Eh bien, je suis un jeune homme qui aime bien partager ma joie de vivre avec les autres. Lorsque je suis joyeux, je le fais savoir à tout le monde. C’est une chose que les gens aiment bien chez moi. Ils savent quand ma compagnie, les moments ennuyeux ça n’existe pas, puisque je fais souvent des remarques méchantes sur des gens moins bien que moi soit mon groupe, ce qui a souvent le don de détendre l'atmosphère. Toujours prêt à m’amuser et à aller faire la fête. Je ne pense ainsi jamais aux conséquences de mes gestes avant de les commettre. Une chose qui m'a causé beaucoup d’ennuyer dans le passé. J'ai un peu un esprit de leader. J' aime bien prendre la situation en main et un peu donner des ordres aux gens. Habituellement, dans mon groupe d'amis c'est moi qui prends les décisions. Comme à peu près tous les jeunes qui existent sur terre, j'adore draguer, un peu trop même. Qu’ils soient en couple, fiancé ou marié, moi ça ne le dérange pas, je le fais juste pour le faire. En fait, j'aime mieux essayer d’avoir les mecs les plus inaccessibles. Les défis j'aime ça ! D'ailleurs, je trouve cela plus marrant de draguer les hétéros. Même si j'aime partager ma joie, j'aime aussi montrer mes états d'âme quand dans ma vie, rien ne va. J'aime que tout le monde parle de moi, que tout le monde me fixe et invente mille suppositions sur moi. Je suis un vrai mec à ragot

(Votre caractère, 250 mots au minimum. )

La valise à la main, je m'avance vers la porte de ma chambre. Je m'arrête en face du miroir. Je ne sais pas pourquoi, mais je meurs d'envie de me contempler dans ce miroir, peut-être parce que c'est mon dernier jour aux États Unis. Je me mets à fixer ce reflet de moi. Je le balaie de la tête aux pieds. Mes cheveux blonds sont encore humides, de la douche prise deux heures auparavant, et retombent en cascade sur mon front. Je fixe les yeux de l'autre moi. Ils sont turquoise et ils brillent tous les deux d'un soupçon de malice et de mystère. Mon nez quant à lui, est d'une perfection indescriptible. Ma bouche est fine et tout simplement banale... En la regardant on ne peut s'imaginer le nombre de garçons qu'elle a embrassé. Je baisse les yeux et vois mon corps frêle à travers mon manteau et ma chemise.

(Votre physique, 150 mots au minimum. )

Un garage. Une impasse mal fréquentée dans les rues sombres de New York. Plein d'hommes, tous plus vieux qu'elle. La jeune fille serrait le bras de sa meilleure amie, elle voulait rester, mais elle ne pouvait partir en laissant son amie là et puis où allait elle aller ? Elle qui n'avait plus ni famille, ni rien. Au fur et à mesure de la soirée, elle but. Verre après verre, elle perdait le contrôle de ses actes, ce qui rapidement à attirait des hommes. Des hommes pas bien attentionnés puis le trou noir.
8 mois plus tard.
Elle venait de l'apprendre. Elle était enceinte. Trop tard pour avortait, elle entamait le huitième mois de grossesse, comment avait elle put passer à côté de cela avait-elle demandé au médecin, il lui avait dit que ce n'était pas si anodin que cela, que chaque année des milliers de femmes donnaient la vie à des enfants sans savoir qu'elles étaient enceintes. Elle était encore jeune, elle ne pouvait garder cet enfant, elle n'avait pas le choix, c'est donc pour cela quel confia à sa mère, cet enfant, c'est moi.
Ma vie depuis 15 ans.
J'ai toujours vécu chez ma grand-mère, tout se passait bien. Nous étions heureux tous les deux, sans personne d'autre dans nos vies et bien sûr sans ma mère. Il m'arrivait de penser à elle surtout pendant la période des fêtes ou même à mon anniversaire. J'attendais juste un signe de sa part, qu'elle se manifeste, j'attendais juste le moment où elle allait se montrer, mais ce moment n'est jamais arrivé. Alors au fil du temps, j'ai fini par comprendre, qu'elle ne viendrait jamais, qu'elle se fichait éperdument de ce qu'il pouvait m'arriver. Je finis par m'en moquais moi aussi, pourquoi devrais-je me préoccuper d'une femme qui n'en avait strictement rien à faire de moi. Et je fis ma vie de mon côté, je n'eus aucun problème, jusqu'à mon entré adolescence. Grand-mère qui commençait à se faire vieille n'avait plus la force de me poser des limites alors, j'avais un peu de liberté pour tout, que ce soit soirée, alcool, à treize ans j'avais déjà touché à un peu tout, je savais que me voir comme cela détruisait grand-mère, mais je ne voulais pas lui faire du mal, je m'en voulais, j'en avais marre de passer pour le débile de service. Lorsque j'ai pris la décision de m’assagir il était déjà trop tard, ma grand-mère était sur le point de mourir, la seule personne qui ne m'est jamais aimé, allait mourir, je devais avoir 13 ans et j'aillais me retrouvée seule, c'est alors que sur un coup de tête, elle m'envoya au Japon, plus précisément dans la petite ville de Matsuyama, chez ma tante. A mon arrivée, je me sentais perdue, je ne savais pas ce que je devais faire, je commençais à peine à me faire connaître....

(Votre histoire, 400 mots au minimum. )