| Sujet: » Abigaël Mc Carthy Mar 1 Mai - 21:56 | |
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[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Abigaël Mc Carthy Alors, qui es-tu ? NOM(S)&PRÉNOM(S): Abigaël Mc Carthy AGE: 17ans NATIONALITÉ: Japonaise/Anglaise ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro ANNÉE SCOLAIRE: Seconde année GROUPE: Brutal Peoples POURQUOI CE GROUPE: Lit mon caractère, mon poulet PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Hitagi Senjougahara
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Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.« Tu veux savoir a qui tu as affaire journal ? C’est vrai que tu n’as d’yeux, mais juste qu’on pourrait dire ta un contact direct avec l’encre de mon bic, et tu sais le lire. Enfin, je vais être gentille et te dire qui je suis, même si tu finiras par tout savoir pour ce qui est de mes histoires d’amour, peine, .... Déjà, je suis de nature discrète donc partout où j’irais, on ne me remarque pas sauf si bien sur on regarde bien. Je ne suis tout de même pas invisible, du moins à ce que je sache… Je suis spontanée, car quoi que vous me diriez, j’aurais toujours le dernier mot, quelque chose à dire. J’aime surtout c’est critiquer ce que je vois, même un simple meuble, un bête truc, comme une télécommande ou un verre. Je suis, sans me prendre la grosse tête, intelligente et brillante, quand on me regarde, je suis souvent souriante ce qui donne aux gens l’envie de venir me parler, j’ai quand même un fort caractère. Ce fort caractère on le classe dans ce que l’on nomme les tsundere et je peux passer de la fille à peu près aimable à une créature redoutable. Calme et sérieuse, j’ai que une petite bande d’amis à cause de mon caractère et aussi car je préfère avoir un cercle d’amis restreint et fidèles qu’une bande dont les trois quarts ne sont qu’au final de simple connaissance. Je déteste par-dessus tout c’est que l’on me marche sur les pieds, que l’on se mêle de mes affaires et qu’on parle de moi dans mon dos. Ce genre de personne je voudrais bien les assassiner parfois, je ne sais même pas ce qu’ils foutent sur cette terre. Et quand à l’humour, mieux vaut, si vous tenez à votre vie, de penser vos mots avec moi. Je peux très mal le prendre si je pense que l’on se moque de moi ; je suis irritable et les conséquences sont assez violentes. Et, je n’éléverais pas trop la voix quand je serais énervée, juste que j’agirais en frappant et parlant directement en disant l’essentiel. Sa finit généralement par des dégâts physiques, je prends tout ce qui me vient sous la main, mais si je vois des objets de cours, c’est toujours sa que je prends ; car au fond je suis de nature sadomaso quand je m’y mets. Alors conseil, ne m’énerve jamais où toute la terre tremblera. Je suis autrement tenace, je sais ce que je le veux au point que je deviendrais une vraie tête de mule. En dernier lieu, pour ce qui est de mon comportement avec les personnes, cela dépens de l’affinité que j’ai avec ; si je trouve la personne inintéressante je finirais par ne plus faire attention à le personne, au point qu’il parlera au vent, il deviendra un fantôme pour moi. Si je trouve la personne énervante, idiote, boulet mieux vaut qu’on se taise et partir en courant avant que sa finisse mal comme je te l’ai expliqué juste au dessus. Et, si là je la trouve intéressante, je discuterais sans problème avec et me montrerais même amical. Avec mes amis, avec qui je m’entends très bien, je me ‘lâche’ facilement, déconnant sur un oui et non, lâcherait des conneries sans aucun sens, et je serais toujours là à son écoute, ne supportant par de les voir triste j’essayerai d’arranger l’histoire à ma manière même si sa peut faire mal. »
Je n'ai pas de problèmes avec mon physique de jeune premier.« Quoi? Tu veux savoir aussi mon physique? Oh si tu y tiens, hein... Niveau ma taille, elle est parfaite pour une fille de mon âge, je ne suis ni trop grande, ni trop petite, c’est un avantage faut dire, et pour mon poids je ne suis pas trop maigre au point de ressembler à une sous-alimentée. Sans me vanter, je trouve que j’ai de belles formes, mais sa me déplait d’un côté car j’aurais préféré en avoir une plus petite. Car les garçons me font parfois la remarque que pour mon âge, j’en ai déjà une grosse paire comme ils aiment si bien dire. Je préfère largement que l’on m’aime pour ce que je suis intérieurement, que vouloir me qualifier par mon physique. J’ai des cheveux assez longs, qui vont jusque mon postérieur, et ils sont d’un violet éclatant, c'est bizarre je sais comme couleur mais j'avais des cheveux d'une couleur qui ne me plaisait guère du coup je les ai plus foncé en faisant une coloration, et ils sont souvent détacher, j’aime bien les laisser voler derrière moi quand il y a du vent, on me voit rarement avec un élastique. Et pour ce qui est du reste de mon visage, j’ai des yeux bleus foncés qui semblent innocents, un petit nez, des pommettes hautes, des lèvres charnues qui appellent au baiser. Je suis une fille qui aime prendre soin d’elle, même si j’essaye d’éviter trop les regards des garçons pervers, j’aime tout de même me rendre au minimum belle ; je porte des bijoux qu’on entend souvent cliqueter à mon poignet quand je me promène. Je porte autour de mon cou un collier, un souvenir, en forme de cœur, qu’on sait ouvrir avec une photo de moi et mon ex. Je n’aime pas du tout, c’est les tatouages, je trouve que sa abîme bêtement son corps, même si j’avoue j’ai déjà été tentée pour en mettre un. Je pense t’avoir tout dit, donc je vais te laisser pour ce qui est de sa et on se reverra quand je te parlerais enfin de ma vie… »
Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.« Cher Journal, je suis de retour pour maintenant t’expliquer mon enfance, jusque maintenant. Je vais juste te parler d’évènement un peu important, car si je dois commencer à tout te dire on n’y arrivera plus. Bref, je suis née le trente et un décembre à vingt-trois heures trente. De quoi gâcher le nouvel an de ma mère, elle m’a mit au monde sous la souffrance et les hurlements. Je venais à peine de faire mon premier pas, et ouvrir mes yeux vers le minable monde dans le quel on vit, que je criais déjà et souffrait. A croire que ma vie allait être toujours ainsi, mais à ce moment là j’étais trop petite pour penser ce genre de chose, et je n’arrêtais pas de crier pour faire comprendre à ma mère et les autres personnes vêtues d’un vêtement blanc que je souffrais parait-il que ma maman m’a expliqué… Ah, si je pouvais n’empêche changer sa pour ne pas qu’elle souffre autant.
Maman m’a expliqué que les docteurs lui avaient dis que c’était la première fois qu’un nouveau né pleurait autant, et ils s’étaient un peu inquiétés pour mon cas. Mais c’est seulement à mes six ans qu’ils ont découvert ce que j’avais. Avant de te dire sa, je vais retourner encore avant dans mon enfance. J’ai vécu dans une grande maison, accompagnée de mon père qui était un acteur, du faites on devait beaucoup partir et voyager ; ma mère elle est journaliste. De quoi être bien payé, moi je suivais beaucoup mon père, et ma mère étant donc seule finis par suivre papa, et moi lors de ses tournées pour ses films. On passait quand même nos vacances dans notre maison, le reste c’était en dehors de ma ville natale. De ce faites, je n’avais pas pu me faire des amis de longue date.
Bref revenons où j’en étais tantôt, j’ai encore eu des problèmes, cette douleur que j’ai eu autrefois. Je manquais d’air, on a même du m’emmener en urgence pendant une scène de film. Trois heures après, mes parents apprirent que j’avais des problèmes de respiration, et qu’ils ne pourraient pas faire grand-chose pour moi pour l’instant. Moi je l’ai mal prit, car je devais porter sur moi un inhalateur, et le porter même en classe. Donc, t’imagines tout les rires moqueurs que je devais supporter pour sa… Je le vivais mal, ce qui m’a fait un peu naitre mon mauvais caractère car je finissais à les envoyer chier, mais sa n’empêchait pas qu’ils continuaient à se foutre de ma gueule. De vrai tête de mule eux. Moi, même si je souffrais, je voulais me mettre dans le même métier que mon père, et je me suis fait un peu connaitre très vite par mon don en comédie. J’ai fais jusque mes dix ans des films avec lui, et plus tard toute seule avec d’autres personnes que je ne connaissais pas au début. C’était très marrant, je dois l’avouer. Et les films parfois sa me faisait vivre l’histoire que j’aurais voulu vivre.
Un jour, lors de mes treize ans, en cours, je fus reprise d’un grand manque d’air, et je suis tombée dans les pommes. Je me suis réveillée dans un lit d’hôpital, où se trouvait, pour mon plus grand étonnement, un garçon de ma classe. Il était très inquiet pour moi, tout comme mes parents qui avaient sautés sur moi –expression- tellement qu’ils étaient heureux de me voir me réveiller. Je leur demandais ce que faisait le garçon, prénommé Ittoki, là. Ils m’ont expliqués qu’il s’était beaucoup inquiété pour moi, et qu’il a voulu me suivre. J’avoue que sa m’a fait plaisir, car il ne m’avait jamais montré cette inquiétude pour moi autrefois.
Je retournais en cours deux semaines après, car j’avais du me faire opérer. Encore, pour mon plus grand étonnement, tout ceux de ma classe s’inquiétait pour moi, et là ce n’était plus des ricanements pour ma part, mais des mots gentils qui étaient troublant car c’était comme si ils avaient changés de face en une seconde. Pour ce qui était de Ittoki, on ne se quittait plus, et quelques semaines après je découvris que j’éprouvais des sentiments forts pour lui, et heureusement pour moi, ces sentiments étaient partagés et on a finit ensemble. On était tellement heureux tout les deux, avec ceux de ma classe sa allait mieux mais j’avais toujours de la haine envers eux car il a fallut cette évènement pour qu’ils changent d’avis, et sa m’empêchait pas même d’envoyer chier le reste de l’école, on avait même failli me renvoyer car j'avais envoyer un garçon à l’hôpital, mais mes parents aimaient tellement cette école qu'ils ont donnés une grande somme à l'école pour me faire pardonner.
Tout allait bien pendant un an et quelques mois, jusqu’au jour où je dus quitter le village car je devais passer un nouveau casting qui était dur, et sans mes parents cette fois. Je voulais tellement y participer, sauf qu’Ittoki me stoppait, je voulais rester avec lui. Mes parents m’obligèrent, et je du obligatoirement partir à trois heures. Il me restait plus que trois heures pour que je m’apprête et prévienne les autres, sauf que mes parents m’avaient tellement stressés que j’avais pu passer que un message à Ittoki, pour manque de temps, où je lui expliquais brièvement que entre nous deux c’était finis, car je n’arriverais pas à vivre sans lui avec la distance et juste le contacter avec des messages, je ne voulais pas souffrir pour sa..
Enfin bref, mon film se passa avec merveille, c’était du grand boulot, il avait duré sept mois. A mes dix-huit ans, je décidais d’arrêter un an la comédie pour aller faire une dernière année à l’école, car j’avais l’impression que mes points diminuèrent trop vite à mon goût. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans ce nouveau établissement pour ma dernière année à l’école. Sérieusement, je ne sais pas ce qui m’attend, mais personnellement je le sens bien même si j’ai toujours un manque de mon ex, j’aurais tellement souhaité le revoir… »
Et derrière l'écran ? AGE: 16ans PAYS: Belgique DOUBLE COMPTE ?: Non, et je ne compte pas en avoir un deuxième. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: Top-site si mes souvenirs sont bon ! Je sais plus, j'avais mis le Forum en favoris pour m'y inscrire plus tard, du coup j'ai oublié depuis le temps.. AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ?: Je suis un pingouin des eaux douces. o/ |
Dernière édition par Abigaël Mc Carthy le Mer 2 Mai - 0:54, édité 2 fois |
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