Emiko est une véritable Lady. Du fait de son éducation soignée dans un pensionnat, elle a été formée pour devenir la plus parfaite des dames du monde. Elle est élégante, distinguée, calme, modérée. Femme d’esprit également car elle a une très grande connaissance de la littérature, surtout en ce qui concerne les différentes mythologies puisqu'elle excelle en ce domaine. Elle est aussi patiente et soignée, appliquée dans ses tâches. En somme c’est une femme des plus paisibles, appréciant plutôt les passes temps calme et relaxant, parler également mais jamais sans parler trop d’elle, étant d’une écoute attentive et de conseils souvent bien posés. Sa réflexion est si poussée qu’elle ne dira jamais une chose sans mesurer toute l’étendue de sa discussion, elle analysera parfaitement une situation pour trouver la meilleure solution possible à un problème. Elle étudiera de même les paroles d’une personne envers elle .Méfiez-vous, c’est une Lady, donc une jeune femme d’une certaine fierté et d‘un certain goût qui ne se laissera pas insulter par le premier ou la première venu(e). Rancunière ? Oui on peut le dire elle est rancunière.

C’est une parfaite maîtresse de maison. Recevoir, saluer, tenir une conversation, elle a tout d’agréable et de charmant, même ses sourires tendres et rafraîchissants. On lui donnerait souvent plus que son âge vu son maintien et sa bonne tenue. En cour, c'est une enseignante exemplaire, attentive à ses élèves, à leurs difficultés, leur donnant temps et écoute lorsqu'il le faut. Cependant, Emiko cache quelque chose qui n’est pas vraiment digne d’une Lady. Généralement, on la sort du pensionnat etc lorsqu’on lui trouve un mari. Etant sortie plus tôt, la jeune femme n’en était pas pour autant prude et innocente et eu des amants. Elle n’en eut que deux, dont un avec qui elle vécut une très belle passion qui s’essouffla et les laissa. Car Emiko est une femme passionnée, une femme qui vit les amours et les relations avec les hommes avec une passion forte et possessive. Sans se montrer pour autant jalouse au point de tuer les femmes qui regardent son homme. Elle a donc un certain goût pour les plaisirs de la chair, sans choisir pour autant n’importe quel amant. En dépit de son côté plus destiné à commander du fait de son grand rang social, Emiko sait qu’elle reste une femme et que parfois elle doit se laisser faire pendant l’acte. Mais c’est la seule fois où on la verrait plus délicate.

Emiko est une très belle jeune femme toute fraîche bien qu'elle ne soit plus si jeune. Elle a un visage de forme ovale aux courbes douce et une peau claire et lumineuse, des lèvres rosées pâles qu’elle maquille quelque fois, de longs cils noirs à faire tourner les têtes et des yeux sombres voire noir. Sa chevelure a une couleur rousse voire rouge flamboyante, d'une couleur de feu. Elle est née avec des cheveux de la même couleur que ses parents, noirs, mais elle aimait les couleurs « flashs », elle a donc teinté ses cheveux et retourne régulièrement chez le coiffeur afin de garder une couleur impeccable lorsque ses cheveux ont repoussés. Et oui la jeune femme prend soin d’elle. Elle utilise quelques crèmes pour sa peau et un maquillage qui ne l’agresse pas. Concernant son parfum c’est un parfum fleuri et agréable, délicat comme elle, qui n’agresse pas quand on le sent. Mais revenons un peu plus sur son physique. Elle a évidemment une très jolie silhouette qu’elle ne se prive pas de montrer, toujours de manière élégante et sobre.

Elle mesure dans les un mètre soixante-neuf pour environ cinquante-quatre kilos qui sont également répartis sur tout son corps de manière harmonieuse. Elle a des mains fines et douces, une taille svelte et de fines jambes. Pour les vêtements, elle met le plus souvent une tenue qui est mitoyenne entre sa nationalité anglaise et japonais. Une sorte de longue jupe blanche au-dessus duquel elle mettra un haut dans le genre « kimono » par exemple. Ou alors une tenue plus anglaise ou un kimono japonais. Emiko tente de se vêtir sans jamais laisser ni l’une ni l’autre de ses nationalités de côté. Car elle y est très attachée. Pour ses cheveux, sauf un chignon ou une coiffure plus travaillée pour une soirée, , Emiko porte la plupart du temps ses cheveux simplement coiffés d'un coup de brosse, laissant sa crinière libre. Elle ne met que peu de bijoux, sauf une fois de plus pour sortir, trouvant qu’une femme se doit d’être belle non pas par ses apparats mais par elle-même.

-Je vous présente l’héritière de notre grande et belle famille ! Emiko Akane Kanzaki !

Voilà comment commença la vie de cette jeune enfant quelques semaines après l’accouchement de sa mère, lors de sa présentation à la famille Kanzaki. Elle était magnifique. Sa mère, une belle anglaise aux cheveux sombres avait épousé un jeune PGG japonais, Kyo Kanzaki. Ils s’étaient mariés et elle avait accepté de le suivre jusqu’au Japon pour s’installer avec lui. Meredith Wilson était née à Londres et y avait fait des études pour devenir enseignante. Elle rencontra son futur époux par hasard, alors qu'elle éta’i au restaurant avec son amant, du moins, pour un dîner de rupture. Celui-ci s’en prit à elle, ne supportant pas l’idée de la laisser pour qu’un autre la reprenne plus tard. Trop possessif. Déjeunant alors pour un repas d’affaire dans ce restaurant coté, Kyo était intervenu et ils s’étaient revus par la suite. Jusqu’à ce qu’elle lui apprenne qu’elle était enceinte de lui et qu’ils ne se marient assez vite pour que cet enfant naisse dans la plus pure tradition.

La petite avait l’air d’un ange. Mais elle ne resta que les premières années de sa vie au Japon. Elle alla dans une école pour jeunes filles riches jusqu’à ses dix ans environ, avant qu’elle ne soit, avec des serviteurs bien sûr, envoyée en Angleterre dans un pensionnat pour faire devenir d’elle une jeune fille bien élevée. Son père était japonais certes, mais son épouse lui avait longuement parlé des mérites de la culture anglaise au sujet de ce maintien et de cette élégance. Cela ferait d’elle une femme particulièrement apte à diriger avec charme la compagnie de son père puisqu’elle était leur héritière. La famille se concerta et accepta de la laisser partir. Evidemment, la jeune fille revenait à chaque vacance, téléphonant souvent à ses parents aussi. Cela ne la gênait pas car chaque jour les témoignages d’affection de ses parents étaient visibles. Par un message, un appel, des embrassades envoyées à travers le monde entre ces deux pays. Elle était assidue et suivit autant qu’elle pouvait les cours qu’on lui donnait. Mais contrairement aux autres elle en avait un de plus : le japonais.

Bien évidemment ! Une future Dame Kanzaki ne pouvait pas arriver dans la compagnie sans savoir parler à ses gens et employés ! Cette langue était loin d’être simple, mais la jeune femme s’accrochait. La ténacité étant une autre de ses qualités. Elle continue encore aujourd’hui de régulièrement travailler son japonais avec son père et sa famille, mais conserve l’anglais pour parler à sa mère. Or en dehors de son rang prestigieux, une autre chose chez elle va faire sa renommée. Sa passion pour les légends. En effet, aimant l'Histoire depuis sa jeunesse, la jeune Emiko s'était peu à peu intéressées à ces anciennes histoires qui faisaient parties des mœurs antiques. C'est pourquoi, en Angleterre, elle commença un cursus d'apprentissage dans ce domaine et le poursuivit au Japon, avec un peu plus de mal puisqu'il fallu trouver une école travaillant ces langues et ces civilisations anciennes.

Elle fut diplômée et spécialisée dans ce domaine avant de pouvoir enseigner cette mythologie qu'elle aimait tant. Parallèlement, elle avait également fait ses premiers pas dans les soirées à partir de ses dix-huit ans. Elle connu d’ailleurs dans l’une d’elle son second amant, Kiryu. Le premier avait aussi été sa première fois quand elle était encore au pensionnat. Elle s’était faufilée dehors une nuit et avait croisé ce jeune homme, se donnant à lui, prenant même goût à cela. Avant que cela ne s’arrête quand elle repartit au Japon. La passion avec son second amant dura 2 mois. Puis elle en eut assez, lui aussi et cela se fini. La jeune femme continua simplement son travail d'enseignante, s'intéressant parfois aux affaires de son père, mais peu décidée à les reprendre.