| Sujet: Eileen Svinsson ~ Lun 20 Aoû - 0:28 | |
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Alors, qui es - tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S): Eilinsternyllwen. Mais son prénom complet est imprononçable, du coup, obliger de le raccourcir : Donc Eileen, suffit amplement. AGE: 18 ans et toutes ses petites dents ... Enfin, aux dernières nouvelles ! NATIONALITÉ: Principalement Anglaise. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle - Non, c'est pas vrai, coucher avec les filles ça ne fait pas d'elle une lesbienne, c'est faux ! Ou peut être juste un tout petit peu dans ce cas ... Bisexuelle, alors ? ... Bon, plus lesbienne, en fait ! ANNÉE SCOLAIRE: Troisième année, bien qu'elle ne sache pas trop comme elle y est arrivée. GROUPE: Anarchists. POURQUOI CE GROUPE: Parce qu'elle n'est pas fait pour rentrer dans le moule. Elle n'a qu'une vie et compte en profite un maximum. Des règles ? C'est quoi ce mot ? Pas dans son dictionnaire. PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Je sais pas !
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Si tu ne m'aime pas, j'en ferais pas une maladie.« Parfois, je sais que je ne suis pas franchement super sympa. En fait, je suis juste moi. Si j'ai envie de te dire : Merde, je te le dirais sans détour, si je m'ennuie alors que tu me parle je me casserais et si tu cherche à m'énerver, même si tu es un gars, je n'hésiterais pas à t'en foutre une. Je ne suis pas super violente, pas du tout en fait, mais je me défends quand il y a besoin. Je suis une fille, certes, mais pas une victime ! »
Eileen est juste une personne spontané. Elle ne réfléchit jamais plus de deux secondes pour agir. De toute évidence, elle ne vous prendra jamais pour des pigeons et ne sera sans doute jamais hypocrite avec vous. Une personne de confiance en soit, mais qui ne sera pas toujours disposer à vous parlez, et ça, même si elle vous apprécie.
« Honnêtement ! Si j'avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement ! »
Jamais sa langue dans sa poche, jamais à cacher se qu'elle pense. Elle est franche et l'assume complètement. La sincérité est plus simple à entendre qu'un mensonge. Et puis, pour la conscience, c'est pas super. Bon, savoir ce qu'Eileen pense n'est pas toujours une mince affaire. C'est souvent très peu catholique ou bien, pas franchement sympathique. Elle n'hésite pas à dire les défauts des gens ou au contraire leurs qualités. Ce n'est pas une mauvaise personne, elle ne fait juste jamais attention quand elle ouvre la bouche pour parler. Elle se moque de vexer ou de blesser.
« Ceux qui n'aime pas la vie je les regarde avec intérêt, qu'est-ce qu'ils peuvent bien en savoir ? A 16 ans comme à 30 ans, tu ne peux pas dire que tu n'aime pas la vie et que donc, tu décide de te suicider ! Moi, ils me font juste hurler de rire. »
Eileen ne se moque pas de ceux qui veulent mourir, elle ne comprend juste pas pourquoi. Elle a vu plusieurs personnes de son entourage mourir avec la drogue ou avec l'alcool du à des accidents ou des overdoses et pourtant elle aime la vie. Du coup, elle cherche à comprendre leur point de vu. Seulement, si elle voit une personne prête à se suicider, elle est le genre à demande si elle veut de l'aide ou bien juste à assister à son suicide, sans sourciller. Sans cœur ? Peut être bien. Elle ne se choque pas juste pour quelque chose comme ça. Pour elle, c'est futile. Chacun à ses raisons pour commettre cet acte, mais pour Eileen c'est débile et égoïste pour leur proche. Pendant que tout le monde aurait une réaction normal, Eileen sourirait au spectacle. Elle n'aime pas spécialement le sang, ni les morts mais pourquoi crier ou pleurer une personne qu'on ne connait pas et qu'on ne reverra jamais ?
« Sinon, je m'en moque bien de vos avis sur moi, je ne suis pas fait pour que vous m'aimiez ! Je suis telle que je suis et c'est tout. Mon caractère et mes attitudes peut bien vous déranger, voir vous choquer mais je ne m'en formalise pas. Si vous ne pouvez pas me supporter, c'est juste que vous n'êtes dans ce cas là, pas assez bien pour trainer avec moi. Maintenant, laissez moi tranquille. Tchuss.» On est des sous-produits d'un mode de vie devenu obsession ...Eileen est une fille dite originale. Enfin, pas vraiment, mais pour certaines personnes, si tu as des piercings et des tatouages, c'est que tu es différent. Elle ne le niera jamais. Elle veut être différente, ce démarquer des autres. Mais au final, elle sait parfaitement que d'autres on eu la même idée bien avant et qu'elle fait elle-même partie d'un groupe de personne. Mais elle s'en moque royalement.
Elle mesure un mètre soixante trois, donc assez petite mais reste raisonnable comparer à certaine, et est de taille assez fine. Elle est banal de corps, sans cicatrices. Si, une seule toute petite sur le mollet parce qu'étant enfant, elle avait fait une mauvaise chute ... C'est sa blessure de guerre, comme elle l'appel. Donc rien de bien méchant. Elle a une jolie peau pâle mais qui ne lui donne pas un teint maladif, juste un manque flagrant de soleil mais elle se rattrapera quand le temps le lui permettra, c'est certain ! C'est cheveux sont coupés en carré plongeant avec une mèche, de couleur violine. Originalement ils sont châtains foncé. Tandis que ses yeux sont d'un jolie vert sombre. Elle s'amuse souvent à jeter des regards assez "chaud" comme elle aime l'appeler. Elle aime user de ses petites qualités physique, comme ses yeux.
Niveaux vestimentaires, elle s'en moque. Elle mélange les styles et les couleurs comme bons lui semble et non pas pour être bien vu. Elle se moque bien des avis critiques puisque sa façon d'être lui convient amplement. Bon, elle accorde malgré tout les couleurs, elle n'ira jamais mettre un pantalon orange pétant avec un t-shirt vert criard. Il y a une limite à tout ! Ce qu'elle raffole aussi, c'est de toutes ses petites technologies et ses accessoires qui ne servent généralement à rien.
Beaucoup demande souvent : Combien tu as de tatouage ? On les voient tous ? ... Non, les voyant sont sur les poignets, le cou et derrière l'oreille. Ceux qu'on ne voit pas ne sont pas visible exprès et resteront invisible pour toutes personnes extérieurs à son cercle d'amis.
Pour ce qui est des piercings elle n'en possède que 3 : L'industriel, qui traverse le haut de son oreille gauche, la langue qu'elle a fait dès sa majorité et pour finir, l'arcade sourcilière gauche, qui est lui bien visible.
Eileen aime marquer sa peau de tatouage et de piercing, c'est une façon comme une autre de s'exprimer et de se différencier encore un peu plus ...
Je vie ma vie uniquement comme je l'entends, sans limite !Ici on ne pense pas. Ici on ne flanche pas. Des millions dans ce cas, à marcher au pas. Enchaînés à la normalité, formatés, normalisés, à n'être qu'un pion sur l'échiquier ... Alors j'ai insultée mon futur, la langue tirée, le majeur dressé. Comme beaucoup de kids, j'ai voulu la jouer wicked. Changer la semaine pour de long weekends. Regarder le system et lui dire « J'te ken ! » Oser sortir des rangs sans avoir peur des regards et des représailles, juste vivre sa vie comme on l'entend : C'est comme ça que je vie, à fond, sans jamais regarder derrière moi. Sans regrets, sans limites.
----------------------------------------------------------- [...] Apporte-moi mes cachets, que je puisse voir la vie du bon côté, apporte-moi tout ce que tu peux, tant que j'ai la tête à l'envers. Un rien fera l'affaire, juste besoin de planer, de voir la vie différemment. Cette sensation d'être intouchable, de se sentir libre, libre au point de faire ou dire n'importe quoi. Cette impression de bonheur, d'un feu à l'état brute qui éclate dans votre tête. Oh oui, j'ai planer, encore et encore. Oui j'ai plongée et je plongerais autant de fois qu'il le faut. Je sauterais et me foutrais en l'air autant de fois qu'il le faut pour ressentir cette liberté. Une droguée ? Peut être bien. J'aime les vises, tout les vises ! Je les aime à m'en faire des overdoses. Et puis il y a aussi l'euphorie des soirées, ces soirées qui vous retourne le cerveau en moins de deux. Ces fêtes où les corps sont à moitiés nues, serrer contre les autres dansant et s'embrassant comme ci demain n'existait pas ! La chaleur qui vous oppresse agréablement, les lumières tamisés le plus possible pour donner à l'endroit une intimité presque obscène. L'air chargé par des tensions sexuels, les effluves d'alcool et de sueur qui vous chatouilles les narines de manière tentante, aguichante. J'en redemande toujours plus, inlassablement. J'attends sans cesse la nuit impatiemment pour retourner dans se monde de débauche qui me conviens tellement plus, où j'y suis comme chez moi. C'est mon domaine, mon plaisir, je ne m'en priverais pour rien au monde. [...][...] T'enflammes pas pétasse, tu sais moi je te trouve vraiment classe. Avec ton air de salope et tes T-shirts moulants, tu sais faire parler de toi et c'est plutôt touchant. Oui, c'est touchant de voir comme tu as besoin des autres pour exister. Mais si tu veux tu peux exister, juste dans mes yeux. Regarde moi et tu verra, tu verra que le monde ne tourne qu'autour de toi à travers mon regard, à travers mes gestes, mes paroles. Approche toi de moi comme tu le fais avec les autres, je ne mords que sur demande. Ne soit pas timide, tu ne l'es pas. Juste une apparence, mais moi j'ai vu. Tu es mauvaise, sadique et affreusement moqueuse. Je ne te demanderais jamais de changer, juste de jouer avec moi, de me soumettre. Laisse toi aller, laisse tomber ce masque et soit toi-même rien qu'avec moi. Ne me sourie pas, envoie moi bouler ! Soit méchante, j'aime la cruauté ! Mais soit fidèle, c'est la seule chose que je te demanderais. Soit moi entièrement et totalement dévoué, ne jure que par mon nom, ne regarde personne d'autre. Je suis juste à toi, tout entière, alors soit à moi entièrement. Et tu m'as entendu, oui, tu es ma copine. [...][...] Je me suis laissée emporter par la folie ravageuse, doucement, lentement, sombrement. Un pantin ivre, pour un maître avide. Toujours sourire pour moins dormir. Et te tuer juste pour rire. Laisse-moi croire que tu n'as pas mal, laisse moi croire que ce n'est pas quelque chose de cruel, juste un peu déplacer, peut être. Te tuer pour mieux respirer, te tuer pour mieux repartir de zéro. Juste me venger, me déchainer. Déverser ma colère et ma fureur. Mais je ne suis pas mauvaise, juste un gentil pantin qui à décider qu'elle en avait assez. Juste un cris du cœur, un cris de halte. « Et alors ? » Tu m'as dis. Et alors je ris. Oui, j'ai ris d'avoir si peux envie de continuer à t'aimer. Tu peux porter ton sourire, tu peux faire mine de mourir, tu peux même le faire pour de vrai, je te hais. Je te hais pour m'avoir prise pour une conne. Tout ce temps, je t'ai seulement laissé espérer un contrôle que tu croyais total sur ma personne, juste pour pouvoir te regarder pleurer. Le jeu est renversé joli cœur, c'est à ton tour d'avoir l'impression que la terre va se renverser sous tes pieds, à ton tour de déverser ta souffrance. Et bien vas-y, souffre joli cœur, je suis là pour regarder et rigoler en silence de ton malheur. Après ? Après je partirais comme ci de rien n'était, je te laisserais seule avec ta médiocrité pour retourner à ma propre vie. Au début tu aura l'envie de t'enfuir, peut être même que tu aura perdu le sourire, que t'aura plus que des soupires. Mais tu verra, ça se perd pas le sourire, ça s'oublie seulement puis ça reviens un jour, avec le temps. Un temps où je ne serais plus à tes côtés. Alors adieu jolie cœur, je reprends ma vie en main, ma liberté qui est si bonne. [...][...] Enfermé entre huit clos pour atteinte à la pudeur. La population se choque pour un rien, voir des seins est humain. C'est dans la logique des choses ! Des enfants ? Et alors. Un jour ou l'autre, ils en verront bien plus encore. Je me moque des mœurs, de savoir ce qui peut être fait ou non. J'emmerde les daronnes, j'emmerde les vieux coincés et j'emmerde cette société pourrie. Je me fou pas mal de ce qu'on peut penser de moi, je me moque de passer pour la trainé du quartier. Je m'assume et tant pis si ça ne plait pas. La moral, c'est pour les personnes trop rangé, les gens ennuyeux au possible. Et moi, je n'aime pas l'ennuie, j'aime les personnes qui sortent de l'ordinaire. Enfermé, je n'y suis pas rester plus d'une journée, mineur oblige parce qu'à ce moment je n'avais que 17 ans. L'expérience est acquise, c'est toujours ça de pris. [...][...] Les cours, ça m'ennuie, je ne sais même pas comment j'ai fais pour tenir le rythme à Rayen alors que je ne suis quasiment jamais présente aux cours. Au pensionnat même. Les rares moment où j'y suis, c'est dans ma chambre pour récupérer de la soirée de la veille jusqu'au soir pour pouvoir recommencer. J'ai des avertissements, mais jamais viré, à croire que j'ai une bonne étoile mine de rien. Ma vie, je la croque à pleine dent en faisant un majeur à tout les rageux. Moi je pourrais dire que j'ai vécu des choses superbes, au moins. [...]----------------------------------------------------------- Et surtout, je clos ma vie que j'ai expliquée en vitesse par une blague que j'ai entendu un jour : { un homme va chez le toubib, dit qu’il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu’il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « le remède est simple, le grand clown Paillasse est en ville. Allez le voir, ça vous remontera. » L’homme éclate en sanglots : « mais docteur, qu’il dit, je suis Paillasse. » } Bonne blague, tout le monde rigole, roulements de tambour, rideau. Et derrière l'écran? AGE: C'est marqué dans mon profil ! Enfin, c'est peut être pas une bonne information après ;D PAYS: France. DOUBLE COMPTE ?: . COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Top site ! AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Code Bon :3 - R. ♪
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Dernière édition par Eileen Svinsson le Ven 24 Aoû - 23:45, édité 8 fois |
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