Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 » Evelynn Kojiro Osadani.

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Evelynn K. Osadani

Evelynn K. Osadani


Masculin
Messages : 9
Age du perso : 19 ans
♥ Côté coeur : Le premier qui réussit à me séduire a gagné.

Carte d'identité
♣ Année scolaire: Deuxième année.
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♣ Relations:

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MessageSujet: » Evelynn Kojiro Osadani.   » Evelynn Kojiro Osadani. Icon_minitimeSam 11 Mai - 18:15



Alors,qui es-tu ?

- Noms & prénoms : Osadani, dans les syllabes nippones des droits paternels, Kojiro, dans l'héritage japonais d'un pays qui lui revient de droit, Evelynn, dans le sang et la souffrance de son existence. Mais, putain, qu'est-ce qu'il l'aime, ce prénom.
- Âge : 19 ans.
- Nationalité : Franco-japonaises, dans tout son honneur samouraï et breton.
- Orientation sexuelle : Tu m'aimes ? Alors je te baise.

- Année scolaire ou profession : 2°ème, très certainement.
- Groupe : Crazy Intellect
- Pourquoi ce groupe : Parce qu'avant toute chose; avant sa violence, avant son style, avant sa manière de parler aux autres et de les envoyer paître, Evelynn est quelqu'un de particulièrement intelligent. Parce que si on le met avec les anarchist, il risque de se sentir continuellement agressé. Il ne se sent aucune ressemblance avec eux, et risque d'avoir tout simplement envie de tous les tuer. [on va éviter, heh.] Il a un attrait particulier pour l'art. Il est très bon avec un dermographe entre les doigts ou un crayon entre les lèvres. Mais le groupe qui lui correspond le plus doit rester les Crazy Intellect. Et puis, j'ignore si ce n'est pas déjà le cas, mais faut bien quelqu'un pour casser l'image du petit intello avec des lunettes et les cheveux coiffés en arrière, hein ?

- Personnage sur l'avatar: Trouvé sur Deviant'. Je voudrais aussi préciser que Evelynn est le genre de type qui change de couleur de cheveux tous les jours, alors je risque de changer d'avatars, en considérant que les hommes qui s'aligneront sur son profils ne se ressembleront pas forcément les uns les autres.

Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout, non?

« Capricieux et catin. Ce mec est un salaud. Il pique les copines aux mecs déjà casés, et il les abandonne après un soir. Je sais qu'il s'est fait pas mal d'ennemi. » H.

« Ben … il est super fort en japonais. Il connait super bien l'histoire, aussi ; il est premier dans notre classe. Je sais pas comment il fait, parce que quand je lui propose de travailler avec moi à la bibliothèque, il ne veut pas. Par contre, un de mes amis m'a dit qu'il ne dormait pas beaucoup la nuit, mais qu'il travaillait. Je sais pas si on peut dire que c'est sérieux, mais tant qu'il a un bon niveau scolaire ? … » K.

« Evelynn c'est un monstre. Au Kung-Fu, c'est le type à abattre. Il veut pas perdre. Jamais. Il accepte les défaites, mais il fait tout pour avoir ses revanches. Il adore le kung-fu. Presque plus que le sex. Y'en a qui disent qu'il fout rien de sa vie, mais je crois que ce sont des mauvaises langues. On a des apprioris parce qu'il fume et baise, mais … il est clean dans sa tête, quelque part. Il veut juste atteindre ses objectifs de victoire, et même s'il a les cheveux verts ou violets, il a une rigueur de vie qui lui permet de prétendre à la dignitié, dans le Wushu. » P.

« Il est gentil avec moi, parce que je suis gentille avec lui. Il ne m'a jamais touché, parce que je lui ai dit que je ne voulais pas coucher avec lui. Il a accepté. On est amis, je crois. » K.

« Ce gosse est une terreur. Un coup il dort en classe, un coup c'est le seul capable de répondre à mes questions. Il pue l'herbe, mais je ne l'ai jamais vu fumer. Il fréquente des endroits, qui à son âge, sont peu recommandé, mais je sais aussi qu'il est bouddhiste, et qu'il attache une importance très particulière à cette philosophie de vie. Je ne sais pas trop comment je pourrais le cerner. J'en ai déjà parlé avec mes collègues, mais eux aussi sont assez incertains quant à Evelynn. » Sensei L.

Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.

Les aiguilles tapotaient les environs des deux heures du matin, mais la ville était allumée dans une nuit aux goûts de vie et de célérité. La chambre était éteinte, mais les lueurs de la vie en bas, dans les rues, éclairaient les murs dans des valses d'ombres endiablées. Les doigts couraient sur la peau, tendant les membres et épousant la forme de trois corps qui s'enlaçaient. Deux d'entre eux avaient les cheveux bruns. Héritage nippon de ce pays du Soleil Levant, hommes-enfants, caressés par les plis des tissus qui crissaient sous leurs corps, ils étaient japonais dans leurs êtres et leurs corps, dans leurs âmes et leurs consciences. Mais sous leurs doigts, sous leurs baisers, sous le vent d'un érotisme qui fait frissonner sa peau, Evelynn gémit. Dans des vagues de chaleur, il s'allonge sur le ventre de l'un de ses deux compagnons, et une main vient caresser ses cheveux bleus. Bleus comme la nuit, bleu comme la mer ; comme ce tsunami d'identité et de physiques qu'il est. Les tatouages qu'il avait pris soin de camoufler sous le fond de teint, pour adopter ce rôle d'enfant sage qui embrasse les hommes, ils sont maintenant révélés par les sillons de transpiration. Les doigts se tendent, et quelque chose caresse ses oreilles. Cette nuit, il a enlevé ses écarteurs, mais les trous résident, comme des manques à combler. Les langues se glissent, les muscles se tendent sur un corps qui se plie, et deux poitrines s'abaissent sur le même souffle. La salive vient draper les lèvres qui s'étirent sur un sourire moqueur, coloré par un rouge à lèvre violet. Il avait les yeux verts hier, mais sans y penser réellement, Evelynn sait que le lendemain, les lentilles couvriront son regard d'une autre couleur. Il change. Il ne cesse de changer, dans tous les sens, de tous les côtés. Des mains s'emparent de ses reins, et il se sent étiré vers l'arrière. Il se redresse, encore, et encore, en tendant son ventre maigre. Il est grand ; bien plus grand que le reste des japonais, et quand il fait l'amour, il aime la force de son corps qui coule et inspire les autres. Il aime cette force qu'il dégage, et les muscles que les amants caressent en lui fermant les yeux. Il aime son corps à la peau blanche, que des ongles essaient de déchirer sous la jouissance. Il aime ses yeux dont il ne veut pas révéler la réelle couleur, qui se ferment à moitié lorsqu'on le fait soupirer. Il aime son corps, parce que c'est avec son corps qu'on peut l'aimer. Il sombre, et le plaisir est son divertissement le plus ultime. Car à deux heures du matin, quand il fait nuit, il reste le dieu d'un corps tordu par la violence de l'extase.

Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.



« Eve.
Evelynn.

Evelynn est né hermaphrodite. Ses parents ont décidés de le faire grandir fille. Evelynn est une jolie petite fille, qui très vite, se coupe les cheveux et se bats contre ses petits camarades. Elle grandit mal, et ne parle pas. Evelynn joue des personnages garçons. Evelynn n'est pas une petite fille normale. Evelynn ressemble à un garçon. Evelynn demande à faire du kung-fu, le jour de ses dix ans. Ses parents acceptent. Le jour de ses treize ans.

Le jour de ses treize ans, oh oh.

Elle demande à ne plus être une fille. Maman pleure et papa gronde. Evelynn ne sourit pas, Evelynn ne se moque pas. Evelynn est sérieuse, et ses parents ne comprennent pas. Les psys défilent, comme des tâches blanches, mais Evelynn découpe ses robes et tâche ses joues. Déchire ses cahiers et insulte les professeurs. Evelynn n'est pas une petite fille très sage, et ses parent l'aiment. Alors ses parents vont aller voir les médecins, en montrant les papiers aux signatures psychiatriques. Les médecins comprennent, et Evelynn reste une fille encore quelques mois.

Oh oh, oh, oooh.

Le lit d'opération est grand, et Evelynn a les yeux ouverts. Le médecin, derrière son masque, lui sourit et lui pose le masque à oxygène sur la bouche, en lui expliquant qu'elle va s'endormir. Evelynn ne bouge pas sa bouche, et son corps est au repos. Elle voudrait que ça se fasse vite. Elle voudrait s'endormir rapidement.

Oho oooh oooohhh. »




1. Le Japon. 14 ans. La découverte du réel kung-fu.

Les cerisiers en fleurs, dans une valse printanière, secouaient leurs branches, exhalant des odeurs que j'avais toujours imaginé. Mes yeux concentrés sur les tâches de couleurs de ces fleurs balancées dans le vent, je laissais un sourire m'échapper, quand bien même les murmures grondant de mon père cherchaient à se frayer un chemin jusqu'à mes oreilles. Ta gueule, je murmure. Ta gueule, je savoure.
On me l'a caché, ce pays de mon père. On me la caché, avec ses belles montagnes et ses légendes oubliées. On me la caché, car on a préféré m'apprendre la France et ses baguettes, sa France et ses dames de fer, élevées dans Paris, illuminées par des ampoules électriques sous lesquelles hurlaient les branleurs du Champs de Mars. On m'a caché le Japon, car on m'a dit que ce pays était trop loin. J'ai longtemps fermé les yeux, j'ai longtemps ignoré le surnom « face de citron ». Je me suis tu, on ne m'a pas cherché. Je n'ai pas cherché non plus.

« Oh, Evelynn ! Depuis quand sais-tu écrire le japonais ? »

C'était trois semaines avant ce jour-là. Ce jour de déambule sous les arbres roses. Trois semaines, avant que je n'abandonne le pays gris d'une France qui pleure sa violence et son manque de responsabilité au Gouvernement. Fraude de tableaux, et tableaux de fraude, la politique avait achevé mes espoirs d'une France dans laquelle je grandirai en sécurité. Mon changement de sexe s'opérant avec douceur, je craignais ces insultes que l'on balayait sur mon passage, comme une pluie de confettis. Je n'avais pas peur des mots vulgaires qui venaient tapisser mes relations au collège ; j'avais peur des coups dans les couloirs. Pas parce qu'ils me faisaient mal, mais parce que je craignais d'être suffisamment blessé pour devoir arrêter le kung-fu. Quatre an de pratique avait suffi à me rendre compte de cette passion qui dévorait mon âme. Le kung-fu était devenu cette manière d'être et de percevoir les choses ; cette façon aussi de revendiquer mon âme masculine. J'avais conservé le prénom d'Evelynn, mais mes camarades conservaient leur discrimination. Mon maître m'avait interdit de me venger. Chaque coup, chaque impact, je l'avais encaissé, sans jamais y répondre. J'avais laissé passer les moqueries et les violences.
En plus du kung-fu, qui est un wushu chinois, j'avais décidé d'abandonner la langue française en me réfugiant dans la langue de mon père ; Kei Osadani, japonais réfugié en France suite au massacre de sa boîte. Il avait toujours été bon pour le français, et se marier à une bretonne n'avait pas posé le moindre problème.
J'avais appris le japonais en cinq semaines.

Récapitulons. Ouaiiis, ça paraît hardcore un gosse de quatorze ans qui apprend le japonais en moins de deux mois. Faites un petit saut en arrière, arrêtez vous sur le passage « Test psychodiagnostique, évaluation psychique et psychologique de l'enfant en trouble social ». Vous y êtes ? Imaginez une salle d'attente blanche, dans laquelle un garçon balance ses longues jambes, assis sur un siège de bois, contre un mur. Le docteur est dans le couloir, et il présente des documents à un couple. Le couple murmure le mot « surdoué » et le docteur secoue la tête en marmonnant « Asperger ».

Le japonais souilla toutes les synapses de son être, comme une éponge imbibée d'encre, pressée entre des doigts refermés.

« Tu as appris en 5 semaines ? »
« Oui. »
« Et pourquoi tu as fait ça ? »
« … »

Pour ne pas les frapper. Pour comprendre d'où je viens. Pour ignorer le fait qu'un jour, j'ai eu un vagin, et qu'aujourd'hui, je porte un pénis. Pourquoi ? Tu ne pourrais pas vraiment comprendre, maman.

« Je... je vais en parler à ton père. »
« Maman ? »
« Oui ? »
« Est-ce que je pourrais aller au Japon ? »
« ... »

(…)



Le Japon m'apparut immédiatement comme le pays des Pokémon, lorsque je vis passer devant moi, à la sortie de l'aéroport, un type plus maigre qu'un clou, portant un costume à l'effigie de Pikachu. J'apprendrais plus tard que les cosplays les plus étranges dans les moments les plus innatendus relevaient du presque normal, au pays du Soleil Levant. Au temps pour moi.

(…)

« Ta chambre est au fond du couloir. Nous avons déposé les cartons pour le déménagement, et tu t'occuperas de tes affaires. En attendant que nous signons les derniers papiers, tu as quartier libre. Est-ce que tu as ton portable ? Vérifie qu'il est chargé ; s'il y a un problème, tu appelles. Je veux aussi que tu sois à 18h. Ta mère et moi ... »

Je n'écoutais pas la suite, plongé dans la contemplation de cet escalier qui m'hurlait de venir découvrir ce monde japonais. Mes doigts caressèrent le froid d'un métal forgé par l'industrie inquisitrice d'un monde de progrès et de technologie. Je descendais les marches d'une ascension occidentale, pour me jeter dans l'arène d'une société samouraï. Mes cheveux trop clairs, mes cheveux trop français ; je dépensais pour la première fois mon argent japonais dans une couleur rose électrique. Le résultat fit hurler ma mère, et grogner mon père, mais ce fut aussi mon baptême dans ce monde de couleur et d'idéogrammes.

(…)

Le tatami était glacé. Le film Karate-kid bien rangé dans ma tête. Sauf que moi, je ne voulais pas de Jackie Chan, je ne voulais pas de rival a exploser. Je voulais simplement tuer un peu plus la fille au fond de moi. Les mains du sensei était brunes des années passées à s'entrainer, et les heures défilèrent dans une douleur et un effort que je n'avais jamais connu en 4 ans. Des gosses plus jeunes ue moi me défirent en un temps record, et le visage posé contre le tatami glacé, je laissais un sourire s'étirer sur mes lèvres. En France, ce n'était pas du kung-fu que l'on apprenait. Ici, c'était bien plus, encore.
Alors je tombais définitivement amoureux de ce pays.


(…)

2. Premières fois. 16 ans.

Le pensionnat Rayen se vit devenir mon établissement scolaire après l'été de mes seize ans. J'y apprenais alors les classements sociaux et typiques des individus, qui me fit aussi découvrir l'importance qu'accordait les Japonais aux masques. Après tout, après tout ! Mais je restais un peu déçu. Perdre de son originalité pour se fondre dans un décor aux dogmes écartelées ne me plaisait pas. Et pourtant je me pliais aux règles, en intégrant avec soin ce pensionnat. Rayen, Rayen... je murmurais le nom de mes lèvres, soufflant sur les mousses des souvenirs qui s'envolaient.

(…)

Il avait posé son dermographe sur le rebord de la fenêtre, et j'avais pris ses flancs entre mes mains. Doucement, j'avais enlevé son T-shirt, pour pouvoir admirer tout son corps tatoué. Lui, venait d'imprimer pour la première fois sur ma peau les prémices d'un art dont je ne me lasserai jamais. Le tatouage, pour cette nuit, serait le fruit de notre rencontre. J'embrassais le garçon sur la bouche, et il laissa ses mains vibrantes glisser sous le pli de mon pantalon. Je savais qu'il ne sentirait jamais les cicatrices. La chirurgie avait été trop poussée, trop parfaite. J'étais, songeais-je alors qu'il faisait lentement glisser mon jean sur mes cuisses droites, un garçon. J'étais et je resterai un homme. Il me poussa sur le plan de travail, et je l'entrainai avec moi.

(…)

Le lendemain, pour fêter mes 17 ans, je décidai de ne plus jamais me fixer sur une seule couleur de cheveux. L'immatérialité de l'être : et l'amour éphémère, gravée dans ma peau, dans mon instabilité.




C'est l'heure d'enlever les masques.. !

- Surnom : Vous pouvez m'appeler Litchi.

- Comment avez-vous trouver notre forum ? Google, directement. Ensuite, j'ai cliqué sur le premier que j'ai vu, j'ai regardé si les membres étaient actifs, et je me suis inscrite parce que le style est sympa, et c'est-ce que je cherchais.
- Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement : Code validaaaay. Shime.



Dernière édition par Evelynn K. Osadani le Dim 12 Mai - 1:59, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: » Evelynn Kojiro Osadani.   » Evelynn Kojiro Osadani. Icon_minitimeSam 11 Mai - 19:12

Bienvenue !

J'aime ton avatar. Et puis tu as deux semaines pour ta présentation, soit jusqu'au.. j'ai la flemme de compter, en fait. J'espère que tu vas te plaire avec nous :3.
edit -> 25 mai, si je sais encore compter.

Shime
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Evelynn K. Osadani

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MessageSujet: Re: » Evelynn Kojiro Osadani.   » Evelynn Kojiro Osadani. Icon_minitimeDim 12 Mai - 2:00

Fiche terminée. J'espère que rien ne pose problème, vraiment. Pluie de love sur vos fronts.
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Shimeku Nagashi


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MessageSujet: Re: » Evelynn Kojiro Osadani.   » Evelynn Kojiro Osadani. Icon_minitimeDim 12 Mai - 2:34

T'es validé ! :3
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