Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Alors que le soleil laissé place aux nuages noirs gorgés d'eau, le jeune Coréen se démené bec et ongle pour transporter tout un attirail étrange et qui n'avait pas ou peu de valeur, sauf pour lui, charger de bons souvenirs de famille, datant du temps où tout sa famille était au grand complet et où sa famille ne faisait que rire encore et encore, mais c'était il y a bien longtemps et plus jamais il pourrait ré-avoir ce genre de relation avec sa famille. Sa chambre était bien vide pour un samedi soir, mais ce n'était pas tellement étrange puisque la plus part des jeunes sortaient en ville, en groupe ou en amoureux, mais il s'en fichait pas mal et il est même bien heureux de savoir que le pensionnat serait vide pour toute la soiré, ce qui le réjouissait totalement et pleinement. Quittant son lit pour se diriger vers son armoire, Kim trifouilla quelques petites secondes dedans pour rechercher un pull et une vielle couverture, qu'il fourra très rapidement en boule dans son sac à dos où se trouvait déjà quelques paquets de biscuits ainsi que des choses et à boire et d'étrange boite ronde en fer où se trouvait tout simplement de vieux, très vieux film sur bobine, en noir et blanc et bien entendu muet. Il ne lui restait plus que maintenant à prendre le vieux lecteur qui était utiliser pour ce genre de film ainsi que le trépied qui était avec et enfin il était paré à ce faire une projection de vieux film en noir et blanc. Le tout en mains, il referma la porte de sa chambre à l'aide de ces jambes, par un petit mouvement astucieux et marchait tranquillement dans le couloir, ayant presque un petit pas sautillant, certainement provoqué par sa joie, mais rien de bien étonnant vu qu'il n'avait pas regarder ce genre de film depuis fort bien longtemps. Après quelques petites minutes de marche dans les couloirs, suivit des escaliers, le jeune Kim rencontra un surveillant qui était bien intrigué par tout son attirail, pensant très certainement que le sourd allait faire quelques choses de pas tellement net, ce qui n'était plus dans ces habitudes maintenant. « Hey! Toi où comptes-tu aller chargé comme ça? » Parla en vain le surveillant qui n'était pas dans le champs de vision du Coréen. Si bien qu'un peu excédé l'homme qui faisait parti du personnel de Rayen attrapa le jeune homme par le bras d'un geste assez violant, risquant presque de faire tomber la caméra qui se transmettait de génération en génération dans la famille Jeon, ce qui valait bien plus que n'importe quel prix. Si bien que le jeune sourd grogna quelque peu, mais se tue très rapidement lorsque son regard arriva au niveau du surveillant. « Je répété où vas-tu? » Parla le surveillant lentement et en articulant chacune des ses syllabes, comme pour essayer de déstabiliser son l'élève. Ce qui ne servit à rien du tout, mais qui bien au contraire aida parfaitement le jeune homme à bien comprendre ce que le membre du personnel lui demandé, si bien le Coréen lui offrit un petit sourie comme il avait apprit à les faire, mais qui n'était ni sincère, ni gentil, mais pas pour autant méchant, juste sardonique. « Je vais dans la grande salle pour un film. » Parla-t-il lentement en accentuant son handicape et l'utilisant cette fois-ci à son avantage. Il se dégagea doucement de l'emprise de la main du surveillant et tendis vers lui la vielle caméra qu'il avait entre les mains pour lui montrer qu'il ne mentait pas et vu l'engin vétuste qu'il avait entre les mains, celui-ci indiqué facilement au membre du personnel qu'il ne mentait pas. « Cinéma muet. » Continua-t-il. Il attendit patiemment la réponse du surveillant, mais qui ne venait pas et il commençait à avoir mal à force de sourire bêtement comme il le faisait. Si bien qu'après quelques secondes d'attente, le surveillant lui lâcha un simple « bien » et reparti faire sa ronde ce qui ne déplaisait pas au jeune Coréen, qui quand à lui parti en direction de la grande salle afin d'utiliser le mur blanc. Et c'est ainsi qu'il se dirigea vers la grande salle qui était vide et où il espérait de rencontrer personne.
Maki Saitô Ne te limite pas aux apparences
Messages : 145 Age du perso : 18 ans ♥ Côté coeur : ..................=> Va lui demander.
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3ème année ♣ Colocataires: n°07 avec Rin Nakamura , Jimmy Rhage , Cassiopea Zaccaron ♣ Relations:
Sujet: Re: Le cinéma muet. Mar 17 Juil - 16:40
Puis-je seulement t'apporter mon aide ?
Inspiration … Inspiration … INSPIRATION ! Bordel de merde mais vient ! J’étais planchée sur cette toile vierge depuis maintenant plus de deux heures et rien … Le néant. Je ne comprenais plus rien … Deux heures plus tôt je mourais d’envie de peindre, je sortis donc un crayon, une gomme et une toile afin de commencer par une esquisse. Jusqu’à là, tout va bien, tout est logique mais ensuite et bien … rien. Rien ne me vint à l’esprit et je ne savais pas par quoi commencer. Exaspérée par le manque d’inspiration, je quittais la chaise sur laquelle j’étais posée depuis trop longtemps à mon goût. Je décidais donc qu’il était temps de sortir un peu de cette chambre et de s’aérer l’esprit.
Cependant, au moment de vouloir ouvrir la porte, je remarquais que j’étais en jogging et en débardeur. Bon ok j’en avais plus rien à faire de ce que pensent les autres mais à cela s’ajoutais le fait que je n’étais pas coiffée et que j’avais toujours mes lunettes. Bon, je reculais de quelques pas pour faire un détour dans la salle de bain. Là, je choppais la boite de lentilles, je retirais mes verres et les enfilais. Une chose de faite, pensais-je. Je me coiffais d’un simple coup de brosse et jetais mon jogging au sal afin d’attraper le jean troué aux genoux posé sur le rebord du radiateur. Le débardeur, celui là, était encore bon. Je ne tardais pas à ressortir de la pièce, à attraper mon portable posé sur ma table de nuit et à quitter la chambre en prenant soin de ne pas oublier les clés … Ce serait con. Bon, une fois dans les couloirs, je n’étais pas plus avancée que ça, en fait. Que faire ? Voilà la grande question … Je regardais ma montre …. 19h30, un samedi soir, y a pas à dire, il n’y avait personne dans les environs. Je profitais de cet instant en déambulant sans réel but. Je pensais qu’à force de marcher sans but précis dans le pensionnat, je rencontrerais quelqu’un ou quelque chose d’intéressant mais faut avouer que le weekend, lorsque l’on a pas d’amis y a rien de plus ennuyant.
Subitement, à ma grande surprise, j’entendis une voix, c’était certainement un surveillant. Y avait qu’eux pour poser des questions pareilles :
- Hey! Toi où comptes-tu aller chargé comme ça ?
Je laissais échapper un soupire, comme s’ils ne pouvaient pas tout simplement nous foutre la paix. Je n’avais pas vraiment l’intention de les espionner mais j’étais désormais juste à côté deux. Je ne voulais pas vraiment les interrompre et puis je n’avais rien à faire. Je n’étais pas non plus de nature curieuse mais j’étais étonnée de ne pas entendre de retour. En théorie, on leur répond, même si c’est « va voir ailleurs si j’y suis » mais on leur répond mais là, rien. Intriguée, je jetais un coup d’œil en leur direction en restant derrière le mur en angle. L’interlocuteur du pion était un jeune homme chargé comme un mulet. Pas étonnant qu’il lui demande où il va, on aurait pu penser qu’il préparait une bombe nucléaire dans son garage. Je ne le vis que de dos, il poursuivit son chemin comme si de rien était, comme si personne ne lui parlait mais il en fallait plus pour démonter le chien de garde. La preuve, dans les secondes qui suivirent, il lui empoigna le bras, le forçant ainsi à se retrouver nez à nez avec lui, lui faisait presque tomber la caméra qu’il tenait entre ses bras.
- Je répété où vas-tu ?
Il n’avait pas l’air commode, le pion. J’observais attentivement le jeune homme qui semblait regarder les lèvres du surveillant attentivement. Je pus aussi remarquée, à force de l’observer, qu’il ne semblait pas être un pure japonais mais ça c’était un détail. Il y avait quelque chose qui clochait et je ne savais dire quoi … Mais je ne tardais pas à me rendre compte pourquoi j’avais l’impression qu’il était différent.
- Je vais dans la grande salle pour un film, articula le garçon en accentuant son handicap. Oui, il n’y avait pas de doute, il était sourd.
Pourquoi donc aurait-il sinon porté autant d’attention à ses lèvres ? Et pourquoi parlait-il en articulant mal ? Mais un doute planait encore en moi … Pourquoi un sourd irait-il voir un film ? Il y avait un tas d’autres trucs à faire que regarder un film … Lire un livre serait plus approprié non ? Bon chacun sa vie, après tout mais il ajouta :
- Cinéma muet.
C’était comme s'il lisait dans mes pensées ! Tout s’éclairait. Je lançais un dernier coup d’œil dans leur direction et je pus constater que le sourd avait dégagé son bras de l’emprise du surveillant tandis que ce dernier hocha la tête en lâchant un simple « bien » à contre cœur. Il n’était pas habitué à avoir le dernier mot … Le lycéen s’en alla donc là où il comptait regarder son film … C’était où déjà ? Dans la grande salle … En y pensant, j’y étais jamais. Je pourrai peut-être y faire un tour, comme par hasard.
J’attendis donc qu’il s’éloigne pour me lancer à sa poursuite. Après tout, je n’avais encore jamais vu un cinéma muet. Je passais à côté du surveillant mais il se contentait de monter les yeux en l’air du style « t’as rien de mieux à faire un samedi soir qu’être ici » mais il se retint et poursuivit sa ronde. Je le rejoignis rapidement, plus rapidement que prévu car nous n’étions toujours pas arrivé à destination. Cependant, je ne voulais pas rester là derrière lui à attendre qu’il se tape tout, tout seul. J’accélérais le pas et une fois arrivée à sa hauteur, comme il ne pouvait pas m’entendre, je passais devant lui avant de faire un demi-tour. J’étais désormais face à lui, l’obligeant ainsi à s’arrêter à moins qu’il voulait me passer par-dessus ? Il n’avait pas l’air très satisfait de ma présence mais je ne me démontais pas pour autant et pris une grande inspiration.
- Salut, je m’appelle Maki Saitô, j’ai entendu votre discussion avant et je voulais savoir si je pouvais t’aider à tenir quelque chose et pourquoi pas, regarder une partie du film, si cela te dérange pas ? Demandais-je. Je pris soin d’articuler lentement pour qu’il puisse lire sur mes lèvres.
En tant normal, je lui aurai tendu la main mais je doute qu’il puisse l’attraper vu qu’il était chargé comme un mulet. Je me contentais donc de lui lancer un sourire.
Après la petit intercale avec le surveillant qui faisait sa ronde dans la cour, le jeune Kim, avait rehaussé son équipement qu'il tenait dans ses mains afin d'éviter qu'il ne tombe à terre et mette à mal la soirée cinématographique et brise à tout jamais les vieux souvenirs d'une vie passé faste et aimant et une partie de l'âme des Jeon. Ainsi il reprit son chemin, avançant d'un petit pas tranquille et partant en direction de la grande salle, où aucune lumière ne s'échapper des lucarnes sur le toit. Rien qu'à cette vu il savait qu'il serait tranquille et qu'il pourrait enfin respirer, sans faire attention à ce que les autres parlent de lui, mais ce fut presque en vain. Très rapidement ces espoirs s'envolèrent d'un coup lorsqu'une ombre le dépassa juste avant l'entré de la grande salle, laissant dans la pénombre dessiner la silhouette d'une jeune femme. Ainsi le jeune homme se retrouva obliger de piller net pour ne pas lui rentré dedans et risquer d’abîmer sa précieuse caméra qui mettrait ses projets à l'eau. Dès lors il se décala sur le côté et essaya de relâcher sa main posant le trépied à terre et il se mit à tâtonner à l'aide de sa main contre la surface du mur de parpaings à la recherche de l’interrupteur afin d'allumer la lumière et mieux voir la jeune femme qui se tenait devant lui. « Salut, je m’appelle Maki Saitô, j’ai entendu votre discussion avant et je voulais savoir si je pouvais t’aider à tenir quelque chose et pourquoi pas, regarder une partie du film, si cela te dérange pas ? » Parla la jeune femme distinctement. Allumant juste à temps la lumière pour arriver à les sur les lèvres de l’adolescente, Kim roula légèrement les yeux vers le ciel un peu exaspéré. A vouloir trop en faire elle me prend vraiment pour un idiot... Pensa-t-il. Dès lors il se mit à souffler longtemps et repris dans ses mains le trépied qu'il venait juste de poser sur le sol et la poussa la jeune fille qui se trouvait sur son chemin, quelque peu pour continuer à avancer vers les tapis qui se trouvaient dans le coin de la grande pièce. « Yo, moi c'est Kim Park Jeon et si tu le souhaite tu peux rester, en revanche je ne crois pas qu'il y a le moindre piano ici donc bon. Tu n'auras pas le son, juste l'image. » Parla-t-il dans le vide. Arrivant enfin aux niveaux ds tapis il se déchargea de son fardeau fort pesant, le laissant couler doucement vers le tapis afin d'éviter que la caméra ne reçoit aucun coup. Dès lors, il se retourna pour regarder où il mettrait la caméra afin d'avoir la plus grande image possible. « Rien contre le fait de voir un classique du cinéma? » La questionna-t-il. Il prit le trépied dans ses mains et se dirigea vers un coin de la pièce, à l'opposer afin de le poser et de choisir l'endroit et l'angle parfait pour avoir une meilleur image.
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Le cinéma muet.
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