Drole de coïncidence

Le père de Yoshi ne voulant pas que son fils réussisse a évité d'aller dans le pensionnat, il décida de l'accompagner lui même jusqu'à celui ci. Le trajet fut très calme, aucune des deux personnes présente ne parlait et chacun regardait de son côté. Le train était bondé de personnes et cela faisait maintenant plus d'une heure, qu'il subissait les pleures d'un bébé qui était derrière lui. Les bagages du jeune homme se trimballaient dans l'allée principale. il n'avait pas emmené grand chose car il ne lui restait pratiquement plus rien. Cette arrivée dans une nouvelle ville signifiait pour lui un nouveau départ et son imagination avait prit le dessus sur les cris du bébé.

*Dès que le train s'arrête je me casse, c'est pas le vieux qui va pouvoir m'en empêcher!!*

Une annonce ce fit entendre dans le train, en effet celui-ci allait bientôt arrivé à destination. C'était le moment d'agir, et il fallait le faire vite, il prit ses bagages et s'avança vers la porte sans même faire attention à son père. Lui était encore assis à sa place et lisait son journal et quelques mouvements il se leva mis son journal dans la poche intérieure de sa veste et s'approcha de son fils.

"Je te préviens ne tente rien ou sa ira mal pour toi!! Tu iras dans cet établissement un point c'est tout que tu le veuilles ou non !!"

Yoshi n'avait même pas envie de répondre à cela, il se contenta de le regardé d'un air sure de lui et lui fit un sourire. Il sortit un paquet de cigarettes et en mis une à la bouche, encore une pique dirigée vers son père qui ne supportait pas que son fils fume à son age. Mais ce n'était pas du tout un exemple de bonne conduite c'est pour cela que Yoshi négligeait toutes les paroles de son père. Les portes du train s'ouvrèrent et il descendit sur le quai, il n'y avait pas grand monde vu l'heure qu'il était. En effet on pouvait apercevoir l'horloge qu'il y avait à l'entrée de la gare, il était 6 heure du matin, la brume ne s'était pas encore levée et le soleil se levait timidement. Il sortit de sa poche un briquet et alluma sa cigarette. Il laissa son père derrière lui et avança jusqu'au portail du pensionnat et rentra sans même regarder si son père était derrière lui. Il ne le faisait pas pour lui mais il avait compris que son avenir pouvait encore se jouer ici et qu'il le tenait entre ses mains. Il était a moitié dans la lune lorsqu'il aperçut une silhouette au loin qui semblait venir vers lui. Il avait l'impression de connaitre la démarche de la personne mais il ne put mettre un nom sur celle-ci. Yoshi posa son sac et s'essaya sur le banc en attendant que la personne se rapproche de lui.

*J'espère pouvoir être tranquille ici et essayons d'éviter les ennuis cette fois*

Il était enfin temps de pouvoir se rendre dans ce qui allait devenir son nouveau terrain de jeu. Et oui, car malgré les problèmes qu'il avait subi lors de sa dernière année au collège, il avait décidé de poursuivre ses activités pour pouvoir subvenir à ses fins de mois qui étaient de plus en plus difficiles à cause de la découverte de son business par son paternel. Il avait subit une correction dont il gardait encore les marques dans son dos. Un dos qui maintenant était beaucoup moins douloureux , mais qui lui avait valu de devoir dormir durant trois nuits complètes sur le ventre avant de pouvoir se remettre à dormir convenablement sur le dos. Il avait demandé à aller dans un lycée bien spécifique après avoir demander à ses majordomes d'effectuer des recherches sur celui qui l'avait sauvé. Ayant appris que ce dernier à cause de son intervention durant la bagarre avait été obligé de se rendre dans un pensionnat qui se trouvait à plusieurs heures de leur endroit natal. C'est ainsi que commença une longue argumentation entre le géniteur du jeune garçon et ce dernier.

Finalement, il réussit à convaincre le chef de famille de le laisser rejoindre ce pensionnat, prétextant que de cette façon, il ne nuirait plus à la renommée de la famille en étant si loin de la demeure familiale. Cela avait réussi à convaincre le directeur d'une multinationale de laisser son fils partir pour un endroit qu'il ne connaissait pas lui même. Mais d'une certaine manière, cela le rendait heureux, puisqu'il pouvait se débarrasser du fils qui avait terni sa réputation. Pas définitivement, mais au moins de façon temporaires. C'est ainsi que Nichi se trouvait dans le train en partance pour la ville où se trouvait le pensionnat dans lequel il avait posé sa demande d'adhésion. Ce train était d'un style moderne et pouvait couvrir la distance le séparant de son nouveau lieu de résidence en quelques heures. Les utilisant au mieux pour pouvoir se reposer pour ne pas arriver trop fatigué, il s'endormit assez aisément sur la banquette de sa cabine.

Son rêve fût interrompu par l'intervention du sifflet de la locomotive qui signalait que le train était arrivé. De plus, un fonctionnaire de la ligne de train allait pénétrer dans la cabine pour l'avertir que le train était arrivé à la gare qui l'intéressait. Se levant et attrapant sa valise personnelle et son sac, il descendit du train à la gare et regarda ce qui l'entourait. Se dressant devant lui, le bâtiment principal de la gare permettant en même temps de pouvoir s'informer sur l'horaire exacte. 5H30, il était très tôt pour le jeune homme qui n'était pas habitué à se déplacer de si bon matin. Il était totalement perdu et ne savait pas dans quelle direction se rendre à cause de la nuit qui était omniprésente dans le ciel. Se dirigeant sur le premier chemin qu'il avait réussi à trouver, il marcha plusieurs minutes avant de trouver un homme qui était en charrette, se dirigeant dans la direction opposée à la sienne. Il allait donc en direction de la gare. Me mettant sur le chemin de ce dernier, je le héla pour lui demander où se trouvait le pensionnat Rayen. Ce dernier surpris de ma demande, m'indiqua qu'il se trouvait dans la direction qu'il prenait, et qu'il fallait monter une petite côte avant de pouvoir admirer les clôtures rendant hermétiquement clos, le lieu d'apprentissage. Se tournant en direction de l'horloge, le jeune homme à la chevelure olive pût apercevoir qu'il était dans les environs de six heures, il avait perdu beaucoup de temps à faire l'aller retour sur le chemin, mais en même temps, c'était la première fois qu'il se trouvait en ces lieux et ne pouvait user de son intelligence pour pouvoir suivre un chemin inconnu. Il tourna le dos à la bâtisse ferroviaire et regarda en direction de la petite côte pour pouvoir tenter d'apercevoir les bâtiments du pensionnat dans lequel, il allait vivre des aventures plus qu'intéressantes.

Soudain, un vent venant de la droite souffler dans ses cheveux. Tout d'abord, indisposé par ce dernier, il fût peu à peu heureux d'être dans ce vent qui le rafraîchissait alors que la journée allait s'annoncer plus que compliqué et puis, il devait partir à la recherche de cette personne se prénommant Yoshiaki. Il était pour le jeune homme à la carrure frêle de se diriger vers cette colline pour atteindre son nouveau lieu de vie.

Fatigante, telle pourrait être résumé la difficulté de cette montée. Une simple petite côte ? L'homme en charrette s'était bien moqué de lui, ce qui semblait être une simple petite pente était en réalité bien plus ardu qu'il ne l'avait pensé et devoir trainer sa valise et son sac commençait à être difficile pour le voyou qu'était Nichijô. N'ayant aucunement le temps d'admirer le paysage, tellement la lutte, pour ne pas voir sa valise descendre en bas de la colline et s'ouvrir tout le long du chemin, était grande.

Finalement, il parvînt à apercevoir ce qui ressemblait à une enceinte formé de grilles métalliques. Enfin, il ne pouvait pas le vérifier à moins de les toucher, mais ne tenant pas à prendre de risques pour son premier jour, il évita de s'amuser à toucher les grilles de l'entrée pour pouvoir pénétrer à l'intérieur de l'établissement. Les deux grandes grilles semblant formées la porte d'entrée était ouverte et permettait un libre accès à l'intérieur du parc du pensionnat. Il n'y avait pas d'erreur sur l'endroit qu'il venait d'atteindre puisque, gravé dans la pierre, était inscrit le nom de l'établissement. Passant les deux grilles, il pût enfin entrer dans le lieu qui allait devenir son chez lui dans quelques heures. Marchant encore un petit peu, il entendit des bruits de pas derrière lui et se tournant pour voir qui cela pouvait être, il aperçu une personne qui lui était familière, mais à laquelle, il n'arrivait pas à associer un nom de famille ou même un prénom. Ayant un doute sur l'identité de ce dernier, il se dirigea en direction de celui-ci pour en avoir le coeur net.

Yoshi ne bougea pas de son banc tandis que la personne se rapprochait de plus en plus, la petite taille de celle-ci lui fit penser à quelques personnes qu'il avait connus dans le passé. Lorsqu'il arriva en face de lui il reconnu instantanément le gamin qui lui avait donné tant de soucis. Il le fixa d'un air froid sans dire aucune parole. Aussi froid que le vend qui parcourait le parc, mais celui-ci semblait moins timide que Yoshi car on pouvait l'entendre se faufiler entre les branches des arbres faisant tomber par ci par là quelques feuilles. Le jeune homme tourna la tête et admira ce paysage et dont le climat ne lui plaisait pas tellement, il faisait beaucoup plus froid que là où il habitait. Il y eut un grand moment de silence avant que Yoshi ne pris la parole, son regard s'était à nouveau fixé sur le jeune homme qui venait d'arriver à côté de lui. Il se demandait encore comment un gamin comme ça avait put lui causer autant de tort. C'est vrai qu'à le regarder, on penserait avoir un garçon brillant et sage, mais surtout ne se mêlant pas des histoires qu'il ne serait pas capable de contrôler jusqu'au bout.

" Qu'est-ce que tu me veut toi encore ?"

Il n'avait vraiment pas envie de parler aujourd'hui et surtout pas avec lui.. Il remit en place sa capuche qui avait bougée à cause de ce vent insupportable qui lui sifflait dans les oreilles. Il Se leva du banc où il était assis, prit son sac et commença à partir vers la sortie de l'établissement. Il ne restait plus beaucoup de temps avant que ne commence les visites et la distribution des chambres, mais il avait une autre idée en tête. La présence du jeune homme aux lunettes ne le rassurait pas, lui qui voulait être tranquille dans cet établissement et finir ces études pour enfin être libre d'habiter où il en a envie. Il fit un geste de la main pour lui faire signe de le suivre, il testait le jeune homme, si celui-ci le suivait cela voulait dire qu'il n'était pas présent à ce pensionnat seulement pour les cours, mais il fallait qu'il découvre pourquoi il était ici.

Il était dans ses pensés et ne fit pas attention au groupe d'élèves qui arrivait en face de lui et c'est en relevant la tête qu'il fut surpris en tombant nez à nez avec une jeune fille ravissante qui semblait lui avoir tapé dans l'œil!! Voyant que la jeune fille semblait gênée il défigea son visage pour afficher un large sourire et s'excusa tout en la laissant passée, une fois l'avait elle dépassée il ne put s'empêcher de la suivre du regard. Scrutant la jeune fille de la tête aux pieds puis des pieds à la tête il finit par remarquer qu'elle avait fait de même mais son regard était porté sur une personne qui semblait derrière Yoshi. Cette personne était le frère de la jeune fille, il ne supportait pas que l'on puisse regarder sa sœur de cette manière et posa la main sur l'épaule de Yoshi, le jeune homme se retourna aussitôt et poussa la main qui lui tenait l'épaule et lui fit un sourire narquois puis continua son chemin.

Il savait que cette jeune fille voulait surement le revoir il l'avait vu dans son regard, elle semblait intriguée par Yoshi et lorsque une fille est intriguée par quelque chose vous le savez tous il faut qu'elle voit ce qui se cache là-dessous. Ils avaient maintenant dépassé le portail de l'entrée, le jeune homme ne connaissait absolument pas les lieux et il se retourna vers le jeune homme aux lunettes.

"Si tu es ici c'est que tu dois connaitre les lieux alors emmène moi dans le quartier le plus sombre de cette ville"

Il attendait de ce jeune homme une hésitation ce qui voulait dire qu'il ne connaissait lui non plus pas les lieux et ce qu'il voudrait dire qu'il n'avait pratiquement aucune raison d'être ici. Surtout qu'il y avait beaucoup d'écoles qui auraient pu l'accueillir à moins de 20 kilomètres de chez lui. Yoshi posa son sac en attendant une réponse de son interlocuteur et de temps à autre, il regardait à l'intérieur du parc pour voir s'il n'y avait pas le surveillant qui viendrait les chercher pour la visite. On put entendre une sonnerie, cela signifiait qu'il fallait se rendre devant les dortoirs pour qu'il soit attribué une chambre à chacun comme l'avait expliqué la lettre qu'il avait reçu il y a quelques jours avec toutes les informations ainsi que le règlement. Il reprit son sac et semblait impatient de quitter cet endroit, il sortit une cigarette de sa poche et l'alluma en attendant que le jeune homme se décide à parler ..

Apparemment, il ne s'était pas trompé sur la personne qu'il pensait avoir reconnu et cette dernière l'avait remarquée elle aussi. Seulement, les sentiments que les deux personnes éprouvèrent sur le moment des retrouvailles étaient totalement à l'opposé, l'un de l'autre. Si l'un était heureux d'avoir réussi à retrouver celui qui lui avait sauvé la vie. L'autre ne semblait pas du tout réjoui de cela. Qu'importe, Nichijô n'était venu ici que pour payer sa dette, pas pour être tout le collé au basque de cet homme. Alors qu'il allait lui présenter des remerciements en bonne uniforme. Le jeune garçon fût accueilli par un iceberg ambulant, la froideur de son regard laissa quelques secondes, le délinquant silencieux. Il ne pouvait pas croire que ce type avait volé à son secours aussi facilement vu le mépris qui pouvait se voir aisément dans son regard. Même le vent déambulant dans le parc n'était pas aussi frais, il n'arrivait pas à comprendre une telle rancune envers sa propre personne. S'il regrettait son geste de l'avoir aidé, il n'avait qu'à s'en prendre à lui même, ce n'est pas comme si le cadet des Suwa avait demandé une quelconque aide extérieur, mise à part celle d'une intervention divine.

Alors qu'il allait lui rétorquer quelque chose pour qu'il cesse de le fixer avec autant de condescendance, quelques mots sortirent des lèvres de son vis à vis. Des paroles qui touchèrent en plein cœur, la fierté du jeune garçon aux lunettes. Même s'il devait la vie à cette personne, il n'y aucune raison qui le pousse à se laisser traiter de la sorte par une personne qui lui est venu en aide sans qu'il n'est rien demandé. Ce n'est pas réellement de sa faute si cet abruti a décidé de lui venir en aide pour pouvoir ensuite avoir quelqu'un sur qui cracher son venin à cause de problèmes personnels qui devaient le submerger. Tandis qu'un combat dans l'esprit du manipulateur était en train de faire rage pour savoir quelle attitude adoptée, son interlocuteur se leva et partit avec son sac en direction de la sortie du pensionnat.

*Tss, à peine arrivé et il veut déjà chercher les ennuis à l'extérieur de l'enceinte ? Et après, il ose me regarder avec un regard aussi agressif ? S'il est en manque de sport, il n'a qu'à faire partie d'un club pour s'occuper l'esprit plutôt que de s'amuser avec les petites frappes du coin. Quoique, s'il s'amuse à jouer avec eux, je pourrais tirer profit de cela ! Il faut que je fasse attention à ces actions, s'il devient incontrôlable, je pourrais me débarrasser de lui quand j'aurais plus de contrôle sur cette endroit, mais pour le moment, je n'ai aucune chance contre lui. *

Voyant le signe de l'homme encapuchonné, il n'y fit pas attention, ne suivant pas ce dernier, qu'elle était l'intérêt de le suivre dés le premier jour ? Il n'avait aucun contact à l'extérieur et cela pourrait tout à fait se terminer en une vengeance de ce mec à la capuche rose pour le bras qu'il a eu de cassé la dernière fois. Le suivre serait la pire des bêtises qu'il pourrait faire, et s'abstint donc de suivre l'homme qui lui avait éviter la mort.

Après une technique de drague des plus grotesque que le jeune hériter ai pût voir de sa vie, celui qui avait semble t-il tapé dans l'œil de la jeune demoiselle qui venait de passer semblait attendre quelque chose. Soudain, il s'adressa à Nichijô lui demandant de l'emmener immédiatement dans les endroits les plus mal famés du coin. Et puis quoi encore ? Il se prenait pour qui ce type ? Débarqué comme ça, lui manquer de respect et après lui demander de l'accompagner dans les endroits les plus mal famés de la ville ? Il n'a rien compris à la vie, ce gamin ou quoi ? On lui a jamais appris à apprendre de ses erreurs ? Tant de questions tournaient dans l'esprit du jeune garçon à la chevelure olive que ce dernier plaqua sa tête dans sa main droite pour que cette dernière lui permette de reprendre ses esprits. Il réussit néanmoins à répondre à son interlocuteur.

« Si vous aimez vous battre, c'est votre problème, je ne vois pas en quoi, je devrais m'amuser à vous accompagner pour votre bon plaisir. De plus, nous n'avons été aucunement présentés, et je ne vous permet pas de me tutoyer comme si nous avions été à la crèche ensemble. »

Alors qu'il venait d'asséner un coup verbal à cet homme lui faisant face, il entendit la sonnerie qui annonçait que la cérémonie d'accueil allait bientôt commencer. Tous allait se dérouler dans le gymnase du pensionnat. Le délinquant était quelqu'un qui avait pour habitude d'être ponctuel malgré ses mauvaises actions en dehors des cours. Oui, car en classe, il était tout ce qui avait de plus sérieux, c'est seulement en sortant des cours, qu'il laissait libre cours à ses pulsions de délinquants. La cloche était comme une laisse à un chien, lui rappelant qu'il n'était pas si libre qu'il le pensait.

« Et puis, après cette sonnerie, je ne m'autorise pas le droit de vous accompagner dans vos petits plaisirs personnels, si vous tenez tant que ça à ne pas rentrer à l'intérieur de ce pensionnat, cela est votre droit, mais je doute que vos parents apprécient votre geste. Je pensais que vous aviez changé de lycée pour pouvoir terminer vos études. Mais apparemment, je me trompais sur votre compte, en réalité, vous n'êtes pas ici de votre plein gré ! Vous n'êtes qu'un simple mouton obligé de suivre le chemin que les chiens lui tracent jusqu'à son enclos ! »

Agressive et hautaine, telle était les sentiments qui ressortait de la voix du jeune héritier. Il se savait supérieur aux autres et n'hésitait pas à le prouver à maintes reprises, mais celui qui lui faisait face était quelqu'un qui utilisait la force brute pour pouvoir communiquer. Cela n'allait pas être simple de lui faire accepter certaines vérités pour pouvoir le libérer de ses problèmes personnels. Mais le jeune Nichijô ne désespéraient pas.