» Akiya A. Ota.

Ota Akiya Akihiro ;

Alors, qui es - tu ?

NOM(S)&PRÉNOM(S): Ota Akiya Akihiro.
AGE: 18 ans.
NATIONALITÉ: Japonaise
ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle
ANNÉE SCOLAIRE: 3ème année.
GROUPE: Crazy Intellect
POURQUOI CE GROUPE: Akiya est dans ce groupe car il aime les livres, travailler et bien d’autres choses intellectuelles. Pour lui la vie se base sur les études.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Murasakibara Atsushi ; Kuroko no Basket

Un esprit sain...

-Il me semble que je suis quelqu’un qui aime beaucoup étudier. C’est très important pour moi, les études, c’est l’avenir. Bien sûr, je n’ai pas que cela en tête. Je sais que je suis quelqu’un qui n’aime pas avoir de problèmes avec les autres et qui souhaite juste pouvoir être tranquille. Pour moi, le calme, c’est parfait ! Pouvoir étudier tranquillement, personne qui vous embête, c’est ce que j’aime.

-Tu es plutôt quelqu’un de réservé, tu es timide en fait. Ton visage parait froid, mais c’est juste à cause de ta timidité en fait. On peut sentir que tu es constamment sur la défensive, tu n’es pas très ouvert aux autres. Tu ne sais pas vraiment aborder les autres, pour toi, ce sont à eux, de le faire. Mais au fond de toi, tu sais très bien qu’il faut faire ça à deux. Tu te dis que c’est peut-être mieux pour toi de rester seul, tu penses qu’au moins, cela ne t’embêtera pas pour tes études. Malheureusement pour toi, tu sais aussi que cela ne te gênera pas, tu sais aussi que tu as besoin d’avoir des relations avec d’autres.

-Lui ? Akiya ? Rah ! Je ne l’aime pas du tout ! Quand on le regarde de loin, il fait son froid, la personne solitaire ! Je n’aime pas ça du tout ! Ce n’est qu’un intello de toute façon. Qui voudrait de lui ? Moi ? Sûrement pas. On peut dire qu’il a en fait deux faces. L’une complètement timide et tranquille, l’autre froide et distante. On a l’impression qu’il est bipolaire, peut-être qu’il l’est après tout. Akiya peut vous sourire comme vous poignarder, son visage peut changer d’expression très rapidement. Lunatique. Il est lunatique.

-S’il y a une chose que j’aime bien faire, c’est draguer. J’aime attirer les gens vers moi pour ensuite les envoyer balader. En fait, j’adore ça. Ca m’amuse vraiment, jouer avec les gens, c’est vraiment drôle. Vous pouvez m’insulter, me frapper, je prendrai toujours ça en rigolant. Manipuler, c’est ce que je fais. J’aime vraiment mener les gens par le bout du nez.

-En fait, tu es vraiment bizarre. Mais une chose est sûre, tu ne supportes pas ne pas savoir. Ne pas connaître, tu as besoin de te connaître, de tout savoir sur toi. Mais ça ne marche pas comme ça. Tu ne peux pas te connaître entièrement. Tu dois apprendre tout ça petit à petit. On sait que cela t’énerve mais on n’y peut rien. Tu devras attendre. Bien sûr, tu sais que tu es drôlement impatient, mais, il ne faut pas l’être. Tu te connaîtras parfaitement en temps voulu. Tu n’aimes pas être surpassé par quelqu’un d’autre mais tu aimes avoir de la rivalité. Tu aimes quand même avoir quelqu’un de plus fort que toi, pour pouvoir le dépasser, te surpasser.

474 mots

Dans un corps sain.

-Lorsque je me regarde dans un miroir, je vois un visage fin et détendu orné d’un sourire parfois forcé. Je lève un peu mes yeux violets, sombres et sans expression vers mes cheveux de couleur violette eux aussi et je les fixe. Mes cheveux sont en batailles, c’est à se demander si je me coiffe le matin. Ces cheveux me couvrent la nuque et descendent recouvrir mes oreilles de taille moyenne. Mes lèvres sont fines ainsi que mon nez.

-Ta façon de t’habiller, ton style, avec celui là, on ne peut te remarquer. Tu t’habilles toujours de façon discrète pour ne pas être vu. Ton style est plutôt simplet, tu t’habilles avec des vêtements sombres. J’avoue que des fois, il t’arrive de t’habiller de façon à être remarqué mais c’est rare de te voir comme ça.

-Akiya, toujours lui ? Ah, maintenant c’est son physique. C’est vrai que d’une certaine façon, il est plutôt beau et charmant. Son corps est fin. J’avoue qu’il est plutôt grand pour un japonais. Son corps est bien bâti et ses musclez plutôt bien tracés. Je n’ai pas trop envie de m’éterniser sur lui, c’est tout ?

- Lorsque tu t’habilles, c’est toujours en noir, enfin, presque toujours. Cela te donne un air de personne froide et agressive, bien que tu ne l’es pas, mais bon. Tu t’habilles souvent de la même façon, c'est-à-dire, un tee-shirt à manche courte noir, toujours, un gilet par-dessus lui aussi noir. Ton pantalon aussi est noir, ainsi que tes chaussures. Mais, le plus intriguant sur toi, c’est ta tête, tu portes un bandeau, constamment et tu refuses complètement de l’enlever. Je ne t’ai jamais vu l’enlever, et si quelqu’un, ose le faire, tu le frappes violemment.

293 mots.

Ce n'est que mon passé.

Nous regardions le ciel bleu ainsi que ses nuages blancs penchant légèrement vers le gris sur une partie du ciel. Nous écoutions le chant des oiseaux pendant que le temps nous le permettait encore. Nous entendions les cris et rires incessants des enfants dehors. Puis, nous entendîmes des cris, des cris venant du berceau près d’une autre fenêtre. Nous nous dirigeâmes tranquillement vers le berceau et je pris l’enfant dans mes bras pour le bercer. Il se rendormit juste après.

Jusqu’à tes cinq ans, toutes les années furent aussi paisibles que cette journée. Tu grandissais normalement, t’amusais drôlement avec tes camarades. Comme beaucoup d’enfants de ton âge, tu avais un « ami imaginaire » que tu aimais beaucoup et qui comptait beaucoup pour toi. Nous ne voulions pas te blesser en disant qu’il n’existait pas mais, doucement, nous essayions de te le faire comprendre. Malheureusement pour nous, toutes nos tentatives furent vaines. Nous avions tout essayé, nous avions même fini par te le dire clairement mais tu t’es vexé et tu es reparti dans ta chambre très en colère. Tu ne nous croyais pas, mais nous pouvions comprendre cela.

Lors de ta septième année de vie, nous avons encore essayé de te faire comprendre que ton ami n’était que le fruit de ton imagination, mais, tu y restais accroché tu voulais y croire, plus que tout. Lorsque tu racontais à tes camarades de classe, ils te riaient au nez en te disant qu’il fallait que tu grandisses un peu. Mais, mis à part ce point, tu étais déjà plutôt mature par rapport à eux. En voyant que même ton meilleur ami s’était moqué de toi, tu t’étais replié sur toi-même. Tu étais seul avec tes livres, c’était, comme tu dis, tout ce qu’il te restait. Tu te sentais seul, mais, pour toi, il te restait toujours ton « ami imaginaire ». Il ne te restait que tes livres et ton ami.

En grandissant, tu compris peu à peu que ton ami n’avait jamais réellement existé si ce n’est dans ton imagination. Mais, tu lui avais quand même donné une certaine personnalité. Tu ne voulais pas admettre qu’il n’existait pas et finalement cette personnalité s’intégra en quelques sortes en toi. C’est là que nous avons compris que tu étais en quelques sortes bipolaire. Mais nous n’avons jamais compris comment cela se faisait. Tu ne pensais plus à ton ami et te concentrais seulement sur ton travail, tu nous ramenais constamment des bonnes notes et lorsque qu’elles étaient mauvaises tu t’en voulais beaucoup. Oui, beaucoup. Nous étions très inquiet pour toi car tu travaillais beaucoup et te reposer peu.

Plus tu grandissais, plus ta bipolarité s’accentuait, tes deux caractères se marquaient et se différenciaient de plus en plus. Tu étais soit, avec une timidité que tu cachais avec ta froideur, soit, avec une confiance en toi à tel point que tu te vantais. Nous préférions la personne timide plutôt que l’autre qui était aussi insolente. Peu à peu tu t’enfermas seul dans ta bulle avec tes livres, ton travail et tout ce qui te permettait d’étudier. Nous n’aimions pas ça mais nous n’avions pas le choix. Tu sortais de ta chambre juste pour manger et aller en cours. Nous étions très triste pour toi.

Puis, tu commenças à t’intéresser à autre chose que les livres : A la musique. Tu t’exprimais avec mais restais toujours avec ta froideur habituelle. Tu t’intéressas surtout à la harpe, un bel instrument, disais-tu, c’est vrai que lorsque tu y jouais, il émettait un très beau son. Petit à petit, tu recommenças à sourire, rarement, mais tu souriais. Nous étions heureux que tu recommences à sourire. Puis, nous reçûmes un prospectus où un Pensionnat y étais représenté. Ce Pensionnat avait l’air parfait pour toi, la vie y grouillait et nous voulions te revoir sourire tout le temps comme avant, nous n’étions pas près de voir cela mais y croire nous faisait du bien. Nous décidâmes donc de t’envoyer dans ce Pensionnat. Nous espérions que ton entré se passerai bien mais bientôt, tu fus maltraité, certains élèves te frappaient car ils avaient vu que tu avais de bonnes notes et surtout, ils avaient vu que tu étais un peu différent d’eux. Ils n’aimaient pas ça. Très vite, tu fus transféré dans un autre Pensionnat que nous avions repéré, le Pensionnat Rayen. Lui aussi grouillait de vie et, semblait beaucoup plus aimable. Nous avions raison, car, tu nous informas que tu t’y sentais bien et que tu n’avais pas de problèmes. Nous étions heureux de t’entendre dire ça en riant un peu.

761 mots.

Et derrière l'écran?

AGE: 12 Plom’s!
PAYS:France!
DOUBLE COMPTE ?:Yeeep! Le Dieu Kaillou !
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Kaillou. .w.
AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Shimy est passée ♫

Yo !
Tu as jusqu'au six septembre, bonne présa ♫

Shimy

Okay Chef!

Désolé du double-post. J'ai fini ma fiche.

Pour moi, c'est bon.
Je te valide ♪

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