vous ne l’aimez pas, elle dira « Tant pis,quelqu’un d’autre m’aimera. » puis ira se chercher des amis ailleurs. En fait, elle accorde de l’importance à peu de choses. Pas un poil stressée! Toujours positive, toujours optimiste. L’Américaine est facile d’approche, même si on air froid peu en stopper quelques uns. Mais comme on dit, il ne faut pas se fier aux apparences et l’habit ne fait pas le moine. La preuve avec elle! Plutôt que de faire connaissance, elle va préférer taquiner la personne, se moquer un peu, la faire chier gentiment. Mais ce n’est jamais méchant! Jamais. Elle est de nature moqueuse, mais c’est sa manière d’exprimer son affection envers ses amis et envers les gens qu’elle aime bien. Il ne faut pas du tout le prendre mal, même si ça arrive quelque fois. Mais la plupart du temps, Alyssa va prévenir avant que ça dérape. Et au pire du pire, elle arrêtera. Spontanée et énergique, elle respire la joie de vivre. On dirait qu’elle a le sourire collé au lèvre! Mais une chose très importante : elle sait retrouver son sérieux et l’être quand il est le temps de l’être.
Alyssa peut-être autoritaire, et se laissera jamais marcher sur les pieds sans avoir contre-attaquer. Elle a aussi un « petit » côté coté compétitif. Mais par contre, point positif, elle n’est pas mauvaise perdante! Une des pires qualités qu’elle a : l’impulsivité. Ce satané défaut lui fait souvent faire des trucs qu’elle ne ferait pas dans un état plus calme et si elle agissait moins sur les coups de tête. Un autre défaut de l’Américaine c’est qu’elle est très indécise. Par exemple le matin, elle peut rester pendant cinq minutes sur le choix de ses sous-vêtements. Pas matérialiste du tout, la jeune femme est plutôt ouverte sur le monde, avide d’apprendre de nouvelles langues, de nouvelles cultures, de visiter de nouveaux pays. Sinon, sa passion, ce sont les sports de combat. Karaté, escrime, art martiaux, etc. Attention, elle trimbale son épée avec elle dans les couloirs. Ceux qui osent ne pas l’écouter, préparez-vous! Dernière chose, vous ne verrez jamais Alyssa pleurer en public. « Pleurer, c'est pour les faibles », c’est ce qu’elle pense profondément. |  |
Physique
« Sur l’apparence est bien fou qui se fonde. » Petite, ses camarades de classe lui avaient trouvé un surnom qui la faisait rager : Poil de carotte. Elle détestait! En plus, ça ne s’accordait pas vraiment avec son apparence. Ses cheveux ne sont pas de la couleur des carottes... C’est seulement parce qu’elle est rousse, ce surnom. Sa tignasse est plutôt rousse foncé, tirant assez sur le rouge. Ils sont particulièrement longs, ceux-ci lui arrivent jusque dans le creux du dos. Doux, elle les soigne très bien. En même temps, Alyssa a toujours été obligée par sa mère. Il fallait qu’elle soit à la hauteur de celle-ci, d’après elle. Mais jamais elle n’a gagné le premier prix d’un de ces satanés concours de beauté auquel sa mère lui faisait participé. Preuve que c’est pas une future mannequin, mais ça ne veut pas dire que la jeune femme n’est pas belle. Non, elle est magnifique. Ses yeux sont naturellement marrons. D’un marron banal, pas attrayant. En même temps, les yeux verts ou bleus, qui sont plus rares, sont beaucoup plus appréciés par la majorité... En fait, c’est son seul complexe : la couleur de ses yeux. C’est pourquoi elle met des lentilles de contact de couleur feu, à peu près comme ses cheveux. Alyssa a un petit problème de vision : la myopie. Elle a également des lunettes, mais les lentilles de contact sont milles fois plus pratiques! Surtout l’hiver, il n’y a pas de bué dans les lentilles.
Malgré tout, vous arriverez parfois à la voir avec des lunettes posées sur son nez légèrement retroussé. Son sourire est un peu moqueur, un sourire qui est prêt à rire. Ses lèvres sont un peu pulpeuse, et parfois gercées par temps froids. Sinon, elle n’est pas petite. En fait, l’Américaine se situe dans la moyenne puisqu’elle mesure un mètre et soixante neuf centimètres. Son poids? C’est secret, ça. Chut! Si on descend nos regards, on peut appercevoir une belle poitrine et plus bas, de belles fesses. Elle a des courbes.. harmonieuses et une peau douce, légèrement bronzée. Elle se maquille parfois, mais Alyssa préfère grandement le naturel. Et puis, c’est chiant et long se démaquiller avant de dormir! Côté vestimentaire, elle porte un peu de tout. Dans son garde-robe, elle a un kimono de karaté, les ceintures et d’autres uniformes de sports, si on peut dire ça comme ça. Sinon, elle adopte un style vestimentaire plutôt rock : la veste en cuir, les jeans légèrement déchirés avec les fils blancs. Par contre, ça peut toujours varier. En fait, elle met ce qu’elle aime, et porte des vêtements dans lesquels elle est confortable. En fait, les deux sœurs ont à peu près le même style. |  |
Histoire
« L’histoire est la mémoire du monde. » C’était une grande maison, une très grande maison. Des pièces, il y en avait au minimum dix. Partout dans les couloirs, il y avait des tableaux. Des portraits, des paysages, des peintures banales. Vous voyez, c’était la maison typique des riches. Dans la cour arrière, il y avait une grosse piscine creusée, avec des chaises longues autour. Il y avait même un tremplin. Dans la salle à manger, il y avait une grande table éclairée par un beau lustre à des centaines de dollars. Les ustensiles était en or, de même pour les plats. Dans le hall, il y avait un tapis rouge tout doux. Seuls les deux enfants ne cadraient pas dans le décor... Alyssa, six ans, courrait derrière sa petite sœur d’à peine deux ans. Elle s’amusait à lui faire peur, une fois de plus.
- Alyssa, arrête ça tout de suite et nettoie ce que tu as fait!
Elles éclata de rire en voyant la mine de sa petite soeur avant de s’arrêter, soupirant.
Ici, c’était nulle. Elle ne pouvait jamais s’amuser. Il fallait toujours qu’elle adopte les bonnes manières que ses parents tentent de lui inculper depuis qu’elle est née. Ne pas courir dans les couloirs, s’asseoir correctement à la table, ne pas mettre ses coudes sur la table lorsqu’il est l’heure de manger, se tenir droite, ne pas se salir, ne pas jouer trop bruyamment... Encore, toujours et à jamais. Les Moores menaient une vie de riche. En fait, sa mère avait laissé un héritage non-négligeable à sa mort. Des millions de dollars. Sa mère, c’était une radiologue tandis que son père était un médecin moyennement réputé. Alyssa grandit comme ça, finissant par abandonner l’idée de se révolter contre cette vie de riche. Exemplaire et parfaite à la maison, mais pas du tout pareille dès qu’elle mettait les pieds à l’extérieur. Lorsqu’elle arriva à quinze ans, l’adolescente commença quelques sports : karaté, escrime, etc. Elle avait cette passion pour les sports de combat qu’elle avait réussit à convaincre ses parents – réticents – de lui laisser faire ce genre de trucs.
Un beau matin, la famille fit réveillée par un gros fracas. Alyssa qui avait le sommeil léger se réveilla en premier, mis ses pantoufles et se dirigea vers le bruit. Une fenêtre était brisée dans le salon. Prise de panique, elle courra vers la chambre de ses parents, mais il était trop tard : elle avait entendue deux coup de feu. Elle avait vingt ans mais jamais dans sa vie elle avait vécue une telle chose, elle était complètement perdue, en panique. Elle décida qu’il fallait sortir, et attrapa le bras de sa jeune sœur qui arriva derrière elle, tout aussi paniquée, en pleure. Ashley aussi avait entendu les coups de feu, et redoutait certainement le pire. Mais en ce moment, Alyssa ne voulait pas aller voir. Elle voulait fuir, et c’est ce qu’il fit, se secouant. Il ne fallait pas rester là, il fallait partir, à tout prix. Le lendemain, c’était les gros titres à la première page : « ELIZABETH ET CHRISTOPHER MOORES ASSASSINÉS » , « MEURTRE CHEZ LES MOORES » ou encore « DEUIL POUR ASHLEY ET ALYSSA MOORES », sans oublier le « LA FORTUNE DES MOORES VOLÉE ». Bien sûr que ça ne passerait pas inaperçu. C’était des riches en plein Los Angeles. Alyssa se sentait coupable, responsable. Elle avait l’impression qu’elle ne devait pas être triste, et devait s’occuper de sa petite sœur. Elle vendit la propriété, et déménagea à New York. Une nouvelle vie, ça ferait du bien. En appartement et où les Moores n’étaient pas réellement connus. Une nouvelle vie, mais une vie normale. Pas une vie de riche. Une vie où tu pouvais faire ce que tu voulais, sans te soucier des bonnes manières et de regards jugeant des autres.
Alyssa continuait de prendre ses cours de sports de combat, travaillant à plein temps dans un petit restaurant. Ashley devait continuer l’école elle, mais elle se détériorait. En fait, elle changeait. Il faut aussi dire que tout ça inquiétait la jeune femme. Alyssa n’avait pas tant changée, sinon que elle était devenue un peu plus renfermée sur elle-même et refusait, la plupart du temps, parler d’elle. Elle était triste, bien sûr. Mais ses parents ne leur avaient jamais démontré de marque d’affection ou d’amour. Aussi long que l’Américaine se souvenait, elle n’avait eu pas un seul « Je t’aime » de leur part. Alors, elle cachait toute cette tristesse, tout ces souvenirs troublants de ce jour tout au fond de son cœur, derrière une coquille de joie et de sourires. De toute façon, elle devait être forte pour sa petite sœur. Elle ne voulait pas sombrer, elle ne pouvait pas. Depuis ce jour, Alyssa cachait ses émotions, essayant de ne plus les ressentir.
C’est en surfant sur internet un soir qu’elle tomba sur le site du Pensionnat Rayen. Seul bémol, c’était au Japon. Impulsive comme toujours, elle décida qu’ils déménagèrent là-bas. Elle pourrait y travailler comme surveillante, et Ashley reviendrait peut-être à la normal... Les sœurs prirent des cours de Japon pendant un an, avant de vendre leur trois et demi et s’envoler à l’autre bout du monde.
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Irl
« Baissez les masques! »  | Surnom : Alyssa.
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