Du sable, de l'eau... un immigré chanceux [Pv: Makino Tsukushi]

Voilà près de quelques jours que Mark avait débarqué et il n'était jamais sorti de l'enceinte de Rayen. En même temps, il n'avait pas vraiment d'ami et c'était compréhensible: un immigré avec une sale gueule et pas un rond pour s'acheter de nouveaux vêtements... fallait voir les choses en face. Mais bon, ce n’est pas parce qu’il n’a pas de potes qu’il ne peut pas sortir se faire plaisir; et là c'était le moment; Mercredi après-midi, après la fin des cours. Il marcha un long moment pour visiter la ville, les grands bâtiments et les boutiques chics où les filles semblaient se ruer à l'annonce du mot "soldes". Mais bon, il n'y avait rien à faire en ville que de baver devant le vitre comme un de ces mignons petits orphelins que vous avez vite fait de prendre dans vos bras par compassion. Mark avait passé cet âge où il croyait au contes depuis bien longtemps faut dire.
Il décida de continuer vers l'Est et ne tarda pas à arriver face à la mer. En voyant cette grande étendue d'eau salée il se remémorait sa venue sur cette terre: lui contraint de nager encore et encore dans une eau froide et sale, la nuit quand il n'avait aucun phares pour l'aider.
Le navire avait continué sa route... da svidanya Mark.
Il s'avança alors sur le sable et regarda les alentours: il n'y avait pas foule et les gens ne lui prêtaient pas attention alors ça allait.
Il enleva ces chaussures et ces chaussettes, plongeant ensuite ces pieds usés dans le sable. De nature, il n'aime pas vraiment le sable, qu'il considère comme agressif et irritant. Mais pour une fois, c'était pas désagréable. Il prenait goût en sentant les grains se faufiler entre ces orteils; mais il peinait ensuite en pensant au sable qui allait remplir ses bas, là sa ne serait pas terrible.
L'immigré soupira et fini par s'allongé dans le sable, ne regardant que les nuages.

Alors que makino monter a cheval dans la ville . Elle fini par faire reposer son cheval au bort de la mer . Elle aimer tant l'odeur de l'eau saler , puis le grand air frais de l'hiver . Mais ce quelle aimer pas du tout c'était les glandeur . Alors qu'elle ramener garnette a l'écurie du centre equestre du penssionat RAYEN . Elle pris un sac est repartie près de la ville , elle marcher marcher et encore marcher , pour enfin arriver a la mer . Elle ne voyer pas beaucoup de personne . Mais les regard etait tourner sur son passage . Elle avais une longue cheveulure roser , avec de grand yeux violet claire elle etait aussi grande et mince que c'est amis . Elle en leva sais chaussure , et alla sur l'eau de la mer tranper c'est petit pieds chaud après un entrainement d'equitation .Elle aimer s'amuser sur l'eau , elle adorer l'eau est tout les petits poisson qui fesais des tour autour de c'est pieds . Quand elle eu fini dee s'amuser avec les petit poisson , elle s'allonga sur le sable . Elle aimer pas le sable , parce qu'il se dispercer dans c'est long cheveux , est lui remplisser ses chausure . Elle fini par ce lever et regarda autour d'elle . Elle vis qu'une seul personne . Il sembler que ce soie un garcon .Un garcon assez mignons . Il lui sembler un peu sale , mais elle se dit , qu'il ni avais que le coeur qui compter .Elle s'approcha du jeune homme , il sembler etre en admiration en vers le ciel . Elle s'allonga a coter du jeune homme et puis dit :

On joue a quoi ?

Les nuages commencèrent à décliner, dévoilant le soleil, aveuglant soudainement Mark. Il mit alors ces mains face à devant ces yeux pour ne pas être ébloui d'avantage.
C'était un peu ironique quand on y pense: fallait dire que Mark avait grandi dans l'ombre des rues de Moscou et c'est toujours dans l'obscurité qu'il avait vécu avec un seul espoir: qu'il verrait le jour, ciel bleu, soleil et non nuages gris, flingues et compagnie. Pour une fois qu'il voit ce qu'il à toujours voulu voir, il se cache les yeux comme les vampires dans les vieux feuilletons. En même temps il était habitué à la monotonie de son ancien foyer: ciel toujours gris, sinon caché par les immeubles de la ville (sans oublier la pollution dans le ruisseau), le proprio qui te gueule sans arrêt dessus, une ou deux berlines à piquer pour le boss, boulot minable, dodo.
Il pensait à un peu de tout ça; ces souvenirs ne cessaient de graviter dans sa tête.
Soudain quelqu'un s'approcha et vint s'allonger. Sur le moment, l'immigré se demandait bien si la jeune fille était aveugle ou si elle cherchait de la compagnie.

"On joue a quoi ?"

Que répondre à cela? rien vu qu'il ne jouait pas mais en même temps ne pas lui répondre n'aurait pas été poli.
Il regarda son interlocuteur: c'était une jeune adolescente aux cheveux roses avec des yeux violets.

"Euh...je joue à rien... faire juste que regarder nouage flotter..."

Mark faisait peut-être des progrès en français mais il était encore loin de le manier parfaitement. Et puis il ne pouvait cacher son accent russe: ou pour dire u, les r qui roulent...
Enfin bref, ça donnait un mélange un peu étonnant, assez embarrassant pour Mark, car il se disait toujours que son accent pourrait facilement faire fuir les gens qu'il rencontre (ou presque).

"Et toi...que faire toi ici?"

» TSUKUSHI Makino
» Makino sous la pluie LIBRE

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