► Aspect psychologique
• Caractère :
Yuurei a un caractère assez particulier, il est plutôt distant, froid, timide et calme mais malgré cela il peut être gentil. Il ne parle et ne sourit que très rarement aux gens. Ceci est du en partie à son passé et au fait qu’il était souvent martyrisé dans ses précédente école en raison de ses yeux qui n’était pas commun pour ses camarades. Depuis, il évite de se lier aux autres. Rien de bien étrange mais en vérité au fond de lui, Yuurei a une autre personnalité qui elle est plutôt protectrice envers Yuurei, dragueur, brutal quand il le faut, cette personnalité ne mâche pas ses mots et est radicalement le contraire de Yuurei. Ce qu’il aime ou n’aime pas, il préfèrent le garder pour lui

► Histoire
• Histoire : Yuurei est née dans la famille riche des Maboroshi. Malgré cela, Yuurei a des goûts plutôt simples. Vu sa famille, il ne manqua véritablement de rien mis à part le fait que la présence paternel et maternel était inexistante. La seule véritable amie qu’il avait été une servante qui a son service. Elle s’occupait de lui depuis sa plus tendre enfance et ils étaient très complices. Elle l’aidait à faire ces devoirs, le rassuré quand il avait peur, le consolé quand il revenait de l’école en pleurs à cause des moqueries divers et humiliation et par-dessus tout leur activité préféré était d’écouter la pluie tombé. C’était la seule personne en qui il avait confiance, mais la vie n’est pas qu’un fleuve tranquille. Et un jour, en rentrant de l’école, Yuurei appris que sa servante s’était fait renversé par une voiture. Dès qu’il apprit cette nouvelle, le jeune garçon, alors âgé de quatorze ans, tomba littéralement dans un état végétatif qui engendra le fait qu’il ne quittait plus sa chambre. Son regard était vide et les servantes de remplacement ne savait pas quoi faire ni comment pouvoir redonner le sourire à ce jeune garçon pourtant si mignon. Puis lors d’une nuit d’orage, Yuurei entendit un bruit bien familier, cela battait un rythme sporadique qu’il aimait beaucoup. Quand il ouvrit les yeux, il se trouvait dans un petit pavillon de thé traditionnel dans le jardin de la propriété. Ce pavillon lui rappelait beaucoup de souvenir, c’était ici qu’il passait ses journées de libre allonger la tête sur les genoux de sa servante à discuter de tout et de rien. Des larmes coulèrent sur son visage en repensant à ses souvenirs. Mais c’est alors que dans sa main, il sentit un papier où était écrit

"Je sais que ce cadeau n’est pas grand chose, mais j’espère que grâce à cela tu vas aller mieux"

Yuurei eut un sourire mélancolique, ce qui venait de lui arrivé était étrange. Certes, il était dans un état végétatif mais il se rendait compte de son environnement et de ce qui se passait autour de lui. Mais il n’y prêta pas attention et ce genre de situation ne lui arriva plus jusqu’à l’accident. Un jour d’école comme les autres, sauf qu’aujourd’hui, les élèves qui l’embêtaient voulaient aller plus loin sous prétexte qu’une fille mignonne le trouvait cool et mignon. Ils l’avaient emmené à l’arrière des bâtiments et quatre garçons le maintenir pendant qu’un autre ricanait de ce qui allait lui arrivé. Puis celui qui ricanait il y a peu sortit un cutter et commença à approcher la lame prés de l’œil rouge de Yuurei. Il voulait lui crever car c’était ses yeux qui plaisaient le plus à la gente féminine. Et c’est alors qu’au moment où le bourreau allait réaliser son geste, Yuurei s’évanouit. Le plus étrange c’est que quand il se réveilla, il n’était pas blesser à l’œil mais avait un peu mal aux côtes et ces poings étaient en sang. Les cinq garçons qui le martyriser était à terre inconscient et couvert de multiple blessure. Mais ce qui le choqua encore plus était que sur le mur du bâtiment était écrit en lettre de sang

"Désolé d’avoir du y aller aussi fort, mais je voulais te protéger"

A ce moment là, Yuurei pris conscience qu’il n’était pas seul à habiter son corps et cela le rassura d’une certaine manière car cela voulait dire qu’il n’était pas seul au monde dans tout les malheurs qu’il avait pus avoir. Evidement tout acte à ses conséquences, et l’incident dont il fit l’objet alla jusqu’aux oreilles de ces parents qui en conséquence l’envoyèrent dans un pensionnat afin qu’il ne leur créait plus de problème. Emportant quelques affaires dont son appareil photo et un petit carnet de poche afin de pouvoir discuté avec lui-même. Maintenant aller commençait sa nouvelle vie et il espérait qu’elle allait se passer tranquillement.