La journee peut toujours s'ameliorer [Pv Mafuyu Nekokami]

Je suis une fille assez matinale, c’est vrai. Et apparemment ca fait râler mes colocataires. Ils voudraient que je me lève sans aucun bruit, comme si c’était possible pour une fille maladroite comme moi. Même si la lumière avait été éteinte j’aurais fais un boucan horrible, surtout que mes coloc’ ne sont pas pas genre a ranger toute leurs affaires. Moi non plus d’ailleurs, il y avait donc beaucoup plus de risque que je tombe. Apres avoir embêté 10 minutes mes colocataires, j’étais sortie de la chambre en pyjama et avait couru jusqu'au douche pour m’habiller tranquillement et sans regard.

C’est donc en jupe noir assez courte, collants couleurs chairs accompagnes d’un top a bretelle vert fluo et d’un petit gilet noir que j’étais sortie du pensionnat prendre l’air du matin. J’étais ici depuis assez longtemps maintenant et je n’étais pas beaucoup sorti, préférant me mettre au cours, sans compter que je n’avais pas beaucoup d’amis. Il est vrai que je m’étais fais accoster par quelques personnes mais pas toujours des sympas.

Regardant autour de moi, je m’engageais dans quelques rues afin de trouver un bon endroit ou s’assoir. La, les rues étaient grandes, et pleine de monde. Je souris, ce n’était pas totalement différent de la France après tout. Sans faire attention je rentrais dans quelqu’un. Je relevais la tete avec empressement:.

-Oh pardonnez-moi, je n’ai pas fais attention.

-J'ai vu ca

Ouh la ! Pas charmant le gars ! D’ailleurs il avait l’air d’un voyou. Je recommençais a marcher lorsque j’eu l’impression d’avoir oublie quelque chose…Ma main trouva ma hanche sans sentir d’abord ma besace. Je me retournais, cherchant du regard le jeune homme que j’avais bouscule. La, une tête brune apparut, c’était lui. Je ne suis pourtant pas très courageuse mais j’ai courus afin de récupérer ma sacoche. Le voleur s’engagea dans une ruelle, je le suivis. Il se retourna et me sourit

-C’est ca que tu cherches ?

Il leva la sacoche avec le petit doigt, je hochais la tete, reculant d’un pas.

-Alors tiens.

Et il me la relança sans rien dire. Le temps que je l’attrape, il était parti. Il ne manquait rien dans ma sacoche, tous mes livres y étaient et heureusement pour moi mon portable et mon argent était dans une poche de ma jupe. Je m’asseyais sur le trottoir, car même si je n’avais pas couru des heures, le stresse m’avait fatigue et assise sur la pierre froide, le visage levé et les yeux fermes je sentis l’air picotant qui signifiait quelque chose, la chaleur du printemps tant attendu revenait. Et c’est ainsi, après m’être fait vole, que je passais un tres agréable moment.

Je n'avais pas grand chose à foutre de ma journée. Je m'étais déjà levée que trop tôt, même si je passais ma matinée à m’entraîner dans les diverses arts martiaux qui m'animait depuis toujours, surtout le shidokan ces derniers temps. Enfin, après ça j'allais terminer mon périple sous la douche à détendre mes muscles et retirer toute cette sueur qui était sur ma peau. Fraîche sortie de là, j'enfilais mes fringues typiquement militaire et je sortais à l'extérieur prendre l'air. Mes cheveux n'avait pas été teint en vert depuis déjà six mois, donc j'arborais une chevelure ébène depuis, mes yeux d'émeraude nettement plus en valeur.

À peine deux minutes dehors que je vins me glisser sur ma moto, une Harley, elle était noire mat, avec deux sièges et était du style plus basse que les moto normale. S'était un de mes joujou préféré en fait, cet ainsi que je parcouru les rues de Matsuyama, le temps que ma tank de gaz allait me durer.

Après au moins une heure, je décida de prendre une pause, surtout afin de pouvoir dégourdir mon arrière train si vous voyez où je veux en venir. Je me dirigea vers une machine distributrice et pris quelques breuvages, aussi bien m'en ramener un en revenant, alors que j'allais retourner à ma moto, je vis une fille pas mal écrasée sur un banc de pierre, profitant du vent, les yeux clos. Un sourire mesquin se glissa alors à mes lèvres, alors que j'avança vers celle-ci. Je vais m'asseoir à ses côtés, tout en glissant une canette froide contre la joue de celle-ci.

- Tiens, boit ça.

Je glissa la canette tout juste après entre ses mains, venant ouvrir la mienne et y pris de longue lampées, le tout faisant tout simplement du bien.

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