| Sujet: » Alexander Larsen. Lun 28 Mai - 7:54 | |
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[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Larsen Alexander ; Alors, qui es-tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S): Alexander Larsen AGE: 17 ans NATIONALITÉ: Danois ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel, sans l'ombre d'un doute. ANNÉE SCOLAIRE: Deuxième année GROUPE: Vocal Adrenalin POURQUOI CE GROUPE: La musique est une part considérable de sa vie. D'ailleurs, il gratouille de la guitare depuis l'âge de 4 ans. Des leçons plus sérieuses sont venues quelque années plus tard. Si vous faites le compte, depuis près de treize ans années, il a une guitare dans les mains. Dire que c'est sa passion serait un euphémisme, mes chers. Pour finir, selon les dires de certaines, il a une voix qui en fait fondre plus d'une. Mais bon, c'est ce qu'on raconte et puis de tout façon, la vantardise n'est pas quelque chose de très glorieux après tout. PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Hijikata Toushirou
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Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout. Le premier point important qu'il faut savoir sur Alexander, c'est que sans musique, il meurt. C'est aussi simple que ça. Pour lui, un monde sans musique serait un monde d'échecs continuels. Vous l'aurez devinez, c'est sa passion. Cependant, son plus grand vice demeure la cigarette. C'est plus fort que lui. Concentrons-nous davantage sur son intériorité. Déjà au départ, ce beau ténébreux semble être un solitaire. Cette impression n'est pas tout à fait fausse d'ailleurs. Il est indépendant et on pourrait croire que votre présence lui importe peu au départ. Très peu communicatif de son passé et de ce qui se passe de son côté, il ne se dévoile pas facilement. Il a horreur de parler de lui même. Nous pouvons dire que lui, que ce jeune homme on ne peut pas le lire comme dans un livre ouvert. Il est de ce genre d'individu qui préfère en savoir plus sur les autres. De plus, si une personne l'intrigue, il essait d'en savoir davantage, sans pour autant se montrer envahissant. Il est asssez respectueux. En s'interessant ainsi à autruit, certain ont tendance à croire qu'il est super intéressé par son interlocuteur et certaines jeunes filles peuvent ainsi en tomber amoureuse, alors que lui, il ne vous verra que tant qu'amie. Ce jeune homme préfère savoir à qui il a affaire plutôt que les autres en sache sur lui. De plus, il aime savoir à qui il a affaire. Il préfère garder ce qui le concerne pour pour lui et ses amis proches. C'est d'ailleurs ce petit côté mystérieux qui amplifie ses airs de beau ténébreux. Mais lorsqu'on perce sa carapace, on peut découvrir qu'il se cache une certaine sensibilité au fond de lui. Lorsqu'une personne pleure en sa présence, il s'attendrit totalement et se montre très attentionné. De plus, il a une partie clownesque. Déconner, faire le con, il se débrouille plutôt bien en la matière. Lorsqu'on le cherche, il n'hésitera pas à utiliser les poings. Très loyal, il n'hésitera pas à défendre ceux qui comptent pour lui, à ce battre pour eux. Étant une vraie tête de mule, il sait ce qu'il veut et lorsqu'il a une idée en tête, ce n'est pas long que vous allez être au courant. Par contre, il ne vous demandera pas votre avis là-dessous. Il évalue par lui même et agit. Ce qui lui vaut quelque fois certaines disputes avec certains proches. Ultra spontané et impulsif, il lui arrive de faire certaines choses sans y penser d'abord. De plus, ayant une âme artistique assez développée, il aspire à vivre sans contraintes comme bon lui semble. Comme par exemple, il pourrait décider de partir dans un autre pays avec seulement 200 à 300$ et se débrouiller avec ça, il adore. Son argent, il la gagnerait à jouer de la guitare dans la rue ou quelque chose comme ça. Alexander a une façon différente de voir le monde. Il ne le voit pas d'un côté sombre, ni d'un côté plus joyeux non plus. Non. On pourrait dire un espèce de mélange des deux. Il n'est pas neutre pour autant. Il a des opinions, mais il est très fort sur les contrastres. On pourrait dire qu'il est totalement un casse-tête ambulant.
Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.Le jeune homme possède une chevelure noire en bataille. Des mèches sombres lui tombent souvent devant les yeux. Ces derniers sont d'un bleu qui n'en laisse pas beaucoup d'indifférentes. Il possède un très beau sourire chaleur qui en hiver, ferait presque fondre la neige, façon de parler, bien sûr. Sa peau est assez claire. Du haut de ses 1m77, il est plutôt de grandeur moyenne. Il a certains muscles, on ne se le cachera pas. Sans que ce soit exagéré pour autant. Disons tout simplement que torse nu, il n'est pas désagréable à regarder. Le jeune homme possède également de belles mains de guitariste. Il a quelques piercings dans le croquant don oreille droite. Quatre plus précisément. Côté vestimentaire, Alexander arbore le look grunge. Des jeans troués usé à fond, un t-shirt d'un groupe qu'il adore avec par dessus une chemise à carreaux. C'est ce qu'il met la plus part du temps. À son coup, il a porte pour colier un fil noir avec bout un pick de guitare noir avec dessus, le logo de Nirvana, soit le smiley et au dessus du logo est inscrit: NIRVANA. Vous l'aurez deviner, c'est son groupe favori. Pour finir, le jeune homme porte des converses très usés soient noires, rouges ou rouges vin. Il lui arrive de les mélangés et de mettre un couleur différentes dans chaque pieds. Cela dépend de ses envies.
Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.Enfant de la neige, je suis né le 13 janvier 1995 au Danemark. À Copenhague pour les plus curieux. Comme tout début d’histoire qui se doit, concentrons-nous premièrement sur la vie de famille du sujet ainsi que ses premiers pas dans la vie. Bienvenue dans mon univers. C’est ma tête contre le monde.
En ce qui concerne la famille que je possède, du puis loin que je me souvienne, nous avons toujours été très unis. Je m'entendais plutôt bien avec mon grand frère etm a petit soeur. Bref, j'ai eu une enfance assez heureuse. C'est d'ailleurs de mon père que j'ai appris à jouer de la guitare. Il en jouait lorsqu'il avait le temps. Il avait remarqué l'intérêt que je portais à cet instrument. Il m'avait donc acheté une petite guitare lorsque j'avais 4 ans. Bien sûr, ce n'était pas à cet âge là qu'il m'avait montré. Je ne faisais que gratter comme ça, pour m'amuser et j'adorais ça. Ce fut quelques années plus tard que je pris des leçons plus sérieuses. La musique me passionnait.
Rendu au secondaire, je m'étais fais des amis qui partageaient le même intérêt que moi pour la musique. Nous étions quatre et nous avions même formé un groupe. J'adorais me trouver avec ces personne qui partageaient la même passion que moi. Nous parlions même d'aller faire quelques voyages ensembles tout les quatre lorsque nous serions plus vieux et que nous aurions l'argent pour ça.
Vous voici à un autre chapitre de ma vie. Celui-ci s'intitule: Isabella. Pas tout à fait l'amour de ma vie. Juste une part importante de mon existence. Je me souviendrai toujours de ses yeux si bleus, de la longue chevelure blonde platine, de sa beau si douce, de ses mains délicates, de son corps si attrayant et fragile comme le cristal. La première fois que l'océan bleuté de ses prunelles s'est posé sur moi restera aussi gravé dans ma mémoire. J'en était à ma quinzième année d'existance à ce moment là. Le printemps commençait s'installer et les jours plus chauds approchaient à grand pas et le jour reprenait ses droits sur la nuit. Je me trouvais accroupis sur un trottoir. La guitare acoustique sur les cuisses, je la grattais depuis une trentaine de minutes déjà. J'étais totalement dans mon monde et mon regard était rivé sur le sol. La concentration était à son comble. Ce ne fut qu'à la fin de la chanson que je jouais que j'ai remarqué les pieds qui se trouvaient à moinds d'un mètre devant moi. Mes yeux remontèrent tout le long de cette jolie inconnue. Elle se contentait de m'observé avec un sourire léger. « Tu joues très bien. » Avait-elle murmurré tout doucement, comme si elle avait craint que sa voix aurait ruiné l'atmosphère de calme qui règnait. « Cela fait-longtemps que tu joues de la guitare? » « Merci. En gros... » Avais-je commencé à dire lorsqu'une voix s'éleva à proximité de nous. « TRAINÉE! REVIENS ICI TOUT DE SUITE! » Elle m'avais alors lancé un regard suppliant et un voile de détresse avait pris place sur son pâle visage. Elle avait murmurré un faible: « Aide-moi. » Sans attendre, j'ai enfouis ma guitare dans son étui et je me suis relevé. Nous sommes alors partis dans un petit resto du coin. Nous avons parlé quelques temps et c'est durant cette conversion que nous nous découvrions peu à peu. Elle avait des problèmes familiaux. Moins de temps qu'elle passait à la maison, mieux c'était. Retourner chez elle cette soirée là lui semblait assez risqué. C'est pourquoi j'avais convaincu mes parents de l'héberger le temps que cela se calme chez elle. Elle étais retournée à sa demeure quelque jours plus tard. Cependant, nous continuions à nous voir. Et puis, je suis tombé amoureux. Avec elle, je me sentais planer, au début en tout cas. Nous étions totalement différents, mais ne dit-on pas que les contraires s'attirent? Notre relation se portait bien, pour les deux premiers mois, jusqu'à ce que cela dégénère définitivement. Les engueulades se multipliaient au fil des mois suivants. J'aurais pu aussi bien tout laissé tombé, cela aurait certainement été pour le mieux, tant pour elle que pour moi, mais ça ne se fait pas aussi facilement que ça. Je l'aimais. Mais nous étions si différents... Nous nous aimions en même temps de nous détester...
Je me souviens que des semaines durant, je passais une partie de mon temps à jouer de la guitare avec le groupe. Je n'avais pas nécessairement le choix, on prévoyait d'aller un peu partout en Europe pour jouer comme ça, sans but précis. Pour le plaisir de jouer. Nous avions la simple ambition d'aller voir de nouveaux horizons et de jouer de la musique dans les parcs ou quelque chose comme ça. Un voyage ou l'improvisation serait la grande influence de ce voyage. Et puis, la musique avait toujours été le plus grand amour de ma vie. Il n'y a que de gratter ma guitare qui suffit à me vider l'esprit, à me faire sentir mieux. Une personne n'était cependant pas de cet avis. Isabella. N'allez pas penser que je délaissais ma copine. Pas du tout. Par contre, plus ça allait, plus elle avait du mal à m'entendre et à me regarder jouer. Cela devenait ennuyant, disait-elle. Évidemment, nous nous étions engueulés à ce sujet. « Alex! Ça m'énerve! » « Quoi? » « Que tu sois toujours en train de jouer! C'est exagéré! Oui tu joues bien, mais ça te servira à quoi? Tu es un guitariste avec beaucoup de talent, mais y'a rien qui dit que toi et les gars du groupe, vous percerez un jour dans l'industrie de la musique! Tu devrais faire quelque chose de plus... Conventionnel! Quelque chose que ce sera plus certain que tu auras un travail! Tu ne pourras pas vivre de la musique! » « C'est quoi ton problème, bordel? Laisse-moi faire c'que j'ai envie! Et par dessus-tout, laisse-moi réaliser mon rêve, tu veux?! » « Je trouves que tu passes beaucoup trop de temps sur ta guitare et pas assez avec moi! » « On se voit à presque tout les jours! » « Et alors? C'est pas de ça dont il est question! » « Euh oui, justement. » « Tu joues beaucoup trop de guitare à mon goût! Tu vas devoir choisir... » « Non, ne dit surtout pas ces mots. » « C'est ta guitare ou moi! Point à la ligne. » « Désolé, ma guitare. » Bon... Je sais, j'ai été vraiment imbécile sur ce coup-là. Mais vous savez, le problème avec le fait d'être impulsif, c'est on dit parfois des choses sur le coups, sans vraiment avoir pris le temps de songer si elles sont convenables. Elle était partit et on ne s'était pas reparlé au bout de plusieurs jours. Nous avons réussis à régler ça après un très longue discution à ce sujet. Nous étions arrivé à la conclusion que j'allais passé moins de temps à gratter ma guitare et je passais donc moins de temps avec les gars du groupe. Ce qui les avait totalement frustrés. Il m'en voulait et je les comrenais d'ailleurs. À leur place aussi, je me serais sentis de la même façon.
Quelque semaines après cette engueulade, j'étais arrivé à notre lieu de rencontre avec une clope à la bouche. Le regard de dégoût et d'indignation qu'elle avait eu avait été tout simplement marquant. J'aurais tué quelqu'un qu'elle aurait certainement eu la même expression. Ou presque. Elle était complètement en rogne. « Alexander Larsen! Ça va pas?! Qu'est-ce que tu fous avec ça? » « C'est simple. Je fume. » « Non, mais... T'es con ou quoi?! C'est DÉ-GOÛ-TANT! Et c'est moi que tu embrasses par la suite! Franchement! Pense à moi à la place de toujours penser qu'à toi! » « Pardon?! Je ne pense qu'à moi? C'est qui me tiens en laisse? J'essaie de faire mon possible pour que ça marche entre nous, j'ai même commencé à joué moins avec les gars pour passé plus de temps avec toi, comme tu me l'avais demandé. Mais peu importe ce que je fais, ça n'arrive jamais à la hauteur de tes caprices! » « Non! Je n'ai pas de caprices! C'est juste toi qui n'y comprends absolument rien! » « Je n'y comprends rien?! Si tu te montrais moins incompréhensible, ce serait plus facile! » « Incompréhensible? Vas te faire foutre! » Et elle était encore partie totalement frustrée. Elle me décourageait, m'enrageait et je l'aimais à la fois. C'était une espèce d'orgie d'émotions contradictoires qu'Isabella m'inspirait. J'avais pris quelque jours de recul par rapport à elle et moi. J'avais pris ce temps là pour penser à tout ça et à me donner le courage de supporter la tempête et la foudre qui s'abatteraient sur moi lorsque j'allais me retrouver à nouveau en la présence d'Isabella. Pendant ce quelque jours, j'en avais profiter pour aller voir les gars du groupe et je devais m'excuser au près d'eux. Je dois avouer que j'appréciais énormément de me retrouver en présence d'amis et de ne pas à avoir à surveiller tout ce que je pouvais dire pour ne pas à avoir quelqu'un qui me fasse une crise de nerfs. Je me suis aussi remis à jouer de la guitare avec les gars. Les vacances d'été approchaient à grand pas et nous prévoyons de partir en Allemagne durant quelques semaines. Les parents de l'un de mes amis avaient décider de partir avec nous. Pourquoi partir? Pours'amuser tout simplement. Voir autre chose que le Danemark. Pour le plaisir de voyager et de jouer un peu là-bas, dans les rues ou les parcs. Cela faisait quelques années ques nous parlions d'aller là-bas un jour. Et c'était cette année que nous avions les moyens et le temps d'y aller. Il était certain que je partais avec eux. J'en rêvais. Découvrir de nouveaux horizons, il n'y a rien de mieux que ça. Le seul problème: Je devais annoncer ça à Isabella. Ça, c'était la partie la pluis difficile et dont j'avais le moins envie.
Finalement, je suis finalement retourné auprès d'elle. J'ai attendu quelques jours avant notre départ pour l'Allemagne avant d'en parler à ma chérie. Oui, j'aurais du faire ça plus tôt. Oui, je suis un vrai imbécile, mais que voulez-vous, je pensais que c'était la meilleure chose à faire. Et je tenais vraiment à partir d'ici pour quelque semaines. Cela m'aiderait à me vider l'esprit, à me détendre. Je me rappellerai toujours de cette soirée. Celle où j'ai annoncé à Isabella que je partais. C'était d'ailleurs la dernière que j'ai passé en sa présence avant le voyage. Nous étions chez elle à l'extérieur, étendu sur l'herbe et des étoiles parsemaient le ciel. J'avais mon de mes bras autour d'elle et sa tête était contre ma poitrine. Nous scutions le ciel en rêvassant chacun de notre côté. C'était une belle ambiance. Dommage que les choses allaient se cocées plutôt que d'aller en s'améliorant. « Je resterais toujours comme ça, avec toi et personne d'autre. » Avait-elle murmurré tout doucement. Je n'osais pas vraiment la regarder, je préférais nettement observer le firmament à la place. « Moi aussi... Mais j'dois te dire quelque chose. » « Quoi? » « Je pars avec les gars. En Allemagne. » Elle repoussa mon bras et se redressa vivement en position assise. Elle me dévisagea avec indignation. La tempête allait éclater. « Quoi??! C'est une blague j'espère! » « Non. Pas du tout. Je suis très sérieux. » « POURQUOI, TU NE M'EN A PAS PARLÉ PLUS TÔT?! » « Parce que si je t'en aurais parlé avant, tu aurais tout fait pour que je n'y aille pas. Et... C'est mon rêve d'y aller tu comprends? Je ne pars que pendant trois semaines. J'aurais voulu que tu viennes, vraiment, mais tu ne laisserais jamais ton père ici tout seul avec tout les problèmes qu'il a, même si t'éloigner de tout ça, c'est ce qui est probablement la meilleure chose à faire pour toi. » « Ne mêle pas mon père à ça, tu veux?! T'as envie d'aller en baisé une autre là-bas, avoue-le! Je ne suis pas stupide!» « Quoi?! Mais ça n'a absoluement aucun rapport! Je ne veux pas être avec une autre! » « Tu dis ça juste pour me faire plaisir! Je sais que tu veux partir là-bas pour te débarasser de moi! » « Isabella! Arrête avec ça. Tu sais bien que non! » « Non, tu ne veux pas de moi c'est tout! Si tu voudrais de moi, tu resterais avec moi! Tout simplement! » « Écoute, je veux aller voir de nouveaux horizons, voyager un peu partout. Aller jouer là-bas. Je ne pars qu'avec des gars. Il n'y aura pas une fille avec nous. » « Mais vous allez en croiser! Elles vont tout faire pour t'avoir, Alex! » « Mais non! » « ARRÊTE DE ME MENTIR, BORDEL! TU VEUX ALLER LÀ-BAS, ME TROMPER ET PUIS UNE FOIS QUE TU TE SERAS ASSEZ AMUSÉ, TU VAS REVENIR! VOILÀ! JE LE SAIS QUE TU ES CE TYPE DE GARS! J'TE HAIS TELLEMENT, TU PEUX PAS SAVOIR COMMENT! » Sur ces mots, elle partit dans sa maison en claquant la porte derrière elle. Je l'ai suivit durant qu'elle partait se réfugier dans sa chambre en essayant de calmer le volcan en éruption qu'elle était à ce moment précis. Elle, elle ne voulait rien entendre. Elle m'a même claquer la porte de sa chambre au nez. « C'EST TOI QUE J'AIME! » Me suis-je époumoner. « T'ES QU'UN IMBÉCILE! NE VIENS PAS ME VOIR QUAND TU REVIENDRAS! » « JE REVIENS LE 15 JUILLET! ET OUI, J'VAIS VENIR TE VOIR PARCE QUE JE T'AIME! » « DIS-ÇA À QUELQU'UN QUE ÇA INTÉRESSE VRAIMENT, SALE CON! » Et je suis partit totalement en colère. Non. Colère était un euphémisme. C'était plus fort que ça. Je n'avais pas osé la recontacté. Je la connaissais. Si je lui parlais avant qu'elle aie le temps de décompresser, cela empirerait les choses, car elle serait franchement désagréable et elle ne voudrait rien entendre. Dans trois semaines j'allais devoir m'expliquer avec elle et tenter de tout arranger.
Finalement le voyage en Allemagne est arrivé. C'était totalement génial. J'ai adoré aller là-bas. J'y retournerais n'importe quand. On jouait quelques fois dans les rues, nous avons aussi rencontrer des gens là-bas. Je me sentais totalement libre et j'aimais bien ne pas avoir à penser à ce qui m'attendait au Danemark. Bref, ce fut un très beau voyage. Par contre, les trois semaines en Allemagne aviat passée beaucoup trop vite à mon goût. Je regrettais presque le moment où j'allais retourner à Copenhague. Avec raison d'ailleurs. Une fois arrivé, une partie de moi redoutait de voir Isabella alors que l'autre ne désirait que de voir son sourire. Assez contradictoire direz-vous... Après être aller chez moi et parler avec ma famille du voyage que j'avais fais, je me suis dirigé vers l'antre de la torture. Mon estomac se nouait et une irrésistible envie de rebrousser le chemin s'emparait de moi et devenait plus importante à chacun de mes pas. Une fois devant la maison d'Isabella, j'hésitai un instant. Elle allait certainement m'assassiner. À moins qu'elle soit heureuse de me voir? Non. C'était peut-être trop beau pour être vrai. Je pris une profonde inspiration et je suis dirigé vers la porte et cognai. Elle n'était pas vérouillée donc quelqu'un était là. Je suis alors entré, même si personne n'était venu me répondre. Une habitude, quoi. C'était partit pour surmonter le volcan qui déverserait ses fureurs sur moi. Il n'y avait personne au premier étage. Elle devait être dans sa chambre en train de décompresser. J'ouvris la porte de sa chambre sans cogner ni même manifester sa présence. Je restai aussitôt figé par ce que je voyais. Comment? J'avais du mal à croire que le spectacle qui se dressait devant moi était bien réel. Ça ne pouvait pas être possible. Elle n'aurait jamais fait ça. Elle était là, devant moi. Au millieu de sa chambre. Pendue. Elle s'était... Quelque chose s'est fissuré en moi à la vue de ce macabre tableau. Je n'arrivais pas à croire que celle que j'aimais venait de mettre un terme à ses jours. J'eus beau essayer de crier, de parler, aucun bruit ne voulait se manifester. Même des larmes refusaient de couler. Une état de choc à ce qu'on ce dit. J'aurais du prévenir quelqu'un, mais je n'y arrivait pas. J'étais prisonnier à ma douleur. L'image d'Isabella pendue hanterait mon esprit et tout ce que je voulais, c'était de me sortir ça de la tête. Un moyen Je suis allé chercher dans les tirroirs pour trouver ce que je cherchais réellement au fond. De la drogue. C'est là qu'elle la cachait. Elle en piquait à son père et en prenait une fois de temps en temps lorsque cela n'allait pas vraiment. Je s'imposa dans ma tête, tel un panneau clignotant qui me dicterait de le faire. Je finis enfin par trouver ce que je voulais. J'ai alors levé les yeux vers Isabella. Ce que ça pouvait être douloureux. J'avais beau la détester par moment, la voir ainsi m'était insupportable. Mon coeur... J'avais si mal. Je me sentais terriblement coupable. Si j'étais resté, elle n'aurait peut-être jamais passé à l'acte. Je me suis laissé choir par terre, contre un mur face à son corps encore suspendu au dussus du sol. Je pris un briquet sur sa table de nuit juste à côté de moi. Je me suis donc laissé allé à la tentation qu'évoquait ces drogues. Cela me prit quelques minutes avant de sentir totalement leur effet. Comme ça, je me sentais bien, je planais. Les drogues me dressaient un sourire. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Alors, je continuais, toujours plus. Soudain un malaise se forma et rajouter à ça un un effet de somnolence. Puis, le néant total.
Lorsque j'ai ouvert mes yeux à nouveau, j'étais étendu dans un lit qui ne me semblait pas être le mien. La pièce n'était pas la mienne non plus. Les murs étaient blancs. Je me sentais bizarre, amoché et très faible. Quelqu'un près de moi poussa un bruit de soulagement. Ma mère apparut alors dans mon champ de vision. Elle avait les larmes aux yeux. Mon père, mon frère et ma petite soeur y était également. Une lueur de soulagement percait à travers le voile de tristesse qui décorait leur visage. « Mon chéri! Heureusement, tu vas mieux! Si tu savais à quel point tu nous a fais peur! Ne refais plus jamais ça! Jamais! On t'as presque perdu! J'ai eu si peur! » Une overdose. Voilà ce qui m'avait mené jusque que là. Tout ça par la découverte d'Isabella. Isabella... J'avais toujours aussi mal orsque j'y pensais. L'image d'elle pendue vint s'imposer vivement à mon esprit. Ça aussi c'était douloureux. J'ai sentis des larmes me monter aux yeux. J'ai fermé mes paupières pour les empêcher de couler. J'aurais aimé que ça se passe autrement. C'était sans doute ma faute si elle avait fait ça. Oui, je me sentais emprisonner avec elle, mais je l'aimais quand même. Je savais que ce n'était pas la femme de ma vie, ça se voyait, ça se sentait et de son côté, ce devait aussi être la même chose, je crois. Mais, je m'étais quand même attaché à elle même si elle détestait la personne que j'étais au fond, car tout ce que j'étais elle tenait à le changer... J'aurais vraiment voulu que ça marche entre elle et moi, mais il faut croire que nous n'étions pas fait pour passer notre vie ensemble. C'était vraiment regrettable.
Lorsque je puis sortir de l'hôpital, je fus suivit par une psy pour m'aider à surmonter tout ça. Je me réfugiais encore plus dans la musique. Sans ma guitare, je ne sais pas du tout comment j'aurais pu m'en sortir autrement. Ma passion pour cet instrument ne s'était pas éteinte avec tout ça, heureusement. L'enterrement d'Isabella fut atrocement pénible. Je ne voulais pas être là. Mais au fond, je lui devais bien ça. C'était douloureux. Au bout de très nombreux mois de suivit par la psycologue, elle convenu que ma famille devait s'éloigner du Danemark, si je ne tenais pas à sombrer totalement. C'était pour mon bien, disait-elle. Je ne voulais pas influgé ça à ma famille. Qu'ils doivent tout recommencer à zéro ailleurs. Mes parents étaient installés à Copenhague depuis trop longtemps pour partir comme ça. J'ai alors fais des recherche sur le net et j'ai alors trouvé un pensionnat qui me semblait pas si mal au Japon. Rayen. Je ne connaissais pas grand mots de la langue là-bas, ne parlant que le Danois, l'Allemand et l'Anglais. J'allais devoir me débrouiller. Un nouveau départ. Cela m'aiderait surement à passer au travers de tout ce qui s'était passé... Du moins, je l'espérais. D'un côté, je ne voulais pas laissé Copenhague, pour le groupe. Les gars allaient devoir se trouver un autre guitariste. Penser que je n'allais plus pouvoir joué avec eux me désolait. Bien sûr, ils avaient compris que je n'avais pas le choix, qu'il fallait que je parte. Heureusement.
Aujourd'hui, cela fait un an que je fréquente Rayen.
Et derrière l'écran ? AGE: 18 ans, majeure et vaccinée. PAYS: Un monde où la musique est reine! :3 DOUBLE COMPTE ?: Oui, oui. 8D COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: En entretenant une conversation en privé avec un lama et un alpaga! C'était génial! 8D AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Code bon - La Sadique ♠ |
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