Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 Un appel au secours... [Libre]

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Anonymous

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MessageSujet: Un appel au secours... [Libre]   Un appel au secours... [Libre] Icon_minitimeMer 28 Nov - 16:24



« Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!! Papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!! Nooooon!! Reviens!! »


Et comme d'habitude, son père lui tournait le dos et s'en allait, abandonnant la petite Aïko, la laissant livrée a elle même.

Elle se réveilla en sursaut et s'assit dans son lit, le visage ruisselant de larmes. Cet éternel cauchemar l'effrayait toujours autant, de par le fait qu'il était extrêmement... Réaliste. En même temps, ça lui était vraiment arrivé. normal que ça la perturbe autant. Elle reprit lentement son souffle et prit son téléphone. Il était trois heures du matin, et elle n'avait toujours pas de message de Kaito.. Il ne lui donnait aucunes nouvelles depuis quelques temps.. Ce qui la faisait extrêmement souffrir.

Elle était déboussolée, et laissa son portable tomber au sol, en réprimant ses sanglots. Elle sortit de son lit et alla droit a son placard, où elle prit un jean bleu clair et une tunique blanche, par dessus lesquels elle enfila un gilet noir, dans lequel elle flottait. Elle prit son Mp3, qu'elle fourra sans y faire vraiment attention dans la poche de son pull, puis ramassa son téléphone au sol avant de chausser ses Doc Marteens noires, et de quitter la chambre, le plus silencieusement possible. Elle se faufila dans les couloirs et faillit se faire prendre par les surveillants a plusieurs reprises, mais elle réussit a arriver à la grille du pensionnat sans encombre. Elle commença a escalader la grille, non sans peine, et passa de l'autre côté en ne se faisant que quelques égratignures sur les mains et en manquant de tomber plusieurs fois. Mais elle avait tenu bond et réussi a sortir de ce pensionnat de malheur qui ne la faisait que l'enfoncer au fur et a mesure du temps.

La jeune femme aux cheveux longs commença a marcher, sans but précis, elle ne faisait que errer dans les rues sombres de Matsuyama, qui était relativement calme de nuit. Elle se dit que c'était normal, que la plupart des habitants de cette ville étaient les pensionnaires, et que les autres devaient être probablement au bar ou chez eux. En parlant de bar, quand elle passa devant, la tête baissée, un homme empestant l'alcool l’accosta en la prenant par le bras. « Hey mam'zelle, V'nez donc boire un p'tit verre! » Elle se dégagea brusquement, ne voulant pas qu'il lui arrive quoi que ce soit, se doutant que cet homme ne devait pas être en position de réfléchir correctement. Elle lâcha d'une voix froide et distante en accélérant la cadence « Lâchez moi s'il vous plait. Je ne bois pas et j'ai quelque chose à faire... ». Sa réaction était disproportionnée, mais l'idée qu'elle avait en tête lui demanderait beaucoup de force, mentale, et elle ne voulait pas dévier de son objectif. Elle frissonna, et continua a marcher tout droit, et elle croisa une station de Tramway. Elle s'arrêta devant le plan, et le regarda, sans savoir vraiment pourquoi. Quand elle lut "Château de Matsuyama (09h00-17h00), Station d'Okaido.", son cœur, froid depuis un certain temps recommença a battre. Savoir qu'elle allait enfreindre la loi la faisait "revivre". Malgré le fait que si elle se faisait prendre elle attirerait des ennuis à sa cousine, et qu'elle la décevrait. Elle voulait aller a ce château, au moins là bas elle aurait la paix.

Elle sauta dans le premier tramway qui passa, en glissant les mains dans ses poches, et elle sentit son mp3. Assise dans le Tram, elle s'aperçut qu'elle était seule et elle sortit le baladeur avant de glisser les oreillettes dans ses oreilles (V'la le pléonasme --') sans toutefois l'allumer. Arrivée à destination, elle descendit de son moyen de transport, et balaya du regard ce qu'il y avait autour d'elle. Soit du vague et la silhouette sombre et imposante du château qui se détachait de l'obscurité grâce a la lune qui était pleine et le ciel qui était étoilé. Les étoiles... Elle n'essayait même plus de compter le nombre de fois ou, plus petite, elle avait été regarder l’immensité qu'est le ciel avec son père. Elle prit le téléphérique, toujours seule. C'était étrange que le téléphérique et le Tramway soient toujours en marche, alors que l'attraction touristique était fermée. Mais peu lui importait. Elle ne serait bientôt plus de ce monde et tout irait bien pour les autres personnes une fois qu'elle ne serait plus la pour les déranger. Se demandant si elle aurait le courage de vraiment mettre fin a ses jours, elle marcha à pas lents vers le château, retenant ses larmes.

Elle en fit plusieurs fois le tour, ne trouvant aucun accès pour entrer dans la forteresse, ce qui la fit s'effondrer. Elle n'en pouvait plus, et ne savait plus ou elle en était. Au bout d'un certain temps elle se releva et refit le chemin en sens inverse. Au tram, elle s'arrêta près de la forêt. Cette immensité obscure l'intriguait. Elle s'y engouffra, sans même penser a s'éclairer avec son portable. Elle trébucha, buta sur des racines et tomba à de nombreuses reprises. Mais à chaque fois elle se relevait, son idée de mettre fin à ses jours de plus en plus ancrée dans son esprit.

Les bruits de la forêt l'effrayaient, et elle alluma son baladeur pour les masquer. Elle choisit une chanson qui collait parfaitement avec son état d'âme. "I was here", "J'étais là". D'une artiste que tout le monde connaissait pour ses chansons pop et commerciales. Beyoncé. Mais cette chanson là, parlait de sa propre mort.. Elle allait la mettre quand elle entendit un bruit d'eau. La cascade! La cascade était non loin! Elle accéléra la cadence, toujours sans musique dans les oreilles. Le rideau d'eau ne demandait qu'à être franchi. Elle fourra tous ces appareils qui craignaient l'eau dans les poches de son jean, et commença a sauter de pierre en pierre, jusqu'au pied de la cascade. Elle ferma les yeux et respira un grand coup avant de franchir la barrière d'eau.

Elle atterrit sur un grand rocher plat et glissant, elle était trempée, ses longs cheveux lui collaient au dos... Elle attendit d'être un tant soit peu plus sèche, et se déchaussa, enleva son pull, sa tunique, et enfin son jean. Elle frissonna, il faisait froid et humide dans cette grotte, mais rester avec ses vêtements mouillés était pire. Elle s'aperçut qu'elle était entourée de bouts de verre. Elle reprit son baladeur, et fit démarrer la musique en tremblant... Dès que les premières notes de l'introduction raisonnèrent, elle fondit en larmes et alla s'adosser à une des parois de la grotte.

Elle saisit un gros bout de verre près d'elle dans sa main droite et l'approcha lentement des veines de son bras gauche.. Elle allait commencer a se tailler les veines, mais les paroles de la chanson commencèrent.



I wanna leave my footprints on the sands of time
Know there was something that, something that
I left behind
When I leave this world, I'll leave no regrets
Leave something to remember
So they won't forget

I was here...
I lived, I loved
I was here...
I did, I've done, everything that I wanted
And it was more than I thought it would be
I will leave my mark, soul, everyone will know
I was here...



Elle voulait qu'on se rappelle d'elle, elle ne voulait pas qu'on l'oublie. Elle avait espéré compter pour Soen, mais c'était trompée, puis pour Kaito, mais il l'avait trompée, et après elle l'avait fait souffrir en ne réussissant pas à le pardonner dès le début. Mais elle avait réussi a tourner plus ou moins la page... Elle commença a se couper le bras avec un air résolu, mais poussa un cri de douleur. jamais elle n'y arriverait, elle était trop douillette et elle n'aurait pas assez de volonté....



I wanna say I lived each day, until I died
You know that I, been something in, somebody's life
The hearts I have touched, will be the proof that I leave
That I made a difference, and this world will see

I was here...
I lived, I loved
I was here...
I did, I've done, everything that I wanted
And it was more than I thought it would be

I will leave my mark, soul, everyone will know
I was here...

I was here...
I lived, I loved
I was here...
I did, I've done, everything that I wanted
And it was more than I thought it would be
I will leave my mark, soul, everyone will know
I was here...



Petite elle avait vécu chaque jour, et savouré ce qui l'entourait. Mais depuis la disparition de ses parents, elle avait perdu ce gout de la vie, tout la joie de vivre dont elle était capable plus petite.
Toucher des cœurs? Elle en doutait fortement. Elle avait l'impression de n'être qu'un poids pour ceux de son entourage. Un poids qui allait bientôt disparaître, comme les étoiles dans la journée. Elle laisserai la place à un soleil, mais ne reviendrait pas la nuit suivante. Oui, elle laisserait la place à un soleil, dans le coeur des gens. Dans celui de Kaito, il trouverait bien une fille digne de lui, pas comme elle qui était jalouse et possessive et dépressive par dessus le marché. Dans celui de sa cousine, qui pourrait enfin commencer a vivre sa vie, se trouver un mari et fonder une famille sans avoir a s'occuper d'elle.

Elle continuait a se lacérer le bras, pleurant de douleur. Physique et psychologique. Chaque coupure qu'elle se faisait était pour chaque fois où elle avait vu de la souffrance dans les yeux de ses proches. Nino, Soen, Kaito. Nino, Soen, Kaito.
Elle n'en pouvait plus. Son père lui manquait, sa mère lui manquait, et elle se sentait inutile.

Elle s'acharna sur son bras, écoutant la musique encore et encore. Elle avait vécu, elle avait aimé, elle avait été la. Mais tout avait changé. Elle avait perdu le gout de vivre.





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Ren Phee

Ren Phee


Masculin
Messages : 107
Age du perso : 17 y.old
♥ Côté coeur : Petit Poney qui galloppeeeeeeeeeee, qui gallopeuuhhh ~

Carte d'identité
♣ Année scolaire: 2ème Année
♣ Colocataires: Rei Akimera & Dwayne Miller & Naomi Otsuka
♣ Relations:

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MessageSujet: Re: Un appel au secours... [Libre]   Un appel au secours... [Libre] Icon_minitimeSam 1 Déc - 6:21

C’est exactement ce genre de soirée qui porte Ren à se demander si le paradis sur Terre n’existerait pas vraiment; et que ce serait, en copie conforme, le tourbillon d’émotions qui le submergent à l’instant. Oui, il est dans un bar. Non, il n’est pas saoul, et ça, c’est bien une première! En fait, depuis qu’il a commencé cette pseudo-relation avec Dwayne, son colocataire, il essaie d’éviter les excès. Ren sait bien que son petit poney n’hésiterait pas un instant à le prendre en défaut sur ces actes de beuverie et que leur « pacte » serait alors brisé. Bref, pour revenir à cette soirée de rêve, le jeune musicien est en compagnie de trois jeunes gens qu’il vient à peine de rencontrer. Ils sont tous les trois de jeunes british en voyage; il s’agit de Kathy, Beth et Kurt. Ren profite de leur présence pour avoir quelques nouvelles de sa nation natale. Beth lui parle politique, Kurt lui parle sports et Kathy lui parle potins. De son côté, il les informe un peu sur ce qu’il sait sur le Japon, les coutumes, les mœurs, quelques phrases clés. Et plus ils discutent et s’esclaffent, plus les verres glissent au fond de leur gorge et rapidement, tous, sauf Ren, tombent sous les effets de l’alcool et, naturellement, la conversation dévie sur le sexe… Et sans vraiment savoir comment c’est arrivé, ils décident de faire une chasse dans les bois. Ren leur dit qu’il connait un endroit pas trop loin du château de Matsumaya où ils pourraient jouer à ce jeu. Excités, ils partent du bar et se dirigent vers la forêt en question. Il fait noir dehors et la forêt, soutenant tout le poids de cette noirceur inquiétante, s’apparente drôlement à un repaire de Lucifer. Le mouvement des branches rappellent celui de mains fourchues tendues vers eux, près à refermer leurs griffes sur eux et les déchiqueter. Malgré cette vision d’horreur, ils y pénètrent en courant, Beth étant le gibier. Elle avait normalement droit à deux minutes d’avance, mais dès que sa longue chevelure noire se fit aspirer dans l’obscurité, ils s’élancèrent tous les trois à sa poursuite.

Ren courait dans les bois, sobre, et mentalement se giflait avec force. Ils allaient tellement se perdre de vue et les trois british ne pourraient vraisemblablement pas retrouver leur chemin sans son aide, surtout avec leur taux d’alcoolémie dans le sang. Il se sentait coupable à présent, mais le mal était fait. Comme d’habitude, le jeune homme n’avait pas réfléchi une seule seconde. Une opportunité se prononçait et il sautait dessus comme un tigre affamé. Et, derrière chacune de ses opportunités, il y avait toujours du poison. N’apprenait-il jamais rien? Non, en effet. Idiot pour toujours. Ou presque. Il se mit donc en chasse de tout le groupe. Le clair de lune traversait péniblement le branchage de la forêt et, n’ayant pas les yeux d’un félin, il ne voyait pas grand-chose. Il arrivait à peine à ne pas trébucher contre les grosses racines des arbres qui sortaient du sol. Son cœur tambourinait contre sa poitrine, il suait à grosses gouttes sous tout ce stress et l’adrénaline lui brouillait la vue, engourdissait ses membres, lui faisait oublier ses poumons brûlants sous l’effort. Jusqu’alors, il n’avait pas entendu de cri de mort, que le silence oppressant de la forêt. C’était un bon signe.

Après ce qui lui parut une éternité, le jeune homme arriva à la cascade. Vraiment? Il avait plongé aussi loin? Il était sur le point de rebrousser chemin quand il aperçut Beth, enfin ce qu’il croyait être Beth. C’était une jeune fille, à peu près de sa grandeur, de dos avec de longs cheveux noirs. Il la suivit, essayant de ne pas se fracasser la gueule contre les rochers de la cascade. Étrangement, Beth ne semblait pas comme d’habitude. Pas qu’il la connaisse depuis des années, mais sa démarche avait quelque chose de différent. Aussi décida-t-il, puisqu’il écoutait trop de films d’horreur, de ne pas trop s’approcher, de peur qu’elle soit possédée par un esprit maléfique dont le squelette humain serait caché sous la terre humide, au pied d’un arbre. Il eut un choc lorsqu’il la vit pénétrer à l’intérieur de la cascade. L’eau glaciale collerait ses vêtements gelés contre sa peau et ça ne prendrait pas deux secondes qu’elle choperait une sale pneumonie, ou un truc dans le genre. Ren hésita longuement à la suivre. Il voulait bien la récupérer pour l’empêcher de geler, mais il gèlerait aussi par la même occasion. Et, étant un gentleman, il serait bien obligé de lui prêter sa veste et il gèlerait deux fois plus qu’elle. Oh, et puis, merde, c’était quand même lui qui les avait mis dans cette situation merdique.

Il étouffa un hurlement en passant sous la cascade. Ren avait enlevé son veston noir au préalable, roulé en boule entre ses mains pour lui éviter le déluge. Et, bien vite, il se rendit compte qu’il n’avait ni affaire à Beth, ni affaire à une entité démoniaque; juste une jeune fille, à moitié nue, des écouteurs dans les oreilles, un morceau de verre à la main, occupée à se taillader les veines. Say what? Ren se pétrifia sur le coup, incertain de ce qu’il devait faire au vu de la situation. Partir, rester? N’avait-il pas assez de problèmes sur les bras? Il devait choisir entre retrouver ses trois anglais qui vagabondaient dans la forêt, certains d’entre eux étaient peut-être blessés ou inconscients, ou empêcher une jeune fille dépressive de mourir sous une cascade où on ne retrouverait son corps que des mois plus tard par un aventurier. Ça ne semble pas l’être, mais c’est un choix difficile. Ayant fait son choix, Ren s’avança et retira d’un mouvement sec, sans la blesser plus qu’elle ne l’était déjà, son morceau de verre. Il retira également l’un de ses écouteurs pour qu’elle puisse l’entendre.

« Je sais pas qui t’es, mais selon moi, tu vas choper une pneumonie si tu ne te couvres pas. »

Le jeune homme prit son veston sec, se pencha à sa hauteur et le lui passa autour des épaules. Il profita de cette proximité pour observer son visage si pâle, éblouissant d’une tristesse humide qui brouillait la réelle beauté de son visage. Puis, il baissa ses yeux bleus sur les blessures qu’elle s’était fait aux bras. Le sang coulait, ça ne semblait pas trop profond, mais qui était-il pour en juger? Il était pas médecin!

« Il va falloir bander tout ça si on veut pas que tu te vides de ton sang. Parce que, c’est pas ce qu’on veut, c’est ce que personne ne veut. »

Il avait prononcé cette dernière phrase en insistant bien sur les mots et en plongeant ses pupilles azurs dans les siennes.

« Tu t’appelles comment? »
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